Exactement, c'est ce que je disais, il y a plusieurs interprétations. Je vais reposer ma question en fait, La madre ... je ne retrouve plus ton commentaire où tu développais ce truc de la schizophrénie ... Peux tu développer ce que tu sous-entendais en disant que Barbara était réduit à sa schizophrénie et sa résilience (je reformule de tête, je retrouve pas tes mots précisément) ? Ça m'intéresse parce que je suis très très surprise de ton "idée" de Barbara.
Nulie Il y a 6 ans

Exactement, c'est ce que je disais, il y a plusieurs interprétations.

Je vais reposer ma question en fait, La madre ... je ne retrouve plus ton commentaire où tu développais ce truc de la schizophrénie ... Peux tu développer ce que tu sous-entendais en disant que Barbara était réduit à sa schizophrénie et sa résilience (je reformule de tête, je retrouve pas tes mots précisément) ? Ça m'intéresse parce que je suis très très surprise de ton "idée" de Barbara.

Merci beaucoup pour ce développement ! Je comprends mieux ce que tu voulais dire en effet et, en plus, je trouve effectivement ce sujet très très intéressant :) C'est une ligne effectivement très complexe celle entre artiste et public. Pour celui qui reçoit il y a aussi cette effet de "guérison", trouver quelqu'un qui met les mots les émotions sur quelque chose que l'individu a en lui. C'est aussi un échange étrange presque, l'artiste exorcise quelque chose pour lui-même mais il le fait aussi pour d'autre ... c'est comme une communion dans la résilience (pour reprendre ton terme). Après on peut même aller plus loin. Mettons que l'artiste a besoin de sortir tout ça pour avancer, guérir des choses personnelles. Il pourrait très bien le faire sans avoir besoin de l'exposer. Ça veut peut être aussi dire qu'il faut un témoin pour que quelque chose prenne vie d'une part et disparaître dans une autre dimension. Cette exposition c'est la marque d'un changement alors. Comme tu l'as dit en fait, pour le cas de la douleur il semble qu'il faut un témoin. Et pourquoi ça paraît nian nian de faire la même démarche pour du positif ? Il y a certes certaines oeuvres qui sont ultra positive et qui ont leur place, mais on dit souvent qu'écrire sur le bonheur c'est chiant (je fais des gros raccourcis pour faire plus simple) ... est ce que finalement l'art n'est qu'une manière de liberer l'humain de ses fardeaux ? De ses angoisses, peurs, tristesses ? Évacuer quelque chose d'abstrait, "psychologique" par une autre chose très abstraite et flou ... qui fait appel à ce que chacun veut mettre comme émotion, engouement etc
Nulie Il y a 6 ans

Merci beaucoup pour ce développement ! Je comprends mieux ce que tu voulais dire en effet et, en plus, je trouve effectivement ce sujet très très intéressant

C'est une ligne effectivement très complexe celle entre artiste et public. Pour celui qui reçoit il y a aussi cette effet de "guérison", trouver quelqu'un qui met les mots les émotions sur quelque chose que l'individu a en lui. C'est aussi un échange étrange presque, l'artiste exorcise quelque chose pour lui-même mais il le fait aussi pour d'autre ... c'est comme une communion dans la résilience (pour reprendre ton terme).
Après on peut même aller plus loin. Mettons que l'artiste a besoin de sortir tout ça pour avancer, guérir des choses personnelles. Il pourrait très bien le faire sans avoir besoin de l'exposer. Ça veut peut être aussi dire qu'il faut un témoin pour que quelque chose prenne vie d'une part et disparaître dans une autre dimension. Cette exposition c'est la marque d'un changement alors. Comme tu l'as dit en fait, pour le cas de la douleur il semble qu'il faut un témoin. Et pourquoi ça paraît nian nian de faire la même démarche pour du positif ? Il y a certes certaines oeuvres qui sont ultra positive et qui ont leur place, mais on dit souvent qu'écrire sur le bonheur c'est chiant (je fais des gros raccourcis pour faire plus simple) ... est ce que finalement l'art n'est qu'une manière de liberer l'humain de ses fardeaux ? De ses angoisses, peurs, tristesses ? Évacuer quelque chose d'abstrait, "psychologique" par une autre chose très abstraite et flou ... qui fait appel à ce que chacun veut mettre comme émotion, engouement etc

[quote="La madre"]Ouaip! En fait c’était pour lancer ce débat justement qui enferme une personnalité dans son propre personnage. Et du star système aussi. Mais juste pour revenir sur saez/Damien saez et la frontière avec son public elle n’existe pas, le mec tu vas le voir tu lui poses une question il te répond c’est simple comme bonjour, c’est juste moi qui utilise ce prétexte pour pondre mon concept de la groupimania cannibalistique et encore là il s’agit de l’exploitation d’une autre frontière que celle de saez/Damien saez mais plus, ouvrir la parenthèse ( on va faire des maths): (Saez/Damien saez) + x = (groupie/femme) (parasite+arriviste) Après je fais peut être un lapsus pour Barbara, parce que j’ai le souvenir d’une de mes camarade danseuse qui avait fait une performance en chantant à un moment l’aigle noir de Barbara et j’ai pleuré c’était ultra chelou comment ça m’a pris aux tripes puis au fil des années j’ai fini par découvrir ce rapport ambigüe qu’elle a eu avec son père et les hommes. donc peut être aie je fait une espèce de raccourci par rapport à l’interprétation de la chanson mais j’ai pourtant bien le souvenir d’avoir entendu à plusieurs reprises cette idée que l’aigle noir transcende cette résilience de l’inceste. Et donc le rapprochement entre les chansons l’aigle noir et ma plus belle histoire d’amour c’est vous était dans une intention d’embrayer sur un sujet complexe de cette espèce de schizophrénie de l’artiste qui a besoin de l’exposition pour faire exister son œuvre et qui a ce flou sur cet échange entre celui qui regarde et reçoit l’oeuvre et celui qui l’a donne. On parle souvent qu’il faut un témoin à la douleur pour s’en déposséder. Puis l’art ok transcende. Bon bref faut que je trouve mon listing de questions pour vous aider à comprendre mon interrogation qui m’obsède... Mais c’est très compliqué donc c’est pour ça que j’ai utilisé la référence d’alice Miller pour soutenir l’ouverture au débat, parce qu’elle parle de ces stars qui sont exposées devant des milliards de personne mais qui finissent parfois par en mourir de cet amour qui n’est pas forcément présent au quotidien ou au contraire écrasant. Ou alors pour grossir le trait on peut parler des fans et du public qui finissent par se transformer en leur idole ou par se tatouer un visage en référence à l’amour qu’ils ressentent pour elle, etc... c’est pour ça que je parlais de protection réciproque autant pour celui/celle qui est exposé que pour celui/celle qui regarde le sujet exposé. Mais c’est pour ça que j’insiste pour ne pas renfermer le débat sur notre amoureux chéri Damien Saez.[/quote] Ça dépend ce que l'on entend par "amour", justement reste à définir ce que l'on ressent pour un artiste mais je dirais que c'est plutôt de l'admiration, surement du respect... Peut-être que les artistes qui meurent parce que l'amour n'est pas présent au quotidien c'est qu'ils espèrent un amour inconditionnel, je sais pas si la groupitude peut apporter ça ?! et les personnes qui finissent par s'identifier à leur idole il y a comme une lacune sur leur développement de la personnalité
bibounie Il y a 6 ans

Ouaip!

En fait c’était pour lancer ce débat justement qui enferme une personnalité dans son propre personnage. Et du star système aussi. Mais juste pour revenir sur saez/Damien saez et la frontière avec son public elle n’existe pas, le mec tu vas le voir tu lui poses une question il te répond c’est simple comme bonjour, c’est juste moi qui utilise ce prétexte pour pondre mon concept de la groupimania cannibalistique et encore là il s’agit de l’exploitation d’une autre frontière que celle de saez/Damien saez mais plus, ouvrir la parenthèse ( on va faire des maths):

(Saez/Damien saez) + x = (groupie/femme) (parasite+arriviste)


Après je fais peut être un lapsus pour Barbara, parce que j’ai le souvenir d’une de mes camarade danseuse qui avait fait une performance en chantant à un moment l’aigle noir de Barbara et j’ai pleuré c’était ultra chelou comment ça m’a pris aux tripes puis au fil des années j’ai fini par découvrir ce rapport ambigüe qu’elle a eu avec son père et les hommes. donc peut être aie je fait une espèce de raccourci par rapport à l’interprétation de la chanson mais j’ai pourtant bien le souvenir d’avoir entendu à plusieurs reprises cette idée que l’aigle noir transcende cette résilience de l’inceste. Et donc le rapprochement entre les chansons l’aigle noir et ma plus belle histoire d’amour c’est vous était dans une intention d’embrayer sur un sujet complexe de cette espèce de schizophrénie de l’artiste qui a besoin de l’exposition pour faire exister son œuvre et qui a ce flou sur cet échange entre celui qui regarde et reçoit l’oeuvre et celui qui l’a donne. On parle souvent qu’il faut un témoin à la douleur pour s’en déposséder. Puis l’art ok transcende.

Bon bref faut que je trouve mon listing de questions pour vous aider à comprendre mon interrogation qui m’obsède...

Mais c’est très compliqué donc c’est pour ça que j’ai utilisé la référence d’alice Miller pour soutenir l’ouverture au débat, parce qu’elle parle de ces stars qui sont exposées devant des milliards de personne mais qui finissent parfois par en mourir de cet amour qui n’est pas forcément présent au quotidien ou au contraire écrasant. Ou alors pour grossir le trait on peut parler des fans et du public qui finissent par se transformer en leur idole ou par se tatouer un visage en référence à l’amour qu’ils ressentent pour elle, etc... c’est pour ça que je parlais de protection réciproque autant pour celui/celle qui est exposé que pour celui/celle qui regarde le sujet exposé.

Mais c’est pour ça que j’insiste pour ne pas renfermer le débat sur notre amoureux chéri Damien Saez.
@La madre


Ça dépend ce que l'on entend par "amour", justement reste à définir ce que l'on ressent pour un artiste mais je dirais que c'est plutôt de l'admiration, surement du respect...
Peut-être que les artistes qui meurent parce que l'amour n'est pas présent au quotidien c'est qu'ils espèrent un amour inconditionnel, je sais pas si la groupitude peut apporter ça ?!
et les personnes qui finissent par s'identifier à leur idole il y a comme une lacune sur leur développement de la personnalité

Qu'est ce qui est défini comme étant de l'art et un artiste ? En voilà une manière étrange d'aborder ce sujet. Surtout sur l'artiste.Définir quelqu'un en tant qu'artiste ou non c'est propre à chacun dans le sens ou la définition de ce qui est défini comme art, varie d'une personne à l'autre … Il faudrait donc s'accorder dés le départ sur l'art … Ahah Bah c'est mal barré ! Je ne pense pas que la définition d'artiste dépende du « public » puisqu'à mon sens pratiquer un art c'est communiquer, en mode « hey j'ai un truc à exprimer ! » Alors certes, souvent c'est communiquer avec les autres, c'est même souvent le but ultime, néanmoins c'est avant tout communiquer avec soi même. Et ça commence toujours comme ça d'ailleurs, on partage rarement* au tout début (Je mets « rarement » car en écrivant je me suis rendu compte que j'étais moi même un contre exemple ahah). Chaque artiste est libre de partager son art ou non, de le garder pour soi toute une vie ou de chercher à le partager avec le plus grand nombre. Dans tous les cas ils restent à mes yeux des artistes. Du coup je ne pense pas qu'il y ait un lien avec la popularité, la visibilité, les ventes etc (ce qui rejoint la question de « l'artiste raté », mais plus tard ^^). J'ai tendance à considérer les gens comme artiste de manière assez simple à mon sens, dés que je détecte la passion, la générosité, si je sens que la personne a mis du cœur à l'ouvrage, mieux encore qu'elle s'est éclaté, enfin qu'elle s'éclate, bon bah c'est bon il y a l'essentiel ! Artiste !!! Et puis si je ne ressens pas tout ça, parce que je ne comprends pas, ou que ça fait juste pas écho en moi, je me penche sur le « travail » on va dire. Genre « est ce que cette œuvre à demandé une connaissance assidue dans l'art pratiqué ?» Qu'on s'y connaisse ou pas, quand même, ya souvent moyen de se rendre compte j'pense, pas besoin d'être un expert. Mais voilà c'est encore une fois très subjectif puisque je peux voir le travail dans une œuvre et pas mon voisin … En bref, je suis libre de m'autoproclamé artiste et mon voisin est libre de ne pas être d'accord. Tout comme je suis libre de ne pas me considérer comme artiste et mon voisin si ! Mais tout ça … Boarf … C'est des questionnements que je ne vois que sur le net franchement. Dans mon entourage, à l'école, les camarades de classe, les profs … J'entends jamais ce genre de questionnent. Parceque « être artiste » ça veut rien dire en un sens. C'est pas un métier, c'est un terme général. Pis si y'a bien un truc qui m'énerve c'est : Machin : Hey tu fais quoi dans la vie ? Truc : Je suis artiste ! Machin : Artiste ? Artiste quoi ? Truc : Dessinateur ! Bah dis le direct ! Plutôt que de ménager une sorte de suspense là ! Mais j'crois que ce mot est devenu assez moche à mes yeux car trop sacralisé. « Artiste raté » ? J'y crois pas ! Tout comme l'artiste qui à réussi d'ailleurs. Raté ou réussir ok mais selon quoi ? C'est toujours pareil, l'artiste raté c'est celui qui n'a pas réussi à vendre ? C'est l'artiste qui n'a pas réussi à vivre de son art ? Alors d'accord quand tu cherches à vivre de ton art et que tu n'y arrives pas c'est en quelque sorte un raté, mais est ce vraiment l'artiste qui est raté ? Quelle est ta visibilité ? Quel art pratiques tu ? Êtes vous nombreux à le pratiquer ? N'es tu pas noyé dans la masse par hasard ? T'as fait d'la promo ? … Berf c'est vraiment toi l’artiste raté ou le raté est ailleurs ? C'est ultra violent comme terme je trouve. Parceque quoi qu'il arrive et quelque soi l'art pratiqué je pense qu'il il y a toujours quelqu'un pour le recevoir, cet art. Après il y a plein d'autres facteurs qui entrent en jeu je pense. On m'a présenté mon directeur d'école comme ça, ouais ouais comme un artiste « raté ». Est ce lui qui se considère de cette manière, les autres ? Un ensemble ? J'sais pas ! Il a sûrement pas réussi à vivre de son art, mais il a ouvert une école qui apprend la bande dessinée à 30 nouveaux élèves par an … Peut on alors vraiment parler d’artiste raté ? J'en doute !;)
latent Il y a 6 ans

Qu'est ce qui est défini comme étant de l'art et un artiste ?

En voilà une manière étrange d'aborder ce sujet. Surtout sur l'artiste.Définir quelqu'un en tant qu'artiste ou non c'est propre à chacun dans le sens ou la définition de ce qui est défini comme art, varie d'une personne à l'autre … Il faudrait donc s'accorder dés le départ sur l'art … Ahah Bah c'est mal barré !

Je ne pense pas que la définition d'artiste dépende du « public » puisqu'à mon sens pratiquer un art c'est communiquer, en mode « hey j'ai un truc à exprimer ! »
Alors certes, souvent c'est communiquer avec les autres, c'est même souvent le but ultime, néanmoins c'est avant tout communiquer avec soi même. Et ça commence toujours comme ça d'ailleurs, on partage rarement* au tout début (Je mets « rarement » car en écrivant je me suis rendu compte que j'étais moi même un contre exemple ahah).
Chaque artiste est libre de partager son art ou non, de le garder pour soi toute une vie ou de chercher à le partager avec le plus grand nombre. Dans tous les cas ils restent à mes yeux des artistes.

Du coup je ne pense pas qu'il y ait un lien avec la popularité, la visibilité, les ventes etc (ce qui rejoint la question de « l'artiste raté », mais plus tard ).

J'ai tendance à considérer les gens comme artiste de manière assez simple à mon sens, dés que je détecte la passion, la générosité, si je sens que la personne a mis du cœur à l'ouvrage, mieux encore qu'elle s'est éclaté, enfin qu'elle s'éclate, bon bah c'est bon il y a l'essentiel ! Artiste !!!
Et puis si je ne ressens pas tout ça, parce que je ne comprends pas, ou que ça fait juste pas écho en moi, je me penche sur le « travail » on va dire.
Genre « est ce que cette œuvre à demandé une connaissance assidue dans l'art pratiqué ?»
Qu'on s'y connaisse ou pas, quand même, ya souvent moyen de se rendre compte j'pense, pas besoin d'être un expert.

Mais voilà c'est encore une fois très subjectif puisque je peux voir le travail dans une œuvre et pas mon voisin …
En bref, je suis libre de m'autoproclamé artiste et mon voisin est libre de ne pas être d'accord. Tout comme je suis libre de ne pas me considérer comme artiste et mon voisin si !



Mais tout ça … Boarf … C'est des questionnements que je ne vois que sur le net franchement.
Dans mon entourage, à l'école, les camarades de classe, les profs … J'entends jamais ce genre de questionnent. Parceque « être artiste » ça veut rien dire en un sens. C'est pas un métier, c'est un terme général.

Pis si y'a bien un truc qui m'énerve c'est :

Machin : Hey tu fais quoi dans la vie ?

Truc : Je suis artiste !

Machin : Artiste ? Artiste quoi ?

Truc : Dessinateur !

Bah dis le direct ! Plutôt que de ménager une sorte de suspense là !
Mais j'crois que ce mot est devenu assez moche à mes yeux car trop sacralisé.



« Artiste raté » ?

J'y crois pas ! Tout comme l'artiste qui à réussi d'ailleurs. Raté ou réussir ok mais selon quoi ?
C'est toujours pareil, l'artiste raté c'est celui qui n'a pas réussi à vendre ? C'est l'artiste qui n'a pas réussi à vivre de son art ?

Alors d'accord quand tu cherches à vivre de ton art et que tu n'y arrives pas c'est en quelque sorte un raté, mais est ce vraiment l'artiste qui est raté ?

Quelle est ta visibilité ? Quel art pratiques tu ? Êtes vous nombreux à le pratiquer ? N'es tu pas noyé dans la masse par hasard ? T'as fait d'la promo ? …
Berf c'est vraiment toi l’artiste raté ou le raté est ailleurs ?
C'est ultra violent comme terme je trouve. Parceque quoi qu'il arrive et quelque soi l'art pratiqué je pense qu'il il y a toujours quelqu'un pour le recevoir, cet art. Après il y a plein d'autres facteurs qui entrent en jeu je pense.

On m'a présenté mon directeur d'école comme ça, ouais ouais comme un artiste « raté ».
Est ce lui qui se considère de cette manière, les autres ? Un ensemble ? J'sais pas !
Il a sûrement pas réussi à vivre de son art, mais il a ouvert une école qui apprend la bande dessinée à 30 nouveaux élèves par an …
Peut on alors vraiment parler d’artiste raté ? J'en doute !


Moi j'suis un artiste qui se rate wesh
AnonymeIl y a 6 ans

Moi j'suis un artiste qui se rate wesh

https://youtu.be/UQMVtXpP88M
AnonymeIl y a 6 ans


https://youtu.be/UQMVtXpP88M