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[quote="suffragettes AB"]Plongée en apnée dans l'inconscient humain.
Psyché, je t'éventre pour mieux me repaître de tes organes :
Je suis créatrice, tu es créateur, nous sommes des créations, des créatures de chair, des créances avancées de guerres.
Tu penses donc tu es mais qui es tu pour penser à la place des autres ?
Ta vérité c'est une chandelle en plein vent, ta lumière à la poursuite des obscurités qu'on t'apprend.
Dans chaque journal, une part d'ombre, dans chaque article un projecteur sur une scène pour mieux te dissimuler les obscurs.
Tu ne sais plus lire je crois, tu ne sais plus lire que ce qui t'écartes des autres, tu creuses la tranchée entre la pensée et la pensée, comme si ta conscience était omnisciente, tu ignores donc tes parts cachées et tu souhaites asperger les autres de tes éclaircies ?
Plus ça va plus tu me fais rire.
Miroir, qu'il est beau ce miroir quand il reflète ce que je veux voir, qu'il est beau quand il n'est que la réfraction de ce que j'occulte.
Attaques les différences, parles de pédagogie, fais toi passer sage quand toutes tes valeurs ne sont que vampirisme à d'autres et n'applique pas tes idéaux, c'est qu'Internet ici, c'est qu'Internet, qu'un royaume de sans-vie de bouffés du cerveau, de fidèles à twitter qui préfère les # aux * des yeux, faut dire qu'on a des royaumes pour nous servir dans nos envies de petites reines de petits rois, vouloir un royaume pour partager mais garder le contrôle de l'empereur pour mieux y répandre ses tentacules.
Gesticules petite pieuvre, défends tes branches, les nouvelles et les vieilles, tu sais lesquels casseront en premier.
De la mort de la pensée, bienvenue à la frontière de la stupidité et de la bêtise où répandre son point de vue sur toute chose est consacré liberté d'expression.
De la mort de la pensée ou la liberté de l'inexpression, toi qui prends à la lettre tes plus belles luttes tu penses servir sans desservir ?
Sais-tu qu'à boire au ruisseau en amont tu diminues l'aval ?
A jeter des pavés dans la mare tu fais monter le niveau, mais non pas là où tu les jettes ces pavés, mais plus loin, en contrebas, dans la digestion des sociétés humaines.
Si tu espères changer le monde, sois persuadée, tu le changeras, mais aucune digue ni aucun barrage ne peut prévoir les trajectoires des pluies de l'anarchie et rien ne prédit qu'elle innonde les morales que tu attaques.
Parfois à vouloir lutter on nourrit les contraires, on s'arme des mêmes schémas que les assaillants ( car on les considère comme des assaillants : qui donc déclara la guerre à ceux qui ne sont pas nos alliés ? ) tout en pointant du doigt l'origine de notre stupidité sans en traiter le remède.
Lutter contre des arguments ? Avec des contre-arguments qui rejette ceux qui défendent les primo-arguments ?
Qui lance la première pierre à ceux qui s'expriment ?
Pourquoi lancer des pierres sur ceux qui se dilapident seuls, hormis la volonté d'enterrer encore plus ?
Des cailloux des pierres des poussières de rochers qui au bout du compte font des montagnes et construisent des remparts contre les pensées émergentes.
Extrémisme, intolérance
Intolérance extrémisme
Gardez votre calme gardez votre paix, apprennez à lire ce qui est écrit et non pas à lire ce qui vous arrange pour mieux lancer vos crottes de grès.
Balance, équilibre
Équilibre de la balance, elle repose sur la juste mesure et combien d'êtres sautent à pieds joints dans la confrontation en se pensant légitimes ?
Pédagogie, ton logos est là pour élever non pas pour formater à ce que tu penses juste.
De la mort de la pensée nous dressons la table, prenez vos couverts et coupez donc les doigts des autres, eux qui veulent faire chair sur le plat que vous ne voulez pas partager.
Vous n'êtes rien, comme je ne suis rien, qu'une vie perdue au milieu d'autres. Même la célébrité ne sauve pas impuissances de nos idéaux.
Luttez luttez, faites repaître la bête cybernétique, nous avançons la lutte avec les armes d'autodestruction massive qu'ils nous vendent, luttez luttez, moi je suis déjà morte, morte-née par la mort de la pensée que vous alimenter.
Lisez tous les journaux lisez tous les articles, likez des contestations, partagez des contenus qui vous semblent intéressants, rien ne freine les ombres qui vous sont invisibles.
C'est que le diable a déjà gagné, cloisonnez vous dans l'identité et ses labyrinthes éternels quand elle n'est qu'une illusion imposée, cloisonnez vous à lutter contre ceux qui sont contre, ou à être pour ceux qui sont pour, viendra la société du non-choix, du Charlie ou pas, du violeur ou du violé, du vivant ou du mort.
Nous en sommes là, à nous diviser, cellule unicellulaire qui ne fait que se reproduire et reproduire ses reproductions, pour arriver au cul de sac de l'évolution.
iPhone Microsoft Windows Facebook Mac
Ta pensée meurt ta pensée congelée à leur modèle fond pour ne laisser rien d'autre que le spectre du devenir qu'on t'a cryogénisé
Tu ne seras rien
Rien du tout
Tu passeras des vacances pour oublier ton quotidien
Répit de l'esclavage avec ou sans solde
Tu defendras de grandes causes de grandes lumières en voulant effacer les ombres mais tu oublies que le jour tourne et ne dure qu'un temps
Tu ne sais plus conjuguer l'humain à l'humain
Tu ne sais plus t'entendre.
Entiendes ?
Langue cadenassée origines aux oubliettes pour mieux te faire parvenir aux fins que l'on souhaite
Et qu'importe le moyen
Suicide communautaire de la planète
Comme c'est chouette internet
C'est manger le fruit sans connaître la plante
Racine vénéneuse dont on s'abreuve du jus
Tu me partages entre des sentiments que je pointe de mon doigt- tout puissant -d'internaute déifié
J'incarne la vérité j'écris je sais mieux qu'un lecteur alors je me penche sur le silence et lui demande de parler
Il n'a rien à me répondre car il est en paix
Il a trouvé la mort
La mort de la pensée[/quote]
Superbe.
Poésie résistante. :)
Plongée en apnée dans l'inconscient humain.
Psyché, je t'éventre pour mieux me repaître de tes organes :
Je suis créatrice, tu es créateur, nous sommes des créations, des créatures de chair, des créances avancées de guerres.
Tu penses donc tu es mais qui es tu pour penser à la place des autres ?
Ta vérité c'est une chandelle en plein vent, ta lumière à la poursuite des obscurités qu'on t'apprend.
Dans chaque journal, une part d'ombre, dans chaque article un projecteur sur une scène pour mieux te dissimuler les obscurs.
Tu ne sais plus lire je crois, tu ne sais plus lire que ce qui t'écartes des autres, tu creuses la tranchée entre la pensée et la pensée, comme si ta conscience était omnisciente, tu ignores donc tes parts cachées et tu souhaites asperger les autres de tes éclaircies ?
Plus ça va plus tu me fais rire.
Miroir, qu'il est beau ce miroir quand il reflète ce que je veux voir, qu'il est beau quand il n'est que la réfraction de ce que j'occulte.
Attaques les différences, parles de pédagogie, fais toi passer sage quand toutes tes valeurs ne sont que vampirisme à d'autres et n'applique pas tes idéaux, c'est qu'Internet ici, c'est qu'Internet, qu'un royaume de sans-vie de bouffés du cerveau, de fidèles à twitter qui préfère les # aux * des yeux, faut dire qu'on a des royaumes pour nous servir dans nos envies de petites reines de petits rois, vouloir un royaume pour partager mais garder le contrôle de l'empereur pour mieux y répandre ses tentacules.
Gesticules petite pieuvre, défends tes branches, les nouvelles et les vieilles, tu sais lesquels casseront en premier.
De la mort de la pensée, bienvenue à la frontière de la stupidité et de la bêtise où répandre son point de vue sur toute chose est consacré liberté d'expression.
De la mort de la pensée ou la liberté de l'inexpression, toi qui prends à la lettre tes plus belles luttes tu penses servir sans desservir ?
Sais-tu qu'à boire au ruisseau en amont tu diminues l'aval ?
A jeter des pavés dans la mare tu fais monter le niveau, mais non pas là où tu les jettes ces pavés, mais plus loin, en contrebas, dans la digestion des sociétés humaines.
Si tu espères changer le monde, sois persuadée, tu le changeras, mais aucune digue ni aucun barrage ne peut prévoir les trajectoires des pluies de l'anarchie et rien ne prédit qu'elle innonde les morales que tu attaques.
Parfois à vouloir lutter on nourrit les contraires, on s'arme des mêmes schémas que les assaillants ( car on les considère comme des assaillants : qui donc déclara la guerre à ceux qui ne sont pas nos alliés ? ) tout en pointant du doigt l'origine de notre stupidité sans en traiter le remède.
Lutter contre des arguments ? Avec des contre-arguments qui rejette ceux qui défendent les primo-arguments ?
Qui lance la première pierre à ceux qui s'expriment ?
Pourquoi lancer des pierres sur ceux qui se dilapident seuls, hormis la volonté d'enterrer encore plus ?
Des cailloux des pierres des poussières de rochers qui au bout du compte font des montagnes et construisent des remparts contre les pensées émergentes.
Extrémisme, intolérance
Intolérance extrémisme
Gardez votre calme gardez votre paix, apprennez à lire ce qui est écrit et non pas à lire ce qui vous arrange pour mieux lancer vos crottes de grès.
Balance, équilibre
Équilibre de la balance, elle repose sur la juste mesure et combien d'êtres sautent à pieds joints dans la confrontation en se pensant légitimes ?
Pédagogie, ton logos est là pour élever non pas pour formater à ce que tu penses juste.
De la mort de la pensée nous dressons la table, prenez vos couverts et coupez donc les doigts des autres, eux qui veulent faire chair sur le plat que vous ne voulez pas partager.
Vous n'êtes rien, comme je ne suis rien, qu'une vie perdue au milieu d'autres. Même la célébrité ne sauve pas impuissances de nos idéaux.
Luttez luttez, faites repaître la bête cybernétique, nous avançons la lutte avec les armes d'autodestruction massive qu'ils nous vendent, luttez luttez, moi je suis déjà morte, morte-née par la mort de la pensée que vous alimenter.
Lisez tous les journaux lisez tous les articles, likez des contestations, partagez des contenus qui vous semblent intéressants, rien ne freine les ombres qui vous sont invisibles.
C'est que le diable a déjà gagné, cloisonnez vous dans l'identité et ses labyrinthes éternels quand elle n'est qu'une illusion imposée, cloisonnez vous à lutter contre ceux qui sont contre, ou à être pour ceux qui sont pour, viendra la société du non-choix, du Charlie ou pas, du violeur ou du violé, du vivant ou du mort.
Nous en sommes là, à nous diviser, cellule unicellulaire qui ne fait que se reproduire et reproduire ses reproductions, pour arriver au cul de sac de l'évolution.
iPhone Microsoft Windows Facebook Mac
Ta pensée meurt ta pensée congelée à leur modèle fond pour ne laisser rien d'autre que le spectre du devenir qu'on t'a cryogénisé
Tu ne seras rien
Rien du tout
Tu passeras des vacances pour oublier ton quotidien
Répit de l'esclavage avec ou sans solde
Tu defendras de grandes causes de grandes lumières en voulant effacer les ombres mais tu oublies que le jour tourne et ne dure qu'un temps
Tu ne sais plus conjuguer l'humain à l'humain
Tu ne sais plus t'entendre.
Entiendes ?
Langue cadenassée origines aux oubliettes pour mieux te faire parvenir aux fins que l'on souhaite
Et qu'importe le moyen
Suicide communautaire de la planète
Comme c'est chouette internet
C'est manger le fruit sans connaître la plante
Racine vénéneuse dont on s'abreuve du jus
Tu me partages entre des sentiments que je pointe de mon doigt- tout puissant -d'internaute déifié
J'incarne la vérité j'écris je sais mieux qu'un lecteur alors je me penche sur le silence et lui demande de parler
Il n'a rien à me répondre car il est en paix
Il a trouvé la mort
La mort de la pensée
Superbe.
Poésie résistante.
Bon, je pense savoir pourquoi tu écris un tel texte ce soir, mais je vais faire comme si je ne savais pas.
Et je vais dire un seul mot : Wouah. C'est magnifique et très bien écrit. Au tout début, j'ai eu peur que ce soit totalement désorganisé, mais en fait pas du tout. je ne sais pas combien de temps tu as mis pour écrire cela, si c'était long ou si c'est venu rapidement, de façon instinctive, mais c'est vraiment beau.
Chacun a le droit de penser strictement ce qu'il veut. Rien ne doit empêcher cette liberté. Même si on pense à des choses totalement "délirantes", horribles... car penser c'est quelque chose de profond qui nous appartient à nous-même et à personne d'autre. En revanche, et c'est juste sur ce point là que je serai en désaccord avec toi, si tu dévoiles ta pensée, tes idées à des personnes, il se peut que ces personnes n'aient pas la même pensée que toi (car justement chacun a le droit de penser ce qu'il veut). Et si en plus ces personnes sont profondément choquées par telle vision, telle valeur, effectivement le mépris pourrait survenir assez vite envers l'individu qui ne pense pas pareil. Mais la pensée ne sera pas morte pour autant. L'individu continuera de penser ce qu'il a envie de penser. Etre totalement choqué par une pensée ne signifie pas tuer la pensée. (enfin, c'est ce que je pense :) )
[quote="suffragettes AB"]
Comprendre l'autre vous savez pas faire ?
[/quote]
Désolé de te poser la question, mais toi ? Es-tu capable de comprendre les autres ? Es-tu capable de te remettre en question ? Parce qu'au delà des choses intéressantes que tu soulèves sur la pensée, j'ai l'impression que tu considères n'être jamais en tort.
Comprendre l'autre vous savez pas faire ?
Désolé de te poser la question, mais toi ? Es-tu capable de comprendre les autres ? Es-tu capable de te remettre en question ? Parce qu'au delà des choses intéressantes que tu soulèves sur la pensée, j'ai l'impression que tu considères n'être jamais en tort.
Je suis toujours en tort, là est la nuance, mais je le sais pour ma part.
Bien sûr que je cherche à comprendre les autres :) après comprendre n'est pas adhérer .
Je peux comprendre Hitler, je ne suis pas nazie pour autant.
J'essaye au maximum de comprendre les autres et c'est assez simple à voir comment l'humain fonctionne...
Pourquoi me poses-tu la question ? :)
C'est de la création, faut pas tout prendre au premier degré. Il est bon parfois de se laisser couler dans les lignes, mordre a l'hameçon du sentiment et du sens si il t'attire.
Pourquoi tu t'excuses avant de poser ta question aussi ? :)
Se remettre en question, c'est fondamental et c'est quotidien. Ça s'appelle alimenter sa pensée et surtout confronter ses propres points de vues même quand ils sont bien scellés à ses croyances.
[quote="suffragettes AB"]Je suis toujours en tort, là est la nuance, mais je le sais pour ma part.
Bien sûr que je cherche à comprendre les autres :) après comprendre n'est pas adhérer .
Je peux comprendre Hitler, je ne suis pas nazie pour autant.
J'essaye au maximum de comprendre les autres et c'est assez simple à voir comment l'humain fonctionne...
Pourquoi me poses-tu la question ? :) [/quote]
parce que tu poses toi-même la question, si on est capable de comprendre les autres. Je voulais savoir si c'était ton cas.
[quote="suffragettes AB"]
Pourquoi tu t'excuses avant de poser ta question aussi ? :)
[/quote]
j'en sais rien du tout :D peut être parce que c'est une formulation courante, ou bien parce que je n'ai pas envie d'être blessant quand je pose ma question, ou bien encore parce que je n'assume pas d'être en total désaccord avec toi sur ce qui peut être défendu ou non ....
Je suis toujours en tort, là est la nuance, mais je le sais pour ma part.
Bien sûr que je cherche à comprendre les autres après comprendre n'est pas adhérer .
Je peux comprendre Hitler, je ne suis pas nazie pour autant.
J'essaye au maximum de comprendre les autres et c'est assez simple à voir comment l'humain fonctionne...
Pourquoi me poses-tu la question ?
parce que tu poses toi-même la question, si on est capable de comprendre les autres. Je voulais savoir si c'était ton cas.
Pourquoi tu t'excuses avant de poser ta question aussi ?
j'en sais rien du tout peut être parce que c'est une formulation courante, ou bien parce que je n'ai pas envie d'être blessant quand je pose ma question, ou bien encore parce que je n'assume pas d'être en total désaccord avec toi sur ce qui peut être défendu ou non ....
[quote="suffragettes AB"]De la mort des pensées des résistances neurones, des restes de fêtes, d’alcool, la vrille des ivresses, les impostures des corps éthérés, éméchés, les brises des vapeurs d’éthanol.
T'en fais quoi des idéaux et des idées lancés hautes ?
Des marées basses en mer céleste.
D'quoi s'faire part belle des lettres imaginaires.
Sortir des couches, dépecer son âme et l'accouder aux comptoirs des solstices improvisés. toujours l'printemps ou l'été, le moral des automne et l'air glacial des hivers domiciliés sans armature.
On emmerde la poésie et ses formes établies, comme les Etats et ses putréfactions irraisonnées.
On s'emmerde dans les verres c'est le flot des ritournelles.
On s'amenuise dans nos vers c'est l'îlot des rêves.[/quote]
J'aime beaucoup ....
De la mort des pensées des résistances neurones, des restes de fêtes, d’alcool, la vrille des ivresses, les impostures des corps éthérés, éméchés, les brises des vapeurs d’éthanol.
T'en fais quoi des idéaux et des idées lancés hautes ?
Des marées basses en mer céleste.
D'quoi s'faire part belle des lettres imaginaires.
Sortir des couches, dépecer son âme et l'accouder aux comptoirs des solstices improvisés. toujours l'printemps ou l'été, le moral des automne et l'air glacial des hivers domiciliés sans armature.
On emmerde la poésie et ses formes établies, comme les Etats et ses putréfactions irraisonnées.
On s'emmerde dans les verres c'est le flot des ritournelles.
On s'amenuise dans nos vers c'est l'îlot des rêves.
J'aime beaucoup ....
[quote="suffragettes AB"]De la mort des pensées des résistances neurones, des restes de fêtes, d’alcool, la vrille des ivresses, les impostures des corps éthérés, éméchés, les brises des vapeurs d’éthanol.
T'en fais quoi des idéaux et des idées lancés hautes ?
Des marées basses en mer céleste.
D'quoi s'faire part belle des lettres imaginaires.
Sortir des couches, dépecer son âme et l'accouder aux comptoirs des solstices improvisés. toujours l'printemps ou l'été, le moral des automne et l'air glacial des hivers domiciliés sans armature.
On emmerde la poésie et ses formes établies, comme les Etats et ses putréfactions irraisonnées.
On s'emmerde dans les verres c'est le flot des ritournelles.
On s'amenuise dans nos vers c'est l'îlot des rêves.[/quote]
<3
De la mort des pensées des résistances neurones, des restes de fêtes, d’alcool, la vrille des ivresses, les impostures des corps éthérés, éméchés, les brises des vapeurs d’éthanol.
T'en fais quoi des idéaux et des idées lancés hautes ?
Des marées basses en mer céleste.
D'quoi s'faire part belle des lettres imaginaires.
Sortir des couches, dépecer son âme et l'accouder aux comptoirs des solstices improvisés. toujours l'printemps ou l'été, le moral des automne et l'air glacial des hivers domiciliés sans armature.
On emmerde la poésie et ses formes établies, comme les Etats et ses putréfactions irraisonnées.
On s'emmerde dans les verres c'est le flot des ritournelles.
On s'amenuise dans nos vers c'est l'îlot des rêves.
<3