Le forum SaezLive est définitivement fermé, les archives restent accessibles en lecture seulement.
[quote]Une nouvelle Marta.[/quote] Marta 2.0, j’ai fait la MAJ
ou pas en fin de compte
Une nouvelle Marta.Marta 2.0, j’ai fait la MAJ
ou pas en fin de compte
Boire à plus savoir comment j'm'appelle, comment tu t'appelles. Vas-y fais moi l'amour mec j'm'en fous d'qui t'es, fais juste c'que t'as à faire, j'me casse après.
Boire à plus savoir pourquoi Paris, pourquoi là-bas et pourquoi lui.
C'est si grand Paris.
Quand j'ai vu Marguerite
Marguerite m'a dit
T'approche pas trop de moi
Moi j'ai pas écouté tu vois
Faut plus y penser. Faut pas remplacer, faut juste pas trop y penser. Faut pas effacer, faut juste pas y penser trop longtemps. Faut pas y penser trop souvent. Faut pas remplacer, faut juste vivre d’autres choses. Faut pas comparer, faut juste s’laisser une chance.
Faut essayer.
Comme un coup d’poing en pleine face, quand tu t’y attends pas. Ça pique putain, ça pique les coups d’poing. Ça pique quand tu passes d’une caresse à une gifle. Mais une gifle pleine d’amour, bien sûr, toujours. C’est toujours bienveillant.
Mais on m’le renvoie à la gueule mon amour. Comme pour dire : Tiens tu l’as voulu moi j’en veux pas ! Tiens prends, là ! Voilà ! T’as voulu un truc fort ben tiens prends ça ! Reçois. Reçois et tais-toi. Reçois et casse toi.
Plutôt que de le voir comme un ennemi, vous devriez parler. Il pourrait t’apprendre. Que la vie peut être belle, qu’on se reconstruit, on s’en remet. Il te dirait de t’accrocher, serrer les dents, et faire face. Il t’apprendrait comment le soleil est plus fort que les gris nuages, comment fermer les yeux et se laisser aller, à une peau, à un regard.
T’en connaîtras d’autres des histoires. Tu feras confiance à nouveau, tu aimeras à nouveau. Tu n’oublieras pas cette histoire elle fait partie de toi mais si tu lui parlais au lieu de le voir en ennemi il t’apprendrait que chaque histoire à sa place. Faut passer à autre chose, sans tout oublier, parce qu’il faut pas tout oublier. Ouais c’est facile à dire j’sais, ça à l’air d'être le genre de discours qu’on dit quand on sait pas, quand on souffre pas mais pourtant c’est vrai et au contraire c’est quand on sait justement, quand on sait c’que ça fait.
Tout est important tout te construit. Alors souris, et ne vois pas l’autre comme un ennemi ou un rival, c’est un frère, vous avez vécu des choses similaires, on vit tous des choses similaires. Faut se serrer les coudes faut pas s’battre, faut pas s’battre les un contre les autres. Faut s’battre contre soi même dans les moments difficiles, faut s’battre pour se relever. Faut s’battre pour être plus fort, mais faut piocher cette rage en soi et pas la voir en l’autre. Il t'a rien volé, elle est partie c’est tout, c’est pas sa faute à lui, elle s’rait partie dans tous les cas, Il était là à ce moment là c’est tout. Il t’a rien pris. Alors détends toi et relativise.
Y’a pas de méchant dans l’histoire, y’a personne à qui en vouloir.
Y’a plus d’saveurs dans les mots. Y’a pas de goût dans les phrases. Y’a que du vide qu’on essaie de combler. Et dans les rires y’a un arrière goût de larme. Comme si rire pouvait effacer tout le reste, tu parles. Ça efface quedal, c’est là pour faire semblant comme tout l’reste. Les rires sortent et résonnent dans un grand trou noir, j’crois qu’ya pas de fond..alors il s´y perdent et n’reviennent jamais. Tu crois qu’iIs sont au pays du rire? Ou tout le monde sourit et rit et est heureux? P’tain ça doit être flippant un monde comme ça. J’en veux pas
Dangereux le fossé en haut duquel on ne voit pas le sol. C’est si loin, ça dure combien de temps de tomber quand on voit pas l’bout vous croyez? On va voir? On saute, on va voir? Ce serait pas rigolo? Allez viens sois cool! Fais pas ton rabat-joie, détends toi.
Viens on saute. Mais tu m’tiens la main hein.
Tu m’tiens bien tu me lâches pas. Tu promets?
[url=https://pix.blizzart.net/image/1510754289][img]https://pix.blizzart.net/image/1510754289/medium.jpg[/img][/url]
Poison. Profond. Intense. Froid. Douloureux. Ça lance et ça fait mal.
Impuissante.
Vide
[quote="Marta012"]Poison. Profond. Intense. Froid. Douloureux. Ça lance et ça fait mal.
Impuissante.
Vide[/quote]
les ravages de la bière. Gardez l'âme éveillée, buvez du vin. :D
Poison. Profond. Intense. Froid. Douloureux. Ça lance et ça fait mal.
Impuissante.
Vide
les ravages de la bière. Gardez l'âme éveillée, buvez du vin.
Chercher le faux, déceler le vrai
Chercher à se rassurer, à se trouver
Chercher loin, au profond de l'âme et des cœurs alentours.
Se trouver en quelqu'un d'autre et s'accrocher au moindre bout de peau, s'attacher au moindre morceau d'âme qui nous parle, à une vie croisée par hasard et qui marque. Il suffit parfois d'un rien. Un regard, une main.
Fragile et fébrile, douce âme ne sait où aller et vague la nuit
A l'infini.
Un jour où il faisait beau et chaud j’ai pu devenir moi,
Et j’voulais être moi avec toi
J’y croyais putain
Trop, ça m’a crevée
Ça m’à crevée, ça m’à creusée
Profond, ça m’a butée
Pan.
Pan, j’suis tombée, boum
Boum, la chute est lourde
Et j’reste allongée les yeux grands ouverts
J’sais qu’il faut que j’me lève
Mais c’est pas si mal ici.
Y’a une belle vue même si c’est pas confortable
Tant pis y’a une belle vue
Jsuis là par terre les yeux grands ouverts,
Et j’attends.
Jvois les gens passer et j’attends.
J’comprends le temps qui passe mais ça fait rien alors j’attends.
J’attends tout doucement qu’mes yeux se ferment d’être restés trop grand ouverts.
J’attends qu’usés par la fatigue mes yeux s’ferment. Tout seuls parce qu’ y’a plus qu‘ ça possible
Doucement,
Un jour se fermeront,
Sur tout ça.
On va pas s'emmerder avec des remerciements, j'te fais le compliment tu prends, point.
On va pas s'emmerder avec des remerciements, j'te le dirais autrement, j'ai bien compris,
J'te le montrerais, je te le prouverais.
Avec des actes plutôt qu'des mots. J'sais pas bien utiliser les mots. J'utilise pas les bons, pas toujours dans le bon ordre. C'est trop confus tout se mélange, j'ai du mal à m'exprimer. Quand j'ose parler.
Y a pas tout le temps besoin de mots. Un regard parfois suffit, c'est tellement plus fort. Un seul regard, je m'en souviens. Les mots, la voix, j'ai oublié. Ce regard non,
Ce seul regard.
T’es sensible à ça toi aussi, le défilé des paysages à travers la vitre. Les lumières aux fenêtres, quelque part la vie. Comme ici, mais ailleurs. Tu y es sensible je le sens bien, même si tu le caches. Je l’ai vu dans ton regard, que t’étais sensible à c’genre de trucs, que ça t’laisse pas indifférent, la lumière chez les gens. Je l’ai capté, ce soir là. P’tet ça qui t’as fait peur. J’en sais rien puis j’m’en fiche un peu maintenant. Juste un peu tu vois, j’mets un peu de distance tu vois, moi aussi, pour pas qu’ça m’touche trop, parce que de toute façon c’est fini donc j’m’en fiche qu’t’ai peur, froid, qu’tu sois blasé ou nostalgique. Je sais pas j’men fous.
Mais t’es sûrement sensible toi aussi à ces bouts d’vie, de près ou de loin.
De près ou de loin.
Parfois y’a pas de lumière à chercher ni de sens caché dans ce que l’autre nous renvoi.
Parfois faut juste profiter des belles choses au présent sans chercher de futur ou de fêlure passée pour expliquer le rôle que jouent les autres... parfois, on est juste sensible différemment de l’autre.
Profites des choses, avance, cours, vole. Non ?
Évidemment,
C’était positif comme pensée, même si ça ne se voit peut-être pas :)
« Le bonheur a marché côte à côte avec moi
Mais la fatalité ne connaît point de trêve
Le ver est dans le fruit,le réveil dans le rêve
Et le remords est dans l'amour: telle est la loi
Le bonheur a marché côte à côte avec moi »
Paul Verlaine
"Je vous suivais de loin
Bergers de la lumière
Aux pentes douces des ravins
Et moi je continue à chercher mon butin
Comme une abeille d'or
Trop tôt dans la clairière
Engourdie lentement par le froid du matin"
un cadeau de Pierre Reverdy, tiré d'un poème à même de tout abattre.
Et moi j’suis là, j’suis encore là
J’attends, je t’attends
Et s’il faut rester des années je resterais des années
Et si j’dois mourir ici, que ce soit en t’attendant
Et si j’dois plus rien connaitre, j’aurais au moins connu toi.
Moi j’suis encore là, et même si j'suis toute seule
Tant pis, je suis là et j’pense à toi
Je pense à toi pour que tu sois encore là, encore avec moi
Si j’dois plus rien connaitre tant pis, je t’aurais connu toi.
S’il faut rester des siècles à t’attendre, si j’dois mourir d’attendre ici
Alors qu’on vienne me chercher,
Tu seras mon dernier sourire
Ma dernière pensée
Je suis prête à partir