Lettre à ...<br /><br />On ne revient pas sur une seconde ecoulée, on ne revient pas non plus sur un battement de coeur.

Il ne faut pas vivre dans le passé ni dans le futur...<br />Il faut vivre le présent.

Des anges, des papillons,<br /> qui d'leurs ailes nous en donnent<br /> étranges sensation,<br />sans zèle, le coeur résonne<br />des mésanges, des bourgeons<br />d'quoi j'me mêle cupidon...

Tous les jours de chacune des vies et un pile ou face.<br />On gagne.<br />On perd.<br />On espère.<br /><br />Et comme toujours on ne peut s'empêcher de jouer.<br />La vie est un jeu.<br />Tous le monde joue.<br />Tous le monde en a peur.<br /><br />Alors on en discute toujours.<br />On se rassure..<br />Mais on oublie souvent la seule et unique règle du jeu.<br />Vivre. Simplement.

les bobos sont des cons, les punks sont des cons, les jeunes sont des cons, les vieux aussi sont des cons, les fonctionnaires sont des cons, les hooligans sont des cons, les tektonics sont des cons, mes voisins sont des cons, les bikers sont des cons, les clochards sont des cons, les patrons sont des cons, les ouvriers sont des cons, les pédés sont des cons, les artisans sont des cons, les sportifs sont des cons, à la télé c'est des cons, les politiques sont des cons, les veliplanchistes sont des cons, les banquiers sont des cons, meme le pape est un con...<br /><br />les hommes sont tous des cons, et c'est moi qu'ai raison.

un vent glauque tourne dans mes volets...

un vent glauque tourne dans mes volets...

il fait gris aujourd'hui, gris dans les rues, gris dans la vie<br />il fait froid et il meurt, il meurt d'ennui, le froid au coeur<br />il crie il pleur "méfiez vous mes p'tits gars"<br />à des gens qui ne l'entendent pas<br />le regarder d'mande un effort alors pensez bien que l'écouter...<br />y a bien le regard inquiet d'un gamin, suivant sa mère changeant de trottoir<br />un galérien qui tend la main donnant un peu du peu d'son pain<br />juste de quoi diluer ce noir dans le solvant d'un p'tit espoir<br />jusqu'au bout de la galère, à la rue à la vie et à la mort aussi<br />une isolation de carton entre la vie et la survie<br />un banc, un coin qui pu la pisse, toujours gêné d'gêner les gens<br />ceux qui se plaignent de leurs impôts<br />du pouvoir d'achat et de la météo.

Le bruit des bombardements est incessant.<br />Trop de bruit.<br />Trop de cris qui écorchent mes oreilles.<br />Ce vacarme c'est celui de la Pub, de la télé, de la radio, des journaux...<br />Nous sommes des objets d'études, des études de marchés.<br />Propension à consommer, seuil de pauvreté, RMI, CRS...<br />Cette fois on en est sur. <br />Sous les pavés, il n'y a pas de plage.

Une dernière grande aspiration.<br />Juste histoire de trouver l'inspiration.<br />Juste pour exister.<br />Dans la précarité.<br />De nos vies, de nos Taf<br /><br />Une autre Taf...<br /><br />Suivre le chemin <br />Pour mieux respecter<br />Tous ce qu'il y a de sacré<br />Une autre ligne et...<br />PAF! PAF! PAF!<br /><br />Une autre Taf...<br /><br />Mettre tous ce qu'il y a de plus immaculé dans nos coeurs meurtris par la postérité.<br />Et pourtant, sans cesse obligé d'avancer<br />Garder la tête haute. Toujours.<br />Avancer, jamais se retourner.<br />Attendre le moment<br />Le saisir <br />Le désir <br />Jouir<br />Attendre<br />Se méprendre<br />S'esquinter <br />Se succéder<br />Tous doper<br />Tous droguer<br />A la vie... A la mort...<br /><br />Et puis recommencer. Toujours.

Je la trouve trippant la forme de ton texte réveur!<br /><br />Alors plus classique...<br /><br />Ils s'éveillent un matin pour fumer un tarpé,<br />Des logos et des marques pour saper leur connerie,<br />Puis ils marchent inconscient retrouver leurs amis,<br />Tu sais, ceux qui sont là quand t'es seul à crever,<br /><br />Comme des bêtes sans égard qui hasardent les prés,<br />Ils sillonnent sans savoir les couloirs du lycée,<br />Et apprennent consciencieux le devoir de mémoire,<br />Qui les bouffe un instant pui s'efface des mémoires,<br /> <br />C'est la mode qui règne dans ce pauvre bahut,<br />Et la mort est trop loin pour penser à la sienne,<br />Mais penser c'est passé, comme descendre dans la rue,<br />Faut bosser et se taire dans ce foutu système,<br /><br />La morale des hommes est perdu en ce lieu,<br />Et cacher ses idées pour passer sans contraintes,<br />Oublier sa fierté pour ne commettre d'enfreintes,<br />A ces profs et leurs dogmes qui se veulent de Dieu,<br /><br />Bien bouffer de la merde un midi d'appétit,<br />Ils s'en foutent de la vie, ils gémissent des conneries,<br />Ils oublient les études et se parlent sans penser,<br />Parcqu'il savent oubier, ils le savent défoncer,<br /><br />Certains soir dans le mois ils se branlent en soirée,<br />Et il boivent, et ils baisent, sans aucune réflexion,<br />Ils en veulent de la thune et du sexe sans compter,<br />Ils en veulent de la thune, mais pas sous les canons,<br /><br />Ils en font des révoltes, le temps d'une envie,<br />Il en font du trvail, comme on leur en demande,<br />C'est une bête sans égard, la jeunesse d'aujourd'hui,<br />Comme un con sans cafard qui hasarde les landes

Sympa, alexsaez100, ça me fais penser a du Slam.

Ouai vraiment bien ton texte alexsaez100...

socialement integré, l'avait trouvé un CDI<br />terminait sa période d'essai, employeurs content de lui<br />il est au chomage aujourd'hui, car il a perdu son permis<br />lendemain de festival, garorock pour être précis<br />après la fête et ses excès, il avait plutôt bien dormis<br />il a soufflé dans le ballon, négatif à l'alcoolémie<br />arrive le chef de la flicaille, qui commençait à être aigris<br />d'pas faire son chiffre sur ces racailles, l'convoque à la gendarmerie<br />un détour avant les urgences, c'est la qu'arrivent les ennuies<br />test urinaire et prise de sang, apparaissent les pétards du samedi<br />socialement integré, l'avait trouvé un CDI<br />terminait sa période d'essai, employeurs content de lui<br />il est au chomage aujourd'hui, car il a perdu son permis<br />c'est un sale coup dans sa vie, mais on est tous avec lui.

ce petit coup de gueule m'a rappelé un joli texte que j'ai lu ya un moment , tellement que ça m'a parlé , je vous le met ici<br /><br />Ma mère cassée par le travail en lui même, mais aussi par le manque de reconnaissance alors que c

et elle paiera

Très jolie ces deux textes...<br />Je pense que je les mettrais dans le webzine!<br />Simo, tu peux me dire qui a écrit le texte que tu as posté s'il te plait?

Très jolie ces deux textes...<br />Je pense que je les mettrais dans le webzine!<br />Simo, tu peux me dire qui a écrit le texte que tu as posté s'il te plait?

Merci Simo...<br />Encore une fois, vraiment bien ces textes...

tu augmentes les peines de prison<br />fais l'apologie de la sanction<br />mais saches que la punition<br />est loin d'être la solution<br /><br />moi je crois en... l'Education.

Il ya plus âme qui vive<br />Au royaume des fées<br />Seule toi Femme a la clé<br />En ta paume, poing serré<br />Sort ta lame et crie vive<br />... La Liberté.

Et mon corps écorché que des hommes ont touché<br />ils n'auraient pas dû moi je ne sais plus<br />et dans la nuit qui passe il reste des traces<br />qui s'impriment sur mon corps qui écorchent mon coeur<br />et toi qui peux pas comprendre qui va juste surprendre<br />essayer d'arrêter ou m'empêcher de saigner<br />et ce miroir qui me tend les bras et qui me renvoit <br />l'image de moi , mais je ne vois plus <br />que les fantômes de passé , tous ceux qui m'ont bléssé.

Quand tes yeux on toucher coeur, <br /> Que ton rire n'était qu'en meurt, <br /> Et que les nuages t'on dit, " Faut il y croire ? " <br /> Tu ne parlais plus mais ton regarde d'ivoire, lui me disait " continue d'y croire. " <br /> Dis-moi est-ce que tu m'aime ? <br /> Oh tu sais pour moi tu es une reine, mais ce n'est pas la peine, <br /> De me dire que tu te sens bien, <br /> Alors que je sais que ton coeur n'est que souffrance, <br /> Et putain, quelle errance a travers monde, crois-tu que c'était utile,<br /> Et pourquoi m'apelle-tu, " il " ? <br /> Je ne comprends pas, tout allait si bien, a chacun de tes pas, <br /> Je ne voyais que l'espoir, l'espoir d'une rose qui tiens si bien. <br /> Quand tu t'endormais devant le feu,<br /> Et quand s'éteignait la flamme,<br /> La leur de tes yeux, faisait revivre la braise,<br /> Quand viendra la baise ?<br /> Jamais, me disais-tu, <br /> Mais pourtant, tes lèvres me murmuraient sans cesse " Je t'aime. "<br /> Et puis t'es partie, comme un vide, comme un mal de bide,<br /> Je ne me sentais pas bien,<br /> Je n'aurais pas du y croire.<br /> <br /> Femme, je ne suis pas a toi,<br /> Femmes je ne suis pas a vous.

à trop peur de mal faire<br />on fait tout à l'envers<br />mais que faire si je la perd?<br />que faire dans le désert?<br />plus qu'à faire et défaire<br />ce casse tête, mes affaires.

Dis-moi est-ce que tu m'aime ?

:laugh:

Ton corps était en sueur,<br />Tes bras étaient en sang,<br />Tes yeux étaient en pleurs,<br />Et mon coeur lui, était mourrant.

N'étant qu'une torture,<br />Et qu'un fardeau pour ton âme,<br />L'homme sans Nature,<br />N'est que femme sans histoires,<br /><br />N'est que mort, par une dame.

Dans la lumière de l'obscurité,<br />J'aperçois ton visage ensanglanté,<br />N'est-il qu'un rêve, n'est-il qu'une hallucination ?<br />Mais il m'envoit comme une putain d'éxitation,<br /><br />C'est ça, la mort est un fantasme,<br />C'est ça, la mort est un enthousiasme.<br /><br />Dans l'ombre de tes mots,<br />Je nage parmis les flots,<br />Parmis tes mots doux,<br />Je me sens jaloux,<br /><br />C'est ça, la mort est un fantasme,<br />C'est ça, la mort est un enthousiasme,<br /><br />Dans la noirceur de ton coeur,<br />Je vois l'éspoir d'une lueur,<br />J'entends le cris révolté,<br />Qui me dis, " Putain t'as chié. "<br /><br />C'est ça, la mort c'est mourir,<br />C'est ça, l'amour n'est que mort.

Il ya plus âme qui vive<br />Au royaume des fées<br />Seule toi Femme a la clé<br />En ta paume, poing serré<br />Sort ta lame et crie vive<br />... La Liberté.