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T’aimes ça les calottes. Les bonnes grosses tartes dans ta sale gueule t’aimes ça. Non ? T’aimes pas ça ? Alors relèves toi putain c’est ça la vie quoi, tu t’tiens droit, tu r’gardes devant toi, et tu rends c’que tu prends, et t’encaisses ce qui en vaut la peine. Tu lâches rien putain tu t’agrippes, tu tiens bon, tu t’accroches, tu t’écorches, mais tu t’tiens droit. Tu s’ras fier de toi. Tu les verras baver d’vant toi se noyant dans leur honneur. Tu les épargneras, dans ta toute indulgence réservée à ceux qui ne savent pas mourir dignement. Feins de leur montrer ta considération, ils se battront à mort pour te sucer l’orteil.
C'est important je crois, d'avoir le goût des chose, l'attention du détail, de ce peu qui fait sens.
Déceler cet abstrait qui d'entre les étoiles dessine les contours des constellations.
Profiter de se fenêtre du tableau des saisons, des nuages et du ciel qui se donnent le mal de tout réinventer.
C'est important je crois, de contempler le temps, de connaitre, de savoir, de découvrir le monde.
D'arpenter de sa vie collines et montagnes, de voir et de sentir, de construire de ses mains et de luttes obtenir, le droit irréversible d'à son tour tout détruire.
D'être libre de choisir le meilleur ou le pire, être libre d'être soi c'est être responsable de chacun de ses choix et de leurs conséquences, être libre c'est tout ça mais c'est la vie tu vois.
C'est important je crois, de se battre pour ça, pour que l'instinct se joue de toute procédure, que douceurs poétiques séduise Politique et remette l'amour à l'ordre du jours.
[quote][quote="Maitre Kaio"]T’aimes ça les calottes. Les bonnes grosses tartes dans ta sale gueule t’aimes ça. Non ? T’aimes pas ça ? Alors relèves toi putain c’est ça la vie quoi, tu t’tiens droit, tu r’gardes devant toi, et tu rends c’que tu prends, et t’encaisses ce qui en vaut la peine. Tu lâches rien putain tu t’agrippes, tu tiens bon, tu t’accroches, tu t’écorches, mais tu t’tiens droit. Tu s’ras fier de toi. Tu les verras baver d’vant toi se noyant dans leur honneur. Tu les épargneras, dans ta toute indulgence réservée à ceux qui ne savent pas mourir dignement. Feins de leur montrer ta considération, ils se battront à mort pour te sucer l’orteil.[/quote]
Ça m'a fait penser à quelque chose 👇🏻
🎧 BORA VOCAL dans l'album [b]Rone[/b] de Spanish breakfast et puis c'est avec la voix d'Alain Damasio celui qui a écrit le bouquin que quand tu l'ouvres t'as les cheveux dans la tempête [i]la horde du contrevent[/i].[/quote]:) oui
ouiT’aimes ça les calottes. Les bonnes grosses tartes dans ta sale gueule t’aimes ça. Non ? T’aimes pas ça ? Alors relèves toi putain c’est ça la vie quoi, tu t’tiens droit, tu r’gardes devant toi, et tu rends c’que tu prends, et t’encaisses ce qui en vaut la peine. Tu lâches rien putain tu t’agrippes, tu tiens bon, tu t’accroches, tu t’écorches, mais tu t’tiens droit. Tu s’ras fier de toi. Tu les verras baver d’vant toi se noyant dans leur honneur. Tu les épargneras, dans ta toute indulgence réservée à ceux qui ne savent pas mourir dignement. Feins de leur montrer ta considération, ils se battront à mort pour te sucer l’orteil.
Ça m'a fait penser à quelque chose 👇🏻
🎧 BORA VOCAL dans l'album Rone de Spanish breakfast et puis c'est avec la voix d'Alain Damasio celui qui a écrit le bouquin que quand tu l'ouvres t'as les cheveux dans la tempête la horde du contrevent.
[quote]Ça m'a fait penser à quelque chose 👇🏻
🎧 BORA VOCAL dans l'album [b]Rone[/b] de Spanish breakfast et puis c'est avec la voix d'Alain Damasio celui qui a écrit le bouquin que quand tu l'ouvres t'as les cheveux dans la tempête [i]la horde du contrevent[/i].[/quote]je connaissais pas, merci pour la découverte, j'ai kiffé. Putain meeeeerde quoi c'est quand même extraordinaire! :)
Ça m'a fait penser à quelque chose 👇🏻je connaissais pas, merci pour la découverte, j'ai kiffé. Putain meeeeerde quoi c'est quand même extraordinaire!
🎧 BORA VOCAL dans l'album Rone de Spanish breakfast et puis c'est avec la voix d'Alain Damasio celui qui a écrit le bouquin que quand tu l'ouvres t'as les cheveux dans la tempête la horde du contrevent.
oh l'inspiration t'sais, c'est surfait. Souvent on parle mieux quand on a rien à dire.
Puis de toutes façons, fait l'effort de dire un truc intelligent et tu passes pour un con.
Donc bon. Entre nous. De toi à moi. Focus hey, regarde moi quand j'te parle.
Imprime, compute, fais quelque chose j'sais pas mais arrange toi pour te souvenir.
J'veux dire y a pas d'concessions, les choses sont comme elles sont.
Te résignes pas à c'qu'ils ont décidé pour toi, tu leurs doit rien, que dalle.
Y a pas une heure qui passe que tu n'as pas mérité, respire.
Prends l'air. Décolles, découvres. Tu t'en carres de leurs obligations.
Goûtes, recraches, rien à foutre. Tu crains rien, t'es féroce, dans les côtes, tu pédales.
Les descentes c'est plus compliqué. Mais t'es lucide, hein, faut pas faiblir.
Alors t'attends Madeleine, les lilas, les je t'aime, mais c'est Gaston, qui a raison.
Tellement tout ça, puis quoi encore. Votre bouffonnerie j'vous la met là ou ça fait mal.
Le mec il me dit, sans broncher, genre il sait ce qu'il dit tu vois, il se la joue sur de lui. Donc il me dit, en faisait des grands gestes pour se donner une contenance, ou pour se cacher derrière. Il me dit en cherchant quand même un peu ses mots au fond de cette forme improbable qui lui sert de tête. Sans tressaillir, bien calé dans ses mocassins à gland, le mec il me dit, en surjouant des sourcils et des zygomatiques, il me dit "ah oui tiens c'est pas con".
Le mec quoi.
c'est vrai qu'il y a toute sorte de mec, il y a même les fourbes, tu sais ceux qui prennent la tangente pff j'aime pas trop o_O
t'as raison, les mecs c'est comme les juifs et les arabes. Et les chinois aussi, parce que eux y en a hein...
[quote]Mais c’est pour ça qu’après Louis Vuitton i font des sacs tout pourris! J’me tue à le dire ![/quote]mais c'est que t'en dis tellement aussi...
Mais c’est pour ça qu’après Louis Vuitton i font des sacs tout pourris! J’me tue à le dire !mais c'est que t'en dis tellement aussi...
[quote="Maitre Kaio"]Le mec il me dit, sans broncher, genre il sait ce qu'il dit tu vois, il se la joue sur de lui. Donc il me dit, en faisait des grands gestes pour se donner une contenance, ou pour se cacher derrière. Il me dit en cherchant quand même un peu ses mots au fond de cette forme improbable qui lui sert de tête. Sans tressaillir, bien calé dans ses mocassins à gland, le mec il me dit, en surjouant des sourcils et des zygomatiques, il me dit "ah oui tiens c'est pas con".
Le mec quoi.[/quote]
Reflet des bêtises qui parfois nous abrite.
Il est bon d'en mettre plein dans le visage de l'autre en oubliant que ces paroles sortent de notre bouche... Bon et hypocrite.
Le mec il me dit, sans broncher, genre il sait ce qu'il dit tu vois, il se la joue sur de lui. Donc il me dit, en faisait des grands gestes pour se donner une contenance, ou pour se cacher derrière. Il me dit en cherchant quand même un peu ses mots au fond de cette forme improbable qui lui sert de tête. Sans tressaillir, bien calé dans ses mocassins à gland, le mec il me dit, en surjouant des sourcils et des zygomatiques, il me dit "ah oui tiens c'est pas con".
Le mec quoi.
Reflet des bêtises qui parfois nous abrite.
Il est bon d'en mettre plein dans le visage de l'autre en oubliant que ces paroles sortent de notre bouche... Bon et hypocrite.
"Dis-moi qui sont ces gens
Qui abritent, éclatants,
Leurs yeux de trop d'orages ?
Dis-moi qui sont ces dieux
Qui des foudres des cieux
Savent faire bon usage
Et rester hors du temps ?
Quand nous autres n'avons
Que l'hiver pour pâturage
Pour nos tristes pigeons
Qui sans destination
Nous renvoient nos messages "
Elle m'a regardé. Je l'ai regardée.
Elle n'avait que des reproches à me faire et moi, et moi j'avais rien à lui dire.
Elle a regardé ailleurs, je l'ai regardée regarder ailleurs.
Elle était beaucoup plus belle quand elle ne me regardait pas.
J'aurais pu lui dire. mais elle me l'aurait reproché.
Alors j'ai rien dit. Je l'ai regardé encore m'envoyer ses reproches.
Elle s'affirmait ainsi dans ses reproches que je n'écoutais pas.
Elle regardait ailleurs pour que je ne la regarde plus.
Je voulais lui dire que j'avais compris mais je savais pas comment le dire.
J'ai tenté un sourire. Elle a regardé ses pieds. Elle m'avait vu venir.
Elle a voulu pleurer mais elle savait pas ce que c'était de pleurer.
J'aurais pas su quoi lui dire pour la réconforter. Alors bon.
Elle me l'aurait reprocher de toute façon.
Elle était belle. Elle le savait que je la regardais et que je la trouvais belle.
Elle s'agaçait. Je disais rien. Je regardais ses lèvres dessiner ses reproches.
Je ne les écoutais pas mais je les subissais, malgré moi. J'ai pas voulu lui dire.
J'ai gardé mon sourire, elle était belle, elle a pleuré.
Moi j'ai gardé mon sourire, jusqu'à la regarder partir.
D’apres c’que j’lis, fallait p’tet pas la laisser partir. Et continuer à sourire.
Essayer, essayer d’continuer. S’accrocher quoi!
D’après c’que j’lis
Courage frangin.
C'est l'époque où les feuilles tombent, les arbres se dénudent, les femmes se rhabillent à cette saison, elles ont le coeur qui gèle.
Courage frangin.
prenez du recul les gens.
On sait que c'est pour du faux mais chacun se retrouve un peu dans ce que t'écris ! ;)
[quote="Maitre Kaio"][quote="Churinga"]Courage frangin.[/quote]oO
prenez du recul les gens.[/quote]
Jvois mal comment en prendre sachant que moi je baigne en plein dedans.
Bah du coup je suis déçu, d'un coup ça a moins d'intérêt
Courage frangin.
prenez du recul les gens.
Jvois mal comment en prendre sachant que moi je baigne en plein dedans.
Bah du coup je suis déçu, d'un coup ça a moins d'intérêt
En même temps y'a rien qui dit que tes mots sont une fiction.
Ton texte est plutôt pauvre en fait, moi j'écrivais surtout pour te partager mon soutien par rapport au sujet, t'avais l'air rudement pas jouasse.
( C'est une critique personnelle hein c'est pas autre chose, c'est par rapport à mes sensibilités. )
[quote="Churinga"]En même temps y'a rien qui dit que tes mots sont une fiction.[/quote]j'aurais du préciser que toute ressemblance était purement fortuite? ;)
[quote="Churinga"]Bah du coup je suis déçu, d'un coup ça a moins d'intérêt[/quote]
[quote="Churinga"]Ton texte est plutôt pauvre en fait, moi j'écrivais surtout pour te partager mon soutien par rapport au sujet, t'avais l'air rudement pas jouasse.[/quote]bah si ce pauvre texte t'as suscité ça c'est qu'il était pauvre comme je voulais qu'il le soit.
En même temps y'a rien qui dit que tes mots sont une fiction.j'aurais du préciser que toute ressemblance était purement fortuite?
Bah du coup je suis déçu, d'un coup ça a moins d'intérêt
Ton texte est plutôt pauvre en fait, moi j'écrivais surtout pour te partager mon soutien par rapport au sujet, t'avais l'air rudement pas jouasse.bah si ce pauvre texte t'as suscité ça c'est qu'il était pauvre comme je voulais qu'il le soit.
On s'en pose trop des questions tu crois? Et si on s'en posait pas assez. Et si comme tu le dis on s'en pose trop, lesquelles il faut enlever? Lesquelles il ne faut plus se poser? C'est même pas garanti que dans le tas de ce trop de questions il y est les bonnes de questions. Si ça se trouve si on fait le tri, y en a plus de questions, et là t'es comme un con. Comment tu trouves les bonnes réponses si t'as plus de questions. T'en sais rien en fait si on s'en pose trop. Tu sais pas, tu te poses la question. Tout comme moi. Ça part de là. On en est au même endroit, celui on se retrouve ceux qui savent pas. Ceux qui se posent des questions et que si ils s'en posaient pas ils seraient là comme des cons, au milieu de ceux qui savent pas. J'ai raison tu vois, de m'poser tant de questions.
Il manque juste de la musique pour accompagner tes mots. Ça s'imbrique bien ces phrases
https://www.youtube.com/watch?v=vTG7SMjTI1E
"Elles sont notre premier ennemi
Quand elles s'échappent en riant
Des pâturages de l'ennui
Les biches
Avec des cils comme des cheveux
Des cheveux en accroche-faon
Et seulement le bout des yeux
Qui triche
Si bien que le chasseur s'arrête
Et que je sais des ouragans
Qu'elles ont changés en poètes
Les biches
Et qu'on les chasse de notre esprit
Ou qu'elles nous chassent en rougissant
Elles sont notre premier ennemi
Les biches de quinze ans
Elles sont notre plus bel ennemi
Quand elles ont l'éclat de la fleur
Et déjà la saveur du fruit
Les biches
Qui passent toute vertu dehors
Alors que c'est de tout leur cur
Alors que c'est de tout leur corps
Qu'elles trichent
Lorsqu'elles broutent le mari
Ou lorsqu'elles broutent le diamant
Sur l'asphalte bleu de Paris
Les biches
Qu'on les chasse à coups de rubis
Ou qu'elles nous chassent au sentiment
Elles sont notre plus bel ennemi
Les biches de vingt ans
Elles sont notre pire ennemi
Lorsqu'elles savent leur pouvoir
Mais qu'elles savent leur sursis
Les biches
Quand un chasseur est une chance
Quand leur beauté se lève tard
Quand c'est avec toute leur science
Qu'elles trichent
Trompant l'ennui plus que le cerf
Et l'amant avec l'autre amant
Et l'autre amant avec le cerf
Qui biche
Mais qu'on les chasse à la folie
Ou qu'elles nous chassent du bout des gants
Elles sont notre pire ennemi
Les biches d'après vingt ans
Elles sont notre dernier ennemi
Quand leurs seins tombent de sommeil
Pour avoir veillé trop de nuits
Les biches
Quand elles ont le pas résigné
Des pèlerins qui s'en reviennent
Quand c'est avec tout leur passé
Qu'elles trichent
Afin de mieux nous retenir
Nous qui ne servons à ce temps
Qu'à les empêcher de vieillir
Les biches
Mais qu'on les chasse de notre vie
Ou qu'elles nous chassent parce qu'il est temps
Elles restent notre dernier ennemi
Les biches de trop longtemps"
https://www.youtube.com/watch?v=vTG7SMjTI1E
"Elles sont notre premier ennemi
Quand elles s'échappent en riant
Des pâturages de l'ennui
Les biches
Avec des cils comme des cheveux
Des cheveux en accroche-faon
Et seulement le bout des yeux
Qui triche
Si bien que le chasseur s'arrête
Et que je sais des ouragans
Qu'elles ont changés en poètes
Les biches
Et qu'on les chasse de notre esprit
Ou qu'elles nous chassent en rougissant
Elles sont notre premier ennemi
Les biches de quinze ans
Elles sont notre plus bel ennemi
Quand elles ont l'éclat de la fleur
Et déjà la saveur du fruit
Les biches
Qui passent toute vertu dehors
Alors que c'est de tout leur cur
Alors que c'est de tout leur corps
Qu'elles trichent
Lorsqu'elles broutent le mari
Ou lorsqu'elles broutent le diamant
Sur l'asphalte bleu de Paris
Les biches
Qu'on les chasse à coups de rubis
Ou qu'elles nous chassent au sentiment
Elles sont notre plus bel ennemi
Les biches de vingt ans
Elles sont notre pire ennemi
Lorsqu'elles savent leur pouvoir
Mais qu'elles savent leur sursis
Les biches
Quand un chasseur est une chance
Quand leur beauté se lève tard
Quand c'est avec toute leur science
Qu'elles trichent
Trompant l'ennui plus que le cerf
Et l'amant avec l'autre amant
Et l'autre amant avec le cerf
Qui biche
Mais qu'on les chasse à la folie
Ou qu'elles nous chassent du bout des gants
Elles sont notre pire ennemi
Les biches d'après vingt ans
Elles sont notre dernier ennemi
Quand leurs seins tombent de sommeil
Pour avoir veillé trop de nuits
Les biches
Quand elles ont le pas résigné
Des pèlerins qui s'en reviennent
Quand c'est avec tout leur passé
Qu'elles trichent
Afin de mieux nous retenir
Nous qui ne servons à ce temps
Qu'à les empêcher de vieillir
Les biches
Mais qu'on les chasse de notre vie
Ou qu'elles nous chassent parce qu'il est temps
Elles restent notre dernier ennemi
Les biches de trop longtemps"
[quote="Spleen"][quote="Maitre Kaio"]Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.[/quote]ARRETE D'ECOUTER SAEZ !
(j'ai jamais trop posté par ici parce que quand j'aime bien je sais pas quoi dire mais pour le coup vouala)[/quote]
J'AVOUEEEEEEEEEEE
Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.ARRETE D'ECOUTER SAEZ !
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
(j'ai jamais trop posté par ici parce que quand j'aime bien je sais pas quoi dire mais pour le coup vouala)
J'AVOUEEEEEEEEEEE
A le relire je crois que c’est mon préféré celui là, il se lit et se relit en boucle!
Pommeau de sabre en main, il contemple les lieux
Les terres qu'il convoite se dévoilent à ses yeux
C'est ivre de conquête qu'il toise son armée
Hisser son étendard tout gonflé de fierté
La cavalerie déjà est entrée en manœuvre
Contournant par les ailes, elle a pris les devant
Battant sol des fers de ses chevaux puissants
Elle accule l'ennemi, assailli par ses flancs
Contraint sous l'offensive d'ouvrir grand ses défenses
À la charge sonnante du clairon solennel
Toute lame tendue fendant chairs d'ardeur
L'ennemi tombe à la lutte, transpercé par l'épée
Il regarde l'ennemi en tutoyant les anges
À genou bouche ouverte quémander la clémence
Qu'il saura accorder, cet homme est un seigneur
Qui conquiert comme on meurt en y laissant son cœur