Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux
Alizée Il y a 11 ans

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux qui se les gèle
AnonymeIl y a 11 ans

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux qui se les gèle

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux qui se les gèle, y a t il une fin à notre folie?
kurdtkobane Il y a 11 ans

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux qui se les gèle, y a t il une fin à notre folie?

La fin de la folie c'est comme un livre sans page
Alizée Il y a 11 ans

La fin de la folie c'est comme un livre sans page

Ça c'est une fin de cadavre exquis @kurdtkobane réussie. A toi de relancer...
AnonymeIl y a 11 ans

Ça c'est une fin de cadavre exquis kurdtkobane réussie.

A toi de relancer...

J'aime le sexe
kurdtkobane Il y a 11 ans

J'aime le sexe

[quote="kurdtkobane"]J'aime le sexe[/quote] @Alizée sait quoi dire... ;-)
AnonymeIl y a 11 ans

J'aime le sexe

Alizée sait quoi dire...

J'aime le sexe sous les tropiques
Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux
AnonymeIl y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente
Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie
kurdtkobane Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline
AnonymeIl y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe
Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie
AnonymeIl y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or
Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol
AnonymeIl y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse
Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements
AnonymeIl y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones
Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques
Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés
Alizée Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit
kurdtkobane Il y a 11 ans

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit