le travail c'est comme une insomnie de 8h par jour. on est pas vraiment eveillé, mais obligé de subir. en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps. la loose (surtout pour moi, j'evolue pas quoi, je reste ce puceau romantique et naif qui a tellement peur du monde réel que je m'enferme dans des quetes insolubles, dans le seul but de fuire un destin morose et délavé). (je chiale la). (mettez un truc avec des violons dans votre casque svp). le comble de la solitude? discuter tout seul sur un forum communautaire. je place mes espoirs en vue chers lecteurs (y a que isa qui lit mais on fera comme si vous etiez des millions), guidez moi vers la lumière, c'est vous ma lumière.... parce que Môa, j'iray tuay mon payre! Nooooooooooon, je ne suis pas...
Maitre Kaio Il y a 13 ans

le travail c'est comme une insomnie de 8h par jour. on est pas vraiment eveillé, mais obligé de subir.

en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps.

la loose (surtout pour moi, j'evolue pas quoi, je reste ce puceau romantique et naif qui a tellement peur du monde réel que je m'enferme dans des quetes insolubles, dans le seul but de fuire un destin morose et délavé).

(je chiale la).

(mettez un truc avec des violons dans votre casque svp).

le comble de la solitude? discuter tout seul sur un forum communautaire.
je place mes espoirs en vue chers lecteurs (y a que isa qui lit mais on fera comme si vous etiez des millions), guidez moi vers la lumière, c'est vous ma lumière....

parce que Môa, j'iray tuay mon payre! Nooooooooooon, je ne suis pas...

Lu sobre il n'est pas si bien que ça :) désolé je poste pour rien :)
AnonymeIl y a 12 ans

Lu sobre il n'est pas si bien que ça désolé je poste pour rien

oh, y'a donc pas que Kaio et moi par ici ? cool :) [quote="Maitre Kaio" date="2011-11-07 16:31:19"]en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps.[/quote] marrant, je me faisais un peu la même réflexion y'a pas si longtemps ^^
Isa Il y a 12 ans

oh, y'a donc pas que Kaio et moi par ici ? cool

en fait ce fofo ca devient de plus en plus une annexe de mon blog avec des commentaires d'isa de temps en temps.


marrant, je me faisais un peu la même réflexion y'a pas si longtemps

envie de poésie. c'est lautréamont qui me presse...
Maitre Kaio Il y a 12 ans

envie de poésie.

c'est lautréamont qui me presse...

[quote="Maitre Kaio" date="2011-05-30 11:10:38"]il n'y a plus beau ciel bleu qu'après la tempête.[/quote] Hey! Je viens de lire ton article "Le petit prince qui crachait sur la couronne" Superbe, j'ai l'impression que j'aurais pu l'écrire, cet article, tant on dirait mon histoiree, enfin mon histoire avec Saez. C'est probablement ce que de nombreux saezien se disent, d'ailleurs, c'est ça qui est le plus fou...
JoeY Il y a 12 ans

il n'y a plus beau ciel bleu qu'après la tempête.


Hey!
Je viens de lire ton article "Le petit prince qui crachait sur la couronne"
Superbe, j'ai l'impression que j'aurais pu l'écrire, cet article, tant on dirait mon histoiree, enfin mon histoire avec Saez.
C'est probablement ce que de nombreux saezien se disent, d'ailleurs, c'est ça qui est le plus fou...

merci :)
Maitre Kaio Il y a 12 ans

merci

Le sang noir Coule le sang noir de mon ame rouge Dans ces dortoirs ou rien ne bouge Dans l’influence idéophage De ces holdings antropophages Quand tous les yeux de l’innocence Reflètent l’horreur et l’indécence Coule le sang noir de mon ame rouge Dans ces dortoirs ou rien ne bouge Coeur et Cerveaux farandolent Aguicheurs en têtes de gondole Sur-plastifiés de rigueur Des couleurs sur plein d’épaisseur Coule le sang noir de mon ame rouge Dans ces dortoirs ou rien ne bouge Sonnent les règles infantiles dans l’émotive télévisuelle la corde du sensationnelle te ramenant à ton nombril Coule le sang noir de mon ame rouge Dans ces dortoirs ou rien ne bouge Petit lobby de tous les jours Pour redéfinir notre amour Eternelle communauté Ayant enfanté jacques Servier Coule le sang noir de mon ame rouge Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Maitre Kaio Il y a 12 ans

Le sang noir

Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Dans l’influence idéophage
De ces holdings antropophages
Quand tous les yeux de l’innocence
Reflètent l’horreur et l’indécence
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Coeur et Cerveaux farandolent
Aguicheurs en têtes de gondole
Sur-plastifiés de rigueur
Des couleurs sur plein d’épaisseur
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Sonnent les règles infantiles
dans l’émotive télévisuelle
la corde du sensationnelle
te ramenant à ton nombril
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge
Petit lobby de tous les jours
Pour redéfinir notre amour
Eternelle communauté
Ayant enfanté jacques Servier
Coule le sang noir de mon ame rouge
Dans ces dortoirs ou rien ne bouge

[url=http://www.entrecoteburger.fr/2012/06/11/lettre-a-ma-deesse/]Lettre à ma déesse[/url]
Maitre Kaio Il y a 12 ans

Lettre à ma déesse

[url=http://www.entrecoteburger.fr/2012/06/29/instantanee-de-haine/]instantanee de haine[/url]
Maitre Kaio Il y a 12 ans

instantanee de haine

[url=http://www.entrecoteburger.fr/2012/07/30/passent-les-nuages/]Passent les nuages[/url]
Maitre Kaio Il y a 12 ans

Passent les nuages

un tendre regard terni de déceptions une silhouette fléchie sous le poids des raisons des hanches élargies, des fesses en cotons et un sourire enfoui sous tant de résignations le poids de la vie, la goutte pour faire front la poitrine comprimée et le glaire aux poumons les cuisses fertiles et les bras au charbon quand monde et infamie écrasent les dos ronds portant à l'usine l'effort de la nation et au dessus du lit berce ce petit garçon
Maitre Kaio Il y a 12 ans

un tendre regard terni de déceptions
une silhouette fléchie sous le poids des raisons
des hanches élargies, des fesses en cotons
et un sourire enfoui sous tant de résignations
le poids de la vie, la goutte pour faire front
la poitrine comprimée et le glaire aux poumons
les cuisses fertiles et les bras au charbon
quand monde et infamie écrasent les dos ronds
portant à l'usine l'effort de la nation
et au dessus du lit berce ce petit garçon



Mèche rebelle Voilà que le monde vacille A la lueur de la bougie Et immense sur le crépi Se tord une mèche gracile Tu imprègnes, rebelle, d'huile Sa tresse de chanvre, ses longs cils Elle ondule et cherche ta flamme Aussi glissante qu'une anguille. T'as mis le feu à la brindille Elle s'enflamme, elle devient femme...
AnonymeIl y a 12 ans




Mèche rebelle



Voilà que le monde vacille
A la lueur de la bougie
Et immense sur le crépi
Se tord une mèche gracile

Tu imprègnes, rebelle, d'huile
Sa tresse de chanvre, ses longs cils

Elle ondule et cherche ta flamme
Aussi glissante qu'une anguille.

T'as mis le feu à la brindille

Elle s'enflamme, elle devient femme...






ENCRE DE CHINE Peu m'importe la voie, par air, par terre ou mer : Laisse-moi! Va-t-en! Fuis! Trouve d'autres taudis! Ne retiens plus ma chute d'entre tes – lacère! – Crocs si vieux et perclus d'extatiques débris! Reprends ton long exil vers de stériles cieux Où les ailes se plaisent aux crevasses d'ombres Ambrées, faces aux braises, cratère en ce lieu De rêve ou pur esprit à la proue qui va, sombre, En l'oubli même, soie tressée d'images sourdes Au règne décadent sous la pluie sage et lourde Dont la fissure cache et dérobe les charmes, Les jeux impétueux enclavés, gentes dames Réglant de leurs soupçons, détruisant l'amalgame. La mélopée prend vie, prend forme, prend les armes.
thelastdayonearth Il y a 11 ans

ENCRE DE CHINE


Peu m'importe la voie, par air, par terre ou mer :
Laisse-moi! Va-t-en! Fuis! Trouve d'autres taudis!
Ne retiens plus ma chute d'entre tes – lacère! –
Crocs si vieux et perclus d'extatiques débris!

Reprends ton long exil vers de stériles cieux
Où les ailes se plaisent aux crevasses d'ombres
Ambrées, faces aux braises, cratère en ce lieu
De rêve ou pur esprit à la proue qui va, sombre,

En l'oubli même, soie tressée d'images sourdes
Au règne décadent sous la pluie sage et lourde
Dont la fissure cache et dérobe les charmes,

Les jeux impétueux enclavés, gentes dames
Réglant de leurs soupçons, détruisant l'amalgame.
La mélopée prend vie, prend forme, prend les armes.

Que s'égraine la grappe du temps en multiples petits instants Autant de frappes qui feront mal de l'animal aux amygdales Que s'égraine la grappe du temps le long de ma fuite en avant
Maitre Kaio Il y a 11 ans

Que s'égraine la grappe du temps
en multiples petits instants
Autant de frappes qui feront mal
de l'animal aux amygdales

Que s'égraine la grappe du temps
le long de ma fuite en avant

Parce que toujours le temps qui passe... Un grain de sable a arrêté le temps Se vautre, s'enlise dans le passé Je me laisse avaler par les sables mouvants L'horloge de sable s'est arrêtée! Sur la mer de sable, dunes et bancs Par la tempête ont été emportés Seul un grain de sable résiste au vent Une rose sablée sur le sable rosé Dans le bac à sable, Lou souffle brusquement Sur les statues de sable hébétées Elle est bien plus forte que tous les éléments! Le temps coule entre ses doigts potelés Sans le savoir elle est devenue sablier... Le marchand de sable est passé en coup de vent Frotter son œil immense de quartz violet ...et mon petit grain de sable s'est envolé!
AnonymeIl y a 11 ans

Parce que toujours le temps qui passe...




Un grain de sable a arrêté le temps
Se vautre, s'enlise dans le passé
Je me laisse avaler par les sables mouvants
L'horloge de sable s'est arrêtée!

Sur la mer de sable, dunes et bancs
Par la tempête ont été emportés
Seul un grain de sable résiste au vent
Une rose sablée sur le sable rosé

Dans le bac à sable, Lou souffle brusquement
Sur les statues de sable hébétées
Elle est bien plus forte que tous les éléments!
Le temps coule entre ses doigts potelés
Sans le savoir elle est devenue sablier...

Le marchand de sable est passé en coup de vent
Frotter son œil immense de quartz violet

...et mon petit grain de sable s'est envolé!









Je crois bien que ça doit faire plus d'un an que je n'ai pas écrit la moindre phrase. A croire que je n'ai plus rien à dire. Je devrai faire une lettre d'adieu au monde des écrivains : Point.
AnonymeIl y a 11 ans

Je crois bien que ça doit faire plus d'un an que je n'ai pas écrit la moindre phrase. A croire que je n'ai plus rien à dire.

Je devrai faire une lettre d'adieu au monde des écrivains :

Point.

Il est 4 heures, Zazie s’endort, Deux briquets pour un feu, Moi, la tête à l’envers, La nuisette de Deneuve ? A l’endroit sur la tête, Et quoi encore ? J’aime mon père ? Oui, et surtout ses enfants
AnonymeIl y a 11 ans

Il est 4 heures,
Zazie s’endort,
Deux briquets pour un feu,
Moi, la tête à l’envers,
La nuisette de Deneuve ?
A l’endroit sur la tête,
Et quoi encore ?
J’aime mon père ?
Oui, et surtout ses enfants

Reflets Le vent et la pluie tourbillonnent, écrasant le double vitrage. A travers les arbres sans feuille, le reflet de mon visage. Ma sale gueule d'anarchiste entachant le gris des nuages. En contrebas sur un parking petit oiseau cherche sa place, entre goudrons et buildings il sautille de flaque en flaque. Des bêtes à traire et du béton Des m'as-tu vu quand dira-t-on se distinguant des bons des cons à la griffe de leur veston Toisant cet oiseau qu'ils méprisent de peur qu'il chie sur leur pare-brise Un peu plus loin à l'horizon les rapaces ont pris position s'appropriant chaque goutte d'eau qui ruisselle sur mes carreaux.
Maitre Kaio Il y a 11 ans

Reflets

Le vent et la pluie tourbillonnent,
écrasant le double vitrage.
A travers les arbres sans feuille,
le reflet de mon visage.
Ma sale gueule d'anarchiste
entachant le gris des nuages.

En contrebas sur un parking
petit oiseau cherche sa place,
entre goudrons et buildings
il sautille de flaque en flaque.

Des bêtes à traire et du béton
Des m'as-tu vu quand dira-t-on
se distinguant des bons des cons
à la griffe de leur veston
Toisant cet oiseau qu'ils méprisent
de peur qu'il chie sur leur pare-brise

Un peu plus loin à l'horizon
les rapaces ont pris position
s'appropriant chaque goutte d'eau
qui ruisselle sur mes carreaux.

Egaux Dans le superficiel des égos sur-ficelés Des auto-proclamés rois de petites provinces Scellé de mauvaise foi, tout de vide orchestré D’une partition sans note, où le silence grince. A qui donc le beau rôle et la contre-façon? Le contre-rôle du con Et la sincérité. Quand les mésanges gaussent par dessus nos échanges Pointant l’affreux du bec en se frottant la panse Osant lâcher leur fiante sur qui ne fait ni le poids Ni la taille pour s’inscrire à ce concours de Moi. Un vieux rade en dérive Dans l’océan du vide, Ou s’étouffent des poivrots Noyés dans leurs égos. Ou brillent les aigris sertis de leur vomis. Crache enfin petite sainte toute ta diablerie Exorcise tes envies et ta pieuse jalousie Il est venu le temps d’arrêter ces conneries De retourner goûter aux pulsions de ta vie. Et d’écouter les autres Sans attendre en retour Qu’ils se fassent à leur tour Apôtres de tes caprices.
Maitre Kaio Il y a 11 ans

Egaux
Dans le superficiel des égos sur-ficelés
Des auto-proclamés rois de petites provinces
Scellé de mauvaise foi, tout de vide orchestré
D’une partition sans note, où le silence grince.
A qui donc le beau rôle
et la contre-façon?
Le contre-rôle du con
Et la sincérité.
Quand les mésanges gaussent par dessus nos échanges
Pointant l’affreux du bec en se frottant la panse
Osant lâcher leur fiante sur qui ne fait ni le poids
Ni la taille pour s’inscrire à ce concours de Moi.
Un vieux rade en dérive
Dans l’océan du vide,
Ou s’étouffent des poivrots
Noyés dans leurs égos.
Ou brillent les aigris
sertis de leur vomis.
Crache enfin petite sainte toute ta diablerie
Exorcise tes envies et ta pieuse jalousie
Il est venu le temps d’arrêter ces conneries
De retourner goûter aux pulsions de ta vie.
Et d’écouter les autres
Sans attendre en retour
Qu’ils se fassent à leur tour
Apôtres de tes caprices.

Esclandre Qu’il me méprise, ce monde, De son avidité barbare Qu’il me réduise, ce monde, En chiffres, en coût, en code barre Qu’il m’étouffe et m’aliène, Qu’il m’oppresse et me saigne Je saurais rester droit Fier face à ses lois Qu’il accepte en offrande Le poids de mon crachat Mon intégrité pour esclandre Et l’élégance de mon doigt Qu’il me cajole et flatte Mes instincts de primate Soumis seulement A la courbe du temps
Maitre Kaio Il y a 11 ans

Esclandre
Qu’il me méprise, ce monde,
De son avidité barbare
Qu’il me réduise, ce monde,
En chiffres, en coût, en code barre
Qu’il m’étouffe et m’aliène,
Qu’il m’oppresse et me saigne
Je saurais rester droit
Fier face à ses lois
Qu’il accepte en offrande
Le poids de mon crachat
Mon intégrité pour esclandre
Et l’élégance de mon doigt
Qu’il me cajole et flatte
Mes instincts de primate
Soumis seulement
A la courbe du temps

[quote="Maitre Kaio"]Des visages, des figures. Graves et concernés, mais souriants. Le sourire de l’espoir renaissant. Des figurants à effacer. Des gens, soudés. Le temps figé, à l’instant de lutter, fier, à leurs cotés. Et ce regard d’enfant, naïf, mais qui déjà comprend, les enjeux, les angoisses, son avenir à crédit pour un bonheur non garantie. Quelle poisse. Conscient de notre chance? entre décadence et déchéance, le mépris entre dans la danse. Gamin, tu seras, non, tu travailleras. On te le trouvera, n’ait de crainte, celui là dans son Audi S3 qui s’enrichira de toi, de ton temps, de ta vie, et même de tes soucis. Sommes nous libres de vivre pauvres, ou riches de vivre libres? (et ué je recopie mon blog. vous croyez tout de meme pas que vous alliez avoir le droit a des exclus?)[/quote] Sympa le clin d'oeil à Cantat au début. Et belle conclusion qui s'avère être une question sans en être une finalement. ;-)
jej33 Il y a 11 ans

Des visages, des figures. Graves et concernés, mais souriants. Le sourire de l’espoir renaissant. Des figurants à effacer. Des gens, soudés. Le temps figé, à l’instant de lutter, fier, à leurs cotés. Et ce regard d’enfant, naïf, mais qui déjà comprend, les enjeux, les angoisses, son avenir à crédit pour un bonheur non garantie. Quelle poisse.

Conscient de notre chance? entre décadence et déchéance, le mépris entre dans la danse. Gamin, tu seras, non, tu travailleras. On te le trouvera, n’ait de crainte, celui là dans son Audi S3 qui s’enrichira de toi, de ton temps, de ta vie, et même de tes soucis.

Sommes nous libres de vivre pauvres, ou riches de vivre libres?


(et ué je recopie mon blog. vous croyez tout de meme pas que vous alliez avoir le droit a des exclus?)


Sympa le clin d'oeil à Cantat au début. Et belle conclusion qui s'avère être une question sans en être une finalement.

[quote="Maitre Kaio"]A qui donc le beau rôle et la contre-façon? Le contre-rôle du con Et la sincérité. [/quote] Du contre-maitre Kaio, j'aime ça..èz! Facile.
AnonymeIl y a 11 ans

A qui donc le beau rôle
et la contre-façon?
Le contre-rôle du con
Et la sincérité.


Du contre-maitre Kaio, j'aime ça..èz! Facile.

A propos de Marie-Jeanne: Une entrée dans le monde de l'immatériel où tout est concept, Où tout sert à la réflexion, Un monde parallèle ouvre ses portes, Il n'y a plus de contraintes morales ou éthiques, C'est comme un grand mur blanc, Où les idées viennent s'accrocher et se lier entre elles
AnonymeIl y a 11 ans

A propos de Marie-Jeanne:

Une entrée dans le monde de l'immatériel où tout est concept,
Où tout sert à la réflexion,
Un monde parallèle ouvre ses portes,
Il n'y a plus de contraintes morales ou éthiques,
C'est comme un grand mur blanc,
Où les idées viennent s'accrocher et se lier entre elles

Au pied de la tour de Belèm Danse le diable qui est en toi Dans une chorégraphie charnelle Sous le regard du Christ Roi Les flots d’or des eaux du Tage Balayés par le cri des mouettes Soleil esquisse en un mirage Le contre-jour de ta silhouette Échouée lascive sur le rivage Goûtant la chaleur lisboète Une grande Histoire et ses séquelles Aux pieds des façades moroses Ruelles de pavé s'entremêlent Enjolivées d’azulejos
Maitre Kaio Il y a 11 ans

Au pied de la tour de Belèm
Danse le diable qui est en toi
Dans une chorégraphie charnelle
Sous le regard du Christ Roi

Les flots d’or des eaux du Tage
Balayés par le cri des mouettes
Soleil esquisse en un mirage
Le contre-jour de ta silhouette
Échouée lascive sur le rivage
Goûtant la chaleur lisboète

Une grande Histoire et ses séquelles
Aux pieds des façades moroses
Ruelles de pavé s'entremêlent
Enjolivées d’azulejos

Lisboa !!! Cet été normalement ;) C'est beau Maître Kaio
Morgane Il y a 11 ans

Lisboa !!! Cet été normalement

C'est beau Maître Kaio

j'aime bcp lisbonne :)
Maitre Kaio Il y a 11 ans

j'aime bcp lisbonne

Et ta poésie ? Et ta poésie ? Elle est passée où l'ami ? Dans les campagnes, Sous les orties ? Tu l'as perdu Quand t'es parti... Et ta poésie ? Que tu déversais A longueur de journée, A la mémoire des oubliés Pour éclairer un peu le sombre, Pour égayer un peu les tombes. Et ta poésie ? Dénonciatrice et provocatrice Tellement hachée par les sévices De la boisson et de tes vis Elle s’est tirée avec ton blé Elle t’a couché un soir d’été. Et ta poésie ? Tu crois qu’elle reviendra A travers elle, à travers toi ? Reviens, ici tout s’évanouie Les fleurs ne sont plus si jolies La terre a encore besoin de poésie. Et ta poésie ? Elle manque tant Par tous les temps Dans tous les bars Elle est nulle part Alors reviens-nous voir. 19/11/12
jej33 Il y a 11 ans

Et ta poésie ?

Et ta poésie ?
Elle est passée où l'ami ?
Dans les campagnes,
Sous les orties ?
Tu l'as perdu
Quand t'es parti...

Et ta poésie ?
Que tu déversais
A longueur de journée,
A la mémoire des oubliés
Pour éclairer un peu le sombre,
Pour égayer un peu les tombes.

Et ta poésie ?
Dénonciatrice et provocatrice
Tellement hachée par les sévices
De la boisson et de tes vis
Elle s’est tirée avec ton blé
Elle t’a couché un soir d’été.

Et ta poésie ?
Tu crois qu’elle reviendra
A travers elle, à travers toi ?
Reviens, ici tout s’évanouie
Les fleurs ne sont plus si jolies
La terre a encore besoin de poésie.

Et ta poésie ?
Elle manque tant
Par tous les temps
Dans tous les bars
Elle est nulle part
Alors reviens-nous voir.

19/11/12


A toi mon journal, Les étoiles surplombent le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur. Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps... J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile. J'ai le cafard. Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort. Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion. Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait.... Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.
itchi Il y a 11 ans

A toi mon journal,
Les étoiles surplombent le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....

Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.

[quote="itchi"]A toi mon journal, Les étoiles surplombes le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur. Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps... J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile. J'ai le cafard. Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort. Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion. Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait.... Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue. [/quote] Bah non faut pas dire ça. Il est vrai qu'on est nombreux ici à ne pas trop trainer sur saez.mu mais les gens sont les bienvenus sur SL... Et si ça peut te consoler moi aussi j'ai un problème avec le temps et le voir défiler me donne le cafard régulièrement... Ecrire, dans ces moments-là, ça peut apaiser toutes ces angoisses récurrentes. Il faut pas hésiter.
jej33 Il y a 11 ans

A toi mon journal,
Les étoiles surplombes le ciel, j'ai le coeur à vif, la déception qui remplis mon coeur.
Avant il y'avait un endroit où je pouvais me libérer de tout mes songes, hélas , il fut un temps...
J'ai peur , effrayer par l'avenir, le temps qui défile.
J'ai le cafard.
Il est 2h12. Saez.mu aurait été mon journal ce soir, mon réconfort.
Alors je suis venue là , vous montrez ce que représentait pour nous ce forum dont vous vous moquez tant. C'était pour moi , depuis plus d'un an , une évasion.
Et le soir quand t'as le coeur qui lâche, l'Esprit atteint par les merdes du jour, on mettait des mots sur nos fantômes, on se libérait....

Alors , voilà quelques mots. Je n'ose pas en écrire plus ici, je sais comme cela n'est pas le bienvenue.


Bah non faut pas dire ça. Il est vrai qu'on est nombreux ici à ne pas trop trainer sur saez.mu mais les gens sont les bienvenus sur SL...

Et si ça peut te consoler moi aussi j'ai un problème avec le temps et le voir défiler me donne le cafard régulièrement... Ecrire, dans ces moments-là, ça peut apaiser toutes ces angoisses récurrentes. Il faut pas hésiter.