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Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie des Charentes
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie des Charentes qu'on sert dans des pantoufles
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie des Charentes qu'on sert dans des pantoufles à carreaux
Il commence à être long ce cadavre ^^
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie des Charentes qu'on sert dans des pantoufles à carreaux et miroirs
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie des Charentes qu'on sert dans des pantoufles à carreaux et miroirs pour pouvoir admirer
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek végétarien qui est devenu vert à force de manger des épinards radioactifs clignotants pour signaler qu'ils changent de file sur l'autoroute du soleil et se prendre un PV à Narbonne-Sur-Seine où l'on danse sur le pont pendant l'été 14 quand les Huns envahissent la Gaule avec des hameçons ornés de diamants éternels pour les attirer dans leurs filets les bars et les zincs rouillés par les verres des lunettes infrarouges vertes qui permettent de voir à travers le ventre des filles apwal des boobs symétriques grâce au gel P.I.P. inventé pour amortir l'impact violent et sanglant des pénis durs de rhinocéros roses et jaunes dont les cornes se vendent aux enchères comme des peintures à l'huile d'olive de Nyons-sur-Truyère qui me transcendent comme une danse du ventre hot à cause du radiateur réglé au max, et comme un saut en parachute, les sensations sont orgasmiques et comiques et se répercutent en ville rose sanglant, dégoulinant telle la boule de glace de Morice sous le soleil de Binic où __Marine__ se balade en bikini tandis que didier et Bisounour sont attablés chez Charly où le couscous est servi dans des galettes accompagnés de petites moules à la crème Bescherelle trop salée et écœurante comme cette photo de deux coccinelles qui se câlinent dans l'espoir de passer pour des perverses devant les fourmis voyeuses qui, au lieu de travailler, se moquent des cigales déjantées qui veulent aller à Detroit à dos de sauterelle en chantant l'Internationale dans un karaoké géant improbable de Marxistes africains roulant en 2cv sans portes ni fenêtres, sans roues ni volant mais avec aérations dont le design fait penser aux requins en bois vernis et nervurés dont la voile sert de foc démesuré pour faire avancer une coquille de noix instable et étrange que l'équipage n'ait pas de ciré ni de bottes en caoutchouc rouge pour faire du poledance sur le mât du hollandais volant ayant perdu ses ailes de velours en frôlant le soleil vert d'une planète oubliée et maudite où les petits gris côtoient les grands bleus ainsi que les grosses oranges de Pluton qui viennent exclusivement pour faire un jus de fruit extraterrestre composé de caniches transgéniques et vaccinés contre le bacille de Koch et le sida qu'on attrape violemment à cause d'un fou asthmatique nommé Vador, descendant de winnie l'ourson le mangeur de miel des oreilles de Schrek au goût d’épinard à la crème de testicules de taureaux de Castres qui vont affronter ceux de Toulon qu'on appelle les effé-minets de la rade déchaînée par le vent et les vagues venant de Nice où la bourgeoisie sent l'oseille et ne sait plus qu'en faire et achète des pauvres pour en faire leur déco à Noël au pied du sapin plein de dorures scintillantes du sang pourpre et épais de Gérard Depardieu sobre qui admire DSK consommer de la maid in USA sur la photo posée sur sa table de chevet en forme de poutre de Bamako en acier aussi dur qu'une bitte d'amarrage de gros tankers amiantés et aimantés par le Charles de Gaulle des schtroumpfs, un porte-avions bleu, dont le canons lancent des marshmallow roses et blancs et des smarties fondus au gingembre qui améliore les qualités aphrodisiaques des membres surdimensionnés de tous les Roco et Freddie qui passent dans les ruelles du Petit Bayonne où foisonnent les commerçants de jambon et de lomo de girafe sibérienne à fourrure épaisse recherchée par le FBI suédois dirigé par Zlatan retraité et fatigué par la pluie de Paris City, une pâle copie de Paris made in Bangladesh mais Raoul Villain qui du haut de son balcon dévore du regard lubrique les femmes marcher vers l'échafaud où leur tête va tomber dans un panier en osier ossalois qui laisse le sang couler à flot sur les pavés de la place des Grands Hommes raccourcis mais connus par Jean Jaurés le gangster à la barbe blanche comme la neige du Kilimandjaro riche en protéines issus des poissons fossilisés à faire rougir Nemo dont le Nautilus navigue entre deux eaux saumâtres salies par les rejets du continent de plastique auto-reproducteur et dont on ne connaît pas le sexe gardé secret par l’eunuque du Béarn qui raffole des chocolatines aux amandes pilées pleines de beurre de cacahuètes caramélisées avec de la pistache en sorbet à l'eau de vie des Charentes qu'on sert dans des pantoufles à carreaux et miroirs pour pouvoir admirer la qualité chinoise
Le chat parisien à tête de chien
Le chat parisien à tête de chien enragé comme une chèvre
Le chat parisien à tête de chien enragé comme une chèvre dévore une boîte de sardines
Le chat parisien à tête de chien enragé comme une chèvre dévore une boîte de sardines à l'huile d'olive
Le chat parisien à tête de chien enragé comme une chèvre dévore une boîte de sardines à l'huile d'olive et Popeye