on critique po les blogs (  :bigsmile: )<br /><br />cela dit c'est plutot vrai neotesco, <br />un peu banal et trop plein de fautes pour en apprécier la teneur...<br /><br /><br /><br />(j'aime pas être critiqueuse, mais comme tu as demandé mon avis)  :amazing:

tu as raison atala c'est très banal et bourrée de faute je suis d'accord avec toutes les critiques car elles font avancer les choses que j'écris maintenant serais plutôt du rap et je sais pas si ça pourrais passer ici car cela parle de ma vie et de politique car elle est liée à ma vie depuis que je suis née on peut dire, parenyhèse finie revenont aux poèmes

[quote author=neotesco link=topic=1578.msg94724#msg94724 date=1232567259]<br />tu as raison atala c'est très banal et bourrée de faute je suis d'accord avec toutes les critiques car elles font avancer les choses que j'écris maintenant serais plutôt du rap et je sais pas si ça pourrais passer ici car cela parle de ma vie et de politique car elle est liée à ma vie depuis que je suis née on peut dire, parenyhèse finie revenont aux poèmes<br />[/quote]<br /><br />Le Rap est un genre musical , qu'on peut interpréter comme "rhythm and poetry" ou "rock against police" et puis hein le rap n'est ni une récitation ni du chant (sinon il te suffit de slammer tel un LKJ ... mais pour ça il faut un minimum de talent). Et puis j'aime pas qu'on raconte des conneries "j'écris du rap" ...Et puis quoi d'autres ? Moi je chante du Dub  :badegg: !

[quote author=neotesco link=topic=1578.msg94724#msg94724 date=1232567259]je sais pas si ça pourrais passer ici car cela parle de ma vie et de politique car elle est liée à ma vie depuis que je suis née on peut dire, parenyhèse finie revenont aux poèmes<br />[/quote]<br />genre ca nous choquerait?  :haha:

un signe, une étincelle, un battement de cil...<br />

tchaka je comprends pas ta remarque que je trouve complètement débile quand tu dis c'est des conneries j'écris du rap le rap est une forme d'écriture non et pourquoi tu parles de dub ça n'as aucun rapport et d'ailleurs certains rappeurs sont de véritable poète désolé donc là je comprends pas du tout ta remarque et maitre kaio non je n'ais pas peur de choquer mais je dit des choses que je n'ais pas envie de dévoiler de ma vie même si je l'ai déjà fait pas mal c'est tout.<br />tshaka c'est comme quand tu me parle de rimbaud qui était un génie, je n'aurais jamais la prétention de me comparer à ce genre de personne donc cette remarque est aussie complètement con mais bon.

[quote author=neotesco link=topic=1578.msg94775#msg94775 date=1232582590]<br />tchaka je comprends pas ta remarque que je trouve complètement débile quand tu dis c'est des conneries j'écris du rap le rap est une forme d'écriture non et pourquoi tu parles de dub ça n'as aucun rapport et d'ailleurs certains rappeurs sont de véritable poète désolé donc là je comprends pas du tout ta remarque et maitre kaio non je n'ais pas peur de choquer mais je dit des choses que je n'ais pas envie de dévoiler de ma vie même si je l'ai déjà fait pas mal c'est tout.<br />tshaka c'est comme quand tu me parle de rimbaud qui était un génie, je n'aurais jamais la prétention de me comparer à ce genre de personne donc cette remarque est aussie complètement con mais bon.<br />[/quote]<br /><br />T'es mon dieu  :superman:<br /><br />ps : Stp c'est Tshaka ... j'aime pas qu'on écorche ce mot !

La grande question est pk tu mets un -e à aussi (comme à merci d'ailleurs)<br />mais sinon on pourra remarquer l'effort d'orthographe mdr <br /><br />Ce que veux te faire remarquer Fanfan (ou pas) c'est que t'as pas besoin de rap pour étaler ta vie et la politique, tu le fais assez sur le fofo.<br /><br />Et sinon, Shu t'es où ? :victory:

J'suis là. :victory:

la récré est terminé les loulous ! et on s'remet a nous écrire de bien jolis poemes. Merci

Un petit texte bien joyeux.<br /><br />Ce jour<br /><br />Ce jour.<br />Un ciel gris cache la ville.<br />La brise semble morte.<br />Je ne crois plus en l'amour.<br />Ou plutôt j'essaie<br />de faire en sorte.<br />Je hais cette naïveté,<br />cet optimisme concentré<br />qui survit en moi.<br />Du cynisme, de la solitude,<br />ne suffise pas à son trépas.<br />Pourtant je me sens livide.<br />Tellement sec et aride.<br />En manque d'irrigation<br />en jachère, à l'abandon.<br />J'ai la gaieté d'un entrepôt vide.<br />Déserté d'intérêt.<br />J'ai plus rien dans le bide.<br />Mon stylo est cassé.<br />Ce jour.<br />Celui du bilan.<br />Les jours passent vite<br />quand on fuit le présent...<br />

jolie, je me lance un défit d'écrire un truc potable d'ici là semaine prochaine, enfin je vais essyer

je jette ces mots sur le trottoir<br />d'une petite rue sans histoire<br /><br />j'use mes coudes sur des comptoirs<br />où je remplis mes idée noires<br />vidant ainsi de bar en bar<br />ma maigre bourse de smicard<br /><br />je jette ces mots sur le trottoir<br />d'une petite rue sans clochard<br /><br />et je n'en finis plus de boire<br />tant que je garde la mémoire<br />je densifie le brouillard<br />tant que je peux encore t'y voir<br /><br />je jette ces mots sur le trottoir<br />d'une petite rue sans histoire<br /><br />j'pisse à coté de l'urinoir<br />en me r'gardant dans un mirroir<br />qui me renvoie sans trop y croire<br />mon sourire surjoué de soulard<br /><br />je jette ces mots sur le trottoir<br />d'une petite rue sans clochard<br /><br />je finis par trouver dortoir<br />au pied d'un lampadaire blafard<br />où je vomis tout mon pinard<br />aux pieds de mon désespoir<br /><br />je jette ces mots sur le trottoir<br />d'une petite rue sans histoire<br />

T'es jolie ce matin, tu souris plus que moi, tu fais semblant du moins, tu te sens sale je crois. Tu sauves les apparences mais putain c'que t'aimes ça, même si tu n'diras rien, t'as trop honte de toi. Honte de nos marques de liens gravés sur tes poignets, de ton cou entre mes mains quand tu me supplie de serrer. <br /><br />Quelques mouvements de hanches, quelques larmes salées, un peu de poudre blanche, laisse toi faire ma beauté. <br />J'ferais semblant comme toi, les autres n'en sauront rien, je jouerais au même jeu que toi, partirais sur un signe de main. <br /><br />Je te saignerais dans l'ombre, faut que tu sois patiente, t'es si morte le jour et moi j'te veux vivante. Te cracher dans la gorge de mes mots interdits, trouver tes failles ma beauté et voir comment tu jouis. Nourrir ton corps usé, manipuler ta chair, quand ça te brûle poupée t'as l'âme qui s'fout en l'air. <br /><br />C'que j'aime c'est t’entendre crier, hurler mon prénom, suffoquer contre moi, me demander pardon, et te voir à mes pieds, rougir entre mes mains, à m’aimer malgré les larmes, à te tordre malgré les liens. J'préfère te sentir vivante à vibrer sous mes coups, que te sentir muette, absente, moi j’te trouve belle quand t’es à bout. J’aime ton corps poussiéreux, inutilisé, presque inutilisable, quel gâchis de t’avoir fendu en deux et d’avoir sectionné tes câbles. Ça nous rapproche un peu trop, d’entrer en collision, tu sais si j’serre trop fort c’est pour avoir toute l’attention. Et puis je sais qu’ça brûle là sous la peau, ça dévore les entrailles, alors moi j’te mutile par d’ssus la chair juste pour m’sentir de taille. C’est juste des mots d’amour qui laissent pas mal de traces, c’est juste qu’à te souiller j’te sens un peu à moi, et tu peux être certaine et ce quoi qu’il se passe que j’le verrais dans tes yeux si jamais tu veux pas.

texte bien noir j'adore!!!! :redheart:<br />

Maitre Kaïo j'aime beaucoup les 4 premières strophes, la fin m'a déçu, désolé

[quote author=alexsaez100 link=topic=1578.msg95378#msg95378 date=1232746715]<br />Maitre Kaïo j'aime beaucoup les 4 premières strophes, la fin m'a déçu, désolé<br />[/quote]<br />y a pas à être désolé!

l'impression que jamais<br />je n'la rencontrerais<br />l'impression que toujours<br />je passerais mon tour<br />l'impression qu'aujourd'hui<br />tout est déjà fini<br />l'impression que demain<br />ne me mènera à rien<br />car hier j'ai grillé<br />ma chance de la trouver

Ne servir plus à rien,<br />Que se morfondre et rien foutre,<br />A stagner dans la nuit des temps,<br />Ee puis rien, plus rien,<br /><br />Repenser à notre commun passé,<br />Pour mieux planer mais stagner,<br />Se crever, s'en aller, mais rien<br />C'est la fin bel amour, la fin

Ré mineur,<br />sourire en coin,<br />do majeur,<br />regard coquin,<br />qui m'effleure,<br />provacateur.<br /><br />Si septième,<br />ciel il y a,<br />son baptême,<br />c'est dans tes bras,<br />quand l'envie,<br />brute, nous unie.<br /><br />Mi bémol,<br />c'est pas mon cas,<br />je t'immole,<br />du feu en moi,<br />mise au sol,<br />prête à l'envol.<br /><br />Ta pudeur,<br />en jeu majeur,<br />qui s'étiole,<br />tes reins s'affolent,<br />à genoux,<br />sur les cailloux.

Je me souviens ici, des cendres sur le lit, ta petite mine d’indécise, je ne peux plus bouger je crois que je m’enlise. Je me rappelle maintenant, tes « montre moi comment », les épluchures de caractère, la mise en scène ça se défend. On a tout envoyé voler, quelque chose à quoi se raccrocher, ton pull qui te cache à moitié, c’est pas qu’on dure, c’est ça l’éternité. Je me souviens ici, la prise de risque, la symphonie, je me rappelle de ça, l’aventure dans mes bras et tes palpitations. C’est de l’intime je crois, de l’ordre du privé, ton humeur oscillante, je t’ai vu arracher la tête de chacune de tes poupées. Je me rappelle d’en bas, l’amour dans l’escalier, comme on fonçait dans le tas, heurter les portes verrouillées. Je me souviens d’ici, ta place à mes cotés, tes sourires en silence, t’as beau dire non, aller j’me lance. Je crois que j’aime ton appétit, l’absence de doute entre tes reins, fumer ma clope dans ton lit, que tu pollues mon air de ton si doux parfum. C’était pas tout je crois, on a incendié le pays, on était jeune c’est ça, on avait peur du manque de fantaisie. Ils disent que j’ai jamais aimé, tout ça c’est qu’des conneries, et quand je dis que jamais plus j’le referais, tout ça aussi c’est des conneries. J’trouvais l’époque un peu moisie, et le calme un peu trop pesant, viens on se chamaille dans le lit, aller montre moi comment tu te défends. J’sais bien qu’j’ai souvent l’air d’un con, qu’j’suis pas très doué pour les romances, mais je veux pas y aller à reculons, j’veux pas mourir d’incompétence. J’sais pas pourquoi tu es partie, la peur d’aimer ça ne colle pas, j’en sais pas plus aujourd’hui, j’ai juste appris à n’plus penser à tout ça.

le vent des adieux.<br />c'est droit dans le yeux.<br /><br />sinon c'est... trop facile.<br />bien trop puéril.<br /><br />sans fierté... à se soucier.<br />même plus l'amitié.<br />tout effacer. pour simplifier.<br /><br />le vent des adieux.<br />sait se montrer odieux.<br /><br />

la vie était belle<br />avant que l'hirondelle<br />perdent ces ailes<br />pour foncer dans les tourelles<br />les tours ce sont effondrées<br />et tous le monde étaient devant ça télé<br />à regarder le malheur ce passé<br />surtout le mensonge d'une amérique <br />qui les as laissée leurs faire la nique<br />god blesse america incha'la<br />

[quote author=neotesco link=topic=1578.msg96594#msg96594 date=1233531825]<br />...<br />surtout le mensonge d'une amérique <br />qui les as laissée leurs faire la nique<br />...<br /><br />[/quote]<br /><br />Et vint le couplet (?) qui fend et broie déjà ce qui était en morceaux ...<br /><br />Des critiques ... Non juste deux mots : Irriter et Agacer.

Abandonné.<br />La chance m'a laissé tomber.<br />J'ai pas su saisir sa main.<br />Elle s'éloigne là-bas, au loin.<br />Tête à tête avec le chômage,<br />cet océan social qui me noie,<br />pas de canots de sauvetages,<br />chacun pour soit, mais pas pour moi.<br />Je me lève le matin,<br />sans trop savoir pourquoi.<br />Un silence chaque jour plus malsain.<br />Ça me détruit, ce combat.<br />Je me sens désarmé,<br />un soldat totalement encerclé.<br />Sans issue, sans aucune chance,<br />d'échapper à la violence,<br />aux tortures, à la mort.<br />Chaque seconde, des remords.<br />Qui s'amplifient, se multiplient,<br />c'est un virus, une épidémie.<br />C'est un sentiment de gâchis,<br />l'impression de laisser filer sa vie.<br />Rien ne tient dans mes mains,<br />je rêvais d'autre chose étant gamin.<br />Mais j'avais toujours peur de devenir<br />celui que je suis aujourd'hui.<br />C'est pour ça que je ne souris pas.<br />Que je me dérobe quand on vient vers moi.<br />Parce que je déteste ce que je suis.<br />Ce que je donne comme image.<br />Celle banale, mais pas moins cruelle,<br />d'un jeune au chômage<br />d'une âme à la poubelle...<br /><br />(écrit pendant une période de chômage, vous l'aurez compris --° )

Un soleil pâle fait briller<br />des millions de perles de gelé<br />toute la blancheur des champs<br />pour faire scintiller le temps<br />un jour se lève malgré lui<br />glisse lentement hors de son lit<br />posant ses rayons infinis<br />sur la terre encore endormie<br />il chasse timidement la nuit<br />comme s'il redoutait l'ennui<br />de l'ordinaire d'un quotidien<br />d'une nature sur son déclin<br />ou l'homme attend sans réagir<br />les mauvaises nouvelles à venir

[quote author=Odzef link=topic=1578.msg96681#msg96681 date=1233605328]<br />Abandonné.<br />La chance m'a laissé tomber.<br />J'ai pas su saisir sa main.<br />Elle s'éloigne là-bas, au loin.<br />Tête à tête avec le chômage,<br />cet océan social qui me noie,<br />pas de canots de sauvetages,<br />chacun pour soit, mais pas pour moi.<br />Je me lève le matin,<br />sans trop savoir pourquoi.<br />Un silence chaque jour plus malsain.<br />Ça me détruit, ce combat.<br />Je me sens désarmé,<br />un soldat totalement encerclé.<br />Sans issue, sans aucune chance,<br />d'échapper à la violence,<br />aux tortures, à la mort.<br />Chaque seconde, des remords.<br />Qui s'amplifient, se multiplient,<br />c'est un virus, une épidémie.<br />C'est un sentiment de gâchis,<br />l'impression de laisser filer sa vie.<br />Rien ne tient dans mes mains,<br />je rêvais d'autre chose étant gamin.<br />Mais j'avais toujours peur de devenir<br />celui que je suis aujourd'hui.<br />C'est pour ça que je ne souris pas.<br />Que je me dérobe quand on vient vers moi.<br />Parce que je déteste ce que je suis.<br />Ce que je donne comme image.<br />Celle banale, mais pas moins cruelle,<br />d'un jeune au chômage<br />d'une âme à la poubelle...<br /><br />(écrit pendant une période de chômage, vous l'aurez compris --° )<br />[/quote]<br /><br />bravo, j'adore vraiment

Comme un rappel à l’orde<br />un ordre de rappel...<br />... à la terre.<br />quand tombe et tombe tout autour<br />un rappel que la vie...<br />c’est la mort aussi.

Bientôt un quart de siècle au compteur de ma vie.<br />Bientôt un quart de siècle que je cherche où je suis.<br />Le ciel bleu reste bien le même depuis tant d'années.<br />Pourquoi nous, sommes nous condamnés à changer ?<br />Bienttôt un quart de jour, consumé à jamais.<br />Bientôt un quart de piste, et je ne suis pas premier.<br />Et la foule crie, mais ce n'est pas mon nom,<br />un instant d'agonie, une nouvelle fois, trop long.<br />Bientôt un quart de nuit que j'ère dans le doute.<br />Bientôt un quart de sombre, que l'aube, je redoute.<br />Et les étoiles brillent, mais je ne les vois plus.<br />J'ai passé l'âge de rêver à des mondes inconnus...

[quote author=Odzef link=topic=1578.msg97373#msg97373 date=1234043372]<br />Bientôt un quart de siècle au compteur de ma vie.<br />Bientôt un quart de siècle que je cherche où je suis.<br />Le ciel bleu reste bien le même depuis tant d'années.<br />Pourquoi nous, sommes nous condamnés à changer ?<br />Bienttôt un quart de jour, consumé à jamais.<br />Bientôt un quart de piste, et je ne suis pas premier.<br />Et la foule crie, mais ce n'est pas mon nom,<br />un instant d'agonie, une nouvelle fois, trop long.<br />Bientôt un quart de nuit que j'ère dans le doute.<br />Bientôt un quart de sombre, que l'aube, je redoute.<br />Et les étoiles brillent, mais je ne les vois plus.<br />J'ai passé l'âge de rêver à des mondes inconnus...<br />[/quote]<br />comment dire... ca me parle bcp... et c'est bien écrit.