Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde
AnonymeIl y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide
Alizée Il y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir
kurdtkobane Il y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté
Alizée Il y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance
kurdtkobane Il y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute
AnonymeIl y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute

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Alizée Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire (mince ça vire à la réécriture foireuse d'Aragon ^^)
Alizée Il y a 11 ans

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(mince ça vire à la réécriture foireuse d'Aragon )

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire, ma vieillesse comme seule remède à la jeunesse éternelle tant vantée par les publicités anti-rides photo chopé à la volé et cachant les sillons du temps perdu par la seule maladie incurable excepté par les souvenirs de mon enfance passé mais pas dépassé, las sur mon lit de mort
kurdtkobane Il y a 11 ans

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LaPauPiette Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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Je recommence:

Les génies sont

Les génies sont revenus
Alizée Il y a 11 ans

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[quote="Alizée"]Les génies sont revenus galvanisés
yepaaa Il y a 11 ans

Les génies sont revenus galvanisés

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yepaaa Il y a 11 ans

Les génies sont revenus galvanisés

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival
Alizée Il y a 11 ans

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival qui nous laisse rêveur
kurdtkobane Il y a 11 ans

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Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival qui nous laisse rêveur quand la pluie ruisselle sur nos visages
Alizée Il y a 11 ans

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