Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de
JoannLataste Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne
Alizée Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë
Alizée Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots
bibounie Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne,
bibounie Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne,

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac
petitecaillou Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi,
JoannLataste Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi,

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première
Alizée Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que
Chach0u Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras
bibounie Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur
petitecaillou Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum
Alizée Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville
petitecaillou Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique
JoannLataste Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martiniqué même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince
bibounie Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martiniqué même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra
JoannLataste Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi de fin de soirée : on y retrouve plein d'éléments familiers mais globalement, c'est dégueulasse ;
JoannLataste Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi de fin de soirée : on y retrouve plein d'éléments familiers mais globalement, c'est dégueulasse ;

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi de fin de soirée : on y retrouve plein d'éléments familiers mais globalement, c'est dégueulasse ; heureusement que leur chien était là pour manger le vomi
attachiante Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi de fin de soirée : on y retrouve plein d'éléments familiers mais globalement, c'est dégueulasse ; heureusement que leur chien était là pour manger le vomi

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi de fin de soirée : on y retrouve plein d'éléments familiers mais globalement, c'est dégueulasse ; heureusement que leur chien était là pour manger le vomi, un super animal, ce chien, faut dire que c'est un Sharpei
JoannLataste Il y a 7 ans

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville pendant que la princesse léchait la peau de banane flambée au rhum de Martinique même si elle aurait préféré un rhum de Guadeloupe, principalement le Montebello qui seyait si bien à son beau prince car le Père Labat le mettait carpette, ce qui engendra un beau vomi de fin de soirée : on y retrouve plein d'éléments familiers mais globalement, c'est dégueulasse ; heureusement que leur chien était là pour manger le vomi, un super animal, ce chien, faut dire que c'est un Sharpei

Y a personne pour continuer ? :(
JoannLataste Il y a 7 ans

Y a personne pour continuer ?