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j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster ;)
[quote="Maitre Kaio"]j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster ;)[/quote]
Laisse nous être juge au moins ;)
j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster
Laisse nous être juge au moins
[quote="Peb'"][quote="Maitre Kaio"]j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster ;)[/quote]
Laisse nous être juge au moins ;)[/quote]surement pas :)
surement pasj'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster
Laisse nous être juge au moins
Grand timide va :p
[quote="Maitre Kaio"]j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster ;)[/quote]
Je suis nouvelle sur le forum je découvre doucement, Je suis tombée sur vos écrits c'est renversant !
j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster
Je suis nouvelle sur le forum je découvre doucement, Je suis tombée sur vos écrits c'est renversant !
[quote="Isa"]:D
Kaio qui se fait vouvoyer.
Il va se sentir vieux ;)[/quote] mais peut-être qu'il est vieux 😀😇
mais peut-être qu'il est vieux 😀😇
Kaio qui se fait vouvoyer.
Il va se sentir vieux
[quote="Isa"]:D
Kaio qui se fait vouvoyer.
Il va se sentir vieux ;)[/quote]
Ce n'est pas mon intention c'est une marque de respect et d'admiration 😊
Kaio qui se fait vouvoyer.
Il va se sentir vieux
Ce n'est pas mon intention c'est une marque de respect et d'admiration 😊
[quote="Maitre Kaio"]j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster ;)[/quote]
Quel dommage !
j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster
Quel dommage !
[quote="Décalée"][quote="Maitre Kaio"]j'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster ;)[/quote]
Quel dommage ![/quote] Ouais! Y en a d'autres qui devraient effacer avant de poster :p
Ouais! Y en a d'autres qui devraient effacer avant de posterj'essaye des fois, mais comme je trouve ça nul j'efface avant de poster
Quel dommage !
Les années passent tu sais. Mais que je t'épargnes l'évidence, allons au delà. Regardes toi. T'as pris ce qu'il faut dans la tronche pour passer à l'âge adulte, même si c'est pas toujours flagrant. Juste ce qu'il faut, plains toi pas, y a toujours pire que soi.
Aujourd'hui les nuits d'été dessine la constellation d'un regard, la nébuleuse d'une histoire, aujourd'hui les jours d'hiver te maintienne au rivage, à la raison qui fait ton age. Mais t'es pas passé loin du naufrage, à te croire seule face à la vie, face aux mirages, face aux soucis.
Tu connais tes faiblesses, tes vices et tes bassesses. T'es pas jésus, pas l'abbé Pierre, pas même un exemple en fait, pas un martyr, pas un notable, mais t'as juste fais ta place. Tu partais presque de loin, intello pour les uns, ingérable pour les autres. T'as poussé libre de devenir, trouvé l'écho à tes délires, bercé d'amour et de bienveillance, toujours aimé jamais jugé.
T'es un chanceux mec, t'as p't'être pimer pour Lego qu'on t'achetait pas, pour une sortie que toi t'avais pas le droit, si peu... et tant mieux.
T'as des amis, des points d'encrage, des épaules malgré ta réserve, des gens qui comptes et qui t'on fait. ceux là qui on eu la patience de te laisser de le temps de leur parler, qui on su faire l'effort de te comprendre bien au delà de ta pudeur froide et tes humeurs de p'tit dernier, d'enfant gâté.
T'as une famille qui va au delà de ce que l'on peut attendre d'une famille. T'as des parents mon vieux t'imagines pas, cette chance que t'as. Des frères et sœur toujours là, ton héritage c'est tout ça, s'il y a quelque chose que tu dois, c'est à eux, et rien qu'à eux.
Une grande sœur mon gars, qu'y en a pas beaucoup des comme ça, qui te comprend même quand, pauvre de toi, tu ne sais rien dire. T'as des frangins pour exemple, et cette honneur à défendre, comme rien d'autre tu ne défendrais, sans compromis, à jamais insoumis.
Y a la bande des six, moins chiants et qu'adorables, et les trois autres, et bientôt quatre, mate cette chance, vraiment j'insiste.
T'as la cervelle, et les valeurs, soit fier des tiens, porte leurs défauts comme un drapeau et nourrit toi de leurs qualités.
T'as le cœur méfiant, la prétention de te croire intègre, la certitude d'être quelqu'un, malgré les gouttes et les orages, t'es un mec bien du moins je crois, un mec qui ne sait pas toujours ou est sa place dans l'univers.
Un mec qui fuit aussi des fois, trop souvent sans doute, un mec qu flippe de pas savoir construire son monde dans son avenir.
Y a ces sourires, mec prend le temps, de contempler ses éclats de rire, soupirs charnels et souvenirs complices. Y a ces rencontres, y a ces musiques, y a ces ivresses et ces instants, qui te font croire, c'est l'important.
Bref le temps passe, et je me surprends, à me dire que c'est pas si mal.
[quote="Maitre Kaio"][img]https://pix.blizzart.net/image/1470835594/original.jpg[/img][/quote]
Cela fait une heure que je tente de te citer je n'y arrive pas je suis pas geek ça m'a saoulé.
Saez en fée : fou rire nocturne, ridicule, pourtant c'est quand il veut qu'il m'en...
J'ai trop bu de sangria elle n'était pas gratuite mais elle me fait planer c'est déjà ça.
Pas d'alexandrin c'est foutu mais me faut pour aller bien une rime en 'in'
Je n'en ai pas donc je te souhaite une douce fin de nuit Maître Caillasse , parfois t'es un gros degeulasse .
Mais tu me fais rire, la nuit, toi regimbeur animal, alors comme tu l'as écris ce soir : 'c'est [déjà] pas si mal'.
Cela fait une heure que je tente de te citer je n'y arrive pas je suis pas geek ça m'a saoulé.
Saez en fée : fou rire nocturne, ridicule, pourtant c'est quand il veut qu'il m'en...
J'ai trop bu de sangria elle n'était pas gratuite mais elle me fait planer c'est déjà ça.
Pas d'alexandrin c'est foutu mais me faut pour aller bien une rime en 'in'
Je n'en ai pas donc je te souhaite une douce fin de nuit Maître Caillasse , parfois t'es un gros degeulasse .
Mais tu me fais rire, la nuit, toi regimbeur animal, alors comme tu l'as écris ce soir : 'c'est [déjà] pas si mal'.
[quote="Maitre Kaio"]putain ca me met mal à l'aise en fait :D[/quote]
C'est exactement ce qui donne toute cette force aux mots !
putain ca me met mal à l'aise en fait
C'est exactement ce qui donne toute cette force aux mots !
qu'y a t'il à trouver parmi les vivants
faut il pouvoir chercher dans le bordel ambiant
faut il savoir échouer pour éprouver son temps
faut il se résoudre à aimer pour se casser les dents
qu'y a t'il à gagner à perdre si souvent
faut il pouvoir jouer aux jeux des intrigants
faut il savoir danser avec les autres gens
faut il se résoudre à parier sur un cœur défaillant
qu'y a t'il à donner à la main du mendiant
faut il pouvoir jurer pour en être garant
faut il savoir juger pour vivre décemment
faut il se résoudre à tuer au fond de nous cet enfant
De nos chairs, sous l'écorce, se révèle à l'aurore l'envers du décor.
D'un dialogue de Prévert, dans l’effort et la mort, une larme qui perle sur l'audace d'une fossette juvénile et naïve.
Crève de joie triste clown à qui la maladie a rendu le sourire.
Cœur passé à l'ennemi, le temps perce la peau et s'enfuit par les pores des regrets infinis.
Combien de vérités le soleil a brûlées de ces rayons ardents, ombrageant nos mensonges et notre vanité au fond du haut de forme de l'homme distingué?
Et combien d'encrier pour une ligne d'Hugo, pour un trait sur l'avenir, une leçon oubliée?
Faut il compter, faut il en rire, combien de sacs plastique naviguent en troubles eaux?
De nos chairs, sous l'écorce, se révèle à l'aurore l'envers du décor.
il est difficile celui-ci Kaio, je lis toujours la poésie à haute voix, et celui-ci me fait trébucher ici et là. (à brûler???)
mais laisse ta plume noircir le papier hein stp
edit: c'est plus clair une fois corrigé oui ...et dire qu'il y a des gens qui ne savent pas encore reconnaître l'infinitif du participe passé (je cite un mec là)
La première et donc la dernière phrase sont tres fortes.Cela porte merveileusement le texte,le rythme est imparable.
Moi Kaio j'aime en ses mots ce qui perle de l'homme qu'il est, de l'homme qu'il aime etre, qu'il veut etre- être c'est vouloir, peut-être..
bref, j'aime sans condition pourvu que je le retrouve derrière l'écrit.
Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Métamorphose.
En papillon, entre autres choses,
De déraison en overdose.
Transformation.
En coquillage, en ecchymose,
De dérapage en triste cause.
Il n'y a pas d'age.
D'initiative à l'eau de rose
Et de dérive à qui ne l'ose
Déjà la fin.
[quote="Maitre Kaio"]Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.[/quote]
<3
ça se lit comme une bonne chanson, en boucle.
Le texte impose son rythme et on bat la mesure.
Et de césure en biture on apprécie le tempo. ça c'est du slam!
Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
<3
ça se lit comme une bonne chanson, en boucle.
Le texte impose son rythme et on bat la mesure.
Et de césure en biture on apprécie le tempo. ça c'est du slam!
[quote="Maitre Kaio"]Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.[/quote]ARRETE D'ECOUTER SAEZ !
(j'ai jamais trop posté par ici parce que quand j'aime bien je sais pas quoi dire mais pour le coup vouala)
Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.ARRETE D'ECOUTER SAEZ !
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
(j'ai jamais trop posté par ici parce que quand j'aime bien je sais pas quoi dire mais pour le coup vouala)
Tu parles qu'il fait beau, j't'en foutrais moi de ton soleil et de ta douce bise qui nous caresse les joues. Mais garde les tes rayons bouffon, t'éclaires quoi? Tu réchauffes quoi? T'es bon qu'à donner l'cancer, à brûler des peaux d'blaireaux qui sont tout fiers d'être bronzé, à s'empresser de le partager leur mélanome sur instagram. Comme si on s'en carrait d'leur mélanome.
Tu parles qu'il fait beau. Et quoi tu vas m'faire le coup d'l'été indien. J't'en foutrais des étés indiens. C'est bon qu'à t'faire chier d'avoir pris tes vacances en Août. Avec 5 semaines dans l'année faut pas s'louper mon gars. Faut pas être aigris d't'être fait chier dans ton bungalow à Ronce Les Bains, avec tes mômes qu'arrêtent pas d'brailler.
Tu parles qu'il fait beau. Ça vaut quoi un ciel bleu dans l'reflet d'un casque de CRS? Si y a bien qu'le casque qui réfléchit quelque chose ça reste bien dégueulasse comme reflet. Ça laisse l'image d'un truc comme une milice du capital armée aux frais des contribuables. Tu l'vois v'nir là ou j'te l'met ton beau temps, et sans matraque pour t'attendrir j'viens pas d'la part d'un ministère, tu vas l'sentir l'orage crois moi.
J'aime beaucoup encore. Ce rythme, on aurait presque une mélodie qui s'invite dans nos oreilles en lisant ce texte !