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[quote="Churinga"]Ça dépend aussi de chaque chemin...
Lui aussi fait ses choix et sait éjecter chacun ou chacune en temps voulu de ses sentiers.
Seuls ceux qui pensent être seul sont assez fous pour penser que leurs pas leurs appartiennent.
C'est le chemin qui dicte les ornières et les chutes. Plus le pied est confiant, plus la surprise est grande quand l'appui se dérobe à la prise, pensée acquise, de ses randonneurs.
Tout est possible, mais ne pas réfuter la complicité des incontrôlés avec le possible. Ça serait, il me semble, un aveuglement quant à son pouvoir personnel manifeste que de nier les conjonctures déjà tracées.
Encore faut-il avoir l'oeil divinatoire pour oser défier l'invisible clarté des hypothétiques croisements.[/quote]
hein? quoi? En gros, tu dis que tu crois au destin? :D
j'ai presque envie de te renvoyer à un épisode de Kaamelott sur les épithètes.. ;) (amitiés affectueuses et tressautante camaraderie poétique sur ta digitale personne!)
Ça dépend aussi de chaque chemin...
Lui aussi fait ses choix et sait éjecter chacun ou chacune en temps voulu de ses sentiers.
Seuls ceux qui pensent être seul sont assez fous pour penser que leurs pas leurs appartiennent.
C'est le chemin qui dicte les ornières et les chutes. Plus le pied est confiant, plus la surprise est grande quand l'appui se dérobe à la prise, pensée acquise, de ses randonneurs.
Tout est possible, mais ne pas réfuter la complicité des incontrôlés avec le possible. Ça serait, il me semble, un aveuglement quant à son pouvoir personnel manifeste que de nier les conjonctures déjà tracées.
Encore faut-il avoir l'oeil divinatoire pour oser défier l'invisible clarté des hypothétiques croisements.
hein? quoi? En gros, tu dis que tu crois au destin?
j'ai presque envie de te renvoyer à un épisode de Kaamelott sur les épithètes.. (amitiés affectueuses et tressautante camaraderie poétique sur ta digitale personne!)
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Déterminisme, ça c'est grossier, c'est techno, c'est scientiste, quand on peut se passer d'-ismes, faut pas hésiter, à mon avis.
Je préfère, faute de mieux, parler de destin. Ou alors destinée? Tu préfèrerais?
Destin/destinée, c'est un vieux mot, collé à une vieille idée, et ce couple a fait ses preuves. Bien mâchonné par des générations d'aïeuls qui ont ouvert la boîte.
[quote="Churinga"][quote="éoline"]Prendre un chemin imposé, c'est subir et se poser en victime. C'est devenir " homme-machine " Mais à chacun ses choix...on peut choisir de prendre un chemin imposé.
Faire des choix et prendre des libertés ne veut pas dire être seul. ON fait des choix en tenant compte de ceux qui nous entourent, forcément. Mais façonner son chemin n'est pas aisé, il y a un prix à payer en quelque sorte.
Certes, on ne peut pas tout prévoir puisque rien n'est figé. Accepter des conjonctures tracées, c'est perdre espoir et abandonner " le combat ".
Pourquoi défier ?[/quote]
Alors faire ses choix et prendre un chemin c'est être victime de soi-même ?
Comme on peut subir des propres choix ou ne pas les subir. Comme on décide de sourire ou de tirer la tronche face aux événements qui nous arrivent, tragiques ou joyeux. [/quote]
euh, non, ce n'est pas ce que j'ai dit. Je pense que tu es victime quand on t'impose un chemin. Quand tu choisis, tu deviens acteur de ta vie et sûrement pas victime.
[quote="Churinga"]J'ai tendance à penser que c'est le chemin qui nous façonne. Nous ne jetons que des dés de hasard dans une inéluctable inconstance...
Le combat contre qui ?
Pourquoi le refuser ou l'accepter ?
Coopérations avec soi-même sonne mieux à mon cœur que combats. Combat dis capitulation, coopération dit entraide.
S'il est un camp?
Sur le chemin, il n'y a pas de camp, qu'une épopée de bivouacs.[/quote]
Le " combat " , comme tu peux lire est entre "...". C'est le fait de ne pas accepter un chemin imposé ni de devenir un " homme machine" par exemple. Mais comme je l'ai dit plus haut : " Mais à chacun ses choix...on peut choisir de prendre un chemin imposé "
Pour moi, l'acceptation d'un chemin imposé, c'est capituler ou du moins en partie. Et la coopération avec soi-même se fait dans les choix qu'on se donne. :)
Prendre un chemin imposé, c'est subir et se poser en victime. C'est devenir " homme-machine " Mais à chacun ses choix...on peut choisir de prendre un chemin imposé.
Faire des choix et prendre des libertés ne veut pas dire être seul. ON fait des choix en tenant compte de ceux qui nous entourent, forcément. Mais façonner son chemin n'est pas aisé, il y a un prix à payer en quelque sorte.
Certes, on ne peut pas tout prévoir puisque rien n'est figé. Accepter des conjonctures tracées, c'est perdre espoir et abandonner " le combat ".
Pourquoi défier ?
Alors faire ses choix et prendre un chemin c'est être victime de soi-même ?
Comme on peut subir des propres choix ou ne pas les subir. Comme on décide de sourire ou de tirer la tronche face aux événements qui nous arrivent, tragiques ou joyeux.
euh, non, ce n'est pas ce que j'ai dit. Je pense que tu es victime quand on t'impose un chemin. Quand tu choisis, tu deviens acteur de ta vie et sûrement pas victime.
J'ai tendance à penser que c'est le chemin qui nous façonne. Nous ne jetons que des dés de hasard dans une inéluctable inconstance...
Le combat contre qui ?
Pourquoi le refuser ou l'accepter ?
Coopérations avec soi-même sonne mieux à mon cœur que combats. Combat dis capitulation, coopération dit entraide.
S'il est un camp?
Sur le chemin, il n'y a pas de camp, qu'une épopée de bivouacs.
Le " combat " , comme tu peux lire est entre "...". C'est le fait de ne pas accepter un chemin imposé ni de devenir un " homme machine" par exemple. Mais comme je l'ai dit plus haut : " Mais à chacun ses choix...on peut choisir de prendre un chemin imposé "
Pour moi, l'acceptation d'un chemin imposé, c'est capituler ou du moins en partie. Et la coopération avec soi-même se fait dans les choix qu'on se donne.
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[quote="Churinga"][quote="éoline"]Prendre un chemin imposé, c'est subir et se poser en victime. C'est devenir " homme-machine " Mais à chacun ses choix...on peut choisir de prendre un chemin imposé.
Faire des choix et prendre des libertés ne veut pas dire être seul. ON fait des choix en tenant compte de ceux qui nous entourent, forcément. Mais façonner son chemin n'est pas aisé, il y a un prix à payer en quelque sorte.
Certes, on ne peut pas tout prévoir puisque rien n'est figé. Accepter des conjonctures tracées, c'est perdre espoir et abandonner " le combat ".
Pourquoi défier ?[/quote]
Alors faire ses choix et prendre un chemin c'est être victime de soi-même ?
Comme on peut subir des propres choix ou ne pas les subir. Comme on décide de sourire ou de tirer la tronche face aux événements qui nous arrivent, tragiques ou joyeux.
J'ai tendance à penser que c'est le chemin qui nous façonne. Nous ne jetons que des dés de hasard dans une inéluctable inconstance...
Le combat contre qui ?
Pourquoi le refuser ou l'accepter ?
Coopérations avec soi-même sonne mieux à mon cœur que combats. Combat dis capitulation, coopération dit entraide.
S'il est un camp?
Sur le chemin, il n'y a pas de camp, qu'une épopée de bivouacs.[/quote]
<3 "J'ai tendance à penser que c'est le chemin qui nous façonne. Nous ne jetons que des dés de hasard dans une inéluctable inconstance..."
ça me fait penser "aux rivières à l'envers"
"on se croit prendre des chemins quand les chemins nous prennent.
tout comme on croit croiser des gens quand ce sont eux qui nous croisent"
et puis...
"je conduis la nuit ou la nuit me conduit?"
à l'instar du pneu j'adhère à ta prose pédestre churinga :)
https://www.youtube.com/watch?v=76peMt4ZGNE ;)
Prendre un chemin imposé, c'est subir et se poser en victime. C'est devenir " homme-machine " Mais à chacun ses choix...on peut choisir de prendre un chemin imposé.
Faire des choix et prendre des libertés ne veut pas dire être seul. ON fait des choix en tenant compte de ceux qui nous entourent, forcément. Mais façonner son chemin n'est pas aisé, il y a un prix à payer en quelque sorte.
Certes, on ne peut pas tout prévoir puisque rien n'est figé. Accepter des conjonctures tracées, c'est perdre espoir et abandonner " le combat ".
Pourquoi défier ?
Alors faire ses choix et prendre un chemin c'est être victime de soi-même ?
Comme on peut subir des propres choix ou ne pas les subir. Comme on décide de sourire ou de tirer la tronche face aux événements qui nous arrivent, tragiques ou joyeux.
J'ai tendance à penser que c'est le chemin qui nous façonne. Nous ne jetons que des dés de hasard dans une inéluctable inconstance...
Le combat contre qui ?
Pourquoi le refuser ou l'accepter ?
Coopérations avec soi-même sonne mieux à mon cœur que combats. Combat dis capitulation, coopération dit entraide.
S'il est un camp?
Sur le chemin, il n'y a pas de camp, qu'une épopée de bivouacs.
<3 "J'ai tendance à penser que c'est le chemin qui nous façonne. Nous ne jetons que des dés de hasard dans une inéluctable inconstance..."
ça me fait penser "aux rivières à l'envers"
"on se croit prendre des chemins quand les chemins nous prennent.
tout comme on croit croiser des gens quand ce sont eux qui nous croisent"
et puis...
"je conduis la nuit ou la nuit me conduit?"
à l'instar du pneu j'adhère à ta prose pédestre churinga
https://www.youtube.com/watch?v=76peMt4ZGNE
[quote="Churinga"]@éoline.
Je m'excuse d'abord des fautes à venir et des labyrinthes de sens ou de non-sens sans dessus-dessous.
J'admets bien ce que tu dis. Je comprends également, mais ce n'est pas ma philosophie. Je ne crois pas ce que tu penses vrai. Je ne te dis pas au passage que tu aurais tort, ça, seul l'omniscience aveuglante d'esprits colonisateurs à la réponse.
Mais un chemin imposé, c'est un chemin imposé par quoi? Par qui? Soi-même, par les autres, ses propres croyances, son milieu familial?
Le semblant de liberté que l'on a est une imposition que l'on se fait à soi même. Pour ne pas qu'il y ai d'esclave, il ne faut pas qu'il y ait de maître et être maître de soi implique un esclavage quelconque d'une part qu'on réfute. Esclave de soi même ou maître de soi même ? C'est la même chose. C'est du contrôle, vu sous un aspect supérieur ou inférieur à celui-ci.
L'Homme, ou le robot, n'est pas émancipé des mouvements qu'il ne décide pas. Tes instincts, t'appartiennent-ils ? Ton corps, en as tu la moindre possession, jusqu'à l'infime cellule ?
Il te compose et fait part entière avec toi. Soupçonnes-tu nos ignorances et les usages que nous pourrions faire ?
Cette gravité stabilisée te permets de marcher, à l'oiseau et aux avions de voler.
Je reviens au choix, à la liberté.
Je pense qu'il y a une grande part d'inconscience dans l'esprit qui peut nous endoctriner nous même.
Ce chemin, on marche dessus, et comme le suggère très bien Paulo cuehlo dans l'alchimiste, il nous arrive de faire marche arrière. Ou être un pélerin Compostelle et ne viser que l'arrivée .
Un chemin en colimaçon, une marche après l'autre, car rien ne nous assure d'une stabilité monotone, sécuritaire.
Je pense qu'il faut surtout savoir capituler avec soi même. C'est l'aboutissement de la coopération en somme.
Ne pas accepter le chemin tout en acceptant le cheminement rend le voyage plus agréable aussi.
Comme la perspective d'un verre d'eau en été.[/quote]
@Churinga, on peut ne pas être d'accord, pas de souci :)
Un chemin imposé est un chemin que tu ne choisis pas.
Dans L'Alchimiste, le berger fait un choix...celui de partir. Et heureusement, sur les chemins, il y a des imprévus, des rencontres, rien n'est figé. Pourquoi vouloir être maître ou esclave ? juste ...être, et c'est déjà beaucoup. Je suis un être humain, avec ses instincts, un corps et un esprit. Pas de souci pour l'accepter.
A chacun son chemin...
:)
éoline.
Je m'excuse d'abord des fautes à venir et des labyrinthes de sens ou de non-sens sans dessus-dessous.
J'admets bien ce que tu dis. Je comprends également, mais ce n'est pas ma philosophie. Je ne crois pas ce que tu penses vrai. Je ne te dis pas au passage que tu aurais tort, ça, seul l'omniscience aveuglante d'esprits colonisateurs à la réponse.
Mais un chemin imposé, c'est un chemin imposé par quoi? Par qui? Soi-même, par les autres, ses propres croyances, son milieu familial?
Le semblant de liberté que l'on a est une imposition que l'on se fait à soi même. Pour ne pas qu'il y ai d'esclave, il ne faut pas qu'il y ait de maître et être maître de soi implique un esclavage quelconque d'une part qu'on réfute. Esclave de soi même ou maître de soi même ? C'est la même chose. C'est du contrôle, vu sous un aspect supérieur ou inférieur à celui-ci.
L'Homme, ou le robot, n'est pas émancipé des mouvements qu'il ne décide pas. Tes instincts, t'appartiennent-ils ? Ton corps, en as tu la moindre possession, jusqu'à l'infime cellule ?
Il te compose et fait part entière avec toi. Soupçonnes-tu nos ignorances et les usages que nous pourrions faire ?
Cette gravité stabilisée te permets de marcher, à l'oiseau et aux avions de voler.
Je reviens au choix, à la liberté.
Je pense qu'il y a une grande part d'inconscience dans l'esprit qui peut nous endoctriner nous même.
Ce chemin, on marche dessus, et comme le suggère très bien Paulo cuehlo dans l'alchimiste, il nous arrive de faire marche arrière. Ou être un pélerin Compostelle et ne viser que l'arrivée .
Un chemin en colimaçon, une marche après l'autre, car rien ne nous assure d'une stabilité monotone, sécuritaire.
Je pense qu'il faut surtout savoir capituler avec soi même. C'est l'aboutissement de la coopération en somme.
Ne pas accepter le chemin tout en acceptant le cheminement rend le voyage plus agréable aussi.
Comme la perspective d'un verre d'eau en été.
@Churinga, on peut ne pas être d'accord, pas de souci
Un chemin imposé est un chemin que tu ne choisis pas.
Dans L'Alchimiste, le berger fait un choix...celui de partir. Et heureusement, sur les chemins, il y a des imprévus, des rencontres, rien n'est figé. Pourquoi vouloir être maître ou esclave ? juste ...être, et c'est déjà beaucoup. Je suis un être humain, avec ses instincts, un corps et un esprit. Pas de souci pour l'accepter.
A chacun son chemin...
Le premier qui a ouvert les chemins, a fait un libre choix audacieux d'ailleurs car il allait vers de l'inconnu, des embûches. Les autres prennent les voies déjà tracées, construites pour telle ou telle destination. Mais les exceptions qui confirment les règles, gardent l'essence primitive.
Les romains ont forgé les tracés de toute nos routes modernes, de la propagande sur les chemins qui mènent à Rome ?.
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[quote="audrey83"]
à l'instar du pneu j'adhère à ta prose pédestre churinga :) [/quote]
magique :D
à l'instar du pneu j'adhère à ta prose pédestre churinga
magique
J'ai l'impression d'être dans un salon du 18ème ou 19ème, les philosophes du Caveau. C'est riche.
T'as ouvert une porte. L'avenir.
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Héhé, l'Alchimiste c'est une question d'angle de point de vue ...c'est parce que le berger choisit de partir, donc de prendre ce chemin , qu'il rencontre l'Alchimiste...Et grâce à ce chemin parcouru, il en sortira plus riche . Il ne subit pas, il est acteur, il le choisit comme il décide de la direction à prendre en fonction de ses expériences évidemment, jusqu'au bout du rêve.
Et va pour les philtres philosophales... ^^
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[quote="Churinga"]C'est une histoire de rognures des bords rongés.
Chaque seconde est une richesse arrachée des jours. Il fait des choix, oui, et ceux-ci le pousse hors de ses immobilités. Le rêve ne se termine pas, il me semble.[/quote]
https://www.youtube.com/watch?v=AVSzY8CfNFY
parole: "être toujours en mouvement, une perpétuelle fuite en avant, le temps compté ne revient plus (...) chaque minute chaque seconde je les arrache à ma tombe, nanana une seconde de vanité, une minute d'inanité, une heure d'inertie (...) existence dans des carcans horaires conditionnement planifié de l'enfer (...) du berceau au tombeau pas s'arrêter pour satisfaire mon égo (...) nanana je ne veux pas m'arrêter nanana avant d'être consumé" :)
C'est une histoire de rognures des bords rongés.
Chaque seconde est une richesse arrachée des jours. Il fait des choix, oui, et ceux-ci le pousse hors de ses immobilités. Le rêve ne se termine pas, il me semble.
https://www.youtube.com/watch?v=AVSzY8CfNFY
parole: "être toujours en mouvement, une perpétuelle fuite en avant, le temps compté ne revient plus (...) chaque minute chaque seconde je les arrache à ma tombe, nanana une seconde de vanité, une minute d'inanité, une heure d'inertie (...) existence dans des carcans horaires conditionnement planifié de l'enfer (...) du berceau au tombeau pas s'arrêter pour satisfaire mon égo (...) nanana je ne veux pas m'arrêter nanana avant d'être consumé"
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haha :) je sais je sais, le bon vers s'égare parfois dans des lieux inélégants et s'y camoufle, mais c'est ça qui est bon! :)
Car pour entendre les trajectoires aléatoires du langage,
et y déceler ses pépites, au-delà de ses douteux camouflages;
Il faut parfois, je le reconnais, avoir l'ouie fine :)
"un jour" une autre de leur chanson est d'un mauvais goût apparent encore meilleur :)
une petite dernière dans une forme qui fait un peu plus dans la dentelle et la sobriété :),
et qui a toute sa place dans ce caveau espiègle ;) et ses vers poil à gratter
"365 jours puis 700, le temps commence à manquer tu l'espionnes
365 jours puis 700, le temps commence à compter tu te questionnes"
https://www.youtube.com/watch?v=8NJggCGNeI8
https://www.youtube.com/watch?v=8NJggCGNeI8
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Est-ce possible d'être aussi transparent ?
Narcisse s'y serait noyé, Psyché se serait jointe.
Épaissis ta prose, par pitié. Prends garde à ce qui pointe.
Sur le champ se dévoilera le sextant affuté.
[quote="Schyzophrenia"] Prends garde à ce qui pointe.
Sur le champ se dévoilera le sextant affuté.[/quote]
Avec ses seins qui poiiiiiiiiiiiiiintent comme des cathédraaaaaaaaaaaales on dirait Notre Dame on dirait des pyramiiiiiiiiiiiiiiiiiides!
Prends garde à ce qui pointe.
Sur le champ se dévoilera le sextant affuté.
Avec ses seins qui poiiiiiiiiiiiiiintent comme des cathédraaaaaaaaaaaales on dirait Notre Dame on dirait des pyramiiiiiiiiiiiiiiiiiides!
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[quote="Churinga"]On m'a dit c'est l'heure, alors, j'ai sauté dans ce grand départ. Le temps d'un voyage, de marquer des lettres anonymes aux vagabondes. J'ai écris sur un mur blanc des inscriptions de noirceurs, pour faire ressurgir les contrastes qui m'anime.
Animal endetté je suis, par les secondes que je rend à la grande horloge. Le décompte est entrepris, silencieux, baignera jusqu'à l'automne.
C'est que les feuilles en cette saison tombent si peu...[/quote]Corrige ton orthographe car ça te discrédite ! ;)
On m'a dit c'est l'heure, alors, j'ai sauté dans ce grand départ. Le temps d'un voyage, de marquer des lettres anonymes aux vagabondes. J'ai écris sur un mur blanc des inscriptions de noirceurs, pour faire ressurgir les contrastes qui m'anime.Corrige ton orthographe car ça te discrédite !
Animal endetté je suis, par les secondes que je rend à la grande horloge. Le décompte est entrepris, silencieux, baignera jusqu'à l'automne.
C'est que les feuilles en cette saison tombent si peu...