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[quote="itchi"]A toi mon journal,
Les étoiles surplombent le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....
Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.
[/quote]
héhé bienvenue Itchi :)
A toi mon journal,
Les étoiles surplombent le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....
Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.
héhé bienvenue Itchi
Sur son front fier et conquérant
Dégoulinant d’bons sentiments
Passe le revers de sa main d’fer
Tachée de sang et de viscères
Ses deux pommettes saillantes
Supportent son regard envieux
Qu’il porte sur la vie de ceux
Qui d’avis l’ont différente
Sa bouche et son menton pointu
Clament haut et fort ses vertus
Quand son âme et son conscience
S’achète pour une poignée d’écus
Le nez au milieu de la figure
Pour bien ressentir les flatteries
Les sinus comblés des ordures
Qu’il respire avec appétit
Sur ses épaules étriqués
Repose l’unique Vérité
Celle qui fait foi, celle qui fait loi
Écrite au sabre de ses émois
Au creux de ses bras généreux
Se débat Dame justice
contrainte de force à son étreinte
Pour des ébats non consentis
Sa poitrine body-buildée
Contient un coeur gros comme ça
Regorgeant d’avidité
Au travers des artères bouchées
Quelques litrons superflus
Occupent son ventre rebondi
Pressant sa ceinture Armani
En révélant sa raie du cul
Pointant l’reflet d’son ignorance
De son amnésie sélective
Sur le miroir d’sa suffisance
Dessine un sourire hypocrite
Sous le charme convaincu
De ses propres airs supérieurs
Il maquille son vécu
Ses génocides et ses horreurs
Pour Kaio :)
Le ciel est bleu, père Mathieu
Le ciel est bleu, sors de ton pieu!
Aujourd'hui c'est confesse
Tralalère
À l'église de Meyzieu!
Vertudieu de sacrebleu!
Quand père Mathieu tortille les fesses
Font tous la queue, font tous la queue!
Dés que Mathieu remue ses fesses
Les bigotes, les fesse-mathieu
Font tous la queue pour la confesse!
C'est dimanche père Mathieu...
Agenouillée sur mon prie-dieu
Je n'en crois pas mes yeux
Ton hostie s'élève vers les cieux
C'est l'heure du lever-dieu!
Je reste bouche bée
Face à mon adoré.
Père Mathieu, père Mathieu
Père Mathieu
À mis le feu
À la messe
À la messe
À la messe de Meyzieux...
Scrogneugneu!
Comme @Itchi, Saez.mu étant down, je pose mes bosses ici.
07/03/13
Réveil en pleurs.
Totalement rongé le gosse, jusqu’à l’os, jusqu'à la moelle des artères.
Un cancer, qu’il s’insuffle à l’esprit.
Une vie de merde ou du moins, emmerdée, car elle se remplit de choses qui ont l’allure de la convenance, mais son contenu n’en est pas plein, ni même à demi vide.
Le contenant d’une bouteille opaque.
Illisible.
Peu à voir au-dedans, juste la teinte terne de la couverture tout autour.
Le lierre s’est installée, envahit peu à peu les murailles, remplit le vide des meurtrières qui ne décochent plus leurs flèches, plus rien n’en sort, depuis des jours.
Si peu de jours, mais tellement de temps
que tangue l’express de nos velours passés,
Passés si vite,
Au fil funambule de nos nœuds à bascule, le balancier s’est arrêté.
**
L’ivresse aimerait me prendre avec elle, mais pas une goutte, ni même une bouffée, rien.
Lever les voiles de ma mer grise, découvrir mes Amériques dans ces pirogues qui prennent l’eau, nager un peu avec elles, aller contre les courants, défier mes Bermudes, m’y boire des tasses entières, jusqu’à plus soif, jusqu’à devoir sortir l’écuelle des tripes.
La gamelle pour les chiens, celle qu’on laisse de côté avec une carcasse en putréfaction au-dedans, jusqu’à ce qu’il n’y ai plus que l’os à lécher, sous la langue, goutter au calcaire qui porte la vie.
Écoper le double fond de nos doublures, naviguer sans boussole, au diable les aiguilles sans injection, souffler sur la toile tendue pour avancer un peu, mais pas assez d’air, il faudrait se percer les poumons pour pouvoir prendre une pleine respiration, d’iode magistère que le cérébral s’aiguise tant à forger comme une permanente injection de morphine, d’antidouleurs puisque tout ici accable l’esprit dans les contradictions, il faudrait des bras pour ramer et défier la trajectoire qui file droit dans les icebergs ou alors, y nager pour s’y faire sa grotte glacière, manger les calotte en surface pour déterrer les morceaux qui se sont fait congeler à des ères oubliées.
Les brûlures neigeuses des flacons vides rebouchés à la cire, mais bouchonnés aux glaises tremblantes, coulantes des cordes vocales de nos intérieurs en déchirures.
Les rétractiles quand le glas sonne 15 heures.
merci @itchi, merci @peb, c'est ca qui me manque de saezmu, des sensibilités a fleur de peau, qui savent si bien faire chanter les mots.
Merci encore du partage.
Il a dit je la lâche
Ta boule de cristal
Et du ciel à la flache
Son vol fut bien banal
Mille morceaux de verre
Flottant au fil de l'eau
Du sablier les perles
Des étoiles en lambeaux.
Dieu m'a fait don du ciel
D'une nappe de brumes
D'étoiles qui s'allument
Dans une boue de miel
De bulles de champagne
Dans la flaque qui stagne
Pouet!
[quote="Maitre Kaio"]et moi ca me plait que ce topic vive! merci les jeunes[/quote]
créé un recueil de poètes saezliviens ou saezmuiens, t'en tireras des cacahouetes
et moi ca me plait que ce topic vive! merci les jeunes
créé un recueil de poètes saezliviens ou saezmuiens, t'en tireras des cacahouetes
[quote="gugu"]
Il a dit je la lâche
Ta boule de cristal
Et du ciel à la flache
Son vol fut bien banal
Mille morceaux de verre
Flottant au fil de l'eau
Du sablier les perles
Des étoiles en lambeaux.
Dieu m'a fait don du ciel
D'une nappe de brumes
D'étoiles qui s'allument
Dans une boue de miel
De bulles de champagne
Dans la flaque qui stagne
Pouet!
[/quote]
et prout
Il a dit je la lâche
Ta boule de cristal
Et du ciel à la flache
Son vol fut bien banal
Mille morceaux de verre
Flottant au fil de l'eau
Du sablier les perles
Des étoiles en lambeaux.
Dieu m'a fait don du ciel
D'une nappe de brumes
D'étoiles qui s'allument
Dans une boue de miel
De bulles de champagne
Dans la flaque qui stagne
Pouet!
et prout
[quote="Bar_a_Jesus"]
créé un recueil de poètes saezliviens ou saezmuiens, t'en tireras des cacahouetes
[/quote]
ah non. on se mélange pas.
créé un recueil de poètes saezliviens ou saezmuiens, t'en tireras des cacahouetes
ah non. on se mélange pas.
t'es déjà bien mélangé toi, pourquoi pas les autres ?
parce que si on melange trop les saveurs, on les perds toutes.
leçon Top Chef numero 1
arrete de peter sous ta soutane, tu vas décoler Kaio ;)
Bar si tu t'as une allumette reste pas trop pres de Kaio. (tu y vois les allusions que tu veux la, mais tu dois penser trop fort, je t'entends je crois:)
version 0.2
Sur son front fier et conquérant
Dégoulinant d'bons sentiments
Passe le revers de sa main d'fer
Tachée de sang et de viscères
Ses deux pommettes saillantes
Supportent son regard envieux
Qu’il porte sur la vie de ceux
Qui d’avis l’ont différente
Sa bouche et son menton pointu
Clament haut et fort ses vertus
Quand sa conscience reste pendue
A quelques écus à quelques culs
Le nez au milieu de la figure
Pour bien ressentir les flatteries
Les sinus remplis des ordures
Qu’il respire avec mépris
Sur ses épaules étriqués
Repose l’unique Vérité
Celle qui fait foi, celle qui fait loi
Écrite au sabre de ses émois
Au creux de ses bras généreux
Se débat Dame justice
Contrainte de force à son étreinte
Pour des ébats non consentis
Les quelques poils de sa poitrine
Recouvrent un petit coeur fragile
Qui s’acharne sous caféine
A faire tourner la machine
Quelques litrons superflus
Comblent son ventre rebondi
S’appliquant sans réussite
A satisfaire son appétit
Ses fesses plates sont marquées
Du cuir de son canapé
L'habitude d'offrir au marché
Ses heures de passivité
Ses jambes de sédentaires
Ont pris goût à la cavale
Sans avancer d’un centimètre
En transpirant dans un bocal
Son allure civilisé
Sait brillamment faire illusion
Derrière sa posture avisée
S’étendent les champs de coton
Pointant l’reflet d’son ignorance
De son amnésie sélective
Sur le miroir d’sa suffisance
Dessine un sourire hypocrite
Sous le charme convaincu
De ses propres airs supérieurs
Il maquille son vécu
Ses génocides et ses horreurs
J'adore poster mes gros délires après tes poésies ô combien réalistes! :)
Le petit chat est mort!
J'ai cru voir un gros minet se faufiler sur mon clavier
Je swingue aux clics de ma souris Zazou zazou zazou yeah!
Gros matou pour petit chat, nos doigts se frôlent on joue à chat.
Sur le tapis de ma souris, un familier au poil tout doux
À l'oeil oblong et volontaire, aux oreilles triangulaires
Il a la griffe agile rétractile, la dent réfractaire
Si blanche mon cher, à ma chair. Schlurp voilà sa bonne chère
Et sa langue râpeuse salse et tangue rockailleuse
Sur mon minou tout doux Zazou zazou ...un gros matou!
Je souris accrochée à sa chicha
Minet, chat de gouttière, chat angora...mon siamois.
Il miaule moi je ronronne, je suis chatte il est chaton
Je souris, il est ronchon!
Tapi dans mon trou de souris, comme un chat voilà qu'il crie!
J'm'envoie en l'air sur sa musique, j'écris sur son tapis
Bla- bla-bla sur un chaabi...
Et affalé sur son sofa, monsieur fume et monsieur boit
Du chablis cha-cha-cha...
A sa santé, à sa souris Zazou, zazou zazou ouiiii!!!
L'attaque méritait une réplique, à bon chat, bon rat
J'esquive et tu me manques, le chat est là, la souris danse!
On se grise à la nuit tombée...de souris je deviens chatte.
Je donne ma langue au chat
Il fait trop froid ma voix s'enroue
J'ai un chat dans la gorge
Un gros matou
Un chat-tigre, un chat tigré qui me roule dans sa litière
Un gitan, un chat à neuf queues, sans chichis et sans manières.
Chéri j'ai d'autres chats à fouetter, sors ton martinet
Fais moi mal, fais moi mal avec ton fouet à neuf lanières!
Tu es HS, je suis hors ligne accrochée à ta ligne.
Fais de moi chatte soumise, baise moi en quelques bises
Fais moi chatte savante de bavardages en clavardages
De clics en couacs et quelques bangs, zazou, zazou, bang bang!
...le petit chat est mort!
Et seule sur mon tapis
La souris s'est endormie...
ZzZzZzZzZz
SAY TOA LE SANSOUEL! Say toi qui as écrit "fesses" dans ta poésie, d'abord! Huhu!
[quote="Maitre Kaio"]ici on en pete pas, on poétise.[/quote]
A qui sait entendre la poésie :
La plus belle des flatulences peut avoir une odeur de fleur, ou de charogne.
ici on en pete pas, on poétise.
A qui sait entendre la poésie :
La plus belle des flatulences peut avoir une odeur de fleur, ou de charogne.
je dirais meme que c'est tout la l'art du poète, de donner l'odeur de la rose à une flatulence.
La la lalalala
Il est ma base
Je suis donnée
Fragrance à son col
Et dans la glace
Son reflet
Il est las
Là
Sur mon sol
Il est l'empreinte
Je suis sol
Et lui la
Là
La la lalala
Si Sot l'y laisse
Sur le sol là
Si Do..
Si docile et Fa.. Cetieuse
Gracile et sale... A ceci pres
La Sol Mi Fa... Lus en Ré.. Mi... Ssion.
N'en deplaise à ma chanson..
La lalala...
Ce qui importe, ce n'est pas la logique du sens, mais l'éveil du sens,
de l'émotion, là où les mots transportent, le sens n'est pas dans la
forme, ni dans son aspect, ni dans sa compréhension.
Il ne suffit pas de comprendre.
Il faut laisser des brins d'incompréhensibles et d'intelligible.
Voilà le remède à une forme d'ineffable.
L’interprétation doit nager dans les phrases, faire sens d'une
compréhension malhabile, hâtive, ou brusque.
Elle doit insuffler, imager, peindre des traits grossiers et des précisions.
Elle doit laisser la réflexion toujours en germe, être imprécise,
parfumée de trop d'odeurs qu'on ne peut la décomposer,
Elle doit être illogique dans sa construction, qu'importe le temps et
sa concordance, sa ponctuation, les mots doivent s'inventer, prendre
de nouvelles formes, le corps textuel doit prendre chair en une
grossesse enfantée, elle doit être intérieure, subtile, franche et
profonde en surface, abyssale et toujours se faire écho.
Elle doit s’accommoder d'une musicalité qui ricoche, elle doit être à
la fois le courant et la stagnation, qu'importe son thème, elle doit
être comme une corde tendue, rouée, effilochée, brûlée, mouillée,
sèche, chaude, glacée.
Elle doit avoir la prétention de n'être rien que des tâches d'âme.
Elle doit être défouloir, spectacle, elle doit avoir la fièvre
maladive de la folie humaine.
elle doit refléter l'humain et mettre en portrait ses pensées imaginatives.
Elle doit être empreint d'une belle laideur, mais sans l'être.
Elle doit déposséder son manieur de son vécu pour lui dérober son univers.
Voilà, c'est ça.
Foncer tête baissée la dedans, sans hésitation aucune.
L'écriture, le sens de, le sens à .
Il faut que je bouffe des lectures.
Enrichir mon vocabulaire.
Me sonder, en psychédélique.
Me voir de dehors.
Tenter la compréhension de ma construction pour réussir à me déconstruire.
On parle souvent du chemin.
Je dépoussière le mien.
Talia file
comme une fusée.
Poursuivie par le temps
qui déroule en tournant
le fil qui la fuselle
et l'embobine.
Il est fuseau
Elle est navette
traçant au fusain
sur la surface de la Terre
toute une forêt de ronces.
Brodant d'un pôle à l'autre
Le sortilège de Carabosse.
Une bague de sang
à son doigt s'est formée.
Ses espoirs, elle les met
naïvement dans son PC.
Talia, petite pute au bois dormant
Je te soutiens chuchote le mac Adam.
Adieu fées et marraines bienveillantes
Je me suis piquée au fuseau, j'en mourrai bientôt
Cent ans de profond sommeil, voilà enfin la délivrance.
Le PC est en éveil!
Il la crackera, la hackera
simulant le baiser du réveil.
La petite aurore, le petit jour
les jolis rêves d'autrefois
faut leur dire au revoir.
Dans la crasse, Talia
Il te violera
te remettra
à ta place
Sur un trottoir.
@peb j'aime comme tu écris.
"Elle doit avoir la prétention de n'être rien que des tâches d'âme"
et puis
"Tenter la compréhension de ma construction pour réussir à me déconstruire."
continue de dépoussiérer merci du partage
Dans la médina d'Alger
Comme aux alentours du lac Madine
Un manidé made in Nadmie
Qui s'appelait Damien
Démina et fit sauter
Point médian et trait d'union.
Il mendia alors espaces, tirets et autres signes
Quelques mots et quelques rires
De quoi tenir jusqu'à demain...
Mina de Dinmae
Gavée au "Miami" depuis trois jours, la poule pond son oeuf
Egalité branlante,
Sur le fil du rasoir,
Dynamiques changeantes,
Au gré de nos histoires,
Quand les maîtres des Noirs,
Etaient esclaves des leurs,
Nos cultures sublimées,
Par nos contre-cultures,
Refaire le monde à notre image,
Changer de codes,
Changer de pages,
Arrêter le carnage,
Repartir à zéro,
Oublier le métro,
Oublier nos amours,
Oublier les mendiants,
Oublier le suivant,
Oublier pour toujours,
Les démons de nos nuits,
Sous l'étoile, à l'aurore,
Oublier nos minuits,
Oublier le dégoût,
Pour oublier les porcs,
Oublier les massacres,
Oublier les empereurs,
Dont on fêta les sacres,
Oublier l'addiction,
Oublier l'habitude,
Oublier le charbon,
Oublier les études,
Oublier les dictons,
Oublier l'inquiétude,
Oublier nos démons,
Oublier Solitude,
Moi je prends date,
Pour la prochaine,
Révolution,
Tous à la chaîne,
A l’unisson,
Moi je prends date,
Pour une énième,
Révolution,
Me suive qui m’aime,
Sans conditions,
Moi je prends date,
Pour la prochaine,
Révolution,
Quand elle est reine,
Que ça sent bon,
Moi je prends date,
Pour une énième,
Révolution,
Me suive qui m’aime,
Vers les tréfonds
sympa alex :)
j'aurais mis de l'imparfait "dont on fetait les sacre" par contre, mais le passé composé est ton choix, je l'accepte! :)