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"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur
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"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition...
(je fatigue ^^)
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition
bah j'ai effacé. j'avais deux trains de retard...
Continuez. A trois c'est trop compliqué ! On va marcher sur nos propres mots... ;-)
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel...
[quote="jej33"]Continuez. A trois c'est trop compliqué ! On va marcher sur nos propres mots... ;-)[/quote]
C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit
Continuez. A trois c'est trop compliqué ! On va marcher sur nos propres mots...
C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit
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"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs...
[quote="Didier"]
C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit[/quote]
Ben le truc c'est que maintenant si je rajoute ma sauce j'ai de grande chance de le faire en même temps qu'Alizée.. Donc bon je laisse le flambeau.
Bonne nuit.
C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit
Ben le truc c'est que maintenant si je rajoute ma sauce j'ai de grande chance de le faire en même temps qu'Alizée.. Donc bon je laisse le flambeau.
Bonne nuit.
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques...
[quote="jej33"][quote="Didier"]
C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit[/quote]
Ben le truc c'est que maintenant si je rajoute ma sauce j'ai de grande chance de le faire en même temps qu'Alizée.. Donc bon je laisse le flambeau.
Bonne nuit.[/quote]
Suffit de s'organiser: les minutes en 3 en 6 et en 9 puis en 3 puis en...
Bonne nuit @jej33
C'est là qu'on voit les fans de Biolay, minuit au lit
Ben le truc c'est que maintenant si je rajoute ma sauce j'ai de grande chance de le faire en même temps qu'Alizée.. Donc bon je laisse le flambeau.
Bonne nuit.
Suffit de s'organiser: les minutes en 3 en 6 et en 9 puis en 3 puis en...
Bonne nuit jej33
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement ...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach...
"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach et avec une mise en scène vaudevillesque ...