Il a eu des tatouages malabar ce weekend, je pense que c'est lié

Alors, fais toi plaisir avec un tatouage temporaire, éphémère.

Alors, fais toi plaisir avec un tatouage temporaire, éphémère.

mais justement, l'interet c'est que ce soit permanent non? enfin dans le sens ou je le prends c'est ce que je recherche.

Alors, fais toi plaisir avec un tatouage temporaire, éphémère.

mais justement, l'interet c'est que ce soit permanent non? enfin dans le sens ou je le prends c'est ce que je recherche.

Il a eu des tatouages malabar ce weekend, je pense que c'est lié

J'ai du mal à gérer mes pulsions, accepter qu'j’ai vu l'fond
Quand j'fais l'con, il sera trop tard pour arrêter l'effusion
Tu vois de quoi je parle
De cette envie de vider ma canette, une dernière avant de quitter la planète

Gaff: You've done a man's job, sir. I guess you're through, huh?
Deckard: Finished.
Gaff: It's too bad she won't live! But then again, who does?

Un soir comme il s'en fait
Quand l'hiver est naissant
Où la lune m'observait
Du coin de son croissant

Son éclat déssinait
Des formes sur les toits
Des ombres à son reflet
À m'en foutre les foies

Car j'y au vu les traits
De mes craintes d'ivrogne
Le visage imparfait
Des doutes qui font l'homme

Un soir comme il s'en fait
Où la lune me délivre
Des instants que je n'ai
Pas pris le temps de vivre

le ciel était si bas qu'il pesait sur mes sens
écrasant de son poids toutes mes résistances
le pavé sous mes pas se mêlait à l'air dense
pour se jouer de moi et mes ultimes défenses

j'ai connu ce soir là ma première défaillance

l'arrière goût amer qui plaît aux audacieux
irriguait mes artères de l'assurance de ceux
qui ont vu l'univers bien au delà des cieux
et compris que sur terre on se trompe de dieux

j'ai connu ce soir là ma première défaillance

je me suis vu loup je suis singe en hiver
épris au cœur des fous de l'éveil libertaire
quand se refusent à vous l'astre et sa lumière
reclus au fond du trou qu'est votre monde austère

j'ai connu ce soir là ma première défaillance
seuls fussent mes émois témoins de mes offenses
à l'ordre et à vos lois ou à la bienséance
je ne resterais droit qu'à ma juste balance

j'ai connu ce soir là ma première défaillance
les démons aperçus m'ont fait prendre conscience
que j'ai déjà trop vu se réduire ma patience
à l'attente déçue que procurent les silences

savoir faire l'effort tant que sable s’égrene
de devancer la mort et de dire à la haine
qu'on trouve le réconfort en donnant de sa peine
que l'amour n'a de tort que d'être née humaine

j'ai connu ce soir là ma première défaillance

le cocon de l'ivresse et le chant des cerises
les rêves qui se pressent aux balcons de Venise
ce que sont les promesses et les bêtes soumises
à la fin de la messe nous comptons nos devises

quand bien même suis-je las de cette redondance
j'ai connu ce soir là ma première défaillance

le ciel était si bas qu'il pesait sur mes sens
écrasant de son poids toutes mes résistances
le pavé sous mes pas se mêlait à l'air dense
pour se jouer de moi et mes ultimes défenses

j'ai connu ce soir là ma première défaillance

l'arrière goût amer qui plaît aux audacieux
irriguait mes artères de l'assurance de ceux
qui ont vu l'univers bien au delà des cieux
et compris que sur terre on se trompe de dieux

j'ai connu ce soir là ma première défaillance

je me suis vu loup je suis singe en hiver
épris au cœur des fous de l'éveil libertaire
quand se refusent à vous l'astre et sa lumière
reclus au fond du trou qu'est votre monde austère

j'ai connu ce soir là ma première défaillance
seuls fussent mes émois témoins de mes offenses
à l'ordre et à vos lois ou à la bienséance
je ne resterais droit qu'à ma juste balance

j'ai connu ce soir là ma première défaillance
les démons aperçus m'ont fait prendre conscience
que j'ai déjà trop vu se réduire ma patience
à l'attente déçue que procurent les silences

savoir faire l'effort tant que sable s’égrene
de devancer la mort et de dire à la haine
qu'on trouve le réconfort en donnant de sa peine
que l'amour n'a de tort que d'être née humaine

j'ai connu ce soir là ma première défaillance

le cocon de l'ivresse et le chant des cerises
les rêves qui se pressent aux balcons de Venise
ce que sont les promesses et les bêtes soumises
à la fin de la messe nous comptons nos devises

quand bien même suis-je las de cette redondance
j'ai connu ce soir là ma première défaillance

Ah non mais il y a erreur, je dois avoir été mal compris, l'humour n'est pas facile à manier pour tout le monde, je vous présente mes excuses pour cette maladresse qui pourrait vous faire comprendre autre chose que ce que je voulais exprimer. Dans l'écrit l'ironie, présente, absente, est flottante, et on confond parfois une sincère agression, et un humour maladroit. C'est pourquoi je précise ici, du fond du cœur: c'est vraiment de la merde, il ne sait vraiment pas écrire.

perso, j'ai toujours apprécié Jean Pierre Coffe, ses recettes, ses bons produits et sa quête d'identité sexuelle.

Vexé, bas, peu inspiré, il se débat, ne devrait pas. Faut bien garder la tête haute, n'est-ce pas? Trouver l'esquive, feindre mépris, haut esprit, que tout cela, n'atteint pas. Alors on cherche, on référence, on joue le jeu, perdu déjà. On sait très bien ce que l'on est, ce que l'on vaut, et c'est pour ça! Que l'on s'arrache, à bosser dur, on retravaille, on fait du long, du césuré, millimétré, on se corrige. On fait valoir sa petite réputation, toujours le mot, le mot qu'il faut, toujours il faut le mot qu'il faut. Puis, on s'empêtre. On est mauvais, et ça se sait. La crainte est là: un jour, à jour, percé? Allez, courage, on tient le bout, on recommence, on travaille on, césure. On référence! Il n'y a que ça. Et si percé, même pas vexé, on se feindra! Peu inspiré, bas.

Ça semble en tout cas te tenir drôlement à coeur de m'eclairer sur mon niveau ceci dit je doute de mériter autant d'attention

Il faudrait se résoudre à comprendre que s'il fut un temps où je recherchais le compliment, c'est très loin à présent. Que je sais ce que je vaux en tant qu'homme bien au delà de ce qu'il se passe sur ce forum.

Mais je dois avouer que tant que tu prends la peine d'y mettre les formes c'est assez plaisant de te voir revendiquer ma médiocrité, cette dernière ayant eu au moins le mérite de te faire exister ici.

Kaio, source d'inspiration : ce qui nous amène tout droit à la question de la muse masculine... Large débat en perspective, avec tout ce qu'il faut de références mythologiques, sexistes et culturelles... J'ai hâte !

ah la muse... vaste question!

Une marque de chaussure ?


ok, je sors...

Tu mérites largement qu'on te dise que c'est de la merde, que tu ne sais pas écrire. Il ne s'agit pas de ce que tu vaux en tant qu'homme, quand on te dit que c'est de la merde, que tu ne sais pas écrire. Quelle autre attention, quel autre compliment faire que te dire que c'est de la merde, que tu ne sais pas écrire? Tu ne me fais pas exister, tu me fais simplement dire: c'est de la merde, tu ne sais pas écrire.

je prends acte.

et pense déjà à autre chose.

Hé oui je suis plus con que bite ben désolé

Y a cette odeur de gaz et de grand brûlé
La souffrance qui renaît des cendres du brasier

Y a ces gamins qui trinquent et qui culpabilisent
Des démences des parents, du souffle qui les attise

Y a ces bleus sur sa peau au cœur des écorchures
qui maintiennent sous l'eau ses visions d'envergure

La violence est d'époque à la plaie coutumière
d'une routine engluée au fond de nos misères

Y a les yeux sans pitié de la lucidité
sur des épaules frêles à peine équilibrées

Y a les treillis, les bottes, et pas qu'à l'horizon
que sautent les enfants au rythme des canons

C'est l'innocence du monde que ce jour on enterre
un regard juvénile qui ferme ses paupières.

Juste... juste et touchant.

pour le reste : http://creapills.com/illustrations-sarcastiques-societe-20170201

Sors de ton trou!
Dixit - poète, vos papiers !

y en a partout vous êtes dégueulasses

Un soir comme il s'en fait
Quand l'hiver est naissant
Où la lune m'observait
Du coin de son croissant

Son éclat déssinait
Des formes sur les toits
Des ombres à son reflet
À m'en foutre les foies

Car j'y au vu les traits
De mes craintes d'ivrogne
Le visage imparfait
Des doutes qui font l'homme

Un soir comme il s'en fait
Où la lune me délivre
Des instants que je n'ai
Pas pris le temps de vivre

y en a partout vous êtes dégueulasses

un p'tit gamin avec ses poèmes, c'est ca qu'il y a devant vous.. Et vous l'avez fait.. Autant que, j'espère, il vous a un peu fait..

C'est l'infini tout ça.. Merci infiniment