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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"]Je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même[/quote] Moi je ne cherche d'équilibre qu'homéostatique, avec moi-même non mais en ramant dans un "nous" bancal. Même si ça ressemble plus à une galère dans un naufrage qu'à une gondole à Venise. Je cherche donc mais je n'attends plus rien. Cependant je vois encore dans l'emmêlement des "je-nous" un processus d'espoir romantique et non une recherche de chaleur dans le froid de l'hiver :). Il y a plus d'une décennie ses mains me montraient les étoiles, il est loin le temps où il me jouait des sérénades à la guitare, où ses mots se faisaient clés pour ouvrir mes serrures; ah la beauté des mots de la genèse amoureuse! Un jour peut-être, comme toi churinga, je trouverais la sérénité dans l'ascèse solitaire et je dirais avec aplomb "je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même", et ce sans sourciller :), comme si j'étais au commande d'un gros navire bien stable, au milieu d'une mer calme...
suffragettes AB Il y a 6 ans

Je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même
@Churinga


Moi je ne cherche d'équilibre qu'homéostatique, avec moi-même non mais en ramant dans un "nous" bancal. Même si ça ressemble plus à une galère dans un naufrage qu'à une gondole à Venise. Je cherche donc mais je n'attends plus rien. Cependant je vois encore dans l'emmêlement des "je-nous" un processus d'espoir romantique et non une recherche de chaleur dans le froid de l'hiver . Il y a plus d'une décennie ses mains me montraient les étoiles, il est loin le temps où il me jouait des sérénades à la guitare, où ses mots se faisaient clés pour ouvrir mes serrures; ah la beauté des mots de la genèse amoureuse!
Un jour peut-être, comme toi churinga, je trouverais la sérénité dans l'ascèse solitaire et je dirais avec aplomb "je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même", et ce sans sourciller , comme si j'étais au commande d'un gros navire bien stable, au milieu d'une mer calme...

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"][quote="suffragettes AB"][quote="Churinga"]Je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même[/quote] Moi je ne cherche d'équilibre qu'homéostatique, avec moi-même non mais en ramant dans un "nous" bancal. Même si ça ressemble plus à une galère dans un naufrage qu'à une gondole à Venise. Je cherche donc mais je n'attends plus rien. Cependant je vois encore dans l'emmêlement des "je-nous" un processus d'espoir romantique et non une recherche de chaleur dans le froid de l'hiver :). Il y a plus d'une décennie ses mains me montraient les étoiles, il est loin le temps où il me jouait des sérénades à la guitare, où ses mots se faisaient clés pour ouvrir mes serrures; ah la beauté des mots de la genèse amoureuse! Un jour peut-être, comme toi churinga, je trouverais la sérénité dans l'ascèse solitaire et je dirais avec aplomb "je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même", et ce sans sourciller :), comme si j'étais au commande d'un gros navire bien stable, au milieu d'une mer calme...[/quote] Je suis en pleine tempête, mais le capitaine n'abandonne jamais le naufrage. La foudre est tombée, le gouvernail brûlé. On rame pas tout seul sur un navire plus gros que son ventre, ça c'est sûr, alors, je laisse les dérives faire mes destinées. Les gondoles à Venise c'est pour les niais. Je préfère traîner sur des mares brumeuses dans des barques rongées par l'usure et le temps. À force d'écoper, on prend l'habitude d'avoir les pieds dans l'eau. Et ce n'est pas si mal, malgré certaines nuits où mes rêves en mouvement se figent dans des glaces gigantesques, celles qui coulent les titanesques machines marines. J'ai jamais compris les pourquoi du comment et les comment du pourquoi, ni qui commande. Dans l'altérité, je ne sais si c'est par égoïsme qu'on cherche l'amour ou par réelle bienfaisance pour l'autre. La magie de l'amour, c'est le don des illusionnistes, tu pars de rien pour avoir tout pour finir avec rien ou si peu, se contenter de reins qui balance, puis les habitudes qui finissent désuètes, dépassées car l'amour qui ne sait pas se renouveller dans le temps est un coquillage vide, un reste de mue de cigale. Un emballage vide d'une friandise.[/quote] Exactement!
suffragettes AB Il y a 6 ans

Je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même
@Churinga


Moi je ne cherche d'équilibre qu'homéostatique, avec moi-même non mais en ramant dans un "nous" bancal. Même si ça ressemble plus à une galère dans un naufrage qu'à une gondole à Venise. Je cherche donc mais je n'attends plus rien. Cependant je vois encore dans l'emmêlement des "je-nous" un processus d'espoir romantique et non une recherche de chaleur dans le froid de l'hiver . Il y a plus d'une décennie ses mains me montraient les étoiles, il est loin le temps où il me jouait des sérénades à la guitare, où ses mots se faisaient clés pour ouvrir mes serrures; ah la beauté des mots de la genèse amoureuse!
Un jour peut-être, comme toi churinga, je trouverais la sérénité dans l'ascèse solitaire et je dirais avec aplomb "je ne cherche plus rien, j'essaye de rester en équilibre avec moi-même", et ce sans sourciller , comme si j'étais au commande d'un gros navire bien stable, au milieu d'une mer calme...



Je suis en pleine tempête, mais le capitaine n'abandonne jamais le naufrage.
La foudre est tombée, le gouvernail brûlé.
On rame pas tout seul sur un navire plus gros que son ventre, ça c'est sûr, alors, je laisse les dérives faire mes destinées.

Les gondoles à Venise c'est pour les niais. Je préfère traîner sur des mares brumeuses dans des barques rongées par l'usure et le temps.

À force d'écoper, on prend l'habitude d'avoir les pieds dans l'eau. Et ce n'est pas si mal, malgré certaines nuits où mes rêves en mouvement se figent dans des glaces gigantesques, celles qui coulent les titanesques machines marines.

J'ai jamais compris les pourquoi du comment et les comment du pourquoi, ni qui commande.

Dans l'altérité, je ne sais si c'est par égoïsme qu'on cherche l'amour ou par réelle bienfaisance pour l'autre.
La magie de l'amour, c'est le don des illusionnistes, tu pars de rien pour avoir tout pour finir avec rien ou si peu, se contenter de reins qui balance, puis les habitudes qui finissent désuètes, dépassées car l'amour qui ne sait pas se renouveller dans le temps est un coquillage vide, un reste de mue de cigale.

Un emballage vide d'une friandise.
@Churinga


Exactement!

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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La littérature est un jeu de piste aux énigmes poétiques. Sache qu'à chaque fois que tu développes, je sors mes enveloppes :), rien n'est passé/ne passe/ne passera à la trappe. L'éloquence du pont des soupirs est une soupape pour l'âme en apnée. Churinga tu peux compter sur la curiosité sans faille de ton lectorat qui avec assiduité élucide (souvent en secret) avec ou sans prisme narcissique... qui se promène des chamades plein la tête dans tes tableaux. Par contre si je peux me permettre, un conseil: met toi au vapotage :), 10 euros le paquet bientôt! Et ton souffle n'en sera que plus ample.
suffragettes AB Il y a 6 ans

La littérature est un jeu de piste aux énigmes poétiques. Sache qu'à chaque fois que tu développes, je sors mes enveloppes , rien n'est passé/ne passe/ne passera à la trappe. L'éloquence du pont des soupirs est une soupape pour l'âme en apnée.
Churinga tu peux compter sur la curiosité sans faille de ton lectorat qui avec assiduité élucide (souvent en secret) avec ou sans prisme narcissique... qui se promène des chamades plein la tête dans tes tableaux.
Par contre si je peux me permettre, un conseil: met toi au vapotage , 10 euros le paquet bientôt! Et ton souffle n'en sera que plus ample.

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"]Tu sors tes enveloppes ? :)[/quote] tu peux y aller, j'ai tout ce qui faut pour envelopper :), méga stock de grand format, emballer c'est mon job ;) [quote]Et voilà! Me suis fait piquer mon mec du 4 mains! Encore des points de suspension à recoudre. Allez je vous souhaite d'être heureux... à moins qu’vous soyez partisans des 6 mains? En mode partouze littéraire...[/quote] Anne y a pas que le cul dans la vie, y a le sexe aussi! Trêve de trait d'esprit abouti :), je préfère parler en des termes plus chastes de partage littéraire et d'égrégores, d'autant plus que personne n'est propriétaire du langage. [quote="Churinga"]J'appartiens qu'à moi-même[/quote] ah ben voilà je croyais pas si bien dire :), synchronicité!
suffragettes AB Il y a 6 ans

Tu sors tes enveloppes ?
@Churinga


tu peux y aller, j'ai tout ce qui faut pour envelopper , méga stock de grand format, emballer c'est mon job

Et voilà! Me suis fait piquer mon mec du 4 mains! Encore des points de suspension à recoudre. Allez je vous souhaite d'être heureux... à moins qu’vous soyez partisans des 6 mains? En mode partouze littéraire...


Anne y a pas que le cul dans la vie, y a le sexe aussi! Trêve de trait d'esprit abouti , je préfère parler en des termes plus chastes de partage littéraire et d'égrégores, d'autant plus que personne n'est propriétaire du langage.

J'appartiens qu'à moi-même
@Churinga


ah ben voilà je croyais pas si bien dire , synchronicité!

Churinga j'attends toujours tes lettres. Depuis 3 mois. C'est pas parce que t'es un poète égaré que tu dois négliger ta correspondance artistique et automnal. Mais à part ça, continue comme tu fais. T'as le truc, t'sais. Comme quand on dit MAIS FAIS UN RECUEIL ET ENVOIE.
Nulie Il y a 6 ans

Churinga j'attends toujours tes lettres. Depuis 3 mois. C'est pas parce que t'es un poète égaré que tu dois négliger ta correspondance artistique et automnal.

Mais à part ça, continue comme tu fais. T'as le truc, t'sais. Comme quand on dit MAIS FAIS UN RECUEIL ET ENVOIE.

[quote="Churinga"]On a passé l'heure, je dois terminer mon verre et aller au lit, la fatigue m'a assiégé, j'ai les yeux collants, les muscles lourds, tendus. Je crois que je suis ivre, un peu, mon corps m'envoi le signal que la fin de cette journée est proche. Nuit déjà bien entamée, éméchées sont les étoiles dehors, la grande casserole est bancale, Cassiopée est verticalement positionnée, les Pléiades presque imperceptibles, je ne sais pas reconnaître Orion, je connais mieux, il me semble, ma carte de France que ma carte du ciel. C'est tellement vaste, là haut, ou là bas, en dessous, je ne sais pas quelle perspective tu veux prendre d'ici ni même si on peut parler d'envers. Avec ou sans nuit, j'ai des étoiles dans les yeux, il me suffit de regarder avec la lueur qui font les gens heureux, le contentement fixé en chambre à air autour de la pupille. Je t'écris à même le sol d'une cuisine enfumée du paquet plein que j'ai fumé ce soir. Comme voisine, j'ai la poubelle du recyclage, comme assise pour mon dos la chaleur d'un radiateur. Mes poumons crachent, ça sonne gras, ça sonne la mort dans son enveloppe de glaires, l'empoisonneuse potion de mes contrées d'ennuis aura raison de mes corps. Demain, c'est déjà aujourd'hui. Le repos d'une nuit n'est plus un repère après minuit. J'ai eu des espoirs dans les rayons nocturnes, j'ai fais briller mes noirceurs tellement d'années que je n'ai plus que la soif des lumières, celles dégagées des femmes, de celles nommées Victoire, espérance des guerres rapidement échouées en capitulation pour faire des paix des pays paisibles, des âmes sensibles aux fluides de la vie qui coulent en toute chose. Tu sais, je rêve trop, j'aimerais égarée ces vérités ignobles, les jeter aux oubliettes, faire un havre en prenant exemple des lieux où l'on fait escale. Tu veux monter sur mon bateau ? Je ne suis pas accosté au port de plaisance moi, j'ai la barre vers l'infini, on sillonnera les ondes célestes si tu veux embarquer avec moi, on peut pas rester fixé dans l'irréel comme ça, c'est pas fait pour les vivants les rêves, c'est pour les voyageurs stellaires. La nuit je m'endors avec ton fantôme, mon âme s'envole sous tes draps, veux tu la sentir mon enveloppe impalpable ? Je t'offre mes immatériels comme offrande, que le soleil qui fait briller nos peaux ne soit pas tamisé par l'ombre d'une enjambée galactique des univers qui ont fait notre route ensemble.[/quote] <3
AnonymeIl y a 6 ans

On a passé l'heure, je dois terminer mon verre et aller au lit, la fatigue m'a assiégé, j'ai les yeux collants, les muscles lourds, tendus.

Je crois que je suis ivre, un peu, mon corps m'envoi le signal que la fin de cette journée est proche.
Nuit déjà bien entamée, éméchées sont les étoiles dehors, la grande casserole est bancale, Cassiopée est verticalement positionnée, les Pléiades presque imperceptibles, je ne sais pas reconnaître Orion, je connais mieux, il me semble, ma carte de France que ma carte du ciel.

C'est tellement vaste, là haut, ou là bas, en dessous, je ne sais pas quelle perspective tu veux prendre d'ici ni même si on peut parler d'envers.

Avec ou sans nuit, j'ai des étoiles dans les yeux, il me suffit de regarder avec la lueur qui font les gens heureux, le contentement fixé en chambre à air autour de la pupille.

Je t'écris à même le sol d'une cuisine enfumée du paquet plein que j'ai fumé ce soir. Comme voisine, j'ai la poubelle du recyclage, comme assise pour mon dos la chaleur d'un radiateur.
Mes poumons crachent, ça sonne gras, ça sonne la mort dans son enveloppe de glaires, l'empoisonneuse potion de mes contrées d'ennuis aura raison de mes corps.

Demain, c'est déjà aujourd'hui. Le repos d'une nuit n'est plus un repère après minuit. J'ai eu des espoirs dans les rayons nocturnes, j'ai fais briller mes noirceurs tellement d'années que je n'ai plus que la soif des lumières, celles dégagées des femmes, de celles nommées Victoire, espérance des guerres rapidement échouées en capitulation pour faire des paix des pays paisibles, des âmes sensibles aux fluides de la vie qui coulent en toute chose.

Tu sais, je rêve trop, j'aimerais égarée ces vérités ignobles, les jeter aux oubliettes, faire un havre en prenant exemple des lieux où l'on fait escale.

Tu veux monter sur mon bateau ?
Je ne suis pas accosté au port de plaisance moi, j'ai la barre vers l'infini, on sillonnera les ondes célestes si tu veux embarquer avec moi, on peut pas rester fixé dans l'irréel comme ça, c'est pas fait pour les vivants les rêves, c'est pour les voyageurs stellaires.

La nuit je m'endors avec ton fantôme, mon âme s'envole sous tes draps, veux tu la sentir mon enveloppe impalpable ?

Je t'offre mes immatériels comme offrande, que le soleil qui fait briller nos peaux ne soit pas tamisé par l'ombre d'une enjambée galactique des univers qui ont fait notre route ensemble.
@Churinga


<3

Faudrait faire un collectif d'écrivains 😁
Nulie Il y a 6 ans

Faudrait faire un collectif d'écrivains 😁

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AnonymeIl y a 6 ans

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Putain. Je te confirme. Le petit truc à promettre est carrément vital pour les futurs lecteurs. Faut penser au futur.
Nulie Il y a 6 ans

Putain.
Je te confirme. Le petit truc à promettre est carrément vital pour les futurs lecteurs. Faut penser au futur.

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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"] Personne n'appartient à personne, comme la terre n'appartient à personne, mais à tous, celle-ci. C'est le mariage et son contrat qui stipule bien que l'un et l'autre, jeunes mariés ou noces de diamant, s'appartiennent mutuellement. Et sincèrement je crache là dessus. Le seul contrat existant devrait être le dialogue et la recherche de la compréhension d'autrui, même si ça fait mal au petit égo de se retrouver la queue entre les jambes et en mal d'amour, mais comme Ferré le disait si bien et je le rejoins un peu là dessus, on est toujours seul. Pour y voir la lumière, une fois passé le long tunnel et les nuits froides du désespoir, il reste que soi et les sourires qu'on peut faire qui réchauffent l'âme :) __ Crois pas que c'est impossible. Tu sais, pour essayer, faut avoir l'envie d'essayer, mais essayer quoi ? Crois pas que c'est impossible, c'est pour les terminés du rêve ça, les rendus trop vieux sans songe avec que la mort qui les attends au bout d'une vie qu'ils pensent acquise. Crois pas que c'est impossible. Tu sais, je connais le poids des mots, les maux pesés et les détresses derrières. Crois pas que c'est impossible, c'est toi qui a tout en toi. Moi j'ai rien regarde, je pars du vide Pour t'écrire Et construire je te dis que tout est possible Car Crois pas que c'est impossible Si tu veux y croire aux impossibilités, va les prier, ce sont tes croyances pour un dieu mort, pour le divin sacrifié sur l'autel de l'humanité. Bien sûr on ne va pas t'offrir le tapis rouge, ni la cuillère en argent, ni la motivation qu'il faut pour sortir de ses misères. T'as ouvert les yeux un jour en grand, c'était ton premier jour et chaque année on en fait ta fête et toi tu le célèbre sans même te souvenir si c'était bien une fête ta naissance, tu sais même pas si ça se fête au final une naissance, c'est cyclique les raisons de festoyer. Y'a toujours une raison de faire la fête de la vie, alors t'endors pas si vite, tu sais tu pensais dormir mais sans t'en rendre compte, le marchand de sable t'as jeté du sable dans les yeux. Je sais que ça fait mal, que ça pique, que les idéaux qu'on a eus quand ils tombent ça sort d'un ventre qui se serre, qui se tord et que ça donne envie de rester là inerte à n'avoir plus le goût de rien. Mais si tu crois que c'est impossible, alors tu laisses gagner les autres et juste pour ça, juste par fierté ou par honneur, t'as pas à en pâtir des autres, t'as pas à rester comme ça les yeux grands ouverts à contempler le vide. Tu sais le vide est partout, même quand on se sent plein. La preuve quand on se perce lui seul reste et alors on se focalise sur lui, sur cette absence. Mais y'a pas d'absence, y'a que des temps pour tout et des évolutions permanentes, c'est la magie de l'impermanence en somme. Allume une bougie dans l'obscurité, vois la flamme vaciller. C'est toi la petite flamme, alors prends tes mains et tes bras et maintient la cette bougie à l'abri du vent que les vides comportent. Contre la peau de tes doigts, tu la sens la chaleur ? C'est l'énergie que ta flamme t'offre, alors perd pas tes lueurs même si tu deviens aveugle dans le lit changeant du fleuve de tes jours. Je l'ai déjà dit, repères toi avec les chaleurs de ton âme et ne crois pas que c'est impossible. Faut sourire putain, faut pas se laisser aller, c'est la vie qui en redemande à chaque instant et à toi de voir si tu vis pour toi ou pour les autres. Si tu vis par les autres et pas par toi ni pour toi, ne serait-ce qu'un peu, tu t'égares. Tu crois te trouver chez les autres mais tu te trompes partiellement, les autres sont ton miroir, mais un miroir dans un miroir ça fait...[/quote] <3
Marta012 Il y a 6 ans



Personne n'appartient à personne, comme la terre n'appartient à personne, mais à tous, celle-ci.

C'est le mariage et son contrat qui stipule bien que l'un et l'autre, jeunes mariés ou noces de diamant, s'appartiennent mutuellement.
Et sincèrement je crache là dessus.
Le seul contrat existant devrait être le dialogue et la recherche de la compréhension d'autrui, même si ça fait mal au petit égo de se retrouver la queue entre les jambes et en mal d'amour, mais comme Ferré le disait si bien et je le rejoins un peu là dessus, on est toujours seul.



Pour y voir la lumière, une fois passé le long tunnel et les nuits froides du désespoir, il reste que soi et les sourires qu'on peut faire qui réchauffent l'âme



__


Crois pas que c'est impossible. Tu sais, pour essayer, faut avoir l'envie d'essayer, mais essayer quoi ?

Crois pas que c'est impossible, c'est pour les terminés du rêve ça, les rendus trop vieux sans songe avec que la mort qui les attends au bout d'une vie qu'ils pensent acquise.

Crois pas que c'est impossible. Tu sais, je connais le poids des mots, les maux pesés et les détresses derrières.

Crois pas que c'est impossible, c'est toi qui a tout en toi. Moi j'ai rien regarde, je pars du vide

Pour t'écrire

Et construire je te dis que tout est possible
Car
Crois pas que c'est impossible

Si tu veux y croire aux impossibilités, va les prier, ce sont tes croyances pour un dieu mort, pour le divin sacrifié sur l'autel de l'humanité.
Bien sûr on ne va pas t'offrir le tapis rouge, ni la cuillère en argent, ni la motivation qu'il faut pour sortir de ses misères.

T'as ouvert les yeux un jour en grand, c'était ton premier jour et chaque année on en fait ta fête et toi tu le célèbre sans même te souvenir si c'était bien une fête ta naissance, tu sais même pas si ça se fête au final une naissance, c'est cyclique les raisons de festoyer. Y'a toujours une raison de faire la fête de la vie, alors t'endors pas si vite, tu sais tu pensais dormir mais sans t'en rendre compte, le marchand de sable t'as jeté du sable dans les yeux.
Je sais que ça fait mal, que ça pique, que les idéaux qu'on a eus quand ils tombent ça sort d'un ventre qui se serre, qui se tord et que ça donne envie de rester là inerte à n'avoir plus le goût de rien. Mais si tu crois que c'est impossible, alors tu laisses gagner les autres et juste pour ça, juste par fierté ou par honneur, t'as pas à en pâtir des autres, t'as pas à rester comme ça les yeux grands ouverts à contempler le vide.

Tu sais le vide est partout, même quand on se sent plein. La preuve quand on se perce lui seul reste et alors on se focalise sur lui, sur cette absence.
Mais y'a pas d'absence, y'a que des temps pour tout et des évolutions permanentes, c'est la magie de l'impermanence en somme.

Allume une bougie dans l'obscurité, vois la flamme vaciller. C'est toi la petite flamme, alors prends tes mains et tes bras et maintient la cette bougie à l'abri du vent que les vides comportent. Contre la peau de tes doigts, tu la sens la chaleur ? C'est l'énergie que ta flamme t'offre, alors perd pas tes lueurs même si tu deviens aveugle dans le lit changeant du fleuve de tes jours.

Je l'ai déjà dit, repères toi avec les chaleurs de ton âme et ne crois pas que c'est impossible.

Faut sourire putain, faut pas se laisser aller, c'est la vie qui en redemande à chaque instant et à toi de voir si tu vis pour toi ou pour les autres. Si tu vis par les autres et pas par toi ni pour toi, ne serait-ce qu'un peu, tu t'égares.

Tu crois te trouver chez les autres mais tu te trompes partiellement, les autres sont ton miroir, mais un miroir dans un miroir ça fait...
@Churinga

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"] mais je l'attends toujours moi ma poésie surréaliste de 50 minutes sur de l'électro... LE FUTUR C'EST MAINTENANT[/quote] Elle existe. Si tu es d'humeur introspective et que tu veux de la poésie surréaliste sur de l'électro ou du rock écoutes "les heures" de mendelson, ce morceau sarcastique dure quasi une heure, tu vas l'avoir ta claque. Perso je l'ai écouté que deux ou trois fois, parce-que l'écoute entière de ce morceau de 54 minutes demande un certain courage, parce-que ce n'est pas très agréable de se faire apostropher par l'arrogance cavalière, outrancière mais perspicace de ce salaud de mendelson :) à propos du temps qui passe, à propos de notre vie qui passe, le futur c'est maintenant!
suffragettes AB Il y a 6 ans

mais je l'attends toujours moi ma poésie surréaliste de 50 minutes sur de l'électro...


LE FUTUR C'EST MAINTENANT
@Churinga


Elle existe.
Si tu es d'humeur introspective et que tu veux de la poésie surréaliste sur de l'électro ou du rock écoutes "les heures" de mendelson, ce morceau sarcastique dure quasi une heure, tu vas l'avoir ta claque. Perso je l'ai écouté que deux ou trois fois, parce-que l'écoute entière de ce morceau de 54 minutes demande un certain courage, parce-que ce n'est pas très agréable de se faire apostropher par l'arrogance cavalière, outrancière mais perspicace de ce salaud de mendelson à propos du temps qui passe, à propos de notre vie qui passe, le futur c'est maintenant!