Les phares de la nuit éblouissent les obscurités qui nous composent. Cet écran ravive les murs qui m'entourent, est ce une prison dans laquelle la sortie ressemble à une façade de lumière ? Est ce qu'on écrit vraiment pour dire ou est ce qu'on joue à dire pour écrire quelque chose ? Tu entends, surprends, regardes mais est ce que tu vois à travers les sens ? Le regard n'est pas le seul temoin des faits, les empreintes de l'impact sont là aussi comme signe de la vie. Est ce que c'est de la vie qui se décompose lorsqu'on compose ses mots sur le claviers ? Comme la boîte aux merveilles, penché pour voir et recevoir c'est le dernier fil d'un échange entre un voyageur emancipé et un sédentaire durable sur le sable du temps. Ni l'un ni l'autre ne recouvrent leur sens, ils compensent en attendant d'avoir un nouveau jour à conquérir. Est ce que ce sont les jours qui nous aspirent ou nous qui les consumons comme une ressource inépuisable ? Tes jours avancent et tu recules. L'autre aurait plutôt dit, les jours s'en vont je demeure. Dans son bus au milieu des briques de la ville, le sédentaire compose son voyage, compose son histoire ... ce sont des morceaux, des messages électroniques entre son cerveau et son cerveau. Mais puisqu'on est cerné d'ondes, de bras de satellites, est ce que nous n'envoyons pas nos compositions par nos propres ondes ? Est ce qu'il a entendu ses mots ? Le message est passé ou parti ou perdu dans une immense corbeille de chimères, d'imaginaires sortis d'une fulgurance et noyés dans son néant. Les voyages forment la jeunesses. L'immobile forme la détresse. Est ce qu'on aspire à aller, devenir quand des lianes nous enserrent, tiennent et détiennent ? Des lianes qui ne se nomment pas, elles s'invitent sans scrupule ... peur, condition, habitude, contre ordre, décevoir. La vie qu'on se fait nous fait défaut. Et la vie n'a de faux que ce qu'on défait. Et si, si la faute retombe sur ses non-faits qu'on se fonde, faut pas s'étonner d'avoir le goût des défaites en guise de ferveur. Fabriquer quelque chose dans l'imaginaire c'est déjà y croire un peu, vouloir un peu, pouvoir un peu ... les pas se franchissent seulement dans le monde, sur la terre ... on ne peut composer quelque chose sans avoir l'intention de l'ouvrir au monde. Montrer, démontrer, assurer son ascension ailleurs que derrière la vitre du bus qui raconte une histoire dont personne n'entend la raison. Courir sous la pluie, aspirer la vie parce qu'on construit les heures qui viennent en face, chaque jour on écrit l'histoire, on est narrateur et auteur, chaque jour est la péripétie d'une épopée débutée par un premier cri. Si dans les silences ton cri est perdu, c'est que tu n'as pas su l'entendre depuis le début dans chaque moment, dans chaque périple, chaque heures passées ... le premier cri est le seul dont l'écho perdure jusqu'au dernier souffle. De souffle en cri. Mais ce n'est qu'une composition de la grande composition, on est plus multiple que linéaire, une personne plus plurielle que singulière. Et dans le grand chapeau où tous les papiers se confondent, il y a des lumières, des couleurs qui allument l'esprit, la spontanéité, qui poussent l'être. Les phares de la nuit ne sont pas du côté que l'on pense, les phares de la nuit ne s'arrêtent pas, ils consomment une flamme, une étincelle dont ils font une composition, une intelligence qui lutte contre ce qui est le cheminement. Pas narrateur corrompu, pas personnage abattu, créateur absolu. On se crée pour se transformer, on ne perd que ce qui devient autre chose sur la voie de secours, le reste est une composition toujours ..  sur laquelle on appose son destin en guise de projection, c'est ton histoire que tu diffuses sur les écrans d'autres vies.
Nulie Il y a 6 ans

Les phares de la nuit éblouissent les obscurités qui nous composent. Cet écran ravive les murs qui m'entourent, est ce une prison dans laquelle la sortie ressemble à une façade de lumière ? Est ce qu'on écrit vraiment pour dire ou est ce qu'on joue à dire pour écrire quelque chose ? Tu entends, surprends, regardes mais est ce que tu vois à travers les sens ? Le regard n'est pas le seul temoin des faits, les empreintes de l'impact sont là aussi comme signe de la vie. Est ce que c'est de la vie qui se décompose lorsqu'on compose ses mots sur le claviers ? Comme la boîte aux merveilles, penché pour voir et recevoir c'est le dernier fil d'un échange entre un voyageur emancipé et un sédentaire durable sur le sable du temps. Ni l'un ni l'autre ne recouvrent leur sens, ils compensent en attendant d'avoir un nouveau jour à conquérir. Est ce que ce sont les jours qui nous aspirent ou nous qui les consumons comme une ressource inépuisable ? Tes jours avancent et tu recules. L'autre aurait plutôt dit, les jours s'en vont je demeure. Dans son bus au milieu des briques de la ville, le sédentaire compose son voyage, compose son histoire ... ce sont des morceaux, des messages électroniques entre son cerveau et son cerveau. Mais puisqu'on est cerné d'ondes, de bras de satellites, est ce que nous n'envoyons pas nos compositions par nos propres ondes ? Est ce qu'il a entendu ses mots ? Le message est passé ou parti ou perdu dans une immense corbeille de chimères, d'imaginaires sortis d'une fulgurance et noyés dans son néant. Les voyages forment la jeunesses. L'immobile forme la détresse. Est ce qu'on aspire à aller, devenir quand des lianes nous enserrent, tiennent et détiennent ? Des lianes qui ne se nomment pas, elles s'invitent sans scrupule ... peur, condition, habitude, contre ordre, décevoir. La vie qu'on se fait nous fait défaut. Et la vie n'a de faux que ce qu'on défait. Et si, si la faute retombe sur ses non-faits qu'on se fonde, faut pas s'étonner d'avoir le goût des défaites en guise de ferveur. Fabriquer quelque chose dans l'imaginaire c'est déjà y croire un peu, vouloir un peu, pouvoir un peu ... les pas se franchissent seulement dans le monde, sur la terre ... on ne peut composer quelque chose sans avoir l'intention de l'ouvrir au monde. Montrer, démontrer, assurer son ascension ailleurs que derrière la vitre du bus qui raconte une histoire dont personne n'entend la raison. Courir sous la pluie, aspirer la vie parce qu'on construit les heures qui viennent en face, chaque jour on écrit l'histoire, on est narrateur et auteur, chaque jour est la péripétie d'une épopée débutée par un premier cri. Si dans les silences ton cri est perdu, c'est que tu n'as pas su l'entendre depuis le début dans chaque moment, dans chaque périple, chaque heures passées ... le premier cri est le seul dont l'écho perdure jusqu'au dernier souffle. De souffle en cri. Mais ce n'est qu'une composition de la grande composition, on est plus multiple que linéaire, une personne plus plurielle que singulière. Et dans le grand chapeau où tous les papiers se confondent, il y a des lumières, des couleurs qui allument l'esprit, la spontanéité, qui poussent l'être. Les phares de la nuit ne sont pas du côté que l'on pense, les phares de la nuit ne s'arrêtent pas, ils consomment une flamme, une étincelle dont ils font une composition, une intelligence qui lutte contre ce qui est le cheminement. Pas narrateur corrompu, pas personnage abattu, créateur absolu. On se crée pour se transformer, on ne perd que ce qui devient autre chose sur la voie de secours, le reste est une composition toujours ..  sur laquelle on appose son destin en guise de projection, c'est ton histoire que tu diffuses sur les écrans d'autres vies.

Mons. J'aimais bien la Belgique, mais j'ai découvert Bruxelles par la tension, le suspense puis une forme de tristesse. Sans faire mentir le présage, il pleuvait lorsque l'oiseau de fer a posé ses roues sur le bitume humide. Il y avait déjà un train à prendre quelques part dans le ventre de la ville, mais derrière la vitre de ce bus vers le centre les rues appelaient parfois Paris ou Londres mais avec son propre charme. Est ce que tu serais là ? Est ce que c'était une folie ? Je crois que oui, je crois que je le savais déjà lors du voyage ... je le savais même depuis la première seconde où l'idée est venue. Je le savais aussi à la réservation du billet d'avion. Je savais mais j'ai foncé quand même. Et en février 2016 je suis là dans ce bus belge, accrochée à une idée folle et peut être désespérée. Le train sur les rails, le décor est parfois sombrement la mort d'une industrie, les friches et ruines sont comme des signes d'une déception visible et prévisible. Le train fonce. Mons arrive. Je découvre ce paysage urbain imaginé mille fois. La gare, le parc de tes heures d'été, les ruelles ... et la grand'place centre vibrant. A cette heure ci du matin, des scouts animent les pavés, un peu plus loin un rassemblement de chiens ... malgré cette langue française, on aurait dit qu'il s'agissait vraiment d'une autre planète ... et au-dessus un ciel grisâtre peu réjouissant. Le premier sms était parti, le destin venait de se mettre en marche et l'attente commençait alors. Seras-tu là ? Les mots comme une chanson française, prennent là tout leur sens ! Plantée comme un poteau sur ce désert de pavés, une femme qui me prend pour une fille du décor, me demande où est la banque ! Je crois le savoir, lui indique. Je repasse à autre chose ... Mon attente. Une voix criée me lance "Hé madame ! Elle est là la banque !". Je crois que c'était un merci. Le second sms part cette fois je crois.  Je ne sais plus la chronologie ... et puis il faut repartir finalement, retourner sur ses pas, revoir les ruelles, le parc et la gare. J'ai failli louper le train, quelle ironie de se retrouver coincer dans un décor qui ne nous a pas parlé. Je prends une photographie pour les archives "gare de Mons" mais elle se perdra comme beaucoup d'autres particules de cette histoire. Sur le retour, une femme tendre assise en face de moi me propose un gâteau, me parle de son chien et me demande de garder un oeil sur lui pendant qu'elle va aux toilettes. Le même décor à contre courant repasse, friches et ruines d'une ère bien révolue. Est ce que j'y ai cru ? Je ne sais pas. Il semblerait que oui puisque j'étais là, puisque j'ai pris le voyage comme ultime preuve d'un je ne sais quoi abstrait, flou, sans contour et disparatre. Les voies multiples de la capitale réapparaissant et je crois que j'ai vu passé une désillusion ... je n'ai même pas eu le temps de manger ! Qu'est ce que c'est bête de faire des tours et détours, basculer la journée dans un mini chaos pour perdre du temps ! Bruxelles revient alors, du tourisme au fil des rues ... je regarde avancer mes deux camarades de fortune, en retrait il semblerait que le vide soit avec moi ... et puis la vie revient. La vie reprend son souffle quand d'un pas presque d'enfant, je découvre sans détour et émerveillée la Grand'place. Il y aura les parcs, les statues, les Atonium et les alcools de célébration. Elle est belle Bruxelles, belle de nuit et de jour, belle à consoler un pincement au coeur, belle d'être belle de son histoire et ses pierres et de ses étincelles. Et toi. Toi quelques part tu n'étais pas dans l'aventure. Tu m'as dit à la mer, sur les plages de la mer du Nord, à vivre l'aventure de l'amitié sans avoir mes signaux de détresse. Tu dois mentir. Tu dois jeter les pierres de ces mots. La mer et les mensonges vont et viennent conscients de ne faire que leur propre chemin. Bruxelles avait elle, pris le rendez-vous et cela a peut être suffit pour cette fois ... Peut être pas vraiment, mais il faut se contenter de ce qui ne vous repousse pas, de ce qui vous accepte et livre quelque chose. Ce jour là il y avait un goût amer, et pourtant j'ai cru voir passer quelque chose de magique.
Nulie Il y a 6 ans

Mons.

J'aimais bien la Belgique, mais j'ai découvert Bruxelles par la tension, le suspense puis une forme de tristesse. Sans faire mentir le présage, il pleuvait lorsque l'oiseau de fer a posé ses roues sur le bitume humide. Il y avait déjà un train à prendre quelques part dans le ventre de la ville, mais derrière la vitre de ce bus vers le centre les rues appelaient parfois Paris ou Londres mais avec son propre charme. Est ce que tu serais là ? Est ce que c'était une folie ? Je crois que oui, je crois que je le savais déjà lors du voyage ... je le savais même depuis la première seconde où l'idée est venue. Je le savais aussi à la réservation du billet d'avion. Je savais mais j'ai foncé quand même. Et en février 2016 je suis là dans ce bus belge, accrochée à une idée folle et peut être désespérée. Le train sur les rails, le décor est parfois sombrement la mort d'une industrie, les friches et ruines sont comme des signes d'une déception visible et prévisible. Le train fonce. Mons arrive. Je découvre ce paysage urbain imaginé mille fois. La gare, le parc de tes heures d'été, les ruelles ... et la grand'place centre vibrant. A cette heure ci du matin, des scouts animent les pavés, un peu plus loin un rassemblement de chiens ... malgré cette langue française, on aurait dit qu'il s'agissait vraiment d'une autre planète ... et au-dessus un ciel grisâtre peu réjouissant. Le premier sms était parti, le destin venait de se mettre en marche et l'attente commençait alors. Seras-tu là ? Les mots comme une chanson française, prennent là tout leur sens ! Plantée comme un poteau sur ce désert de pavés, une femme qui me prend pour une fille du décor, me demande où est la banque ! Je crois le savoir, lui indique. Je repasse à autre chose ... Mon attente. Une voix criée me lance "Hé madame ! Elle est là la banque !". Je crois que c'était un merci. Le second sms part cette fois je crois.  Je ne sais plus la chronologie ... et puis il faut repartir finalement, retourner sur ses pas, revoir les ruelles, le parc et la gare. J'ai failli louper le train, quelle ironie de se retrouver coincer dans un décor qui ne nous a pas parlé. Je prends une photographie pour les archives "gare de Mons" mais elle se perdra comme beaucoup d'autres particules de cette histoire. Sur le retour, une femme tendre assise en face de moi me propose un gâteau, me parle de son chien et me demande de garder un oeil sur lui pendant qu'elle va aux toilettes. Le même décor à contre courant repasse, friches et ruines d'une ère bien révolue. Est ce que j'y ai cru ? Je ne sais pas. Il semblerait que oui puisque j'étais là, puisque j'ai pris le voyage comme ultime preuve d'un je ne sais quoi abstrait, flou, sans contour et disparatre. Les voies multiples de la capitale réapparaissant et je crois que j'ai vu passé une désillusion ... je n'ai même pas eu le temps de manger ! Qu'est ce que c'est bête de faire des tours et détours, basculer la journée dans un mini chaos pour perdre du temps ! Bruxelles revient alors, du tourisme au fil des rues ... je regarde avancer mes deux camarades de fortune, en retrait il semblerait que le vide soit avec moi ... et puis la vie revient. La vie reprend son souffle quand d'un pas presque d'enfant, je découvre sans détour et émerveillée la Grand'place. Il y aura les parcs, les statues, les Atonium et les alcools de célébration. Elle est belle Bruxelles, belle de nuit et de jour, belle à consoler un pincement au coeur, belle d'être belle de son histoire et ses pierres et de ses étincelles. Et toi. Toi quelques part tu n'étais pas dans l'aventure. Tu m'as dit à la mer, sur les plages de la mer du Nord, à vivre l'aventure de l'amitié sans avoir mes signaux de détresse. Tu dois mentir. Tu dois jeter les pierres de ces mots. La mer et les mensonges vont et viennent conscients de ne faire que leur propre chemin. Bruxelles avait elle, pris le rendez-vous et cela a peut être suffit pour cette fois ... Peut être pas vraiment, mais il faut se contenter de ce qui ne vous repousse pas, de ce qui vous accepte et livre quelque chose. Ce jour là il y avait un goût amer, et pourtant j'ai cru voir passer quelque chose de magique.

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3 j'aime cet esprit
musashi Il y a 6 ans

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3
j'aime cet esprit

[quote="musashi"]*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3 j'aime cet esprit[/quote] Merci ! Et bien tu sais quoi ? Cette phrase aussi m'a marqué ... et est, certainement celle qui contient tout le sens de l'histoire (dans ma tête ^^) alors merci de l'avoir capté !
Nulie Il y a 6 ans

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3
j'aime cet esprit


Merci ! Et bien tu sais quoi ? Cette phrase aussi m'a marqué ... et est, certainement celle qui contient tout le sens de l'histoire (dans ma tête ) alors merci de l'avoir capté !

[quote="musashi"]*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3 j'aime cet esprit[/quote] J'ai tilté sur la même phrase
AnonymeIl y a 6 ans

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3
j'aime cet esprit


J'ai tilté sur la même phrase

[quote="Churinga"][quote="musashi"]*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3 j'aime cet esprit[/quote] J'ai tilté sur la même phrase[/quote] C'est parce que tu te vois dedans toi ? 😂 Ça me fait penser à cette pub ... "tout l'art du maître est là !".
Nulie Il y a 6 ans

*tu dois jeter les pierres de ces mots* <3
j'aime cet esprit


J'ai tilté sur la même phrase
@Churinga


C'est parce que tu te vois dedans toi ? 😂

Ça me fait penser à cette pub ... "tout l'art du maître est là !".

Trop de silence par ici ... voici un peu de nouveau et encore une fois on part du côté des séries ! Tu connais William Murdoch ? https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/10/serie-les-enquetes-de-murdoch/
Nulie Il y a 6 ans

Trop de silence par ici ... voici un peu de nouveau et encore une fois on part du côté des séries !

Tu connais William Murdoch ?

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/10/serie-les-enquetes-de-murdoch/

Ces temps-ci je n'ai pas d'autres sujets à aborder que les séries ... pour celle ci c'est la faute à Netflix ! Je la kiffe ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/17/serie-new-girl/
Nulie Il y a 6 ans

Ces temps-ci je n'ai pas d'autres sujets à aborder que les séries ... pour celle ci c'est la faute à Netflix !
Je la kiffe !

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/17/serie-new-girl/

Je veux de l'écriture d'invention moi !
AnonymeIl y a 6 ans

Je veux de l'écriture d'invention moi !

[quote="Churinga"]Je veux de l'écriture d'invention moi ![/quote] C'est gentil d'être enthousiaste ! J'essaye j'essaye prochainement !
Nulie Il y a 6 ans

Je veux de l'écriture d'invention moi !
@Churinga


C'est gentil d'être enthousiaste ! J'essaye j'essaye prochainement !

J'espère bien :)
AnonymeIl y a 6 ans

J'espère bien

Il était une nuit. Une nuit qui se lève à l'heure de certains travailleurs d'avant les autres. Il était la nuit, de ces heures qui ne sont que sommeil depuis mes heures de toujours. L'air frais en guise de réveil, le vrombissement de mon propre déplacement, la carrosserie chantante de la voiture. Une immense route, seule au milieu. Lyon si souvent fourmillante, crasseuse des pots d'échappement collés les uns aux autres en bouchon, était solitaire et calme sur ses rives de Saône et Rhône. Il y a cet instant, une nuit dans la nuit. La mienne propre où des voix sortant des baffes dans les portes inventent une postérité à l'instant. L'air frais, la chanson, la route. Une tranche de vie. Qu'est ce quil y a de si fascinant dans le fait de rouler ? Est ce que c'est le miniature de la fuite ? Une part de liberté parce qu'on est maître, parce qu'on dirige ? Parce qu'on a choisi la place, celle du conducteur, et qu'on se fait tout le scénario de la vie de film. Ces scènes là de conduite, sur un fond de levé du jour, l'air du vent et un individu dont on ne sait rien mais définitivement libre de conduire d'avoir sa vie en main. Dans tous les sens du terme. On se fabrique des scènes de cinéma grâce à la musique. Elle joue son rôle. Elle souligne. Sublime. Exalte le truc. Elle rend la conduite enivrante, émancipatrice et pleine des possibilités qui s'offrent. Le film est donc bien là. La nuit dans son dernier soupir glisse vers l'autre partie du globe. La route est vide, il y a même la brume. Le soleil arrivera dans quelques minutes. 5 sans doute. 2 minutes plus tard la golden hour incruste l'horizon comme si on avait doré le paysage à la feuille d'or. C'est l'instant, l'aurore entre deux eaux, des mondes comme une bascule sur laquelle un géant a appuyé. On est passé de l'autre côté. Voir un levé de soleil en roulant, comme si on y allait droit dedans. Droit dans la lumière jaune tout devant là bas quelques part de pas tout à fait défini. Voir ça dans cet instant entre soi et soi. Entre soi et son extension de carrosserie. D'autres voitures autour, compagnes lointaines de ces heures où on devrait dormir encore. Compagnes fantômes au gré des vitesses, on double, se fait doublé et l'azur devient rouge, puis vert, puis c'est un camion. Mais on ne voit vraiment que cette scène de nature, de cycle. Le levé du dieu soleil, dans cette scène de film : elle allait dans les lignes goudronnées, parcourir la Bourgogne du sud au nord, arriver à l'heure pour commencer une deuxième vie de cette même journée, celle normal du musée. Mais à cet instant elle est encore dans l'espace temps, voyageuse des nuits ocres enrobées d'une voix qui dessine la BO. La vie est un film. On y met des chansons comme pour habiter les silences élémentaires, trop habitués que nous sommes au bruit permanent de notre propre animation des lieux. Mais on ouvre des bulles, on se fabrique des parenthèses qu'on ne choisit presque pas sauf lorsqu'elle nous attrappe. On se fabrique le souvenir de l'air qui s'engouffre par l'entre ouverture de la fenêtre côté conducteur, pendant qu'on appuie sur le "+" du son, que sur la droite derrière quelques traits de brume les prés à perte de vue reprennent les couleurs que veut la lumière. Verdure. Sur la toile bleu immense, sans limites et omniprésente il monte toujours plus. Aspire les micro astres de 5h du matin. Et vient de créer un instant à effet sur cette être minute perdu quelque part ici ou là sur la carte. Il y a un an. C'était une chanson anglaise, une de ces chansons nous trop sombre non trop généreuse. Plutôt une chanson qui prend l'esprit, l'espace, qui donne l'air de savoir raconter l'inexpliquable et satisfaire le sens, l'essence. Faire la route, prendre la route alors qu'on ne fait que passer, à vive allure, pressé, compressé de lier deux points sur une carte, dans une vie. Quitter une donnée pour en revoir une autre. La route est une transition, un sas qui remet l'ordre au pas quand on se croit libéré de sa charge. La route prépare, caresse avec son levé de soleil, sa voix anglaise, cet air de conquête sur rien du tout mais ça crée un espoir. Non ? La scène du film est un travelling de 4h, peu de mots que pour chanter ou insulter des véhicules anonymes, l'action n'est pas faite elle est occupée, on occupe le décor et on sublime ce rendez-vous entre un temps de beauté et sa proie. Travelling. Action. C'est beau un soleil qui s'éveille quand on ne se fait que temoin. Sans doute l'unique dialogue. In love memory of 206 bleu iceberg.
Nulie Il y a 6 ans

Il était une nuit. Une nuit qui se lève à l'heure de certains travailleurs d'avant les autres. Il était la nuit, de ces heures qui ne sont que sommeil depuis mes heures de toujours. L'air frais en guise de réveil, le vrombissement de mon propre déplacement, la carrosserie chantante de la voiture. Une immense route, seule au milieu. Lyon si souvent fourmillante, crasseuse des pots d'échappement collés les uns aux autres en bouchon, était solitaire et calme sur ses rives de Saône et Rhône. Il y a cet instant, une nuit dans la nuit. La mienne propre où des voix sortant des baffes dans les portes inventent une postérité à l'instant. L'air frais, la chanson, la route. Une tranche de vie. Qu'est ce quil y a de si fascinant dans le fait de rouler ? Est ce que c'est le miniature de la fuite ? Une part de liberté parce qu'on est maître, parce qu'on dirige ? Parce qu'on a choisi la place, celle du conducteur, et qu'on se fait tout le scénario de la vie de film. Ces scènes là de conduite, sur un fond de levé du jour, l'air du vent et un individu dont on ne sait rien mais définitivement libre de conduire d'avoir sa vie en main. Dans tous les sens du terme.
On se fabrique des scènes de cinéma grâce à la musique. Elle joue son rôle. Elle souligne. Sublime. Exalte le truc. Elle rend la conduite enivrante, émancipatrice et pleine des possibilités qui s'offrent. Le film est donc bien là. La nuit dans son dernier soupir glisse vers l'autre partie du globe. La route est vide, il y a même la brume. Le soleil arrivera dans quelques minutes. 5 sans doute. 2 minutes plus tard la golden hour incruste l'horizon comme si on avait doré le paysage à la feuille d'or. C'est l'instant, l'aurore entre deux eaux, des mondes comme une bascule sur laquelle un géant a appuyé. On est passé de l'autre côté. Voir un levé de soleil en roulant, comme si on y allait droit dedans. Droit dans la lumière jaune tout devant là bas quelques part de pas tout à fait défini. Voir ça dans cet instant entre soi et soi. Entre soi et son extension de carrosserie. D'autres voitures autour, compagnes lointaines de ces heures où on devrait dormir encore. Compagnes fantômes au gré des vitesses, on double, se fait doublé et l'azur devient rouge, puis vert, puis c'est un camion. Mais on ne voit vraiment que cette scène de nature, de cycle. Le levé du dieu soleil, dans cette scène de film : elle allait dans les lignes goudronnées, parcourir la Bourgogne du sud au nord, arriver à l'heure pour commencer une deuxième vie de cette même journée, celle normal du musée. Mais à cet instant elle est encore dans l'espace temps, voyageuse des nuits ocres enrobées d'une voix qui dessine la BO. La vie est un film. On y met des chansons comme pour habiter les silences élémentaires, trop habitués que nous sommes au bruit permanent de notre propre animation des lieux. Mais on ouvre des bulles, on se fabrique des parenthèses qu'on ne choisit presque pas sauf lorsqu'elle nous attrappe. On se fabrique le souvenir de l'air qui s'engouffre par l'entre ouverture de la fenêtre côté conducteur, pendant qu'on appuie sur le "+" du son, que sur la droite derrière quelques traits de brume les prés à perte de vue reprennent les couleurs que veut la lumière. Verdure. Sur la toile bleu immense, sans limites et omniprésente il monte toujours plus. Aspire les micro astres de 5h du matin. Et vient de créer un instant à effet sur cette être minute perdu quelque part ici ou là sur la carte. Il y a un an. C'était une chanson anglaise, une de ces chansons nous trop sombre non trop généreuse. Plutôt une chanson qui prend l'esprit, l'espace, qui donne l'air de savoir raconter l'inexpliquable et satisfaire le sens, l'essence. Faire la route, prendre la route alors qu'on ne fait que passer, à vive allure, pressé, compressé de lier deux points sur une carte, dans une vie. Quitter une donnée pour en revoir une autre. La route est une transition, un sas qui remet l'ordre au pas quand on se croit libéré de sa charge. La route prépare, caresse avec son levé de soleil, sa voix anglaise, cet air de conquête sur rien du tout mais ça crée un espoir. Non ? La scène du film est un travelling de 4h, peu de mots que pour chanter ou insulter des véhicules anonymes, l'action n'est pas faite elle est occupée, on occupe le décor et on sublime ce rendez-vous entre un temps de beauté et sa proie. Travelling. Action. C'est beau un soleil qui s'éveille quand on ne se fait que temoin. Sans doute l'unique dialogue. In love memory of 206 bleu iceberg.

Musiques italiennes ❤ https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/23/musique-quest-ce-quon-ecoute-5/
Nulie Il y a 6 ans

Musiques italiennes ❤

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/23/musique-quest-ce-quon-ecoute-5/

Le voilà enfin, à quelques jours de la fin du mois d'avril ... le nouveau portrait de culture ! Après le Théâtre le mois dernier, on glisse vers un autre univers ... celui du jeu de rôle sous toutes ses formes ! Rencontre avec un passionné, Président d'association ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/28/portrait-de-culture-4-moi-president-dassociation-dans-lunivers-du-jeu-de-role/
Nulie Il y a 6 ans

Le voilà enfin, à quelques jours de la fin du mois d'avril ... le nouveau portrait de culture ! Après le Théâtre le mois dernier, on glisse vers un autre univers ... celui du jeu de rôle sous toutes ses formes ! Rencontre avec un passionné, Président d'association !

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/04/28/portrait-de-culture-4-moi-president-dassociation-dans-lunivers-du-jeu-de-role/

On a perdu la magie. On a perdu la magie. Je répète. On a perdu la magie. T'en as fait quoi toi ? De ce battement d'ailes, de cette poussière de lumière, de cet air de revoilà notre printemps ! Mais on a quand même perdu la magie. On a laissé passer la chance tu crois ? Quelle chance après tout ? Elle avait quelle allure ? Tu l'avais reconnu ? Comme l'autre "putain moi j'ai du mal". Peut être qu'on ne l'a pas perdu. On ne l'avait pas tout simplement, si bien qu'on lui a collé le visage d'un truc à part, tu sais comme on tapisse un vieu mur jauni dont on ne veut plus voir la gueule. On couvre, recouvre, on met des couches les unes sur les autres pour passer à autre chose. Tout comme on se met des couches d'être les unes sur les autres pour ne plus être aussi à nu que le premier jour. Ton rôle à la gueule d'une tapisserie sur un mur jauni. Ça en jette hein ? Par contre si on l'avait chopé, alors je te le redis. On a perdu la magie. Mais je ne m'en veux pas, je ne t'en veux pas plus d'ailleurs. C'est tellement aléatoire ces pouvoirs là qu'on devrait s'estimer heureux d'avoir eu de la magie dans le cycle. Tu sais c'est genre le moment d'être philosophe et un peu réaliste, comme on dit bien sûr "c'est la vie" et puis on réouvre la fenêtre tout comme d'habitude le lendemain et vaque, on vogue et vaque à son petit chemin. Et attend, je sais ce que tu vas dire. Peut être bien qu'on ne l'a pas perdu en fait. Elle s'est juste mis en pause, derrière une montagne de distance, de silence, genre cachée dans le carton du fond qu'on a fait en premier lors du déménagement, si bien qu'on a oublié ce qu'on a mis dedans ! Et paf, par surprise le carton saute, explose et là. Alors là attention ça envoie du lourd. D'ailleurs prépare toi peut être en fait, tu risquerais de pas en revenir ! On a perdu la magie dans le brouillard, essaye de capter le phare et peut être bien qu'elle est assise sur un rocher, les pieds dans les vagues juste à côté. Elle chante peut être bien comme les fameuses sirènes entre deux verres ... de poésie. T'as vu ça ressemble à des genre de métaphores le bazar que tu lis là ? De la dentelle littéraire, hé oui rien que ça ! Et puisque parfois les images peuvent rejoindre les allitérations : POUR QUI SONT CES SERPENTS QUI SIFFLENT SUR VOS TETES ? Tu n'as pas compris ? Cherche encore. Le sens est assis sur le même rocher que la magie. A croire finalement que la vraie chose qu'on cherche c'est le phare ! Et puis d'ailleurs c'est un peu, on cherche tous un phare qui ramène à la terre, à la vie dont on s'est extrait. Ramène aux êtres, aux autres quand on s'est fait solitaire. Ramène les sensations quand elles se sont faussées. Ramène du coup la magie allée se perdre en mer ! Tous au phare, on a une vie à aborder !
Nulie Il y a 6 ans

On a perdu la magie.
On a perdu la magie.
Je répète.
On a perdu la magie.
T'en as fait quoi toi ? De ce battement d'ailes, de cette poussière de lumière, de cet air de revoilà notre printemps !
Mais on a quand même perdu la magie. On a laissé passer la chance tu crois ? Quelle chance après tout ? Elle avait quelle allure ? Tu l'avais reconnu ? Comme l'autre "putain moi j'ai du mal".
Peut être qu'on ne l'a pas perdu. On ne l'avait pas tout simplement, si bien qu'on lui a collé le visage d'un truc à part, tu sais comme on tapisse un vieu mur jauni dont on ne veut plus voir la gueule. On couvre, recouvre, on met des couches les unes sur les autres pour passer à autre chose. Tout comme on se met des couches d'être les unes sur les autres pour ne plus être aussi à nu que le premier jour. Ton rôle à la gueule d'une tapisserie sur un mur jauni. Ça en jette hein ?
Par contre si on l'avait chopé, alors je te le redis. On a perdu la magie. Mais je ne m'en veux pas, je ne t'en veux pas plus d'ailleurs. C'est tellement aléatoire ces pouvoirs là qu'on devrait s'estimer heureux d'avoir eu de la magie dans le cycle. Tu sais c'est genre le moment d'être philosophe et un peu réaliste, comme on dit bien sûr "c'est la vie" et puis on réouvre la fenêtre tout comme d'habitude le lendemain et vaque, on vogue et vaque à son petit chemin.
Et attend, je sais ce que tu vas dire. Peut être bien qu'on ne l'a pas perdu en fait. Elle s'est juste mis en pause, derrière une montagne de distance, de silence, genre cachée dans le carton du fond qu'on a fait en premier lors du déménagement, si bien qu'on a oublié ce qu'on a mis dedans ! Et paf, par surprise le carton saute, explose et là. Alors là attention ça envoie du lourd. D'ailleurs prépare toi peut être en fait, tu risquerais de pas en revenir !
On a perdu la magie dans le brouillard, essaye de capter le phare et peut être bien qu'elle est assise sur un rocher, les pieds dans les vagues juste à côté. Elle chante peut être bien comme les fameuses sirènes entre deux verres ... de poésie. T'as vu ça ressemble à des genre de métaphores le bazar que tu lis là ? De la dentelle littéraire, hé oui rien que ça !
Et puisque parfois les images peuvent rejoindre les allitérations : POUR QUI SONT CES SERPENTS QUI SIFFLENT SUR VOS TETES ?
Tu n'as pas compris ? Cherche encore. Le sens est assis sur le même rocher que la magie. A croire finalement que la vraie chose qu'on cherche c'est le phare ! Et puis d'ailleurs c'est un peu, on cherche tous un phare qui ramène à la terre, à la vie dont on s'est extrait. Ramène aux êtres, aux autres quand on s'est fait solitaire. Ramène les sensations quand elles se sont faussées. Ramène du coup la magie allée se perdre en mer ! Tous au phare, on a une vie à aborder !

Retour sur une partie de mes années lycée, mais pas avec n'importe quel sujet : les cours d'histoire des arts ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/02/culture-merci-lhistoire-des-arts/
Nulie Il y a 6 ans

Retour sur une partie de mes années lycée, mais pas avec n'importe quel sujet : les cours d'histoire des arts !

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/02/culture-merci-lhistoire-des-arts/

Ça commence comme une chanson de Jean Jacques Goldman mais c'est du cinéma. https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/09/cinema-elle-sappelait-sarah/
Nulie Il y a 6 ans

Ça commence comme une chanson de Jean Jacques Goldman mais c'est du cinéma.

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/09/cinema-elle-sappelait-sarah/

Qui dit mois de mai, dit nouveau portrait de culture ! Pour ce 5e rendez-vous, c'est la rencontre avec Estelle qui nous parle d'enseigner l'Histoire ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/15/portrait-de-culture-5-moi-professeure-dhistoire/
Nulie Il y a 6 ans

Qui dit mois de mai, dit nouveau portrait de culture ! Pour ce 5e rendez-vous, c'est la rencontre avec Estelle qui nous parle d'enseigner l'Histoire !


https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/15/portrait-de-culture-5-moi-professeure-dhistoire/

Samedi c'est la Nuit des Musées, l'occasion de découvrir ou re-découvrir vos musées d'une autre manière le temps d'une soirée ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/16/patrimoine-nuit-des-musees-samedi-19-mai-a-museez-vous/ Dites, si quelques uns d'entre vous lisent un peu ce qui passe par ici, est ce que vous avez des petites remarques ? Ça m'intéresse aussi d'avoir un petit retour ici de votre part :)
Nulie Il y a 6 ans

Samedi c'est la Nuit des Musées, l'occasion de découvrir ou re-découvrir vos musées d'une autre manière le temps d'une soirée !

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/16/patrimoine-nuit-des-musees-samedi-19-mai-a-museez-vous/

Dites, si quelques uns d'entre vous lisent un peu ce qui passe par ici, est ce que vous avez des petites remarques ? Ça m'intéresse aussi d'avoir un petit retour ici de votre part

Instant nostalgie littéraire ! Et au passage, voici le 100e article de Vingt quatre heure une hoooh ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/21/litterature-souvenir-des-lectures-du-college/
Nulie Il y a 6 ans

Instant nostalgie littéraire ! Et au passage, voici le 100e article de Vingt quatre heure une hoooh !

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Nouvel événement national pour aller gratuitement à la rencontre du patrimoine ! Ce week-end c'est le Rendez vous aux jardins ! Profitez en ;) https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/05/29/patrimoine-du-1er-au-3-juin-cest-lheure-du-rendez-vous-aux-jardins/
Nulie Il y a 6 ans

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Playlist à l'heure anglaise avec quelques groupes incontournables ! 💥🎶🎸 https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/06/08/musique-quest-ce-quon-ecoute-6/
Nulie Il y a 6 ans

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Ce week-end, découvrez l'archéologie ;) https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/06/13/patrimoine-les-15-16-et-17-juin-ce-sont-les-journees-nationales-de-larcheologie/
Nulie Il y a 6 ans

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Bientôt la Fête de la musique ! Depuis 1982 la France donne le "la" pour une célébration aujourd'hui présente dans plus de 120 pays à travers le monde ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/06/18/musique-tous-les-21-juin-on-fete-la-musique/
Nulie Il y a 6 ans

Bientôt la Fête de la musique ! Depuis 1982 la France donne le "la" pour une célébration aujourd'hui présente dans plus de 120 pays à travers le monde !

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Un peu de poésie dans ce monde de brute ! https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/06/26/litterature-cette-si-belle-poesie/
Nulie Il y a 6 ans

Un peu de poésie dans ce monde de brute !

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Si on parlait un petit peu de cinéma pour cette fois ? Première rencontre sur grand écran avec une légende ... James Dean dans le film "Géant". https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/03/cinema-geant/
Nulie Il y a 6 ans

Si on parlait un petit peu de cinéma pour cette fois ?

Première rencontre sur grand écran avec une légende ... James Dean dans le film "Géant".

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/03/cinema-geant/

Après un film avec James Dean, un "film" (plutôt téléfilm) au sujet de James Dean ... interprétation par James Franco. https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/04/cinema-james-dean-sous-les-traits-de-james-franco/
Nulie Il y a 6 ans

Après un film avec James Dean, un "film" (plutôt téléfilm) au sujet de James Dean ... interprétation par James Franco.

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/04/cinema-james-dean-sous-les-traits-de-james-franco/

Décrétée de son propre chef, la "semaine James Dean" se poursuit. Après "Géant", après le biopic de 2001... de la photographie et des mots. https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/07/photographie-james-dean-images-et-mots/
Nulie Il y a 6 ans

Décrétée de son propre chef, la "semaine James Dean" se poursuit. Après "Géant", après le biopic de 2001... de la photographie et des mots.

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La semaine James Dean se termine ... Une semaine chargée en publication, ça devrait se calmer quelques jours :) https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/08/cinema-lettre-a-james-dean/
Nulie Il y a 6 ans

La semaine James Dean se termine ...
Une semaine chargée en publication, ça devrait se calmer quelques jours

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/08/cinema-lettre-a-james-dean/

Après quelques jours de silence, on laisse James Dean pour Louis XIV ... avec la saison 3 de Versailles ! Ps : Philippe forever 😉 https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/19/serie-la-saison-3-de-versailles/
Nulie Il y a 6 ans

Après quelques jours de silence, on laisse James Dean pour Louis XIV ... avec la saison 3 de Versailles !

Ps : Philippe forever 😉

https://vingtquatreheureune.wordpress.com/2018/07/19/serie-la-saison-3-de-versailles/