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Ca fait genre, presque 40h que j'ai pas dormi, alors e pense qu'on peut parler d'insomnies
La vie dans son absolu
M'émerveille infinie
Elle virevolte au dessus
De mes cicatrices, et ainsi
Je profite de sa chaleur,
C'est si doux de souffrir,
Je profite de ne sa noirceur,
Sa blancheur, sa rougeur,
A l'infini.
Que j'aime respirer maintenant
Cette vie passablement fade et tellement
Plus intense que les secondes du passé.
Oui j'aime les secousses des mes pensées
M'incitant, fatalement à aimer,
Me proposant comme j'ai désiré
De me perdre dans l'incendie de tes baisers
Pour suffoquer, enfin et puis m'oublier.
Car allons, la vie est un manifeste d'une grandeur exotique, son existence à elle seul parait fantastique ! E c'est vrai, crénon, qu'elle est belle, quand miroite en elle mille et une merveilles, quand plus que belle, elle enchante et veille sur nos corps perdus d'avances.
Je me perds, je m'inonde, j'adore cette sensation ! Je disloque, j'analyse, et sans raison, je goûte à la chair putride, je me perds loin, bien loin des horizons, je suis un étranger.
J'oublie mon moi, je vis pour les 'toi', pour l'humour, l'amour et pour cela, j'adore jusqu'à l'abandon, sans vouloir quitter tout cela, et aimer, encore, juste une fois, je suis un naufragé.
Merci pour cet amour, cette passion,
Merci de me faire vivre l'abandon,
J'en perds l'esprit, je suis déraison
Mais je ne demande plus pardon
Car j'accepte enfin, oui, chaines liées,
Je souhaite quitter ce qu'on appelle liberté
Pour tes désirs, ta voix, ton corps,
Et pour que je puisse t'aimer encore.
... Bon, je retourne écrire, salut les choux <3
Hey, j'ai internet :D
Mais je n'ai toujours pas le sommeil.
S'enfonce dans mon crane ce qui epouse mon corps
La nuit, les drames, l'amour et le remord
Quand tu embrasses et enflamme
L'écorchée vide de mon âme,
Quand tu embrases fatalement,
Mes désirs infiniment,
Me voici chétif mécréant
Proclamant dans mes tourments
La beauté de ton être chéri,
Je suis juste un anéanti
Un tragique qui t'aime d'amour
Une bête t'attendant tout le jour
Et la nuit comme un damné
Pensant à ce jour où ce sont aimés
Nos vies simples emplies de désirs.
Me voici espérant me voir mourir.
Et pourtant la vie m'embrasse,
Et me voici fidèle carcasse,
Moi charogne qui admire
Ton simple et indéfinissable sourire.
Je suis un artisan,
Aimant la vie, comme un mendiant,
Je pourchasse les images de vies
Dans les êtres les plus meurtris
Puis je montre au roi ce qu'il sait déjà
Je lui apporte les restes, et à ce moment là
Il me sourit. Il me dit simplement que ma vie
N'a nul autre sens que d'accomplir ce qu'il me dit.
Je suis une charogne, une crapule sans nom
Je mélange les formes et les couleurs
Tentant autant que de raisons
De survivre à ces malheurs.
Mais j'en oublie les drames, j'en oublie la peur.
Et mon âme ne valant pas ou peu
Persiste à croire jusqu'à la dernière heure
Que l'espoir nous fera survivre à l'adieu.
Mais, que l'espoir est affreux !
C'est bien lui qui me fait tourment,
C'est bien lui qui me rend malheureux
Au delà de tout bon sentiment,
De toute noblesse et de toute pauvreté
C'est l'espoir de vouloir et d'espérer
Que naïvement mais superbement
Toutes choses guérissent sans souffrance.
Or mes mains, nos fils est nos sentiments
Ont tant brulés de larmes intenses !
Non, je ne puis pas croire
Que l'espoir me fasse voir
La vérité.
Non ! J'exècre cette pensée !
Et l'espoir ne m'apportera rien
Et seul avec mes pensées je vivrai !
Et enfin, je ne serai plus solitaire.
Et avec toi, mon amie, je comprendrai la Terre.
Bon bah ... Double poste ... Désolé les modos =/
Ma déraison,
Ma douce, ma belle sans façon,
Celle pour qui je délaisse chaque chose,
A toi pour qui je crève d'overdose
Je te dis ma douce amie que je ne regrette pas,
De cramer tout ce qui reste de moi.
Je souhaite simplement ton infiniment
Dans le tragique, le bonheur, dans le grand
De la vie.
Ô créature si belle que j'en oublie ma vie,
Toi ma charogne, ma perte, oui toi ma folie,
Je chante et je danse pour ta déraison.
Je me perds je me pends et, pardon
Si dans ma folie tu execres mon nom
Dans ce cas je ne serais rien, non rien sinon
Une folie
Vivant pour toi, de ton paraître à ton superbe,
Vivant pour ta mélancolie magnifiquement acerbe
Qui me rappelle vivement ma place de vagabond.
Et que j'aimerais t'aimer, mais à quoi bon ?
Tes griffes superbes ont déjà lacéré mon coeur,
Et je vis, simplement, pour ta vie et mon malheur.
"ma charogne" tout de même... pauvre fille, tu y vas fort! :)
Mais nan lol. Le pauvre fille était pour la charogne, solidarité féminine... ^^Des bises Musa.
Les jours saints sont d'une rareté,
Ces moments simples qui me font penser
Qu'un jour j'ai pu, et j'ai su aimer
Aussi simplement que les oiseaux savent chanter.
La beauté du monde surplombe ces instants,
Je suis dans la vie, dans le beau, dans le moment
Quand je m'égare à aimer ce qui fait vivre la vie,
Et pourtant jamais, face à eux, je me sens épanouie.
La dureté du temps ne s'absente quand on grandit.
J'ai beau revenir au moins dans mes souvenirs
Sur un univers infini en un éternel de mouvement,
Je finis toujours par oublier son sourire,
A ma mère.
Elle tendre maman, et moi dans ses tourments,
Je me souviens de son parfum quand elle me bordait.
Se souvient-elle comme, à tout instant, je l'aimais,
Dans le moindre câlin, que j'aimais infiniment ?
J'ai su survivre, et vivre après ce passé de terreur,
J'ai pu goûter par plusieurs fois, ce qu'on appelle bonheur
Quand quelqu'un nous sourit, quand cet autre nous fait vivre la vie.
Mais de vivre j'en ai perdu le sentiment, quand leurs trahisons m'ont meurtris.
Je ne peux, aujourd'hui, croire en l'autre qui m'a tant fait misère,
Aujourd'hui encore, tous ces instants sont ouverts.
Mais je ne veux pas croire en la vie ainsi.
Elle m'a fait femme, elle m'a fait ce que je suis.
Et je me sens bien, je me sens complètement moi
Si seulement quelqu'un comprenait mon émoi.
La vie a endurcit mes veines,
Et qu'importe l'horreur ou la peine
Qu'on tente d'insuffler à ma vie,
Je reste forte, et à leur bêtise je souris.
Je reste moi, je reste infinie,
Comme infinie est la beauté,
Du soleil, de la vie, de ceux qui savent aimer.
Je vois le soleil, je vois son envie,
Jamais je ne pense le faire souffrir.
Alors j'imagine son fabuleux sourire
Qui me fait vivre bien. Oui, je suis bien
Quand j'ouvre les yeux, au petit matin,
Quand je me perds dans mes pensées
M'imaginant tout ce que le bien
De chacun pourrait finalement apporter.
Je me sens bien quand la vie ose aimer,
Et j'ose aimer quand la vie s'en vient
A aimer.
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Ce n'est pas, ce n'est plus moi. Ce texte parle de quelqu'un d'autre et j'ai le palpitant arraché des entrailles pour me voir affublé de tels sentiments. Je reste une charogne sans trop peu de vies, je reste cette bestiole qui vous voit, vous, en belle vie. Je resterai cette vilaine, celle qui fera Fi, et ne pourra vivre quand lui sourit la vie.
Oui, je reste l'immonde chose
Qui s'enivre de proses,
Batifolant sous la lune,
Vide d'espoir et de rancunes,
Je vais vivre juste heureux,
Bien que tu sois bien, car je ne peux
Etre cet amour scandaleux
Qui te fera vivre et rire,
Enfin, qui te fera sourire
Durant quelques années.
Non, je resterai là, caché,
Finissant par aimer même
Ces chaines que je hais et que j'aime.
L'azur inonde mes yeux,
Et les éclairs en les cieux
Apporte un brin de vie
Dans les restes de mon esprit.
Oui, je suis une crapule,
Et l'étendard sans lendemain.
Fait de moi immonde en le crépuscule
Que vous admirerez sans tourment.
Je puis continuer ainsi,
Vous écrire toute la nuit,
De ma vie qui aime la folie
Et évite l'ennui.
Oui, je peux vous montrer
Le rose de ma prose dévouée
A rendre l'âme et les armes.
Et les larmes que je damne
en moi, s'accapare de tout drame
Au delà des récits que condamne
Vos pensées qui veulent la vie.
Au loin, bien loin des quais,
Je te vois toi, que j'ai tant aimé,
Je te vois sourire aux lèvres et
Je crève par les pleurs, puis satisfait,
Je crois que j'en viens à t'aimer.
A t'aimer ouais comme on peut y croire
A ces sortilèges qui donnent l'espoir.
Je finis par penser toi
Puis ne penser plus rien,
Je rêve qu'au creux de toi,
Il y ait moi qui t'apporte du bien.
Mais t'es loin là-bas, déjà tu ne réponds pas,
Tu es là crevant mon coeur en émoi.
Et moi qu'auras-tu fait de ça,
Cette chair insolente qui aura aimé ta vie
Comme on aime l'enfer ou bien l'ennui,
Comme on croit Marie quand elle nous dit
Que tout le fardeau bientôt sera fini.
Je crois pas en ces statuts
Nan, je crois pas en vous qui aurez cru
Qu'il fallait de sa chair juste s'enchainer
Par le fer et se laisser déchainer
Par amour pour un Dieu qui s'en fout bien
Qu'on l'aime comme un damné, ou rien,
Comme moi j'ai su t'aimer toi, comme j'ai su exister
Quand t'as fait de moi la charogne aux lèvres saignés.
Et je souris quand même,
Je souris comme je t'aime.
Je vis, je maudis, puis tu souris,
J'attends plus rien de toi, ou de lui,
Je veux juste que toi,
Qu'un jour tu me souris.
Je veux juste qu'un jour moi,
Ouais je veux te rendre ravie.
...
Bon, message long.
Je reviens bientôt.
Bonuit.
Si ça peut te rassurer, c'est en deux parties.
C'est trop long. Plus la nuit est blanche et plus je m'égare
L'information, est une intoxication.
Elle vit de nos peurs et nos drames,
Elle nous fait croire être une Dame,
Or nous vivons tous pour le plaisir, la passion,
Et pour qu'un jour on oublie notre non.
Je suis versé par les anges et leurs cris,
Puis je l'ai vu elle, cette Dame rouge qui interpelle !
Je deviens zombie et ne puis citer son nom.
Mais je souhaite simplement
Que sa vie bouscule au firmament.
Amuse toi, je crois que c'est fait pour ça :)
Poser avec les gargouilles, en voilà une bonne idée!
j'ai aucun talent d'écriture mais j'ai quand mème envie de partager ce texte écrit y a quelques moiis après une rupture qui m'avais fait me retrouver aux fond du trou, donc voilà ce texte :
grace à toi les portes de l"enfer ce ferme, j'étais à terre à cause du cancer, je me suis relever quand t'es arrivé en pensant que t'étais la dernière, une fois de plus chimère juste envie d'ètre sous terre, ici c'est l'enfer l'humain n'est que pervers voilà pourquoi je bois tant de verres avant d'ètre bouffer par les vers, solitaire je vais rester, tes anciennes paroles continue de me bercer pour une nouvelle et dernière fois me tuer, de toute manières la femme de ceux qui n'en ont pas est entrain de s'en occuper, j'prépare la cuillière j'espère entendre vos prières, pour éclairer mes yeux en tète d'épingles que ma pupille retrouve du noir,aux final t'avais raison dès la première impression et j'avais raison tu seras la dernière, grace aux cheval blanc les portes du paradis s'ouvre"
Avis à la jeunesse
Jeunesse, écoute la voix de celui qui n'est pas mort
Écoute ce que dit l'homme non conformiste
Celui la est face à la mort mais reste fort
Celui la partage et n'est encore égoïste
Il te dira au combien te méfier du lion
Qui par sa force t'endors d'un sommeil de plomb
Signant la mort de l'esprit et la victoire de la bêtise
Te transformant en un objet qu'ils infantilisent
Te rendant cupide à en perdre la raison
Dépendant par ta vie du bon vouloir des cons
Méfie toi donc de l'éducation étatique
Le bâtard du lion recrutant ce naïve publique
Qui dans la merveille de son ignorance
Se laissera endoctriner dans l'insouciance
Rejette les, haïs les ne te laisse pas impressionner
Le combat rude ne l'ai avec la bonne épée
Et de la connaissance il faudra alors t'armer
Mais ton attaque doit être pure et bien aiguisé
Pas l'une de leur éducation rouillé et passé
Qu'au pris de ta vie ils pourraient te donner
Cette connaissance sera près du bûché
Auprès des hommes prochainement condamné
Qui essaieront de te sauver mieux qu'ils ne l'ont fait
Leur éducation est la meilleure car c'est celle du cœur
Elle n'est ni contrôlé par l'état ou la peur
Elle t'enseignera à devenir un homme humain
Qui ne se laissera jamais abattre par le chagrin
Luttant contre l'obscurantisme jusqu'à la fin
Gouailleur
C'est la meut de mon pote, elle que tu vois là-bas
Qui regarde les passants comme elle me regarde moi
Les nuits quand elle veut bien se laisser prendre par surprise
Enlever le frein, elle arrondit ses bises
Elle devient folle quand elle est comme ça
Dès qu’on la sent prête au combat
Faut pas attendre faut y aller
Non c’est le moment d’essayer
Une belle journée ne saurait l'ignorer
Ainsi elle se ballade les quartiers
Elle cherche un autre qui l’attendrait
Qui serait prêt à se donner
Alors forcément l’on se dévoue
On aurait tort de chagriner la belle
Un charme comme ça non même vous
Même moi ne résistons à l’appel
La meuf de mon pote elle aime se faire visiter
Dans ces soirées où y a de l’homme qui rode
Elle connait ce qui faut pour nous libérer
De nos idées elle chante les odes
Chavirons à deux ça sera toujours mieux
Qu’elle susurre à l’oreille en passant
Le premier qui la suivra oubliera les lieux
Et goûtera à son corps pas besoin d’argent
C’est la meuf de mon pote qui se dandine autour
De ce pauvre vieux livré à ses contours
A demi-pleine, la belle parcourt de ses yeux bruns
Le prochain garçon pour le lendemain
Les soirs combien de fois elle s’est oubliée
A remonter ses bas devant le monde attiré
Par ces belles guiboles toujours
J’te promets demain c’est mon tour
Ouais la meuf de mon pote m’avait promis jeudi
Que dimanche au matin « on sera loin »
Mais dans le froid de Paris
Je l’ai vu se faire la malle la catin
Je crois que c’est le bon vieux qu’a remporté la mise
Il l’a prise dans tous les ports jusqu’à Florence
Et mon pauvre pote pleurait pour sa commise
J’suis allé le consoler le coeur rance