Le forum SaezLive est définitivement fermé, les archives restent accessibles en lecture seulement.
le travail c'est comme une insomnie de 8h par jour. on est pas vraiment eveillé, mais obligé de subir.
en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps.
la loose (surtout pour moi, j'evolue pas quoi, je reste ce puceau romantique et naif qui a tellement peur du monde réel que je m'enferme dans des quetes insolubles, dans le seul but de fuire un destin morose et délavé).
(je chiale la).
(mettez un truc avec des violons dans votre casque svp).
le comble de la solitude? discuter tout seul sur un forum communautaire.
je place mes espoirs en vue chers lecteurs (y a que isa qui lit mais on fera comme si vous etiez des millions), guidez moi vers la lumière, c'est vous ma lumière....
parce que Môa, j'iray tuay mon payre! Nooooooooooon, je ne suis pas...
Lu sobre il n'est pas si bien que ça :) désolé je poste pour rien :)
oh, y'a donc pas que Kaio et moi par ici ? cool :)
[quote="Maitre Kaio" date="2011-11-07 16:31:19"]en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps.[/quote]
marrant, je me faisais un peu la même réflexion y'a pas si longtemps ^^
en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps.
marrant, je me faisais un peu la même réflexion y'a pas si longtemps
[quote="Maitre Kaio" date="2011-05-30 11:10:38"]il n'y a plus beau ciel bleu qu'après la tempête.[/quote]
Hey!
Je viens de lire ton article "Le petit prince qui crachait sur la couronne"
Superbe, j'ai l'impression que j'aurais pu l'écrire, cet article, tant on dirait mon histoiree, enfin mon histoire avec Saez.
C'est probablement ce que de nombreux saezien se disent, d'ailleurs, c'est ça qui est le plus fou...
il n'y a plus beau ciel bleu qu'après la tempête.
Hey!
Je viens de lire ton article "Le petit prince qui crachait sur la couronne"
Superbe, j'ai l'impression que j'aurais pu l'écrire, cet article, tant on dirait mon histoiree, enfin mon histoire avec Saez.
C'est probablement ce que de nombreux saezien se disent, d'ailleurs, c'est ça qui est le plus fou...
Le sang noir
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Dans l’influence idéophage
De ces holdings antropophages
Quand tous les yeux de l’innocence
Reflètent l’horreur et l’indécence
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Coeur et Cerveaux farandolent
Aguicheurs en têtes de gondole
Sur-plastifiés de rigueur
Des couleurs sur plein d’épaisseur
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Sonnent les règles infantiles
dans l’émotive télévisuelle
la corde du sensationnelle
te ramenant à ton nombril
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Petit lobby de tous les jours
Pour redéfinir notre amour
Eternelle communauté
Ayant enfanté jacques Servier
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
[url=http://www.entrecoteburger.fr/2012/06/11/lettre-a-ma-deesse/]Lettre à ma déesse[/url]
[url=http://www.entrecoteburger.fr/2012/06/29/instantanee-de-haine/]instantanee de haine[/url]
[url=http://www.entrecoteburger.fr/2012/07/30/passent-les-nuages/]Passent les nuages[/url]
un tendre regard terni de déceptions
une silhouette fléchie sous le poids des raisons
des hanches élargies, des fesses en cotons
et un sourire enfoui sous tant de résignations
le poids de la vie, la goutte pour faire front
la poitrine comprimée et le glaire aux poumons
les cuisses fertiles et les bras au charbon
quand monde et infamie écrasent les dos ronds
portant à l'usine l'effort de la nation
et au dessus du lit berce ce petit garçon
Mèche rebelle
Voilà que le monde vacille
A la lueur de la bougie
Et immense sur le crépi
Se tord une mèche gracile
Tu imprègnes, rebelle, d'huile
Sa tresse de chanvre, ses longs cils
Elle ondule et cherche ta flamme
Aussi glissante qu'une anguille.
T'as mis le feu à la brindille
Elle s'enflamme, elle devient femme...
ENCRE DE CHINE
Peu m'importe la voie, par air, par terre ou mer :
Laisse-moi! Va-t-en! Fuis! Trouve d'autres taudis!
Ne retiens plus ma chute d'entre tes – lacère! –
Crocs si vieux et perclus d'extatiques débris!
Reprends ton long exil vers de stériles cieux
Où les ailes se plaisent aux crevasses d'ombres
Ambrées, faces aux braises, cratère en ce lieu
De rêve ou pur esprit à la proue qui va, sombre,
En l'oubli même, soie tressée d'images sourdes
Au règne décadent sous la pluie sage et lourde
Dont la fissure cache et dérobe les charmes,
Les jeux impétueux enclavés, gentes dames
Réglant de leurs soupçons, détruisant l'amalgame.
La mélopée prend vie, prend forme, prend les armes.
Que s'égraine la grappe du temps
en multiples petits instants
Autant de frappes qui feront mal
de l'animal aux amygdales
Que s'égraine la grappe du temps
le long de ma fuite en avant
Parce que toujours le temps qui passe...
Un grain de sable a arrêté le temps
Se vautre, s'enlise dans le passé
Je me laisse avaler par les sables mouvants
L'horloge de sable s'est arrêtée!
Sur la mer de sable, dunes et bancs
Par la tempête ont été emportés
Seul un grain de sable résiste au vent
Une rose sablée sur le sable rosé
Dans le bac à sable, Lou souffle brusquement
Sur les statues de sable hébétées
Elle est bien plus forte que tous les éléments!
Le temps coule entre ses doigts potelés
Sans le savoir elle est devenue sablier...
Le marchand de sable est passé en coup de vent
Frotter son œil immense de quartz violet
...et mon petit grain de sable s'est envolé!
Je crois bien que ça doit faire plus d'un an que je n'ai pas écrit la moindre phrase. A croire que je n'ai plus rien à dire.
Je devrai faire une lettre d'adieu au monde des écrivains :
Point.
Il est 4 heures,
Zazie s’endort,
Deux briquets pour un feu,
Moi, la tête à l’envers,
La nuisette de Deneuve ?
A l’endroit sur la tête,
Et quoi encore ?
J’aime mon père ?
Oui, et surtout ses enfants
Reflets
Le vent et la pluie tourbillonnent,
écrasant le double vitrage.
A travers les arbres sans feuille,
le reflet de mon visage.
Ma sale gueule d'anarchiste
entachant le gris des nuages.
En contrebas sur un parking
petit oiseau cherche sa place,
entre goudrons et buildings
il sautille de flaque en flaque.
Des bêtes à traire et du béton
Des m'as-tu vu quand dira-t-on
se distinguant des bons des cons
à la griffe de leur veston
Toisant cet oiseau qu'ils méprisent
de peur qu'il chie sur leur pare-brise
Un peu plus loin à l'horizon
les rapaces ont pris position
s'appropriant chaque goutte d'eau
qui ruisselle sur mes carreaux.
Egaux
Dans le superficiel des égos sur-ficelés
Des auto-proclamés rois de petites provinces
Scellé de mauvaise foi, tout de vide orchestré
D’une partition sans note, où le silence grince.
A qui donc le beau rôle
et la contre-façon?
Le contre-rôle du con
Et la sincérité.
Quand les mésanges gaussent par dessus nos échanges
Pointant l’affreux du bec en se frottant la panse
Osant lâcher leur fiante sur qui ne fait ni le poids
Ni la taille pour s’inscrire à ce concours de Moi.
Un vieux rade en dérive
Dans l’océan du vide,
Ou s’étouffent des poivrots
Noyés dans leurs égos.
Ou brillent les aigris
sertis de leur vomis.
Crache enfin petite sainte toute ta diablerie
Exorcise tes envies et ta pieuse jalousie
Il est venu le temps d’arrêter ces conneries
De retourner goûter aux pulsions de ta vie.
Et d’écouter les autres
Sans attendre en retour
Qu’ils se fassent à leur tour
Apôtres de tes caprices.
Esclandre
Qu’il me méprise, ce monde,
De son avidité barbare
Qu’il me réduise, ce monde,
En chiffres, en coût, en code barre
Qu’il m’étouffe et m’aliène,
Qu’il m’oppresse et me saigne
Je saurais rester droit
Fier face à ses lois
Qu’il accepte en offrande
Le poids de mon crachat
Mon intégrité pour esclandre
Et l’élégance de mon doigt
Qu’il me cajole et flatte
Mes instincts de primate
Soumis seulement
A la courbe du temps
[quote="Maitre Kaio"]Des visages, des figures. Graves et concernés, mais souriants. Le sourire de l’espoir renaissant. Des figurants à effacer. Des gens, soudés. Le temps figé, à l’instant de lutter, fier, à leurs cotés. Et ce regard d’enfant, naïf, mais qui déjà comprend, les enjeux, les angoisses, son avenir à crédit pour un bonheur non garantie. Quelle poisse.
Conscient de notre chance? entre décadence et déchéance, le mépris entre dans la danse. Gamin, tu seras, non, tu travailleras. On te le trouvera, n’ait de crainte, celui là dans son Audi S3 qui s’enrichira de toi, de ton temps, de ta vie, et même de tes soucis.
Sommes nous libres de vivre pauvres, ou riches de vivre libres?
(et ué je recopie mon blog. vous croyez tout de meme pas que vous alliez avoir le droit a des exclus?)[/quote]
Sympa le clin d'oeil à Cantat au début. Et belle conclusion qui s'avère être une question sans en être une finalement. ;-)
Des visages, des figures. Graves et concernés, mais souriants. Le sourire de l’espoir renaissant. Des figurants à effacer. Des gens, soudés. Le temps figé, à l’instant de lutter, fier, à leurs cotés. Et ce regard d’enfant, naïf, mais qui déjà comprend, les enjeux, les angoisses, son avenir à crédit pour un bonheur non garantie. Quelle poisse.
Conscient de notre chance? entre décadence et déchéance, le mépris entre dans la danse. Gamin, tu seras, non, tu travailleras. On te le trouvera, n’ait de crainte, celui là dans son Audi S3 qui s’enrichira de toi, de ton temps, de ta vie, et même de tes soucis.
Sommes nous libres de vivre pauvres, ou riches de vivre libres?
(et ué je recopie mon blog. vous croyez tout de meme pas que vous alliez avoir le droit a des exclus?)
Sympa le clin d'oeil à Cantat au début. Et belle conclusion qui s'avère être une question sans en être une finalement.
[quote="Maitre Kaio"]A qui donc le beau rôle
et la contre-façon?
Le contre-rôle du con
Et la sincérité.
[/quote]
Du contre-maitre Kaio, j'aime ça..èz! Facile.
A qui donc le beau rôle
et la contre-façon?
Le contre-rôle du con
Et la sincérité.
Du contre-maitre Kaio, j'aime ça..èz! Facile.
A propos de Marie-Jeanne:
Une entrée dans le monde de l'immatériel où tout est concept,
Où tout sert à la réflexion,
Un monde parallèle ouvre ses portes,
Il n'y a plus de contraintes morales ou éthiques,
C'est comme un grand mur blanc,
Où les idées viennent s'accrocher et se lier entre elles
Au pied de la tour de Belèm
Danse le diable qui est en toi
Dans une chorégraphie charnelle
Sous le regard du Christ Roi
Les flots d’or des eaux du Tage
Balayés par le cri des mouettes
Soleil esquisse en un mirage
Le contre-jour de ta silhouette
Échouée lascive sur le rivage
Goûtant la chaleur lisboète
Une grande Histoire et ses séquelles
Aux pieds des façades moroses
Ruelles de pavé s'entremêlent
Enjolivées d’azulejos
Et ta poésie ?
Et ta poésie ?
Elle est passée où l'ami ?
Dans les campagnes,
Sous les orties ?
Tu l'as perdu
Quand t'es parti...
Et ta poésie ?
Que tu déversais
A longueur de journée,
A la mémoire des oubliés
Pour éclairer un peu le sombre,
Pour égayer un peu les tombes.
Et ta poésie ?
Dénonciatrice et provocatrice
Tellement hachée par les sévices
De la boisson et de tes vis
Elle s’est tirée avec ton blé
Elle t’a couché un soir d’été.
Et ta poésie ?
Tu crois qu’elle reviendra
A travers elle, à travers toi ?
Reviens, ici tout s’évanouie
Les fleurs ne sont plus si jolies
La terre a encore besoin de poésie.
Et ta poésie ?
Elle manque tant
Par tous les temps
Dans tous les bars
Elle est nulle part
Alors reviens-nous voir.
19/11/12
A toi mon journal,
Les étoiles surplombent le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....
Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.
[quote="itchi"]A toi mon journal,
Les étoiles surplombes le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....
Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.
[/quote]
Bah non faut pas dire ça. Il est vrai qu'on est nombreux ici à ne pas trop trainer sur saez.mu mais les gens sont les bienvenus sur SL...
Et si ça peut te consoler moi aussi j'ai un problème avec le temps et le voir défiler me donne le cafard régulièrement... Ecrire, dans ces moments-là, ça peut apaiser toutes ces angoisses récurrentes. Il faut pas hésiter.
A toi mon journal,
Les étoiles surplombes le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....
Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.
Bah non faut pas dire ça. Il est vrai qu'on est nombreux ici à ne pas trop trainer sur saez.mu mais les gens sont les bienvenus sur SL...
Et si ça peut te consoler moi aussi j'ai un problème avec le temps et le voir défiler me donne le cafard régulièrement... Ecrire, dans ces moments-là, ça peut apaiser toutes ces angoisses récurrentes. Il faut pas hésiter.