Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots
viper82 Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant