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C est l occasion pour moi sans pretention aucune de partager l amour des mots que cela soit les votres ou les miens ... Qu importe pourvu qu ils dansent aussi bien que son tango du moins qu ils soient aussi libres . À vos plumes !
Les ports titubent et les marins s amarrent aux encres des sirenesde ces bouteilles si saouls vents et marees sont les seules promesses des filles qu on dit si gaies mais qui noyent de leurs peines les quais où l on guette cette indicible quete et profond l océan ce coeur que je scrute avec l impatience d un amour adolescent et pour horizon tes mains...
pourrait on par la même en profiter pour partager un peu de notre chère ponctuation? de ci de là une virgule, un apostrophe à point nommé, et mieux encore une majuscule.
Pourquoi pas , on peut penser aussi que le lecteur puisse mettre sa propre ponctuation , laissant place a une interprétation différente.
Mais a l ' avenir je m ' y préoccuperai.
Au chant du coq,
au fil de l ' eau,
l ' alarme choque
et sonne ma peau.
Au vent qui soupire,
aux pluies de nos amours,
s ' effeuille la cire
et tonne le jour.
Au prix des passions,
aux fruits des conquêtes,
surgissent les lions
et clament la tempête .
Aux falaises cyniques,
a la paix des collines,
les mains s ' imbriquent
et les marées s ' inclinent.
Au chant du coq,
au fil de l ' eau,
l ' oubli déraisonne
et le souffle suffoque,
au bout des os
s ' ironisent et fusionnent.
Aux corbeaux balayant la route,
c ' est l ' homme face à ses doutes.
C ' est le triste,
c ' est le flamboyant,
aux rouges sur la piste,
aux noirs tremblants .
La boucle,l ' infini...
Comme une pensée à l ' albatros,
a ce navire fou
d ' ivresse,ébloui.
À ta cage , à ma fausse
Commune à tous ces trous...
À la lueur entrevue,
a ta pupille que j ' ai cru.
[quote="Pelican bleu"]Pourquoi pas , on peut penser aussi que le lecteur puisse mettre sa propre ponctuation , laissant place a une interprétation différente. [/quote]tant qu'à faire, poste des poèmes vides, comme ça le lecteur, il met les mots qu'il veut dedans \o/
Pourquoi pas , on peut penser aussi que le lecteur puisse mettre sa propre ponctuation , laissant place a une interprétation différente.tant qu'à faire, poste des poèmes vides, comme ça le lecteur, il met les mots qu'il veut dedans \o/
[quote="Maitre Kaio"]pourrait on par la même en profiter pour partager un peu de notre chère ponctuation? de ci de là une virgule, un apostrophe à point nommé, et mieux encore une majuscule.[/quote]J'avais pas envie de lui dire.
pourrait on par la même en profiter pour partager un peu de notre chère ponctuation? de ci de là une virgule, un apostrophe à point nommé, et mieux encore une majuscule.J'avais pas envie de lui dire.
[quote="Maitre Kaio"][quote="Pelican bleu"]Pourquoi pas , on peut penser aussi que le lecteur puisse mettre sa propre ponctuation , laissant place a une interprétation différente. [/quote]tant qu'à faire, poste des poèmes vides, comme ça le lecteur, il met les mots qu'il veut dedans \o/[/quote]:D
Pourquoi pas , on peut penser aussi que le lecteur puisse mettre sa propre ponctuation , laissant place a une interprétation différente.tant qu'à faire, poste des poèmes vides, comme ça le lecteur, il met les mots qu'il veut dedans \o/
Effectivement la révolution serait là mettre de la poésie dans du vide,y a du boulot...
Et tombe la haine
et tombe l 'averse
a la vieille Seine,
le vide la perce
de son cri assassin,
toujours perdu dans la brume.
Entre ses ponts,prise à l ' écrin
d un port noyé aux bitumes.
Et coule la peur
et coule l ' absence,
a la pauvre douleur
se deverse à chaque sens
À l écho de son silence
qui bourdonne à l ' oreille.
Pour seule secret l ' ignorance,
de cette lumière l ' abandon n ' a pas son pareil.
Que tombe l ' averse à la Seine,
que coule l ' absence à la douleur,
que tombe le vide à la haine,
que coule le sens de la peur.
S ' incline le ciel
aux rives de mon ennui.
Dérive le vent,
des tourterelles,
et s ' envolent les éblouis
pour se poser à perte de sang...
Je me suis réveillé ce matin, ma sale gueule dans le miroir ou plutôt ma tête de con, le reflet est insupportable et d ' après eux,on est tous des cons !
On se refugie derrière des sondages,des connards de journalistes qui nous agressent à coups de poignards dans la face, et qui nous éduquent dit on.Il doit y avoir autre chose...
Que notre ignorance ou les saloperies qu' on veut nous faire gober et de nos inconsciences...
Pas de drapeau qui flotte juste des esprits perdus, c ' est la qu ' on s est perdu au coeur.Que des ames perdues, nous nous sommes perdus dans nos prétentions d ' être bien plus que nous même, bien plus que dieu...
Aujourd'hui , je suis un con comme tout le monde et la haine ne fait que commencer, car le reflet dans le miroir ne semble pas bien beau....
Aux girophares pleurent ton ame,
c ' est la plume qui hurle
et personne ne t'entend.
Est ce ton encre ton arme ?
Ou le cri qui s'etend...
Je ne possède rien à celui qui te vend.
Mais s' élève à chaque pic l humeur du vent,
puisque c ' est à cela que l ' on prie,
il n ' y a rien de plus grand.
En nos coeurs dévastés
qui ne comprennent cette douleur,
je me raccroche à toi mon éternité,
À vous mes immensités. .
Et si la plume était le remède à la violence,
que mon ignorance soit écrite,
je serai en paix.
Laisse parler les baveux et continue de mettre à sac la ponctuation, ils ne voient pas le silence, les eructeurs de salives, qui, entre les mots, permet la liberté que tu leur offre.
Salut à toi l'oiseau n'écoutes pas ceux qui se pensent en marge et qui lui rendent faussement hommage
Belle envolée à toi
[quote="Churinga"]Laisse parler les baveux et continue de mettre à sac la ponctuation, ils ne voient pas le silence, les eructeurs de salives, qui, entre les mots, permet la liberté que tu leur offre.
Salut à toi l'oiseau n'écoutes pas ceux qui se pensent en marge et qui lui rendent faussement hommage
[/quote]:)
Laisse parler les baveux et continue de mettre à sac la ponctuation, ils ne voient pas le silence, les eructeurs de salives, qui, entre les mots, permet la liberté que tu leur offre.
Salut à toi l'oiseau n'écoutes pas ceux qui se pensent en marge et qui lui rendent faussement hommage
De tes postures...
de tes allures...
la brume au loin,
un chemin
Je me déteste,
pas de miroir
auquel je me reflète,
tellement dérisoire.
Quand mon amour,
toi l ' espoir de mes jours,
toi , pour qui je brûle. ..
moi qui recule...
Quand je me vomis
d'être a ce point pourris,
pourris à ses aléas,
aux habitudes,aux fracas...
Oui je vomis,
je déteste, je pourris,
je crame mon utopie
a chaque oubli.
Le temps passe,
voilà mon ironie,
combattant...lâche.
Il file le rasoir,j'oublie.
L' argent, toujours lui,
m' angoisse,voilà le cash.
Voici la mort,mon ame crache,
ma chaire encaisse, c' est bien fini
Moi ,encore moi,
mes belles phrases
donneuses de leçon,
qui rêvent à quoi ?
La poésie, c 'est sage
et toi ton ventre rond.
Je m' acharne à vouloir
etre un autre ce soir,
un autre par devoir,
de mes amours
qui m'impatiente,
du gris du couloir
et des cris à l 'amour,
des rêves qui me hantent.
Des lettres brûlent ,
le papier,un brasier
et consume mon agonie
de cette encre qui balbutie.
Je te rêve à mon bras.
Si fort, si grand,
tu en ferais des croix
et coule mon sang.
À ta lumière
de mes jours.
À ta lueur
de mes nuits...
J'en suis si fier
de tes contours,
s'éveille mon coeur
epanoui.
Au crépuscule ,
c'est l'horreur de mon être ,
qui capitule,
a ton existence peut être ,
sur à nos couchants,
certains a nos levants.
C'est la grâce à vos yeux,
de ma lassitude qui plie.
Plus que jamais nos feux,
je te clame,je vous prie,
mes tendresses,
j'en confesse.
Les larmes,les perles,des cieux...
A vos côtés je veux devenir vieux.
Même si de ce monde,
je ne connais rien,
que cet immonde
je n 'en ferai rien.
À vos couleurs,à vos baisers,
j'irai soigner mes ardeurs effrénées.
De ces vers declames,
de ces poésies éclatées
a mes mains qui courent
a vos pas,vos empreintes,
comme des printemps,
comme vos étreintes,
qui a l 'aube se levent un peu plus vivant.
De ces siècles,de ces aubes,
de ces pénombres, de ces crépuscules,
de ces ruisseaux où l ' on s' éveille
a l ondée de nos mémoires et sa robe,
toujours surgit comme funambule,
au port de rochers etrainant les rives vieilles.
Mes yeux n' ont vus
l'ecrin se jouant de mes sens
assourdis,épuisés d'etre le médiocre
parmis l 'absolu.
Clarté de ces vers qui me lance,
y courir puis effleurer le sacré ocre.
Au cri qu 'on lache,qu'on noye au vin,
qui s achève quand on meurt du prix du pain.
Et coulant à la joue de la marée qui passe,
c 'est l oiseau mazoute qui se fracasse,
c 'est le vent qui s' engouffre, qui s'étouffe ,
de ces siecles,de ces aubes que l'on soufflent.
Je contemple ton visage,
ma foudre,mon orage,
la tempête au clairon
Résonne ton nom,
cathedrale de mes nuits.
Que chante les cantiques de la folie,
aux ardeurs du désir.
Tu brilles,brulant,consumant
les cendres,paresses de la chair.
Mon corps te crie les promesses échouées,
a ton phare meurtrie et perle les pleurantes.
De tes profondeurs édifiantes
les rochers se plantent
a la marée menaçante,
Ils se gorgent de plaisir
de son écume, de ses soupirs.
Je contemple ton rivage,
ton océan incandescent.
À ta houle je me languis lentement.
En ces reves,je songe à la fièvre
du baiser croisant le feu de tes levres,
les passions ivres de nos âmes chahutées
par des vagues d'amour aux bouteilles jetées.
Les embruns parfumés du gout de tes caresses,
embrasant aux cimes la sève de mes sens en liesses .
Matins d'été à la lueur de janvier,
partir à ta conquête, comme impossible au poète.
Bonjour rayon ouvrant mes horizons,
soupcon d'éternité scellant l'ivresse des baisers.
Éphémères, secrètes, se posent à la fenêtre. ..
Je t 'en dirai des façons, des canons...
d 'en donner des trajectoires s'inclinant
aux coups d'infini,à ces bouts de poésies.
Metal dans la poche qui s'injecte aux bras...
Ah ça pour nous sussurer l 'illuminant...
des gouts de paradis,des drogues,des ironies.
Ce n' est pas une flèche que tu décoches, c'est l absence de tes pas.
Cendrier froid,poussières des torturés.
Cendres au bout des doigts à peine échappées.
Phalanges éteintes improvisant des pointes,
ne reste que complainte à ma danseuse,
a ton hiver balayant tes peines,à tes trottoirs.
Feux de misères, pupilles qui suintent. ..
consumeront nos larmes houleuses,
dans l'oubli du bleu des espoirs,
d'un océan de sourires qui prolifère,
qui toujours désarme et étouffe le lierre.
Je vous en fais voeux de souvenirs.
En novembre j 'irai t'élire et te dire...
puis me lire...ne cesse ta brume,
d 'en dresser des aveux de pluies,
des tendresses à ton grain qui soupire,
a la beauté de ta finesse que j'hume,
ta peau,des gouttes de festin que je prie...
Ma plume encore se perd en chemin pour finir.
Traçant, toujours soleil à tes pieds...parfums d'élixir,
je m 'élèverai, au citoyen,toi le pire,
a son coeur écartelé, entre port et ocean...
les urnes sont à gerber comme chahuté aux vents.
En ta source ton ventre est à s 'émerveiller,
comme un ciel au levant et ton corps au coucher.
Et se couche l'herbe sèche. ..aux songes.
Et se couchent les brins de bles qui rongent...
C'est le rouge d'une fin d'été, à vif,éclipsée.
Et les feuilles sont tombées à l'aube d'un je t'aime,
comme au crépuscule, se languissent les poèmes .
Et la neige s'est posée sur les ponts si longs,
Manteau pour toi mon été, l'oubli des profonds...
Ma quête est là, et ils crèvent toujours ici bas.
En sursis du ble qui corrompt,qui compte,
la rouille bouffera le métal toujours plus prompte.
Rien ne vaut la foi,bientot les enfers ? ...
Des cathédrales puis des fourmilières. ..
Des aurores boreales aux bateaux chavirant,
des poésies mouillant le coeur infiniment,
des infinis ouvrant l'ame des univers,
de la vie qui ne meurt plus aux cimetières.
Aux tambours qui planent aux devants des mers,
aux airs de palpitants qui bouleversent nos printemps.
Bien sur les feux de l'océan s'abbattront à tes phares,
crépiteront aux yeux du temps de son teint blafard.
Bien sur...l'écume aux paupières et l'oubli,
surgiront à chaque peine...Pierre...le cri !
À tes lunes,à tes prières. ..encore ensanglantées.
À mes océans, à mes hivers tu valses mélancolie.
Et mes matins d'été. ..parfums glorieux de nos mémoires,
plongent mes éternités aux vagues...les marées.
Mes intimités,mes éphémères écloront de poésie,
d'une main de sanglots,lumière au fil du miroir...
Je me demande si je suis nécessaire, si nous sommes nécessaires. .. ? Tout le temps passé ici ...à nous devoiler mais pourquoi faire ?
[quote="Pelican bleu"]Je me demande si je suis nécessaire, si nous sommes nécessaires. .. ? [b]Tout le temps passé ici ...à nous devoiler mais pourquoi faire ?[/b][/quote] grande question ça, je me la suis déjà posée. pas trouvé la réponse..
Je me demande si je suis nécessaire, si nous sommes nécessaires. .. ? Tout le temps passé ici ...à nous devoiler mais pourquoi faire ?grande question ça, je me la suis déjà posée. pas trouvé la réponse..
Se vomir pour exister à vos yeux ,à notre propre miroir... Et si seulement notre existence valait plus que le paraitre ,la poudre aux nez, rien que de la poussière ,rien que nous même.Puisque nos sueurs,nos sangs,nos textes,nos mots ne seront que cendres aux vents
Et si l'infini ,l' éternité qui nous brule les yeux,qui nous brule le coeur ,s' inscrit en nos actes. Bien sur la poésie fait renaitre nos sens , mais qui la fait naitre.Puisque nos ames ...
[quote="Pelican bleu"]Se vomir pour exister à vos yeux ,à notre propre miroir... Et si seulement notre existence valait plus que le paraitre ,la poudre aux nez, rien que de la poussière ,rien que nous même.Puisque nos sueurs,nos sangs,nos textes,nos mots ne seront que cendres aux vents[/quote]C'et vrai que des fois je me dis que SL est mon réseau social et que je m'affiche aux yeux des gens comme les jeunes de mon âge le font sur leur Facebook, Instagram et Snapchat. Mais ensuite, je me dis que ce n'est pas la même chose : eux, affiche une vie essentiellement basée sur le paraître et la pensée de ce que pense l'autre ; moi, nous, c'est un étalement d'une existence vouée (en grande partie) à l'art et ça, c'est beau.
Se vomir pour exister à vos yeux ,à notre propre miroir... Et si seulement notre existence valait plus que le paraitre ,la poudre aux nez, rien que de la poussière ,rien que nous même.Puisque nos sueurs,nos sangs,nos textes,nos mots ne seront que cendres aux ventsC'et vrai que des fois je me dis que SL est mon réseau social et que je m'affiche aux yeux des gens comme les jeunes de mon âge le font sur leur Facebook, Instagram et Snapchat. Mais ensuite, je me dis que ce n'est pas la même chose : eux, affiche une vie essentiellement basée sur le paraître et la pensée de ce que pense l'autre ; moi, nous, c'est un étalement d'une existence vouée (en grande partie) à l'art et ça, c'est beau.
Si nous sommes le peuple manifestant ,le peuple qui crie,qui hurle ,qui porte ,qui crée,alors peut on croire que nous serons...Etre ne sera plus seulement vivre ,elle sera mourir,elle sera espoir ,elle sera t' aimer,elle sera te le dire...
J'aime bien ce que tu écris, ta façon d'éffleurer les mots, de survoler en images et d'offrir du rêve.
[quote="Pelican bleu"]Je me demande si je suis nécessaire, si nous sommes nécessaires. .. ? Tout le temps passé ici ...à nous devoiler mais pourquoi faire ?[/quote]
J'ai résumer un jour tout ca dans une phrase :
Nous sommes la somme de toutes nos pensées, et nous avons pourtant tous, une unicité, à nous reconnaitre.
C'est un vaste débat, mais pour répondre encore à ta question, nous sommes tous amener à brillé, vibrer, avoir du talents, un don, pour une, voir quelques fois plusieurs "choses" bien spécifique dans notre vie.
Une chose qui nous permet d'accomplir en quelques sorte ce pour quoi nous sommes ici bas.
Ce à quoi il faut s'attarder je crois, c'est justement sur les signes du chemin qui nous accompagne toujours le long de notre vie pour aller vers ce pour quoi nous sommes "appeler".
Et lorsqu'ont comprend que nous intéragissons tous les uns avec les autres pour volontairement ou involontairement aller vers notre chemin ou aider ce que l'ont croise, vers le leur, alors il est d'une évidence qu'il est bien nécéssaire que nous soyons là, à éxpérimenter, à tenter de se reconnaitre.
Je me demande si je suis nécessaire, si nous sommes nécessaires. .. ? Tout le temps passé ici ...à nous devoiler mais pourquoi faire ?
J'ai résumer un jour tout ca dans une phrase :
Nous sommes la somme de toutes nos pensées, et nous avons pourtant tous, une unicité, à nous reconnaitre.
C'est un vaste débat, mais pour répondre encore à ta question, nous sommes tous amener à brillé, vibrer, avoir du talents, un don, pour une, voir quelques fois plusieurs "choses" bien spécifique dans notre vie.
Une chose qui nous permet d'accomplir en quelques sorte ce pour quoi nous sommes ici bas.
Ce à quoi il faut s'attarder je crois, c'est justement sur les signes du chemin qui nous accompagne toujours le long de notre vie pour aller vers ce pour quoi nous sommes "appeler".
Et lorsqu'ont comprend que nous intéragissons tous les uns avec les autres pour volontairement ou involontairement aller vers notre chemin ou aider ce que l'ont croise, vers le leur, alors il est d'une évidence qu'il est bien nécéssaire que nous soyons là, à éxpérimenter, à tenter de se reconnaitre.
L'autre
Je me décide enfin à t'écrire, toi qui me connais si bien,peut-être un peu trop,cela en devient presque inquiétant. Je ne t'ai jamais vu,d'ailleurs toi non plus,mais le monde entier le sait,je me sens si étranger quand je sens ta présence me frôler d'une pensée, je n'en obtiendrai pas plus de ta part.Je commence à me méfier, pourquoi toi,aujourd'hui tes secrets sont les miens et mes oublis...tes amours.Le silence envahit la pièce, je t entends murmurer"que cela cesse"dis tu,et rien ne bouge ,à part l'effroi qui glace ma bouche de ce constat.Il y a ton image dans le reflet de mon miroir,il y a ta peine dans mon regard qui ne s'éteint pas puisque c ' est ta force,ce n'est pas la mienne.Bien sur je te comprends,tu es là et je suis toi et je n 'en demeure pas moins...
...les regrets posthumes se gravent dans le marbre de la tombe de nos mémoires, les murs retressissent,le souffle s'écrase à la pénombre de cet enfermement suffoquant à l'abri des regards démissionnaires et impuissants.L'air une offrande rare,l'oubli des peurs s'illustre entre nos sanglots et toi tu ne dis rien.