c'est une redondance de me complaire dans mes deviances, les virages de ma conscience ressemblent a de la démence mais ca mon moi s'en balance... jusqu'a ce que tombe la sentence... là, froide, sans clemence... paf, la realité dans ma gueule!

elle supporte, sur ses freles epaules, la pression de mon regard. donner mais pas trop donner mais si peu, juste ce qu'il faut pour croire que ca rend heureux. juste ce qu'il faut pour y croire juste ce qu'il faut pour accroitre aussi mon desespoir. le bonheur c'est de la voir, le bonheur c'est de l'avoir, rien que pour soi meme pour un soir, aux reflets d'un mirroir mordre sa peau d'ivoire.

Oh oui c'est dur<br />De se trouver au pied du mur<br />Toute cette agitation<br />Pour etre finalement en perdition<br />Mais se souvenir<br />De ce sourire<br />Sur le visage<br />De mon dérapage...

ca part de rien,d'une attitude, suffit à m'percher, en altitude, d'la haut j'contemple, tes latitudes, qui me font fondre, et m'acidulent, un fantasme me, désarticule, et je retourne, à mes etudes. sans remords, sans scrupules... meme si ca s'passe que dans ma bulle.

Amer est le gout de mon combat ce soir...<br />Je sais même pas l'écrire.<br />Cette nuit c'est la fin fu jour!<br />This is the end, beautiful friend the end!!

Un jour tu sais on s'en ira <br />un jour tu sais on pourra rêver<br />loin du monde peut-être on comprendra<br />ce qu'est vraiment la réalité<br /><br />Dans mes idées noires<br />une petite lueur d'espoir<br />un besoin nécessaire<br />de ne plus faire la guerre

Envie de Feu et de Fumée, pour Consumer ma Destiné. Un gand incendie, de la moelle aux bouts des ongles, dans un brouillard de confusion comme une barriere sur l'horyzon. L'heure de reciter l'oraison de nos defuntes illusions pour, sans raison, se dire les choses telles qu'elles sont. et les choses sont, ainsi font, font font.

on fait un bébé? un vrai, qui pleure et bave, qui dort et qui mange et qui fait dans sa couche... et qui rigole aussi, en decouvrant la vie. Unissons notre ADN, brassons nos chromosomes, investissons sur nos genomes, plaçons nos reves dons un p'tit bout pour capitaliser nos emotions, pour recolter le fruit de notre genealogie, pour donner une vie à nos reves, pour enrichir l'Humanité.

Le concours va bientot recommencer...<br />A toute à l'heure...

Elle referma son livre en soupirant . Etendue sur son lit elle ferma les yeux en imaginant qu'un ciel parsemé d'étoiles remplaçait son plafond nu et blanc. Un jour un homme lui avait dit que chaque étoile était un bout d'amour mais que la voir lactée n'en contenait pas assez pour lui exprimer ses sentiments... "passons" se dit-elle en se relevant le temps passe et les amours changent.<br /><br />C'est pas de la poésie mais ça me passait par la tête :blush:

Elle referma son livre en soupirant . Etendue sur son lit elle ferma les yeux en imaginant qu'un ciel parsemé d'étoiles remplaçait son plafond nu et blanc. Un jour un homme lui avait dit que chaque étoile était un bout d'amour mais que la voir lactée n'en contenait pas assez pour lui exprimer ses sentiments... "passons" se dit-elle en se relevant le temps passe et les amours changent.<br /><br />C'est pas de la poésie mais ça me passait par la tête :blush:

Le monde se r'luque le cul dans un mirroir aminscissant, et quand la terre tourne mal, qui s'en soucie réellement? pas un pretre pour bien precher, pas un messi ne s'montre pour dire autre chose que des conneries.<br />L'enfant est expulsé, l'enfant est sans abris, coupable d'avoir grandi dans le monde qu'on lui a construit, génetiquement responsable de nos delires de colonies.

je sors des insomnies pour eviter à ce topic de sombrer dans l'oubli. que s'il est deserté, je le repeuplerais. que s'il est delaissé, je le cajolerais.<br /><br />La machiavelisme de l'amoureux le pousse à tous les plans foireux, et le pire de tout ca, c'est qu'au debut il y croit.<br /><br />Elle danse, devant mes yeux, elle danse, pour me narguer, elle me soumet ses courbes, là juste sous mon nez, mais comment vais je m'y prendre, pour ne pas la toucher, à moins que sa beauté finisse par me figer, en statue quand ses gestes sont si beau à r'garder.

Ces mots sont si durs à prononcer et pourtant ils pourraient me libérer du poids de ces années. Je ne suis pas assez sage pour ce que tu me demande, je ne suis pas assez grande pour apprendre ,je ne suis pas assez forte pour affronter ton regard. Ton regard qui me poursuit jusque dans mes rêves et je ne peux m'empécher d'éspèrer que je pourrai plonger une dernière fois dans ces mers azurs.

combien de pépites au milieux des bougies aux fenetres, combien mon coeur s'éprend de cet obscurité, illuminée, qui te flash à la gueule, de floues lumieres et Narcisse se noya, la tete la premiere.

"dans ma tete des volutes et plus loin mon cerveaux, posé tout à coté aux seins des idéaux"<br /><br />no news, bad news.<br />j'suis en apesenteur, dans une pate à modeler<br />le monde suit les rondeurs que je veux lui donner.<br />no news, bad news.<br />à la chasse au futil, j'ai rangé mon fusil<br />baignant dans l'inutil, je bois mes utopies.<br />no news, bad news.<br />quand tes seins se rebellent, contre la gravité<br />mes yeux se font la belle, squattant ton decoletté.<br />no news, bad news.<br />j'abandonne à Morphée l'affreuse fatalité<br />que mes doigts écorchés ne peuvent te faire vibrer.<br />no news, bad news.<br /><br />defoncé, defonce moi...

combien de pépites au milieux des bougies aux fenetres, combien mon coeur s'éprend de cet obscurité, illuminée, qui te flash à la gueule, de floues lumieres et Narcisse se noya, la tete la premiere.

t'étais à lyon ce week end ?

dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone. le repos du guerrier a ce quelque chose d'usurpé, mais il se savoure, dans l'alcôve d'un toujours, antithèse de cet instant ou tu souries négligeamment. dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone.

dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone. le repos du guerrier a ce quelque chose d'usurpé, mais il se savoure, dans l'alcôve d'un toujours, antithèse de cet instant ou tu souries négligeamment. dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone.

Réveil apaisant. Passe le relais à d'autres qui ont compris. Parce qu'il n'y a pas besoin de moi. L'oreille gauche sur l'oreiller qu'il m'a filé. Quelque chose sur quoi tenir. Le vide qui n'est plus sous mes pieds et les faux pas que je ne crains plus de faire; des choix que je refais. Des sommeils diurnes ou du somnambulisme suicidaire sur les bords, qu'elle me prend soin d'éviter. J'espère que la route n'a pas besoin de mes yeux et qu'elle sera toujours la bonne quand la nuit ira mieux. Et que la plume aussi.<br /><br />Need to sleep.

De toutes les routes empruntées<br />Une seule est la vraie<br />Toujours cette inquiétude<br />De s'être trompé<br />On a peur<br />De cet horizon au gout de prison<br />Et l'envie qui reprend le dessus.Toujours.

dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone. le repos du guerrier a ce quelque chose d'usurpé, mais il se savoure, dans l'alcôve d'un toujours, antithèse de cet instant ou tu souries négligeamment. dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone.<br /><br />à gommer les contours de ces artificiels contours, crayonnés à l'abri d'un bunker ou d'une tour. à faire pleurer les sourds, à pietiner l'amour, à renversé le pour quand le contre pèse pas lourd.

dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone. le repos du guerrier a ce quelque chose d'usurpé, mais il se savoure, dans l'alcôve d'un toujours, antithèse de cet instant ou tu souries négligeamment. dans l'oeil du cyclone, le calme avant d'être stone.<br /><br />à gommer les contours d'artificiels contours, crayonnés à l'abri d'un bunker ou d'une tour. à faire pleurer les sourds, à pietiner l'amour, à renversé le pour quand le contre pèse pas lourd.<br /><br />une strophe molotov pour embraser l'étoffe, qui flotte face au vent, fièrement tricolore. le bleu du patriote, là bien droit dans ses bottes.le blancs des cols truands, experts en boniments. le rouge de la colère, qui afflue dans nos r'gards, d'voir qu'le noir, et la guerre, tourmente la ménagere.

Réponse à la chanson "Jeunesse lève-toi"<br /><br />Toi l

J'aime bien ton texte mais putain! Il est pessimiste!

-- Top Chrono 5Minutes --<br /><br />Ma Fin<br /><br />Comme tes larmes qui coulent,<br />Et qui me rapellent l'eau des fontaines,<br />Si brillante, si belle, si miraculeuse<br />Regarde toi, pourquoi pleures-tu ?<br />Regarde moi, mais ne crie pas<br /><br />Comme mon sang qui coule,<br />Et qui me rapelle cette douce couleur qu'est le rouge<br />Si brillante, si belle, si miraculeuse<br />Regarde toi, pourquoi pleures-tu ?<br />Regarde moi, ma fin est proche<br /><br />Comme mon coeur qui bat contre ta poitrine<br />Et qui te rapelle tout mon amour pour toi<br />Si brillant, si beau, si miraculeux.<br />Regarde toi, pourquoi pleures-tu ?<br />Ne me regarde plus,<br /><br /><br />Mon Souffle s'éteind.<br />Ma fin est là.

et que brule passion... "je m'incendie volontaire".