J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes
AnonymeIl y a 11 ans



J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes et profondes
Alizée Il y a 11 ans

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes et profondes

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes et profondes où l’Atlantide
AnonymeIl y a 11 ans



J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes et profondes où l’Atlantide

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes et profondes où l’Atlantide a coulé. Sous la chaleur estivale
Alizée Il y a 11 ans

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains un bandeau sur les yeux et le nez bouché par une pince à linge sans ressort mais avec un élastique pour cheveux de sirène qui n'a pas appris à chanter pour voir tous les Ulysse libres de leur folie et laisser les mâts à leur voile en coton noircie par les échappements des voitures volantes qui tournent autour de la girouette et des canards dans les tiroirs roses et prunes ou taupe et vers de terre ou bleus à l'âme dont la lame rouillée par l'abondance d'eau en Bretagne bretonnante en verlan on y tire les cheveux avec un tracteur pour faire des anglaises déplumées comme des traders roupillant sur l'azerty avec les lettres imprimées sur la joue de bœuf soûl à manger des oranges pourries par la pluie hollandaise de charente qu'on enfile en chaussons de plumes d'alouettes fait avec du bourgignon de mémé Jeannette qui roule sur les jantes de sa porsche pourrie par les dacia du commerce des brebis fiévreuses dont on fait des fromages de vaches laitières nourries aux antibiotiques et aux fleurs de cactus et lorsque fut venu les temps des cathédrales elles iront toucher le ciel noir d'orage de désespoir et de colère rentrés prêts à exploser comme une bombe de chantilly onctueuse et délicieuse parfumée au gingembre pour son côté aphrodisiaque et au rhum ambré et arrangé à la cannelle quand elle est mûre et bien sèche comme l'eau évaporée dans le sous-sol de la maison troglodyte de chez mamie Bigoude en Bretagne profonde comme cette gorge telle une tranchée comblée par des détritus de film-bulle de chewing-gum collé aux semelles du vent pétoleux de Charente toulousaine nourri au cassoulet de cheval boiteux et filandreux comme un artichaut de montagne plate et recouverte par la mer de l'Himalaya décapité par la lame d'un lama dyslexique et malhabile à la course à pied sur les sabots sabotés à la lime comme les pneus de gwen sur sa balançoire à tiroirs où les canards font pouet-pouet et attirent les mouches piquantes telles les banderilles en brindilles cassées sur le dos du père castor Didier qui a la queue plate et les pieds ronds comme des oranges poilues tels les collants de mammouths qui effraient les pervers de toutes sortes proliférant sous l'eau en compagnie des virus qui font la vie des asticots roses à pois verts aux yeux rouges et à crête de plumes de paon déplumé et défroqué à la suite d'un entartage belge spectaculaire tel une cascade de Rémi Julienne sautant à cloche pied d'un hélico sur l'arc de triomphe renversé par des forces surnaturelles déclenchées par Casimir qui s'est cassé la figure dans le gloubiboulga avec un bruit tonitruant d'une 2cv jaune sans roue et à voile qu'on met sur les veuves joyeuses qui reviennent du cimetière en sautillant telles des enfants jouant à la marelle dessinée avec des craies de toutes les couleurs de l'arc en ciel bicolore et triphasé par un générateur à hélices en ressort de tungstène rouillé par l'eau de là mais pas celle d'ici sans fer et sans chlore qui déconne à pleine couture tels ces bas effilés de mémée les belles gambettes qui aime les courbettes que lui font faire des galipettes de jeunette comme quand elle avait vingt ans de retraite derrière elle et devant un cercueil en mousse de petit bonhomme unijambiste à tête carrée dont les angles touchent les étoiles sablées des mers chaudes et profondes où l’Atlantide a coulé.


Sous la chaleur estivale

Sous la chaleur estivale coule la pluie
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver
Alizée Il y a 11 ans

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Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores Uniailistes?? Tu ne travailles pas?
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores

Uniailistes?? Tu ne travailles pas?

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux Nan pas ce matin ^^ . Oui uniailiste... je ne pense pas que ça existe encore, va falloir contacter Robert :D
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux

Nan pas ce matin . Oui uniailiste... je ne pense pas que ça existe encore, va falloir contacter Robert

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant
AnonymeIl y a 11 ans

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Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée
Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager
Alizée Il y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute
AnonymeIl y a 11 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute

HS : Putain mais vous jouez encore à ça ??? Oo Les incollables... xD
jej33 Il y a 11 ans

HS : Putain mais vous jouez encore à ça ???

Les incollables... xD