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"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach et avec une mise en scène vaudevillesque dont la célèbre conclusion philosophique de Monsieur Germain est "Elle était profonde".
[quote="Didier"]"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach et avec une mise en scène vaudevillesque dont la célèbre conclusion philosophique de Monsieur Germain est "Elle était profonde".[/quote]
La boucle est bouclée ^^, maintenant il faut comprendre le sens de cette phrase ce qui n'est pas gagné :-D
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach et avec une mise en scène vaudevillesque dont la célèbre conclusion philosophique de Monsieur Germain est "Elle était profonde".
La boucle est bouclée , maintenant il faut comprendre le sens de cette phrase ce qui n'est pas gagné
Je crois qu'il y a tout dans cette phrase l'espoir déconfit et la mélancolie heureuse, la déchéance animale dans l'espoir et la musique d'une complainte de transition. @zaberlo peut être contente!
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre :D
[quote="zaberlo"]Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre :D[/quote]
^^ ça m'étonnerais fort... (mais je l'ai relu et tout se tient plus ou MOINS :-D)
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre
ça m'étonnerais fort... (mais je l'ai relu et tout se tient plus ou MOINS )
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes...
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste mais à la bière radieuse
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste mais à la bière radieuse, des anonymes connus et reconnus
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste mais à la bière radieuse, des anonymes connus et reconnus à leur démarche peu assurée et leurs
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste mais à la bière radieuse, des anonymes connus et reconnus à leur démarche peu assurée et leurs cheveux gras
Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste mais à la bière radieuse, des anonymes connus et reconnus à leur démarche peu assurée et leurs cheveux gras tombant sur leurs pulls
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Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre alors que nous sommes de pauvres anonymes alcooliques au vin joyeux et à l'eau triste mais à la bière radieuse, des anonymes connus et reconnus à leur démarche peu assurée et leurs cheveux gras tombant sur leurs pulls en laine de mouton d'une race aujourd'hui disparue mais en voie de réapparition par le clonage d'un goéland et d'une ourse asthmatique et bronzée mais terriblement fertile qui a donné naissance à une faune hétéroclite d'animaux semblant sortis tout droit d'une œuvre picturale d'un artiste aujourd'hui inconnu mais au succès foudroyant pendant les années folles où la joie de vivre était frappante comme un verre de téquila s'écrasant sur le comptoir et se cassant en une infinité de fragments éclatants sous la lumière blafarde des lampes à gaz menaçant à tout moment de s'éteindre et plonger dans les ténèbres ces êtres