Le regret ce n'est pas cueillir sur l'arbre un fruit, c'est déraciner l'arbre, ne même pas lui donner chance d'une nouvelle portée, d'une nouvelle saison. Les mauvaises années ne sont pas régulières. Le prince charmant ? Faut sortir du conte pour enfants, le rêve c'est pour les gens qui dorment. Idéaliser n'est pas cadenasser, si tu cherches un prince, verras-tu seulement le roi qui se pointe à ta porte, ou l'âme sœur, frère, l'inattendu ? La solitude embrasse la plutôt que de la laisser te broyer. Ne crois pas que tu sois le seul être à ne plus en démordre, nous sommes et resterons toujours seuls. Le sens est réponse à la solitude, si tu ne sais te retrouver seul, avec quelle chimère de toi-même dîneras-tu ce soir ? Quels masques sont de chair et lesquels sont d'argile ? Même la chair se divise, ne te crois pas piégée dans le mariage de tes parts, chaque seconde qui passe est un divorce qui embrasse le passé. Le bonheur c'est un mot vulgaire pour ceux qui veulent rester stoïque et ne plus rien faire. État de feignantise, moi je cherche la joie, c'est mon regard seul qui la porte. Balle d'oxygène qui ne perce aucune chair, qui te laisse la vie et te ravives la flamme. Dis, ton destin tu le laisses dans les marécages de ton quotidien ou tu l'affrontes ailleurs ? Des voyages , l'âme qui porte la chair en moi a toujours su s'abbreuver et sauter aux cous des providences qui étaient en attente de ma venue. Ou est-ce moi qui attendait sans provoquer les coutures de mes plaies ? Un semblant d'existence prend couleur dans le regard de l'autre, ne pas s'abaisser à nous-mêmes c'est garder l'espoir d'être en dedans toute chose, mais où se trouve notre place ? L'avons nous réellement provoqué ?
AnonymeIl y a 7 ans

Le regret ce n'est pas cueillir sur l'arbre un fruit, c'est déraciner l'arbre, ne même pas lui donner chance d'une nouvelle portée, d'une nouvelle saison.

Les mauvaises années ne sont pas régulières.

Le prince charmant ?
Faut sortir du conte pour enfants, le rêve c'est pour les gens qui dorment.
Idéaliser n'est pas cadenasser, si tu cherches un prince, verras-tu seulement le roi qui se pointe à ta porte, ou l'âme sœur, frère, l'inattendu ?

La solitude embrasse la plutôt que de la laisser te broyer.
Ne crois pas que tu sois le seul être à ne plus en démordre, nous sommes et resterons toujours seuls.

Le sens est réponse à la solitude, si tu ne sais te retrouver seul, avec quelle chimère de toi-même dîneras-tu ce soir ?

Quels masques sont de chair et lesquels sont d'argile ? Même la chair se divise, ne te crois pas piégée dans le mariage de tes parts, chaque seconde qui passe est un divorce qui embrasse le passé.

Le bonheur c'est un mot vulgaire pour ceux qui veulent rester stoïque et ne plus rien faire. État de feignantise, moi je cherche la joie, c'est mon regard seul qui la porte.


Balle d'oxygène qui ne perce aucune chair, qui te laisse la vie et te ravives la flamme.
Dis, ton destin tu le laisses dans les marécages de ton quotidien ou tu l'affrontes ailleurs ?

Des voyages , l'âme qui porte la chair en moi a toujours su s'abbreuver et sauter aux cous des providences qui étaient en attente de ma venue.

Ou est-ce moi qui attendait sans provoquer les coutures de mes plaies ?

Un semblant d'existence prend couleur dans le regard de l'autre, ne pas s'abaisser à nous-mêmes c'est garder l'espoir d'être en dedans toute chose, mais où se trouve notre place ?

L'avons nous réellement provoqué ?








[quote="Churinga"]Le regret ce n'est pas cueillir sur l'arbre un fruit, c'est déraciner l'arbre, ne même pas lui donner chance d'une nouvelle portée, d'une nouvelle saison. Les mauvaises années ne sont pas régulières. Le prince charmant ? Faut sortir du conte pour enfants, le rêve c'est pour les gens qui dorment. Idéaliser n'est pas cadenasser, si tu cherches un prince, verras-tu seulement le roi qui se pointe à ta porte, ou l'âme sœur, frère, l'inattendu ? La solitude embrasse la plutôt que de la laisser te broyer. Ne crois pas que tu sois le seul être à ne plus en démordre, nous sommes et resterons toujours seuls. Le sens est réponse à la solitude, si tu ne sais te retrouver seul, avec quelle chimère de toi-même dîneras-tu ce soir ? Quels masques sont de chair et lesquels sont d'argile ? Même la chair se divise, ne te crois pas piégée dans le mariage de tes parts, chaque seconde qui passe est un divorce qui embrasse le passé. [/quote] <3 cqfd Et le verbe s'est fait chair :) car on peut toucher avec des mots. Et je dirais même que dans l'absolu, la solitude n'existe pas; car nous sommes peuplés de mots, les nôtres et ceux des autres, ou les nôtres sont ceux des autres. "C’est faux de dire : je pense : on devrait dire : On me pense. - Pardon du jeu de mots. Je est un autre. Tant pis pour le bois qui se trouve violon." Arthur Rimbaud
suffragettes AB Il y a 7 ans

Le regret ce n'est pas cueillir sur l'arbre un fruit, c'est déraciner l'arbre, ne même pas lui donner chance d'une nouvelle portée, d'une nouvelle saison.

Les mauvaises années ne sont pas régulières.

Le prince charmant ?
Faut sortir du conte pour enfants, le rêve c'est pour les gens qui dorment.
Idéaliser n'est pas cadenasser, si tu cherches un prince, verras-tu seulement le roi qui se pointe à ta porte, ou l'âme sœur, frère, l'inattendu ?

La solitude embrasse la plutôt que de la laisser te broyer.
Ne crois pas que tu sois le seul être à ne plus en démordre, nous sommes et resterons toujours seuls.

Le sens est réponse à la solitude, si tu ne sais te retrouver seul, avec quelle chimère de toi-même dîneras-tu ce soir ?

Quels masques sont de chair et lesquels sont d'argile ? Même la chair se divise, ne te crois pas piégée dans le mariage de tes parts, chaque seconde qui passe est un divorce qui embrasse le passé.

@Churinga


<3 cqfd
Et le verbe s'est fait chair car on peut toucher avec des mots.
Et je dirais même que dans l'absolu, la solitude n'existe pas; car nous sommes peuplés de mots, les nôtres et ceux des autres, ou les nôtres sont ceux des autres.

"C’est faux de dire : je pense : on devrait dire : On me pense. - Pardon du jeu de mots.

Je est un autre. Tant pis pour le bois qui se trouve violon." Arthur Rimbaud

Parfois, pour réussir à percer l'impossible, en ravivant l'étincelle de vie, il suffit de réaprendre à se connaitre. Faire l'éffort de cette quètte, un retour en arrière au plus profond de son être, afin de défaire les noeuds, laisser içi et là dans cette vie ou celle passé. Trouver ce pour quoi ont est appelé à briller,vibrer le plus, commence souvent par se trouver sois même en osant affronter nos dragons. Une technique pratique si ca peut t'aider, c'est de commencer par éplucher le parcours en long et en large de tes parents, jusqu'à ta naissance. Puis trouver le lien entre toutes ces racines, t'aidera à briser la glace, tomber le voile, et enfin déployer tes ailes ! Bon voyage !!
AnonymeIl y a 7 ans

Parfois, pour réussir à percer l'impossible, en ravivant l'étincelle de vie, il suffit de réaprendre à se connaitre.

Faire l'éffort de cette quètte, un retour en arrière au plus profond de son être, afin de défaire les noeuds, laisser içi et là dans cette vie ou celle passé.

Trouver ce pour quoi ont est appelé à briller,vibrer le plus, commence souvent par se trouver sois même en osant affronter nos dragons.

Une technique pratique si ca peut t'aider, c'est de commencer par éplucher le parcours en long et en large de tes parents, jusqu'à ta naissance.

Puis trouver le lien entre toutes ces racines, t'aidera à briser la glace, tomber le voile, et enfin déployer tes ailes !


Bon voyage !!