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Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV
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Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche
[quote="didier"]Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet
Ouf, première respiration dans ce Cadavre, @Musashi tu peux souffler ;)[/quote]
vuuuuuuuuuu! je suis officiellement le premier à avoir lu ce topic.
J'aime le Mammouth des Cévennes, voilà une grande idée.
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet
Ouf, première respiration dans ce Cadavre, musashi tu peux souffler
vuuuuuuuuuu! je suis officiellement le premier à avoir lu ce topic.
J'aime le Mammouth des Cévennes, voilà une grande idée.
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;) @musashi. Ici sont les grandes idées :)
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite
Oui on est des génies incompris !!! Les grandes idées fusent :p
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses
va t'en sortir avec ça!
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent
:p
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs
tu en veux? En voilà!
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre,
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle
Merci @Bisounour d'être venu au secours de mon inspiration défaillante ;)
Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons