Des orages dans un whisky quoi.

Hey Nono dis moi, c'est moi qu'ai choisi d'changer à un moment ou c'est la vie qu'est foutue comme ça?

bonne nuit fofo

Ptet qu'on est tous devenus vieux, ptet que ça bouge nos seuils de tolérance, ptet que vieillir nous donne d'autres espérances, d'autres amours, d'autres rêves.
Je ne crois pas que c'est un tort de changer, je pense d'ailleurs que parfois on en a juste besoin, que c'est comme ça, pour notre santé mentale.
Y en a qui disent que l'Yonne coule sous le pont Mirabeau, moi j'y crois pas, je donnerais toujours raison à ce pochtron d'Apollinaire, je laisse la Seine couler.

J'aime bien qu'on te prenne pour un enfant.
Comme si on pouvait te tirer à droite ou à gauche, comme si ton esprit était malléable et influençable, comme si on pouvait y mettre du plomb. Alors que toi, dans ton hélicoptère téléguidé, tu voles au gré des vents mais surtout au gré de ta propre pensée, tu surplombes la vie pour t'en faire une idée.
J'aime bien aussi quand tu fais l'enfant.
Quand t'ouvres grand les yeux pour tout y mettre dedans, à en bouffer le monde, à en bouffer la vie. Pourtant t'en as bouffé des vies, assez pour grandir sans être le vieux con. Assez pour ne plus être l'innocence, et assez pour prendre la distance. T'en as peut-être trop bouffé de vies en fait.
Et puis j'aime bien qu'on soit des enfants.
Tu sais toi, quand on a douze ans et demi et qu'on traverse les terres à dos de licorne, tu sais bien, quand on fait comme si on était au dessus nous.
Je me ferais bien un Noël sous la neige.

"c ki?"

T'as vu, j'essaie d'être moins en colère, c'est bien, non? Il est où mon cookie?

Nan je rigole, je bous intérieurement, les gens sont trop cons, ça s'imagine, tu vois, dans son petit fauteuil, devant son petit écran, du haut de son grand orgueil, ça croit que ça sait, mais ça sait pas, ça fantasme, ça se laisse aller aux vents, ça se laisse porter souvent au gré de ses orgasmes plus vide que le tonneau des Danaïdes pourtant. Et puis ça meurt aussi, un peu, de l'intérieur. Du moins, pour ce qu'il reste de vie. Ca meurt. En tout cas, ça s'ennuie. Du coup ça beugle, à recycler des morts, à enterrer la vie, ça beugle pour surplomber le fracas de leur honte quand l'égo tombe de si haut, qu'il s'écrase sur le sol, qu'il fissure leur seuil, que ça ne puisse plus se cacher derrière de grands langages. Parce que ça a fait de grandes lettres, que ça croit incliner le reste des peuples alors que les mots leur échappent, fumée entre les doigts du mime qui, insolent, prétend bloquer la vie quand c'est la vie qui le bloque derrière le verre brisé d'un reflet condamné.

Tu vois, je suis moins en colère, je suis plus dépité.

Des litres et des litres d'eau de vie de coeur pour toi <3

J'oublie kaio, on me donne un cachet et j'oublie, j'oublie que j'aime, et pire j'oublie d'aimer, j'oublie la bienveillance envers ceulles qui l'ont mérité.
J'ai besoin de trop je crois, ça me fait bouffer ma fois mais j'attends trop, tu vois, et pardon d'être encore quand la vie ne se joue que dans la bouffée des corps.
Au fond, je n'existe pas, je ne suis qu'un piètre reflet de toi.

Quel compliment fais tu, je n'en mérite rien, car jamais de ma vie de mes yeux je n'ai vu, d'un mirroir ou d'un rêve, un reflet de mon âme aussi beau que le tiens.
Tu apprends à aimer, ca se voit, ca se lit, sur ton chemin de croix tu avances à grands pas, le voila, tu le vis, tout cet amour crois moi, sers le fort dans tes bras à s'ennivrer de lui.

Je veille toujours sur toi, comme on garde la foi.

J'aime un peu trop les mais.

20 jours déjà, tu t'en souviens, toi?

Moi jme souviens pas des fois à trainer la rue ou des nuits à oublier sa mu. Mais je me souviens des accolades, celles des frères devant la barricade, je me souviens des chants de camarades comme si ça pouvait protéger des grenades.
Je sais que l'amour me porte quand la nuit m'appartient, ou ptet qu'elle me possède.


Ce soir j'écris l'amour avec le a de anarchie, avec le r de la révolution. ♫

vas y brûle

Mon amour pour toi est plus brûlant que le Fouquet's un samedi après-midi <3

<3 Pour Sandor Clegane

(j'ai du googliser parce que j'ai jamais regardé GOT...)

(ok. cool.)

Fils de dieu, fils de pute, rien ne peut te sauver.

Tu parles mal de jésus et de Marie.
Si t'es recalé au jugement dernier faudra pas dire bip

m'en fous j's'rais mort.

Hérétique.

Maléfique.

Un oeil qui s'ferme, tu connais ça. Toi. Un premier, puis deux, puis trois. Tu sais jusqu'ou ça va, qu'ça s'attête pas, toi. Que si nos anges partent trop tôt, nos demons eux n'en finissent pas, de squatter là nos caniveaux. Que s'évapore l'eau d'un sourire sur une grimace un peu salée. N'est imprénable seulement que ce qui n'augure rien de bon à être pris. Ce serait tout con à ce qu'il parrait. Une histoire de nature humaine. Celle ci oui celle là, qui gît à l'aise sous lexomil. Y a pas de honte. Chacun son étoile. Sans aucun doute. Certitude. On reparlera demain de nuance, c'est compliqué l'ambivalence. Y a l'empathie d'accord mais bon, au gout de chacun pour la cuisson, c'est détaillé sur Marmiton. Pour sur ça nourrira le combat, bande d'enculés y a bien plus que ça.

Putain Theo, tu devais faire les carreaux. Foutu punk. Tu postes trop sur twitter. Mais je lis quand même. Souvent j'y comprend rien, mais je doute pas de tes combats.

Mais reviens un peu par là, pas souvent de temps en temps, un moment, je veux exister encore un peu ici, je compte sur toi.

Mais enfin kaio, t'as pas besoin de moi pour exister! Tu hantes tout ce forum et es vivant dans chacun de ses topics. Tu es ce forum, je suis juste une pâle copie du troll de génie que tu es.

Un whisky japonais? Je prends une margarita, avec sel, ça va sans dire.

Do you speak english?

Ah bah oui je vous en prie mettez vous à l'aise

Plaît il ?

Plaît il ?

https://www.youtube.com/watch?v=woBv1BBlzo0

Ça a changé ici