Le souffle des aurores
Répand des poussières d'or.
Le monde à tes cils
Quand tu les déployes ,
Pour ouvrir tes paupières,
Une presqu'île,
Où des embruns se noyent,
Au bleu de tes rivières,
Ruisselant à tes pupilles,
De ton reflet je brille.

Je marche nu ,seul, à la campagne fraîche et brumeuse.Je marche au hasard ,l'un de ces matins où les possibles sont à porter d'esprit.Je marche,dans la foulée d'une biche qui proclame dans sa stature sa liberté,celle qu'on ne connaîtra jamais...
Restant ainsi dans son empreinte ,pour peut être appréhender cette furieuse sérénité.
Je marche donc pour fuir ,comme tant d'hommes ont déjà fait avant moi.Mais au delà de cette lâcheté,qui ferait rougir les cœurs dans nos hémorragies de sanglots, se battant perpétuellement dans chaques battements,une bataille ,la plus grande,je marche pour grandir,pour apprendre,je marche pour être.Comme pour fendre le brouillard et y voir plus clair ,plus loin,d'une lucidité dépassant notre conscience, défiant l'inconscience.Mes mots poussent à ma pensée comme un jardin bourgeonne au printemps,ils se pollenisent à chaque œil qui les lit.Ils poussent comme je marche...

c'est marrant, j'étais en train de poster un truc sur la brume aussi.
et moi aussi comme la biche je vais bientôt prendre la route de la liberté et
fendre le brouillard et y voir plus clair <3

Je marche nu ,seul, à la campagne fraîche et brumeuse.Je marche au hasard ,l'un de ces matins où les possibles sont à porter d'esprit.Je marche,dans la foulée d'une biche qui proclame dans sa stature sa liberté,celle qu'on ne connaîtra jamais...
Restant ainsi dans son empreinte ,pour peut être appréhender cette furieuse sérénité.
Je marche donc pour fuir ,comme tant d'hommes ont déjà fait avant moi.Mais au delà de cette lâcheté,qui ferait rougir les cœurs dans nos hémorragies de sanglots, se battant perpétuellement dans chaques battements,une bataille ,la plus grande,je marche pour grandir,pour apprendre,je marche pour être.Comme pour fendre le brouillard et y voir plus clair ,plus loin,d'une lucidité dépassant notre conscience, défiant l'inconscience.Mes mots poussent à ma pensée comme un jardin bourgeonne au printemps,ils se pollenisent à chaque œil qui les lit.Ils poussent comme je marche...

Je marche nu ,seul, à la campagne fraîche et brumeuse.Je marche au hasard ,l'un de ces matins où les possibles sont à porter d'esprit.Je marche,dans la foulée d'une biche qui proclame dans sa stature sa liberté,celle qu'on ne connaîtra jamais...
Restant ainsi dans son empreinte ,pour peut être appréhender cette furieuse sérénité.
Je marche donc pour fuir ,comme tant d'hommes ont déjà fait avant moi.Mais au delà de cette lâcheté,qui ferait rougir les cœurs dans nos hémorragies de sanglots, se battant perpétuellement dans chaques battements,une bataille ,la plus grande,je marche pour grandir,pour apprendre,je marche pour être.Comme pour fendre le brouillard et y voir plus clair ,plus loin,d'une lucidité dépassant notre conscience, défiant l'inconscience.Mes mots poussent à ma pensée comme un jardin bourgeonne au printemps,ils se pollenisent à chaque œil qui les lit.Ils poussent comme je marche...

Je sais pas si j'ai le droit ... enfin pourquoi je l'aurais pas, je sais pas, de dire cela
Mais j'aime énormément

Pas à pas,
De part en part,
Dans ton flanc la répression,
Un trou dans ta chair
Toujours plus à vif ...

Des splendeurs qui foudroyent
Et se précipitent à ton endroit,
Des clameurs et ses vertiges,
Inondent mes vestiges,
À mes grottes silencieuses,
Sont enfouies des venimeuses.
Des gouffres à ma langue,
Du souffle puis ça tangue,
D'âmes noyées à l'azur déployé.
Les contres courants ont afflué.

Des splendeurs qui foudroyent
Et se précipitent à ton endroit,
Des clameurs et ses vertiges,
Inondent mes vestiges,
À mes grottes silencieuses,
Sont enfouies des venimeuses...

J'ai ton mal en moi,
J'ai ce don en toi,
Nos accords mêlés,
Entre nos corps glissés....

Au venin des larmes
Qui nous bercent aux sanglots,
D'une amertume douce,
D'une passion qui incarne,
Nos sentiments longs, ces flots,
Qui perlent à nos trousses.
Puis à l'iris vient la sécheresse
Et on doute qu'elle n'est jamais existée.
Il n'y a pas de grande tristesse ,
À ceux qui se sont déversés,
Qui se sont un peu froissés.
Mais en la poésie son âme à peine voilée,
Voici ces nuances troublées.
On l'appelle toujours mieux le cœur mouillé.
Se devine alors la page et son écrit,
Ma fiancée la mélancolie.

https://photos.app.goo.gl/UgYeQNRhYRoDsJY87

Musique;olafur arnalds

L'allumette craque,mes nerfs aussi,
Le feu te traque, mon corps oublie.
Tu te dénudes au cœur de la lune,
Je n' élude l'horreur de la thune....

Le bruit des armes claque
Dans le vide immense,
D'une nuit trop profonde,
L'éclair vient d'un feu qui braque,
Puis un trou qui danse
Dans la chair immonde ....

L'allumette craque,mes nerfs aussi,
Le feu te traque, mon corps oublie.
.

L'écume de nos nuits
À nos étreintes inaffranchies
Perle le désir imprimé à la peau.
La fleur s'abreuve à mes maux.
Écarlates à la sueur de nos batailles.
Puisqu'il en est ainsi à vos murailles,
Toujours se battre, même pour s'aimer,
Sentir ton cœur sur mon âme,
Et l'effleurer et m'irradier,
Tes caresses seront la flamme...

L'écume de nos nuits
À nos étreintes inaffranchies
Perle le désir imprimé à la peau.
La fleur s'abreuve à mes maux.
Écarlates à la sueur de nos batailles.
Puisqu'il en est ainsi à vos murailles,
Toujours se battre, même pour s'aimer,
Sentir ton cœur sur mon âme,
Et l'effleurer et m'irradier,
Tes caresses seront la flamme...

Il est des trésors qui s'enterrent puis d'autres qui se déterrent à un jardin, à ce jardin,celui qui nous fait dominer les cimes ,les plus hautes,les plus grandes,celles qui nous font grandir...
On doit être des fleurs ou même des arbres , à nous faire pousser dans vos jardins,un baiser et on éclot ...un au revoir et on meurt enraciné à notre destin....

S'il en est qu'un à compter mes battements,
Ils en sont des milliers à vous aimez,
Vos sourires en sont l'écrin des océans,
ces profondeurs sont le miroir des pupilles à donner,
Des frissons à ma peau se dressant,
Comme le drapeau au sommet se hissant...
Il ne reste à mes mains que des marées de sel,
Une plage à vous contez ce qu'elle ruisselle...

Il est des trésors qui s'enterrent puis d'autres qui se déterrent à un jardin, à ce jardin,celui qui nous fait dominer les cimes ,les plus hautes,les plus grandes,celles qui nous font grandir...

Entre l'éclat d'un soleil au parfum de pluie,
Et les fragments de lune qui confient,à nos corps irradient.
Des poussières éparses à mes yeux,
D'une étoile planant entre nous deux...
Et on soufflera des souffles toujours à bout,
Comme le dernier ,impatient de survivre à ton cou.

Au dernier repas,l'enfant prodigue,
Au sommet ,l'esclavage moderne,
D'une éducation qu'on endigue.
La caméra, l'horreur qu'on discerne.
Le suicide qui se meurt lentement,
Un rayon d'une chaleur caressant,
Étouffe les sanglots éperdus,
Le vide désespérément
Au gouffre du néant,
Les chiffres nous ont perdu,
Les stats suspendues
À Damoclès fendu.
L'homme ne vaut rien,
Un dimanche de l'or,
La ruée vers l'illégalité.
L'homme ne vaut rien,
Des paillettes encore
À notre humanité...
On ira cueillir des rêves,
On ira cueillir du blé,
Il en faut pour nos sociétés,
C'est un peu sa sève,
C'est un peu son sang,
Son adn dans nos tourments.

J' essaye de me remplir, d'éclats de mélodies,de rires,de mots, d'abstractions toujours plus poétiques,de parfums où s'évapore l'amour que le temps fait passer...
Mais la passion ne se comte pas,elle t'absorbe ,elle te prend,te secoue et te laisse étourdi par le miel d'un baiser.
Elle te déchire aussi mais tu vis.
Je suis vide de solitude ,de sens,un amas de bon sentiment qui pourri .
Je suis un trou ,une absurdité humaine autant que ces chiffres qui nous gouvernent....

J' essaye de me remplir, d'éclats de mélodies,de rires,de mots, d'abstractions toujours plus poétiques,de parfums où s'évapore l'amour que le temps fait passer...
Mais la passion ne se comte pas,elle t'absorbe ,elle te prend,te secoue et te laisse étourdi par le miel d'un baiser.
Elle te déchire aussi mais tu vis.
Je suis vide de solitude ,de sens,un amas de bon sentiment qui pourri .
Je suis un trou ,une absurdité humaine autant que ces chiffres qui nous gouvernent....

J' essaye de me remplir, d'éclats de mélodies,de rires,de mots, d'abstractions toujours plus poétiques,de parfums où s'évapore l'amour que le temps fait passer...
Mais la passion ne se comte pas,elle t'absorbe ,elle te prend,te secoue et te laisse étourdi par le miel d'un baiser.
Elle te déchire aussi mais tu vis.
Je suis vide de solitude ,de sens,un amas de bon sentiment qui pourri .
Je suis un trou ,une absurdité humaine autant que ces chiffres qui nous gouvernent....

Magnifique, pleins de sentiments, de sincérité, de douleur.
C'est vraiment poignant, ça saisit à l'intérieur, et les mots sont d'une très belle musicalité.

Dans le corps de suie
La cire encore luit,
Au bout la flamme crie
L'écho des armes cuit.

Puisque tu brules à la nuit,
De la mèche à l'incendie,
De la braise à nos larmes,
De la cendre à nos âmes.

Les états qui condamnent,
Nos sanglots qui se meurent,
L'écrou qui nous damne,
Nos amours qui se pleurent...

J' essaye de me remplir, d'éclats de mélodies,de rires,de mots, d'abstractions toujours plus poétiques,de parfums où s'évapore l'amour que le temps fait passer...
Mais la passion ne se comte pas,elle t'absorbe ,elle te prend,te secoue et te laisse étourdi par le miel d'un baiser.

Toi,tu plumes comme tu écris,
Toi, tu consumes à tes débris.
Et tes cris volent à mes nuits,
tes ailes soulèvent la pluie.

Mes orages dessineront le ciel
Ils traceront des éclairs à ton fiel,
Tes Vénus à mes ivresses,
Chavirent à nos souplesses...

À tes rives, à ta plage,
Les yeux étincelant ,
Ceux qui mettent de l'or
À mes rochers.
À ma peine la page
D'un noir troublant
Et fend les aurores
Miraculées...

À la face des ondées,
Le souffle des printemps.
Et quand tu m'inondes
À la force du vent,
Voici les tempêtes
De l'azur des conquêtes...
À la pointe du jour,
Les falaises de ton corps,
Ton corsage se fait lourd,
Aux braises brûlent encore.

Je n'aime pas les gens,je préfère ma grotte,je n'aime pas les gens pourquoi les aimer...il faudrait en plus donner des raisons ,se justifier,et puis se soumettre...je n'aime pas les gens au delà du reflet carnassier que L'Homme évoque,ou bien d'une bêtise tristement reconnue par ses propres pères,ses propres mères,ses propres enfants... Lavés de tout soupçon d'hypocrisie...eh oui on soupçonne puis on fait la guerre par trop d'argent ,la plus grande des religions .Je n'aime pas les gens par amour propre, immaculé,de déceptions comme des gouffres,des déserts de pluies,de cimetières trop bien garnis...On préfère honorer nos morts car ils ferment bien leur gueule...Je n'aime pas les gens ...