C est poussiéreux mais bon, l amour pour moi ça ressemble à ça.
Suis pas mécontent, je change pas en fait.

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La séparation n’est ni une fatalité, ni une souffrance quand l’amour s'est estompé, quand l'histoire est usée. Mais quand l'amour, la passion, l'envie, les rêves sont toujours grandissants, réciproquement, comment doit-on faire ? On ne m'a jamais appris à mourir comme ça. L'éducation sexuelle n'est plus présente dans nos classes et l'éducation sentimentale alors, n’y a-t-on jamais pensé ? Pourquoi les têtes pensantes ne nous ont-elles jamais appris à nous protéger ? Une seule raison me vient : parce qu'en amour véritable nulle protection n'est nécessaire, elle doit être bannie d'ailleurs, on doit être ouvert et prêt à payer le prix fort en cas de contamination irréversible. C'est ce qui m'est arrivé, tu coules en moi comme je coulais en toi autrefois. Le mal est sévère, j’ai consulté, on ne peut rien faire. On m’en a fait avaler des placebos, naïfs qu’ils sont. N’ont-ils jamais aimé ? Aujourd’hui on veut me servir quoi ? Des putes lobotomisées ? Y’avait pas grand-chose à en tirer de toute façon ! Ca empeste le silicone et le latex. Quoi de meilleur que la véritable odeur du sexe qu’on retrouve toujours envahissante à l’aube après une courte nuit de sommeil ? Ta présence exalte ces molécules qui nous enivrent à nouveau. Chez nous pas de limite, pas de baisse de régime, jamais de fatigue dans l’étreinte. Et ces gens qui pensent faire l’amour. Laissez-moi rire ! Osent-ils seulement se regarder, se parler, se sentir, se goûter après leur chevauchée finalement solitaire ? Qu’y a-t-il de différent entre eux et la masturbation ? Osent-ils se regarder dans l’effort celui qui vous rend laid et beau à la fois sous les grimaces du plaisir ? Le plafond ou l’oreiller sont-ils leur unique horizon ou s’observent-ils sous toutes les formes, sous tous les angles ? Non, ils cachent ce qui pénètre ou ce qui se fait pénétrer. Pathétique. Nous, on avait nos miroirs, si on avait pu on en aurait mis partout pour ne rien rater. La caméra était souvent là pour compléter nos yeux si imparfaits. On a eu une fois un ministère du temps libre, vous imaginez ? Un ministère de la mal-baise, y’aurait pas eu un peu plus de boulot, non ? M’enfin si c’est pour confier ça à des bedonnants qui ne voient même plus leur propre sexe alors comment peuvent-ils prendre soin de celui des autres ? L’éducation sentimentale, pensez-y, là sera l’apothéose du sexe.

En attendant tes cris ne réveillent plus les voisins.

tu coules en moi comme je coulais en toi autrefois. Le mal est sévère, j’ai consulté, on ne peut rien faire.

... ou bien tout ses rêves ...
d'où la sagesse, peut être, avec le temps, de pas tout miser sur l'autre ?

... ou bien tout ses rêves ...
d'où la sagesse, peut être, avec le temps, de pas tout miser sur l'autre ?

l amour pour moi ça ressemble à ça.
l’apothéose du sexe.

... ou bien tout ses rêves ...
d'où la sagesse, peut être, avec le temps, de pas tout miser sur l'autre ?

Alors faut même pas commencer.

flush Tu parles de l'Amour, le seul celui qui fait que quand t'es avec d'autre tu compares mais du coup c'est perdu d'avance pour les autres.
C'est aussi une façon de se protéger de pas vouloir replonger quelque part.
C'est ce que j'ai perçu je peux me tromper.
Edit: Du coup comme dit @Meduse on peut s'ouvrir à une relation nouvelle sans tout miser sur l'autre pour se protéger mais ne pas se fermer non plus.

flush Tu parles de l'Amour, le seul celui qui fait que quand t'es avec d'autre tu compares mais du coup c'est perdu d'avance pour les autres.
C'est aussi une façon de se protéger de pas vouloir replonger quelque part.
C'est ce que j'ai perçu je peux me tromper.

Du coup comme dit @Meduse on peut s'ouvrir à une relation nouvelle sans tout miser sur l'autre pour se protéger mais ne pas se fermer non plus.

l'Amour, le seul celui qui fait que quand t'es avec d'autre tu compares mais du coup c'est perdu d'avance pour les autres.

Moi non plus j'en sais rien le but c'est de continuer à chercher encore et encore cette satanée réponse.
Malédiction de ce topic

'fin, n oubliez quand même pas que "De l'amour on ne guérit, que lorsqu'on trouve un autre amour".

Ah mais oui c'est m'sieur Saez qui a résolu une partie de l'énigme...tout en beauté comme d'habitude

'fin, n oubliez quand même pas que "De l'amour on ne guérit, que lorsqu'on trouve un autre amour".

Ah mais oui c'est m'sieur Saez qui a résolu une partie de l'énigme...tout en beauté comme d'habitude

Allez vu que j' ai déterré des trucs, tout le bien que je pense des amoureux.

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A bien y regarder, personne ne s’accorde sur l’origine de la Saint-Valentin… Preuve que cette grande mascarade n’existe que pour les mals aimés ou les mauvais aimants. A bien y regarder également, vous remarquerez que ceux qui en font le plus (souvent trop) sont ceux qui oublient le reste de l’année l’attention, méritée, de celui ou celle qui partage leurs nuits. Alors on y va de bouquets de fleurs en restaurants chics, de bijoux en hypocrites déclarations. Et l’autre qui fait semblant d’y croire, non moins content, le lendemain, de faire illusion d’un bonheur auprès des collègues de travail. On se pavane, on surenchérit dans le faussement vécu, comme s’ils devaient se prouver à eux-mêmes que tout cela existe vraiment. S’ils savaient que bien souvent le ou la collègue, confident privilégié choisi pour l’apparent intérêt, partage les moments intimes, qu’ils n’ont plus, avec leur amoureux d’une fois l’an… Pour ma part, bien que remarquant l’agitation accompagnant cette journée, en fait d’agitation ça respire plutôt la testostérone et l’œstrogène, tu parles : un an qu’ils n’ont pas fêté !… Donc pour ma part, je n’ai aucun complexe à dire que je ne me sens pas plus amoureux ce jour là, aucun signe de montée de libido. Je ne dis pas que je n’aurais pas une attention particulière ce jour là, mais je me plais dans la constance des jours qui s’enchaînent sans que ce que j’éprouve pour toi ne faiblisse… La difficulté de notre relation, tes absences contribuent surement à toujours repousser les limites de notre amour hors du commun. Mais putain que ça serait bon de se poser, enfin. Me voilà à jalouser les amoureux d’un jour, se rassurant d’une année à l’autre, constatant qu’ils sont toujours ensemble… mais pour quoi faire ? Pour quoi vivre ? Non, définitivement, je ne veux pas de cette vie là. Promis, même si tu reviens te poser, notre vie sera toujours faite de surprises, de défis, d’attentions non planifiées pour toi, de projets et de difficultés ceux qui nous font finalement avancer toujours plus soudés. Cette année dans tous les cas, je ne peux rien te prouver, tu n’es pas là. Les fleurs resteront sur les étals, elles trouveront de toute façon mauvais preneurs.

J’ai souvent fait pleurer mes yeux pour toi, souvent fait saigner mes bras pour toi. Cette nuit, ils ne demandent qu’à pouvoir te voir et te serrer…

l'Amour pour les uns et l'illusion de l'amour pour les autres....
C'est fort joli

Allez vu que j' ai déterré des trucs, tout le bien que je pense des amoureux.

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A bien y regarder, personne ne s’accorde sur l’origine de la Saint-Valentin… Preuve que cette grande mascarade n’existe que pour les mals aimés ou les mauvais aimants. A bien y regarder également, vous remarquerez que ceux qui en font le plus (souvent trop) sont ceux qui oublient le reste de l’année l’attention, méritée, de celui ou celle qui partage leurs nuits. Alors on y va de bouquets de fleurs en restaurants chics, de bijoux en hypocrites déclarations. Et l’autre qui fait semblant d’y croire, non moins content, le lendemain, de faire illusion d’un bonheur auprès des collègues de travail. On se pavane, on surenchérit dans le faussement vécu, comme s’ils devaient se prouver à eux-mêmes que tout cela existe vraiment. S’ils savaient que bien souvent le ou la collègue, confident privilégié choisi pour l’apparent intérêt, partage les moments intimes, qu’ils n’ont plus, avec leur amoureux d’une fois l’an… Pour ma part, bien que remarquant l’agitation accompagnant cette journée, en fait d’agitation ça respire plutôt la testostérone et l’œstrogène, tu parles : un an qu’ils n’ont pas fêté !… Donc pour ma part, je n’ai aucun complexe à dire que je ne me sens pas plus amoureux ce jour là, aucun signe de montée de libido. Je ne dis pas que je n’aurais pas une attention particulière ce jour là, mais je me plais dans la constance des jours qui s’enchaînent sans que ce que j’éprouve pour toi ne faiblisse… La difficulté de notre relation, tes absences contribuent surement à toujours repousser les limites de notre amour hors du commun. Mais putain que ça serait bon de se poser, enfin. Me voilà à jalouser les amoureux d’un jour, se rassurant d’une année à l’autre, constatant qu’ils sont toujours ensemble… mais pour quoi faire ? Pour quoi vivre ? Non, définitivement, je ne veux pas de cette vie là. Promis, même si tu reviens te poser, notre vie sera toujours faite de surprises, de défis, d’attentions non planifiées pour toi, de projets et de difficultés ceux qui nous font finalement avancer toujours plus soudés. Cette année dans tous les cas, je ne peux rien te prouver, tu n’es pas là. Les fleurs resteront sur les étals, elles trouveront de toute façon mauvais preneurs.

J’ai souvent fait pleurer mes yeux pour toi, souvent fait saigner mes bras pour toi. Cette nuit, ils ne demandent qu’à pouvoir te voir et te serrer…

On parle de quel amour dans ce topic?
Perso je vois pas la différence entre aimer un.e ami.e et aimer un.e conjoint.e.

Mais non du coup vous êtes pas les seules ça a été évoqué dans le topic

il ne faut pas s'oublier et ne pas tout dévoiler pour faire en sorte qu'il y ait encore de belles découvertes à explorer chez l'un et l'autre au fil du temps.
Peut être. ..

Ce n'est pas une question de tout dévoiler ou pas ... avec le temps, les mystères sont fatalement moins épais.
Je comprend très bien ce que veux dire Ema ... cette tendance à la fusion, si au lit c'est merveilleux, au quotidien c'est chiant à mourir. Comment ne pas s'endormir dans une routine ? dans ce confortable immobilisme ? L'amour à deux devrait être une quête aussi intense et renouvelée que la quête de Soi.

En s'engueulant et en se réconciliant souvent mais chaque fois on change le scénario
C'est valable pour l'amitié aussi

L'amour, c'est une aliénation.
Une dépendance à l'autre apparaît. Elle peut être belle, elle peut être malsaine, elle peut nous grandir ou nous avilir.

Certains l'acceptent, la supportent et puis d'autres pas.
Certains s'enfuient, se noient, s'oublient, se tuent, tuent leur amour.
D'autres ferment les yeux et s'abandonnent.

la définition de l'amour en post-it

Les êtres humains ont la capacité à sublimer de simples relation sociales.

Ils ont créer le concept même de l'amour.

L'amour est un concept qui ne prend réellement forme dans l'esprit qu'une fois perdu

...sauf l'amour qu'on a pour ses enfants, à ce niveau il y a quelque chose d'immédiat et de d'infini <3

Quand on se parle plus tu me manques et sinon j'ai envie de crever ton chien, souvent.
Tu as raison @Rosenrot,
Et oui les enfants on les aime tout le temps. C'est pur, c'est l'évidence, c'est le boulversement de ta vie, c'est l'amour à perpétuité. C'est une continuité de toi, la plus belle des traces.
(Rectif du post)

Et oui les enfants on les aime tout le temps. C'est pur, c'est l'évidence, c'est le boulversement de ta vie, c'est l'amour à perpétuité. C'est une continuité de toi, la plus belle des traces.
(Rectif du post)

Et oui les enfants on les aime tout le temps. C'est pur, c'est l'évidence, c'est le boulversement de ta vie, c'est l'amour à perpétuité. C'est une continuité de toi, la plus belle des traces.
(Rectif du post)

Désolée de plomber l'ambiance mais ce n'est pas aussi évident que cela. Sans même parler des enfants battus physiquement, pour certains parents, les enfants sont des fardeaux avec lesquels ils doivent composer et s'en sortent plus ou moins.
Quant à l'élan d'amour ressenti à la naissance ou au premier contact, cet instant magique où tu tiens son petit corps contre le tien, que sa tête se relève, ses yeux s'ouvrent, ses petits doigts se crispent contre ta peau, et l'amour dégouline de tout ton être pour ce petit humain dont tu es maintenant responsable.... ben pour certains, ça n'arrive pas. Parfois l'amour se construit petit à petit, et parfois, jamais.
Voilà, voilà.

C est possible de reparler un peu de cul? Le reste c est chiant et nian nian.

L'amour c'est ce qu'il y a entre le premier rencard et la pension alimentaire. J'ai bon?


Ok je sors.