Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo
AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans



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Alizée Il y a 11 ans


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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir (mais on est à quelle époque là ? ^^ )
Alizée Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir

(mais on est à quelle époque là ? )

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent (an 1181)
AnonymeIl y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent

(an 1181)

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants (Philippe Auguste)
Alizée Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants

(Philippe Auguste)

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage
AnonymeIl y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise
Alizée Il y a 11 ans

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Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" Jamais jouer avec une historienne...
AnonymeIl y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi"

Jamais jouer avec une historienne...

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite :-)
Alizée Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite

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AnonymeIl y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes

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Alizée Il y a 11 ans

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ça devient bien trop rationnel ...

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque
AnonymeIl y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère
Alizée Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs
Vëlvet Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs avec ses noirs hussards On change d'époque!!
AnonymeIl y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs avec ses noirs hussards

On change d'époque!!

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs avec ses noirs hussards passant la tondeuse j'aime les anachronismes ^^
Alizée Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs avec ses noirs hussards passant la tondeuse

j'aime les anachronismes

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs avec ses noirs hussards passant la tondeuse pour dessiner le crâne des jeunes têtes blondes
Vëlvet Il y a 11 ans

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité et on plonge dans le néant blanc des pages qui restent à écrire avec une plume de dodo égarée dans le maquis de Lille, chez Maurice tenancier d'une auberge où la bière prend sa source pour abreuver la populace en quête de jouissance de palais à bon marché et d'oisiveté sans fin jusqu'au bout de la nuit que l'ivresse prolonge le matin dans les rues qui s'éveillent lentement au rythme des roues des carrosses sur les pavés et des seaux d'eau qu'on vide sur le trottoir et qui éclaboussent les chiens errants et les renards en rage courant le long de la Tamise où Henri "le Jeune Roi" rencontre Marguerite et se marient bien jeunes avant même que de savoir ce qu'aimer veut dire mais l'époque ne s'y prêtait guère à l'heure où la reine de Prusse grondait de tout ses pouvoirs avec ses noirs hussards passant la tondeuse pour dessiner le crâne des jeunes têtes blondes