Le forum SaezLive est définitivement fermé, les archives restent accessibles en lecture seulement.
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par @Isa qui a
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines
welcome @Indo sur ce topic ;)
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques