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Sur la route des vacances je retrouve le goût de la vie décalée comme les vignettes panini mal collées avec la bave du crapaud blanc ivoire que la verte colombe dégonfle à coups de bec émoussé à trop cogner sur des bambous jeunes et cons en verlan et en argot vieillissant seulement parlé par une poissonnière de l'Armorique, l'Armorique, je veux l'avoir et je l'aurai annexée avant Poutine qui se dore la pilule en Crimée sur une plage de galets bretons arrivés là pendant la tempête Tenchie d'air chaud venue du Sahara déserté par les Touaregs attirés par le chant des moineaux protozoaires en mosaïque de couleurs primaires visibles à l’œil nu comme un vers à soi lyonnais de la Croix Rousse reconnaissable à sa blondeur de Venise où Georges Clooney badine et claudique sur un chemin blanc parsemé de miettes de pain au sarrasin et aux figues rouges sang comme les entrailles du thon d'Alaska qui se les gèle en hibernation chez Picard en Picardie picardiesque où l'on se demande si les fleurs pousser ça existe ou c'est une invention de Bisounour le Calinour parisien au cœur pur et vaillant comme Michel Galabru revenu du Nord à cloche pied en suivant la ligne blanche zigzaguante
Sur la route des vacances je retrouve le goût de la vie décalée comme les vignettes panini mal collées avec la bave du crapaud blanc ivoire que la verte colombe dégonfle à coups de bec émoussé à trop cogner sur des bambous jeunes et cons en verlan et en argot vieillissant seulement parlé par une poissonnière de l'Armorique, l'Armorique, je veux l'avoir et je l'aurai annexée avant Poutine qui se dore la pilule en Crimée sur une plage de galets bretons arrivés là pendant la tempête Tenchie d'air chaud venue du Sahara déserté par les Touaregs attirés par le chant des moineaux protozoaires en mosaïque de couleurs primaires visibles à l’œil nu comme un vers à soi lyonnais de la Croix Rousse reconnaissable à sa blondeur de Venise où Georges Clooney badine et claudique sur un chemin blanc parsemé de miettes de pain au sarrasin et aux figues rouges sang comme les entrailles du thon d'Alaska qui se les gèle en hibernation chez Picard en Picardie picardiesque où l'on se demande si les fleurs pousser ça existe ou c'est une invention de Bisounour le Calinour parisien au cœur pur et vaillant comme Michel Galabru revenu du Nord à cloche pied en suivant la ligne blanche zigzaguante des routes
Sur la route des vacances je retrouve le goût de la vie décalée comme les vignettes panini mal collées avec la bave du crapaud blanc ivoire que la verte colombe dégonfle à coups de bec émoussé à trop cogner sur des bambous jeunes et cons en verlan et en argot vieillissant seulement parlé par une poissonnière de l'Armorique, l'Armorique, je veux l'avoir et je l'aurai annexée avant Poutine qui se dore la pilule en Crimée sur une plage de galets bretons arrivés là pendant la tempête Tenchie d'air chaud venue du Sahara déserté par les Touaregs attirés par le chant des moineaux protozoaires en mosaïque de couleurs primaires visibles à l’œil nu comme un vers à soi lyonnais de la Croix Rousse reconnaissable à sa blondeur de Venise où Georges Clooney badine et claudique sur un chemin blanc parsemé de miettes de pain au sarrasin et aux figues rouges sang comme les entrailles du thon d'Alaska qui se les gèle en hibernation chez Picard en Picardie picardiesque où l'on se demande si les fleurs pousser ça existe ou c'est une invention de Bisounour le Calinour parisien au cœur pur et vaillant comme Michel Galabru revenu du Nord à cloche pied en suivant la ligne blanche zigzaguante des routes de l'absurde comme ce texte venant de nulle part...
Tu as bien conclu ce cadavre @jej33. A toi de relancer!
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant
merci @jej33 ;)
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir
( je propose un cadavre "vivant" et respirant la poésie, on peut le faire... )
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres
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