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J'ai eu besoin de retranscrire pour écouter :
[quote]
[b]S'ils ont eu raison de nous[/b]
A vous mes amis des concerts
Toi le compagnon qui a tenu
Le combat quelle que soit la guerre
De nos yeux noyés sous les crues
Je crois qu'il est venu pour moi
Le temps de tirer révérence
D'aller me blottir dans les bras
De l'inconnu de votre absence
Je crois que les chemins de pluie
Ne trouvent plus de terre où sécher
Que les ruisseaux mélancolie
N'ont même plus les yeux pour pleurer
Je vous écris le cœur noyé
Ces quelques mots que vous lirez
Au détour d'un quelque avenir
Au détour d'un quelque café
Je t'écris avec l'espérance
Qu'un jour tu m'auras remplacé
Faut jamais laisser la souffrance
Au cœur trop longtemps s'installer
Après tant d'années à se dire
Après tant d'années à s'aimer
Tu sais j'ai le cœur qui chavire
Ce soir à devoir vous quitter
Et s'ils ont eu raison de nous
Si je crois le monde est devenu fou
Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sont voués les printemps
A s'enfuir dans des manteaux blancs
De l'hiver implacable loi
Qui veut que tout meurt ici-bas
Quelque soit l'or à nos palais
Quelque soit tout ce qu'on promet
Puisqu'ici tout vous abandonne
La vie reprend ce qu'elle vous donne
Si j'ai plus la force à chanter
Si j'ai la force qu'à pleurer
Si j'ai plus rien à dire tu sais
Que de la meute faut s'isoler
Si mes mots d'amour sont trop grands
Pour les livrer comment te dire
A cette époque où même un livre
Oui je crois ne sait plus écrire
A l'heure où tout devient fragile
Où la vie reprend tu sais
Si j'ai pas eu le cœur docile
C'était pour toi que j'échouais
Des mots sur des chants de musique
Des mots d'avant sur du papier
Je crois pour rendre le biblique
A ceux qui ont le cœur athée
Si j'ai jamais eu la prudence
Ma langue si j'ai pas su tourner
Si j'ai le cœur des résistances
Vouées à gagner sans régner
C'était pour vous vous mes amis
Que mon cœur n'a jamais plié
C'était pour vous ces poésies
Qui font du rien l'éternité
Alors votre humble serviteur
S'il vous dit adieu au revoir
Sachez que rempli est le cœur
Des souvenirs de notre histoire
Que je vous garderai toujours
Comme on garde un premier amour
Que toujours moi je garderai
Oui votre amour à tout jamais
Si vous saviez ma solitude
Si vous saviez comment mon cœur titube
Puisque la vie ne m'a donné
Oui je crois que la loyauté
D'avoir sur le cœur tatoués
Les mots d'amour de l'amitié
J'ai le cœur qui chavire
Mes amis ce soir de devoir partir
Et quand le temps viendra perler
Mes yeux noyés d'un souvenir
Même en-dessous la terre tu sais
C'est à vous que je penserai
Un jour on part pour un amour
Un jour on part pour un cimetière
Et si puisqu'on part tous un jour
Je crois pour la dernière guerre
Alors s'il faut poser les armes
Ou les rendre à plus combattant
Je vous les laisse au champ des larmes
Je vous les laisse en testament
Si sur ma terre il a trop plu
Les sanglots longs de ces douleurs
Qui font je crois que nos jardins
Ressemblent au cimetière de fleurs
Que j'ai plantées pour nos amours
Que j'ai plantées pour qu'elles reposent
Qu'elles reposent en paix pour toujours
Dessous le doux parfum des roses
Si pendant ces années labeur
Si je crois n'a battu mon cœur
Que pour aller planter des fleurs
Dans les jardins de la douleur
Sûr à chaque pas que j'ai fait
A chaque pas que je ferai
Si c'est à toi que j'ai pensé
C'est à toi que je penserai
Et s'ils ont eu raison de nous
Si je crois le monde est devenu fou
Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sont voués les printemps
A s'enfuir dans les manteaux blancs
Ton hiver implacable loi
Qui veut que tout meure ici bas
Puisqu'ici tout vous abandonne
La vie reprend ce qu'elle vous donne
Quelque soit l'or à nos palais
Quelque soit tout ce qu'on promet
Même en dessous la terre tu sais
Si c'est à toi que j'ai pensé
Même en dessous la terre tu sais
C'est à toi que je penserai[/quote]
S'ils ont eu raison de nous
A vous mes amis des concerts
Toi le compagnon qui a tenu
Le combat quelle que soit la guerre
De nos yeux noyés sous les crues
Je crois qu'il est venu pour moi
Le temps de tirer révérence
D'aller me blottir dans les bras
De l'inconnu de votre absence
Je crois que les chemins de pluie
Ne trouvent plus de terre où sécher
Que les ruisseaux mélancolie
N'ont même plus les yeux pour pleurer
Je vous écris le cœur noyé
Ces quelques mots que vous lirez
Au détour d'un quelque avenir
Au détour d'un quelque café
Je t'écris avec l'espérance
Qu'un jour tu m'auras remplacé
Faut jamais laisser la souffrance
Au cœur trop longtemps s'installer
Après tant d'années à se dire
Après tant d'années à s'aimer
Tu sais j'ai le cœur qui chavire
Ce soir à devoir vous quitter
Et s'ils ont eu raison de nous
Si je crois le monde est devenu fou
Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sont voués les printemps
A s'enfuir dans des manteaux blancs
De l'hiver implacable loi
Qui veut que tout meurt ici-bas
Quelque soit l'or à nos palais
Quelque soit tout ce qu'on promet
Puisqu'ici tout vous abandonne
La vie reprend ce qu'elle vous donne
Si j'ai plus la force à chanter
Si j'ai la force qu'à pleurer
Si j'ai plus rien à dire tu sais
Que de la meute faut s'isoler
Si mes mots d'amour sont trop grands
Pour les livrer comment te dire
A cette époque où même un livre
Oui je crois ne sait plus écrire
A l'heure où tout devient fragile
Où la vie reprend tu sais
Si j'ai pas eu le cœur docile
C'était pour toi que j'échouais
Des mots sur des chants de musique
Des mots d'avant sur du papier
Je crois pour rendre le biblique
A ceux qui ont le cœur athée
Si j'ai jamais eu la prudence
Ma langue si j'ai pas su tourner
Si j'ai le cœur des résistances
Vouées à gagner sans régner
C'était pour vous vous mes amis
Que mon cœur n'a jamais plié
C'était pour vous ces poésies
Qui font du rien l'éternité
Alors votre humble serviteur
S'il vous dit adieu au revoir
Sachez que rempli est le cœur
Des souvenirs de notre histoire
Que je vous garderai toujours
Comme on garde un premier amour
Que toujours moi je garderai
Oui votre amour à tout jamais
Si vous saviez ma solitude
Si vous saviez comment mon cœur titube
Puisque la vie ne m'a donné
Oui je crois que la loyauté
D'avoir sur le cœur tatoués
Les mots d'amour de l'amitié
J'ai le cœur qui chavire
Mes amis ce soir de devoir partir
Et quand le temps viendra perler
Mes yeux noyés d'un souvenir
Même en-dessous la terre tu sais
C'est à vous que je penserai
Un jour on part pour un amour
Un jour on part pour un cimetière
Et si puisqu'on part tous un jour
Je crois pour la dernière guerre
Alors s'il faut poser les armes
Ou les rendre à plus combattant
Je vous les laisse au champ des larmes
Je vous les laisse en testament
Si sur ma terre il a trop plu
Les sanglots longs de ces douleurs
Qui font je crois que nos jardins
Ressemblent au cimetière de fleurs
Que j'ai plantées pour nos amours
Que j'ai plantées pour qu'elles reposent
Qu'elles reposent en paix pour toujours
Dessous le doux parfum des roses
Si pendant ces années labeur
Si je crois n'a battu mon cœur
Que pour aller planter des fleurs
Dans les jardins de la douleur
Sûr à chaque pas que j'ai fait
A chaque pas que je ferai
Si c'est à toi que j'ai pensé
C'est à toi que je penserai
Et s'ils ont eu raison de nous
Si je crois le monde est devenu fou
Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sont voués les printemps
A s'enfuir dans les manteaux blancs
Ton hiver implacable loi
Qui veut que tout meure ici bas
Puisqu'ici tout vous abandonne
La vie reprend ce qu'elle vous donne
Quelque soit l'or à nos palais
Quelque soit tout ce qu'on promet
Même en dessous la terre tu sais
Si c'est à toi que j'ai pensé
Même en dessous la terre tu sais
C'est à toi que je penserai
Message déplacé depuis la discussion : S'ils ont eu raison de nous (extrait de l'album "à Dieu").
Merci mais si je lis je risque de transformer les larmes aux yeux par les chutes du niagara...Faut d'abord digéré
Message déplacé depuis la discussion : S'ils ont eu raison de nous (extrait de l'album "à Dieu").
Merci
Message déplacé depuis la discussion : S'ils ont eu raison de nous (extrait de l'album "à Dieu").
Message déplacé depuis la discussion : S'ils ont eu raison de nous (extrait de l'album "à Dieu").
Je m'amusais également à la retranscrire et j'ai remarqué quelques différences en comparant avec la tienne donc je met ici ce que j'y ai entendu :
A vous, mes amis des concerts,
Toi, le compagnon qui a tenu
Le combat, quelle que soit la guerre
De nos yeux noyés sous les crues
Je crois qu’il est venu pour moi
Le temps de tirer révérence,
D’aller me blottir dans les bras
De l’inconnu de votre absence.
Je crois que les chemins de pluie
Ne trouvent plus de terre où sécher,
Que les ruisseaux mélancolie
N’ont même plus les yeux pour pleurer.
Je vous écris, le cœur noyé,
Ces quelques mots que vous lirez
Au détour d’un quelque avenir,
Au détour d’un quelque café.
Je t’écris avec l’espérance
Qu’un jour, tu m’auras remplacé.
Faut jamais laisser la souffrance
Au cœur trop longtemps s’installer.
Après tant d’années à se dire,
Après tant d’années à s’aimer,
Tu sais, j’ai le cœur qui chavire,
Ce soir, à devoir vous quitter.
Et s’ils ont eu raison de nous,
Si, je crois, le monde est devenu fou,
Puisque ici, tu sais, rien ne dure
Guère plus longtemps qu’une aventure,
Puisque sont voués les printemps
A s’enfuir dans des manteaux blancs
D’un hiver, implacable loi,
Qui veut que tout meure ici-bas.
Quelque soit l'or à nos palais,
Quelque soit tout ce qu'on promet,
Puisque ici tout vous abandonne,
La vie reprend ce qu'elle vous donne.
Si j'ai plus la force à chanter,
Si j'ai la force qu'à pleurer,
Si j'ai plus rien à dire, tu sais,
Que de la meute, faut s'isoler.
Si mes mots d'amour sont trop grands
Pour les livrer, comment te dire ?
A cette époque où même un livre,
Oui, je crois, ne sait plus écrire.
A l'heure où tout devient fragile,
Où la vie nous reprend, tu sais.
Si j'ai pas eu le cœur docile,
C'était pour toi que j'échouais
Des mots sur des champs de musique,
Des mots d'avant sur du papier,
Je crois, pour rendre le biblique
A ceux qui ont le cœur athée.
Si j'ai jamais eu la prudence,
Ma langue, si j'ai pas su tourner,
Si j'ai le cœur des résistances
Vouées à gagner sans régner
C'était pour vous, vous mes amis
Que mon cœur n'a jamais plié.
C'était pour vous, ces poésies
Qui font du rien l'éternité.
Alors votre humble serviteur,
S'il vous dit adieu, au revoir,
Sachez que rempli est le cœur
Des souvenirs de notre histoire,
Que je vous garderai toujours
Comme on garde un premier amour,
Que toujours, moi, je garderai,
Oui, votre amour à tout jamais.
Si vous saviez ma solitude,
Si vous saviez comment mon cœur titube,
Puisque la vie ne m'a donné,
Oui, je crois, que la loyauté
D'avoir, sur le cœur, tatoués
Les mots d'amour de l'amitié.
J'ai le cœur qui chavire,
Mes amis, ce soir, de devoir partir.
Et quand le temps viendra perler
Mes yeux noyés d'un souvenir,
Même en-dessous la terre, tu sais,
C'est à vous que je penserai.
Un jour, on part pour un amour,
Un jour, on part pour un cimetière,
Et si, puisqu'on part tous un jour,
Je crois, pour la dernière guerre
Alors s'il faut poser les armes
Ou les rendre à plus combattant,
Je vous les laisse au champ des larmes,
Je vous les laisse en testament.
Si sur ma terre, il a trop plu
Les sanglots longs de ces douleurs
Qui font, je crois, que nos jardins
Ressemblent au cimetière de fleurs
Que j'ai plantées pour nos amours,
Que j'ai plantées pour qu'elles reposent,
Qu'elles reposent en paix pour toujours
Dessous le doux parfum des roses.
Si pendant ces années labeur,
Si, je crois, n'a battu mon cœur
Que pour aller planter des fleurs
Dans les jardins de la douleur
Sûr à chaque pas que j'ai fait,
A chaque pas que je ferai,
Si c'est à toi que j'ai pensé,
C'est à toi que je penserai.
Et s'ils ont eu raison de nous,
Si, je crois, le monde est devenu fou,
Puisque ici, tu sais, rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure,
Puisque sont voués les printemps
A s'enfuir dans les manteaux blancs
D’un hiver, implacable loi,
Qui veut que tout meure ici bas.
Puisque ici tout vous abandonne,
La vie reprend ce qu'elle vous donne,
Quelque soit l'or à nos palais,
Quelque soit tout ce qu'on promet.
Même en dessous la terre, tu sais,
Si c'est à toi que j'ai pensé,
Même en dessous la terre, tu sais,
C'est à toi que je penserai.
Message déplacé depuis la discussion : S'ils ont eu raison de nous (extrait de l'album "à Dieu").
wow merci @Patapizza :)
en gras les deux trois petits changements à faire
A vous mes amis des concerts
Tout le compagnon qui a tenu
Le combat quelle que soit la guerre
De nos yeux noyés sous les crues
Je crois qu'il est venu pour moi
Le temps de tirer révérence
D'aller me blottir dans les bras
De l'inconnu de votre absence
Je crois que les chemins de pluie
Ne trouvent plus de terre où sécher
Que les ruisseaux mélancolie
N'ont même plus les yeux pour pleurer
Je vous écris le cœur noyé
Ces quelques mots que vous lirez
Au détour d'un [b]quelque avenir[/b]
Au détour d'un quelque café
Je t'écris avec l'espérance
Qu'un jour tu m'auras remplacé
Faut jamais laisser la souffrance
[b]au cœur[/b] trop longtemps s'installer
Après tant d'années à se dire
Après tant d'années à s'aimer
Tu sais j'ai le cœur qui chavire
Ce soir à devoir vous quitter
Et s'ils ont eu raison de nous
Si je crois le monde est devenu fou
Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sans vous et les printemps
A s'enfuir dans des manteaux blancs
De l'hiver implacable loi
Qui veut que tout meurt ici-bas
Quelque soit l'or [b]à[/b] nos palais
Quelque soit tout ce qu'on promet
Puisqu'ici tout vous abandonne
La vie reprend ce qu'elle vous donne
Si j'ai plus la force à chanter
Si j'ai la force qu'à pleurer
Si j'ai plus rien à dire tu sais
Que de la meute faut s'isoler
Si mes mots d'amour sont trop grands
Pour les livrer comment te dire
A cette époque où même un livre
Oui je crois ne sait plus écrire
A l'heure où tout devient fragile
Où la vie reprend tu sais
Si j'ai pas eu le cœur docile
C'était pour toi que j'échouais
Des mots sur des chants de musique
Des mots d'avant sur du papier
Je crois pour rendre le biblique
A ceux qui ont le cœur éclaté
Si j'ai jamais eu la prudence
Ma langue si j'ai pas su tourner
Si j'ai le cœur des résistances
Vouées à gagner sans [b]régner[/b]
C'était pour vous vous mes amis
Que mon cœur n'a jamais plié
C'était pour vous ces poésies
Qui font du rien l'éternité
Alors votre humble serviteur
S'il vous dit adieu au revoir
Sachez que rempli est le cœur
Des souvenirs de notre histoire
Que je vous garderai toujours
Comme on garde un premier amour
Que toujours moi je garderai
Oui votre amour à tout jamais
Si vous saviez la solitude
Si vous saviez comment mon cœur titube
Puisque la vie ne m'a donné
Oui je crois que la loyauté
D'avoir sur le cœur tatoué
Les mots d'amour de l'amitié
J'ai le cœur qui chavire
Mes amis ce soir de devoir partir
Et quand le temps viendra perler
Mes yeux noyés d'un souvenir
Même en-dessous la terre tu sais
C'est à vous que je penserai
Un jour on part pour un amour
Un jour on part pour un cimetière
Et si puisqu'on part tous un jour
Je crois pour la dernière guerre
Alors s'il faut poser les armes
Ou les rendre à plus combattant
Je vous les laisse au champ des larmes
Je vous les laisse en testament
Si sur ma terre il a trop plu
Les sanglots longs de ces douleurs
Qui font je crois que nos jardins
Ressemblent au cimetière de fleurs
Que j'ai plantées pour nos amours
Que j'ai plantées pour qu'elles reposent
Qu'elles reposent en paix pour toujours
Dessous le doux parfum des roses
Si pendant ces années labeur
Si je crois n'a battu mon cœur
Que pour aller planter des fleurs
Dans les jardins de la douleur
Sûr à chaque pas que j'ai fait
A chaque pas que je ferai
Si c'est à toi que j'ai pensé
C'est à toi que je penserai
Et s'ils ont eu raison de nous
Si je crois le monde est devenu fou
Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sans vous et les printemps
A s'enfuir dans les manteaux blancs
Ton hiver implacable loi
Qui veut que tout meurt ici bas
Puisqu'ici tout vous abandonne
La vie reprend ce qu'elle vous donne
Quelque soit l'or à [b]nos palais[/b]
Quelque soit tout ce qu'on promet
Même en dessous la terre tu sais
Si c'est à toi que j'ai pensé
Même en dessous la terre tu sais
C'est à toi que je penserai
elles sont belles à pleurer ses paroles
sa version à lui de "mon plus bel amour c'est vous"
"Je crois pour rendre le biblique
A ceux qui ont le cœur éclaté"
il ne me semble pas avoir entendu éclaté mais athée.
"si vous saviez la solitude"
j'ai entendu MA solitude
je retourne vérifier :)
Qu'elle belle surprise :)
Merci pour vos relectures, j'ai essayé de modifier mon premier message en prenant en compte toutes les remarques.
C'est toujours quand on me souffle la réponse pour les mots manquants que ça me parait évident :). (Et les fautes d'orthographe, blerk !)
Pour la ponctuation, je ne sais jamais s'il faut la faire apparaître... Mais certains vers sont bien plus lisibles avec les virgules.
Au début :
A vous mes amis des concerts
Toi le compagnon qui a tenu
---
Remplacer "Tout" par "Toi... le compagnon"
Message déplacé depuis la discussion : S'ils ont eu raison de nous (extrait de l'album "à Dieu").
Petite suggestion qui ne change rien à l'affaire :
"Si mes mots d'amour sont trop grands pour les livrets comment te dire"
Peut être un clin d'oeil aux fans qui ralent qu'il n'y est plus de livrets depuis Messina (moment où il a commencé à faire des chansons vraiment trop longues)
Il me semble entendre puisque sont voués les printemps à s'enfuir sous un manteau blanc
Moi j'entend "pour rendre le biblique à ceux qui ont le coeur pâté"
mais ça doit pas être ça.
Bonjour!
Je traduis une chanson en polonaise.
(Oui, en Pologne nous avez des fans du Saez aussi :))
Jeśli mieli rację co do nas
Dla was, moi przyjaciele z koncertów
Ty towarzyszu, który prowadziłeś
Walkę bez względu na wojnę
Gdy nasze oczy topiły się w powodziach
Wierzę, że przyszedł na mnie
Czas by strzelać z szacunkiem
By wcisnąć się w moje ramiona
Nieznaną twoją nieobecnością
Wierzę, że ścieżki deszczu
Nie zostawiają już ziemi do wyschnięcia
Kiedy melancholijne strumienie
Nie mają już nawet oczu, by płakać
Piszę do ciebie z utopionym sercem
Te kilka słów, które przeczytasz
Na zakręcie jakiejś przyszłości
Na zakręcie w jakiejś kawiarni
Piszę do ciebie z nadzieją
Że pewnego dnia mnie zastąpisz
Nigdy nie pozwól cierpieniu
Na długo pozostać w sercu
Po tylu latach mówienia do siebie
Po tylu latach kochania
Wiesz, że moje serce się się wywraca
Dziś wieczorem muszę cię opuścić
A jeśli mieli rację co do nas
Jeśli wierzę, że świat oszalał
Ponieważ tutaj nic nie wiadomo
Wojna jest dłuższa niż przygoda
Ponieważ bez ciebie i wiosny
Ucieka się w białe płaszcze
Od bezwzględnego prawa zimy
Która chce aby wszystko umarło
Cokolwiek jest złotem dla naszych podniebień
Cokolwiek jest obiecane
Ponieważ tutaj wszystko cię opuszcza
Życie zabiera to co najpierw daje
Jeśli mam więcej siły by śpiewać
Jeśli mam siłę, by płakać
Jeśli nie mam już nic do powiedzenia, to wiesz
To musi być izolowane
Jeśli moje słowa miłości są zbyt wielkie
Aby je dać, aby ci powiedzieć
W tej epoce nawet książka
Tak, nie mogę więcej pisać
W czasie gdy wszystko jest kruche
Gdzie życie płynie, wiesz
Jeśli nie miałem uległego serca
To było dla ciebie, którego zawiodłem
Słowa na utwory muzyczne
Słowa z przeszłości na papierze
Wierzę, że tworzę biblię
Dla tych, co mają ateistyczne serce
Gdybym kiedykolwiek miał ostrożny język
Gdybym nie wiedział jak się zwrócić
Jeśli mam serce pełne oporu
Przeznaczone by wygrywać bez panowania
To było dla was, moi przyjaciele
Że moje serce nigdy się nie poddało
To dla was te wiersze
Które nie dbają o wieczność
Więc twój pokorny sługa
Jeśli się z tobą pożegna
Wiedz, że napełnione jest serce
Wspomnieniami z naszej historii
Że zachowam cię na zawsze
Tak jak zachowujemy pierwszą miłość
To na zawsze zachowam
Tak, twoją miłość na zawsze
Gdybyś znał moją samotność
Gdybyś wiedział jak moje serce się zatacza
Odkąd życie mi nie dało
Tak, wierzę w tę lojalność
By mieć serce w tatuażach
Ze słów miłości i przyjaźni
Mam serce, które się wywraca
Moi przyjaciele dziś wieczorem muszą wyjść
A kiedy nadejdzie czas
By moje oczy utopiły się w pamięci
Nawet pod ziemią, wiesz
Pomyślę o tobie
Pewnego dnia wychodzimy na miłość
Pewnego dnia udajemy się na cmentarz
A dopóki mamy jeszcze wszystkie dni
Wierzę w ostatnią wojnę
Więc jeśli trzeba opuścić ręce
Lub zmusić je do większej walki
Zostawiam je tobie na polu łez
Zostawiam je twojej woli
Gdyby moja ziemia była zbyt deszczowa
Przez długie szlochy i cierpienia
Wierzę, że nasze ogrody
Wyglądają jak cmentarz kwiatów
Co zasadziłem dla naszej miłości
Co zasadziłem by spoczywało
Niech spoczywa w pokoju na wieki
Pod słodkim zapachem róż
Jeśli w ciągu tych trudnych lat
Jeśli wierzę, że nie zniszczyłem mojego serca
Aby posadzić te kwiaty
W ogrodach bólu
To pewne, że na każdym kroku, który zrobiłem
I na każdym, który zrobię
To byłeś ty, o którym myślałem
I to o tobie będę myśleć
A jeśli mieli rację co do nas
Jeśli wierzę, że świat oszalał
Ponieważ tutaj nic nie wiadomo
Wojna jest dłuższa niż przygoda
Ponieważ bez ciebie i wiosny
Ucieka się w białe płaszcze
Od bezwzględnego prawa zimy
Które chce aby wszystko umarło
Ponieważ tutaj wszystko cię opuszcza
Życie zabiera to co daje
Cokolwiek jest złotem dla naszych podniebień
Cokolwiek jest obiecane
Nawet pod ziemią, wiesz
Jeśli to ty, o którym myślę
Nawet pod ziemią, wiesz
Pomyślę o tobie
[quote="dericone"]Petite suggestion qui ne change rien à l'affaire :
"Si mes mots d'amour sont trop grands pour les livrets comment te dire"
[/quote]
Bien vu dericone, pour le jeu de mot et la référence aux livrets absents depuis trop longtemps (J'accuse ?)...
Petite suggestion qui ne change rien à l'affaire :
"Si mes mots d'amour sont trop grands pour les livrets comment te dire"
Bien vu dericone, pour le jeu de mot et la référence aux livrets absents depuis trop longtemps (J'accuse ?)...
[quote="eva_pologne"]Bonjour!
Je traduis une chanson en polonaise.
(Oui, en Pologne nous avez des fans du Saez aussi :))
Jeśli mieli rację co do nas
Dla was, moi przyjaciele z koncertów
Ty towarzyszu, który prowadziłeś
Walkę bez względu na wojnę
Gdy nasze oczy topiły się w powodziach
Wierzę, że przyszedł na mnie
Czas by strzelać z szacunkiem
By wcisnąć się w moje ramiona
Nieznaną twoją nieobecnością
Wierzę, że ścieżki deszczu
Nie zostawiają już ziemi do wyschnięcia
Kiedy melancholijne strumienie
Nie mają już nawet oczu, by płakać
Piszę do ciebie z utopionym sercem
Te kilka słów, które przeczytasz
Na zakręcie jakiejś przyszłości
Na zakręcie w jakiejś kawiarni
Piszę do ciebie z nadzieją
Że pewnego dnia mnie zastąpisz
Nigdy nie pozwól cierpieniu
Na długo pozostać w sercu
Po tylu latach mówienia do siebie
Po tylu latach kochania
Wiesz, że moje serce się się wywraca
Dziś wieczorem muszę cię opuścić
A jeśli mieli rację co do nas
Jeśli wierzę, że świat oszalał
Ponieważ tutaj nic nie wiadomo
Wojna jest dłuższa niż przygoda
Ponieważ bez ciebie i wiosny
Ucieka się w białe płaszcze
Od bezwzględnego prawa zimy
Która chce aby wszystko umarło
Cokolwiek jest złotem dla naszych podniebień
Cokolwiek jest obiecane
Ponieważ tutaj wszystko cię opuszcza
Życie zabiera to co najpierw daje
Jeśli mam więcej siły by śpiewać
Jeśli mam siłę, by płakać
Jeśli nie mam już nic do powiedzenia, to wiesz
To musi być izolowane
Jeśli moje słowa miłości są zbyt wielkie
Aby je dać, aby ci powiedzieć
W tej epoce nawet książka
Tak, nie mogę więcej pisać
W czasie gdy wszystko jest kruche
Gdzie życie płynie, wiesz
Jeśli nie miałem uległego serca
To było dla ciebie, którego zawiodłem
Słowa na utwory muzyczne
Słowa z przeszłości na papierze
Wierzę, że tworzę biblię
Dla tych, co mają ateistyczne serce
Gdybym kiedykolwiek miał ostrożny język
Gdybym nie wiedział jak się zwrócić
Jeśli mam serce pełne oporu
Przeznaczone by wygrywać bez panowania
To było dla was, moi przyjaciele
Że moje serce nigdy się nie poddało
To dla was te wiersze
Które nie dbają o wieczność
Więc twój pokorny sługa
Jeśli się z tobą pożegna
Wiedz, że napełnione jest serce
Wspomnieniami z naszej historii
Że zachowam cię na zawsze
Tak jak zachowujemy pierwszą miłość
To na zawsze zachowam
Tak, twoją miłość na zawsze
Gdybyś znał moją samotność
Gdybyś wiedział jak moje serce się zatacza
Odkąd życie mi nie dało
Tak, wierzę w tę lojalność
By mieć serce w tatuażach
Ze słów miłości i przyjaźni
Mam serce, które się wywraca
Moi przyjaciele dziś wieczorem muszą wyjść
A kiedy nadejdzie czas
By moje oczy utopiły się w pamięci
Nawet pod ziemią, wiesz
Pomyślę o tobie
Pewnego dnia wychodzimy na miłość
Pewnego dnia udajemy się na cmentarz
A dopóki mamy jeszcze wszystkie dni
Wierzę w ostatnią wojnę
Więc jeśli trzeba opuścić ręce
Lub zmusić je do większej walki
Zostawiam je tobie na polu łez
Zostawiam je twojej woli
Gdyby moja ziemia była zbyt deszczowa
Przez długie szlochy i cierpienia
Wierzę, że nasze ogrody
Wyglądają jak cmentarz kwiatów
Co zasadziłem dla naszej miłości
Co zasadziłem by spoczywało
Niech spoczywa w pokoju na wieki
Pod słodkim zapachem róż
Jeśli w ciągu tych trudnych lat
Jeśli wierzę, że nie zniszczyłem mojego serca
Aby posadzić te kwiaty
W ogrodach bólu
To pewne, że na każdym kroku, który zrobiłem
I na każdym, który zrobię
To byłeś ty, o którym myślałem
I to o tobie będę myśleć
A jeśli mieli rację co do nas
Jeśli wierzę, że świat oszalał
Ponieważ tutaj nic nie wiadomo
Wojna jest dłuższa niż przygoda
Ponieważ bez ciebie i wiosny
Ucieka się w białe płaszcze
Od bezwzględnego prawa zimy
Które chce aby wszystko umarło
Ponieważ tutaj wszystko cię opuszcza
Życie zabiera to co daje
Cokolwiek jest złotem dla naszych podniebień
Cokolwiek jest obiecane
Nawet pod ziemią, wiesz
Jeśli to ty, o którym myślę
Nawet pod ziemią, wiesz
Pomyślę o tobie[/quote]
c'est tellement beau à lire....pas moyen de ne pas penser à l'album Varsovie...
Bonjour!
Je traduis une chanson en polonaise.
(Oui, en Pologne nous avez des fans du Saez aussi )
Jeśli mieli rację co do nas
Dla was, moi przyjaciele z koncertów
Ty towarzyszu, który prowadziłeś
Walkę bez względu na wojnę
Gdy nasze oczy topiły się w powodziach
Wierzę, że przyszedł na mnie
Czas by strzelać z szacunkiem
By wcisnąć się w moje ramiona
Nieznaną twoją nieobecnością
Wierzę, że ścieżki deszczu
Nie zostawiają już ziemi do wyschnięcia
Kiedy melancholijne strumienie
Nie mają już nawet oczu, by płakać
Piszę do ciebie z utopionym sercem
Te kilka słów, które przeczytasz
Na zakręcie jakiejś przyszłości
Na zakręcie w jakiejś kawiarni
Piszę do ciebie z nadzieją
Że pewnego dnia mnie zastąpisz
Nigdy nie pozwól cierpieniu
Na długo pozostać w sercu
Po tylu latach mówienia do siebie
Po tylu latach kochania
Wiesz, że moje serce się się wywraca
Dziś wieczorem muszę cię opuścić
A jeśli mieli rację co do nas
Jeśli wierzę, że świat oszalał
Ponieważ tutaj nic nie wiadomo
Wojna jest dłuższa niż przygoda
Ponieważ bez ciebie i wiosny
Ucieka się w białe płaszcze
Od bezwzględnego prawa zimy
Która chce aby wszystko umarło
Cokolwiek jest złotem dla naszych podniebień
Cokolwiek jest obiecane
Ponieważ tutaj wszystko cię opuszcza
Życie zabiera to co najpierw daje
Jeśli mam więcej siły by śpiewać
Jeśli mam siłę, by płakać
Jeśli nie mam już nic do powiedzenia, to wiesz
To musi być izolowane
Jeśli moje słowa miłości są zbyt wielkie
Aby je dać, aby ci powiedzieć
W tej epoce nawet książka
Tak, nie mogę więcej pisać
W czasie gdy wszystko jest kruche
Gdzie życie płynie, wiesz
Jeśli nie miałem uległego serca
To było dla ciebie, którego zawiodłem
Słowa na utwory muzyczne
Słowa z przeszłości na papierze
Wierzę, że tworzę biblię
Dla tych, co mają ateistyczne serce
Gdybym kiedykolwiek miał ostrożny język
Gdybym nie wiedział jak się zwrócić
Jeśli mam serce pełne oporu
Przeznaczone by wygrywać bez panowania
To było dla was, moi przyjaciele
Że moje serce nigdy się nie poddało
To dla was te wiersze
Które nie dbają o wieczność
Więc twój pokorny sługa
Jeśli się z tobą pożegna
Wiedz, że napełnione jest serce
Wspomnieniami z naszej historii
Że zachowam cię na zawsze
Tak jak zachowujemy pierwszą miłość
To na zawsze zachowam
Tak, twoją miłość na zawsze
Gdybyś znał moją samotność
Gdybyś wiedział jak moje serce się zatacza
Odkąd życie mi nie dało
Tak, wierzę w tę lojalność
By mieć serce w tatuażach
Ze słów miłości i przyjaźni
Mam serce, które się wywraca
Moi przyjaciele dziś wieczorem muszą wyjść
A kiedy nadejdzie czas
By moje oczy utopiły się w pamięci
Nawet pod ziemią, wiesz
Pomyślę o tobie
Pewnego dnia wychodzimy na miłość
Pewnego dnia udajemy się na cmentarz
A dopóki mamy jeszcze wszystkie dni
Wierzę w ostatnią wojnę
Więc jeśli trzeba opuścić ręce
Lub zmusić je do większej walki
Zostawiam je tobie na polu łez
Zostawiam je twojej woli
Gdyby moja ziemia była zbyt deszczowa
Przez długie szlochy i cierpienia
Wierzę, że nasze ogrody
Wyglądają jak cmentarz kwiatów
Co zasadziłem dla naszej miłości
Co zasadziłem by spoczywało
Niech spoczywa w pokoju na wieki
Pod słodkim zapachem róż
Jeśli w ciągu tych trudnych lat
Jeśli wierzę, że nie zniszczyłem mojego serca
Aby posadzić te kwiaty
W ogrodach bólu
To pewne, że na każdym kroku, który zrobiłem
I na każdym, który zrobię
To byłeś ty, o którym myślałem
I to o tobie będę myśleć
A jeśli mieli rację co do nas
Jeśli wierzę, że świat oszalał
Ponieważ tutaj nic nie wiadomo
Wojna jest dłuższa niż przygoda
Ponieważ bez ciebie i wiosny
Ucieka się w białe płaszcze
Od bezwzględnego prawa zimy
Które chce aby wszystko umarło
Ponieważ tutaj wszystko cię opuszcza
Życie zabiera to co daje
Cokolwiek jest złotem dla naszych podniebień
Cokolwiek jest obiecane
Nawet pod ziemią, wiesz
Jeśli to ty, o którym myślę
Nawet pod ziemią, wiesz
Pomyślę o tobie
c'est tellement beau à lire....pas moyen de ne pas penser à l'album Varsovie...
La majorité des retranscriptions trouvées indique :
"Puisqu'ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu'une aventure
Puisque sans vous et les printemps
A s'enfuir dans des manteaux blancs"
Pour ma part je suis d'accord avec pierlou sur sa correction :
[quote="pierlou42"]
Puisque ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu’une aventure
Puisque [b]sont voués[/b] les printemps
A s’enfuir dans des manteaux blancs
[/quote]
Puisque ici tu sais rien ne dure
Guère plus longtemps qu’une aventure
Puisque sont voués les printemps
A s’enfuir dans des manteaux blancs
C'est absolument sûr et certain qu'il dit "puisque sont voués les printemps à s'enfuir..." car l'autre version ne veut rien dire lol