Mais y'a @Suzie qui m'a fait du contact tactile hier soir.
Oh merde. Mon pauvre, je compatis.

je sais j'écoute toujours la même chose.

Mais Redemption Song, putain.


les frissons.


https://www.youtube.com/watch?v=OFGgbT_VasI

Métamorphose.
En papillon, entre autres choses,
De déraison en overdose.
Transformation.
En coquillage, en ecchymose,
De dérapage en triste cause.
Il n'y a pas d'age.
D'initiative à l'eau de rose
Et de dérive à qui ne l'ose
Déjà la fin.

Y a pas d’promesse, y a que l’ivresse.
Si l’on s’y perd, y a pas de carte, pas de repère pas d’GPS.
Y a pas d’promesse, que nos faiblesses.
Si on s’expose, si on s’arrose, y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Puis on implose.
Puis on implore, puis on se noie de métaphores.
Toujours, encore.
On compte les points, on compte sur l’autre, on s’conte nos jours, les pour ou contre.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a pas d’promesse qu’on s’laisse aller à boire.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Que si l’on perd c’est qu’on apprend.
Qu’si l’on digère chaque déboire, c’est qu’on apprend de chaque histoire.
Que l’on grandit, que l’on vieillit, que l’on se berce d’illusoire.
Y a qu’on est seul quand vient le soir, qu’on se nourrit de faux espoirs.
Y a pas d’promesse.
Y a que vouloir, c’est pas avoir, y a qu’désirer, c’est pas aimer.
Y a d’la tendresse, pour sûr, de la tendresse.
Des pairs de fesses, pour sûr, des pairs de fesses.
Y a des rencontres, et y a nos rêves.
Y a qu’des histoires qu’on aime à croire.
Y a qu’nos miroirs qu’on peine à voir.
Les rails de coke et les pétards.
Aller à boire.
Aller faut croire.
Qu’on se le dise y a nos mémoires.
Des souvenirs et des sourires.
À entretenir, à voir vieillir, à voir grandir, à laisser vivre.
Y a des soupirs, des impostures et des morsures.
Des cicatrices, des impossibles, des avenirs à nos blessures.
Toujours, encore.
La vie, la mort, nos écorchures.
Des fleuves d’or et de diamants, des océans sous nos fissures.
Des faux semblants, des écorchures.
Des ouragans, des sépultures.
Y a qu’les regrets ont la dent dure.
La vie, la mort, nos écorchures.
Y a qu’on se grise d’aléatoire.
Qu’on se le dise y a rien à croire.
Aller à boire.
Aller faut croire.

et ensuite tu regardes le prix du tshirt...

bon ok je te laisse la place

oh putain.

ça pique la gnôle.



Même pas je te parlais en fait arrête un peu ton cirque

Laisse parler les baveux et continue de mettre à sac la ponctuation, ils ne voient pas le silence, les eructeurs de salives, qui, entre les mots, permet la liberté que tu leur offre.

Salut à toi l'oiseau n'écoutes pas ceux qui se pensent en marge et qui lui rendent faussement hommage
@Churinga

désolé je m'amuse à troller un peu

Pourquoi pas , on peut penser aussi que le lecteur puisse mettre sa propre ponctuation , laissant place a une interprétation différente.
tant qu'à faire, poste des poèmes vides, comme ça le lecteur, il met les mots qu'il veut dedans \o/

pourrait on par la même en profiter pour partager un peu de notre chère ponctuation? de ci de là une virgule, un apostrophe à point nommé, et mieux encore une majuscule.

De nos chairs, sous l'écorce, se révèle à l'aurore l'envers du décor.
D'un dialogue de Prévert, dans l’effort et la mort, une larme qui perle sur l'audace d'une fossette juvénile et naïve.
Crève de joie triste clown à qui la maladie a rendu le sourire.
Cœur passé à l'ennemi, le temps perce la peau et s'enfuit par les pores des regrets infinis.
Combien de vérités le soleil a brûlées de ces rayons ardents, ombrageant nos mensonges et notre vanité au fond du haut de forme de l'homme distingué?
Et combien d'encrier pour une ligne d'Hugo, pour un trait sur l'avenir, une leçon oubliée?
Faut il compter, faut il en rire, combien de sacs plastique naviguent en troubles eaux?
De nos chairs, sous l'écorce, se révèle à l'aurore l'envers du décor.

moi je confirme j'en avais rien foutre.

ça nous coupe les jambes dis-donc.
@Suzie
on t'as reconnu Pistorius

OH PUTAIN

DE PUTAIN DE PUTAIN

moi je confirme j'en avais rien foutre.

J'veux qu'on baise sur ma tombe - Zenith 2002 - Saez

I'll be your baby tonight - Bob Dylan