Si forte est ma détresse quand je vois ta faiblesse. Si profond est mon amour quand tu te bats chaque jour. Si dégueulasse est la maladie quand elle t'affaiblie t'use te ronge te tue nous tue
shadoz Il y a 7 ans

Si forte est ma détresse
quand je vois ta faiblesse.
Si profond est mon amour
quand tu te bats chaque jour.
Si dégueulasse est la maladie
quand elle t'affaiblie
t'use
te ronge
te tue
nous tue

-Et j'ai décidé de vivre- Rongée par la peur du lendemain, A peine visible, loin, dans le lointain. Tiraillée entre le clair et l'obscur de l'humain, Espoir sans fin, peur du bonheur. Dégout, honte, remords, Tout ce qui nous bouffe jusqu'à la mort. Ne reste que mes os comme seul décor, Et loin, le bonheur. Renaissante car l'espoir, jamais ne ment, Retrouvant l'essence au temps des Printemps, Ressentir l'existence de ces fines particules de nous Le frémissement du souffle qui nous mène au bout. Acceptation, connexion, sensation, Revenir à l'essentiel pour que cette communion, Cherchée trop loin, loin dans le lointain, Tu n’aies plus qu'à lui tendre la main.
zaël Il y a 7 ans

-Et j'ai décidé de vivre-

Rongée par la peur du lendemain,
A peine visible, loin, dans le lointain.
Tiraillée entre le clair et l'obscur de l'humain,
Espoir sans fin, peur du bonheur.

Dégout, honte, remords,
Tout ce qui nous bouffe jusqu'à la mort.
Ne reste que mes os comme seul décor,
Et loin, le bonheur.

Renaissante car l'espoir, jamais ne ment,
Retrouvant l'essence au temps des Printemps,
Ressentir l'existence de ces fines particules de nous
Le frémissement du souffle qui nous mène au bout.

Acceptation, connexion, sensation,
Revenir à l'essentiel pour que cette communion,
Cherchée trop loin, loin dans le lointain,
Tu n’aies plus qu'à lui tendre la main.

Les infinis Sous la pluie des infinis Je vois des monts qui sonnent la charge Trop souvent mes yeux qui fuient Quand le monde fais naufrage. Encore, encore tu restes là, Sous cette pluie d'étoiles qui coulent Au bord de tes yeux je crois Qui sont noyés par la houle. Non mon amour ne pleures pas, Un jour tout ça finira. Un jour la pluie s'arrêtera Et tu souriras, crois moi. Viens mon amour dans cet enfer Allez, viens, viens boire un verre Viens mon amour dans ce cimitière Vas-y viens partager ma bière! Dis mon amour tu vois le ciel? Dis- moi tu vois comme il est beau? Dis-moi, dis-moi tu vois les ailes? Les ailes noires des corbeaux? Aller amour ouvre les yeux Vois notre monde merveilleux Il est fait de sang et de feu Comment ça y'a pas d'quoi être heureux? Regarde on ferme nos frontières On laisse plus rentrer les étrangers. Regarde on créer de beaux cimetières Pour les milliers de noyés! Noyés bouffés par la mer Oui la mer Méditarranée Puisqu'on a peur de la misère Puisqu'on a peur des étrangers! (je me demande si je n'ai pas volé les deux derniers vers à Damien)
Saturne81 Il y a 7 ans

Les infinis

Sous la pluie des infinis
Je vois des monts qui sonnent la charge
Trop souvent mes yeux qui fuient
Quand le monde fais naufrage.

Encore, encore tu restes là,
Sous cette pluie d'étoiles qui coulent
Au bord de tes yeux je crois
Qui sont noyés par la houle.

Non mon amour ne pleures pas,
Un jour tout ça finira.
Un jour la pluie s'arrêtera
Et tu souriras, crois moi.

Viens mon amour dans cet enfer
Allez, viens, viens boire un verre
Viens mon amour dans ce cimitière
Vas-y viens partager ma bière!

Dis mon amour tu vois le ciel?
Dis- moi tu vois comme il est beau?
Dis-moi, dis-moi tu vois les ailes?
Les ailes noires des corbeaux?

Aller amour ouvre les yeux
Vois notre monde merveilleux
Il est fait de sang et de feu
Comment ça y'a pas d'quoi être heureux?

Regarde on ferme nos frontières
On laisse plus rentrer les étrangers.
Regarde on créer de beaux cimetières
Pour les milliers de noyés!

Noyés bouffés par la mer
Oui la mer Méditarranée
Puisqu'on a peur de la misère
Puisqu'on a peur des étrangers!


(je me demande si je n'ai pas volé les deux derniers vers à Damien)

Au fil de l eau Au file de moi Se détache l encre De mes mains Au fil du beau Au fil de toi Se deverse l encre Le large la poussière Des pluies de vers S inscrivent aux ecumes Et les phares sont des recueils Et ses pages se découvrent aux marées Où l amour des passions possédées Gravent aux bateaux De tristes matelots
Pelican bleu Il y a 7 ans

Au fil de l eau
Au file de moi
Se détache l encre
De mes mains
Au fil du beau
Au fil de toi
Se deverse l encre
Le large la poussière
Des pluies de vers
S inscrivent aux ecumes
Et les phares sont des recueils
Et ses pages se découvrent aux marées
Où l amour des passions possédées
Gravent aux bateaux
De tristes matelots

meduse je participe mais je sais pas si mon texte rentrera dans tes critères!! en tout cas j'espere qu'il te plaira et que j'aurai accès aux petites pépites :3 Je me trouvais dans un monde ou chaque acquis était une brique de plus vers le sommet, vers ce petit temple d'accomplissement auquel ils vouaient tous un culte. Et l'esprit contestataire, l'esprit critique, autrement dit la conscience, n'y avait plus sa place, annihilée par un effet de masse, un conditionnement parfaitement réglé et organisé depuis des années. "Veux tu avoir la vie facile? Reste toujours près du troupeau et oublie toi en lui." Nietzsche Troupeau qui produisait la fumée qui nous aveuglait, les bruits qui nous rendait sourds. Nous étions devenus esclaves, mais des esclaves heureux de leur servitude, apatés par le gain, baignant dans l'insouciance, divertit par tous les moyens. J’étais à présent seule face à cette armée silencieuse, épiée et surveillée. Assurée de ma valeur et de mon importance, conservant mon esprit sain et ma conscience intact, ils ne pouvaient rien.
ad Il y a 7 ans

meduse je participe mais je sais pas si mon texte rentrera dans tes critères!! en tout cas j'espere qu'il te plaira et que j'aurai accès aux petites pépites :3


Je me trouvais dans un monde ou chaque acquis était une brique de plus vers le sommet,
vers ce petit temple d'accomplissement auquel ils vouaient tous un culte.
Et l'esprit contestataire, l'esprit critique, autrement dit la conscience, n'y avait plus sa place,
annihilée par un effet de masse, un conditionnement parfaitement réglé et organisé depuis des années.

"Veux tu avoir la vie facile? Reste toujours près du troupeau et oublie toi en lui." Nietzsche
Troupeau qui produisait la fumée qui nous aveuglait, les bruits qui nous rendait sourds.
Nous étions devenus esclaves, mais des esclaves heureux de leur servitude, apatés par le gain,
baignant dans l'insouciance, divertit par tous les moyens.

J’étais à présent seule face à cette armée silencieuse, épiée et surveillée.
Assurée de ma valeur et de mon importance, conservant mon esprit sain et ma conscience intact,
ils ne pouvaient rien.

A toi Méduse je tente ma chance, quelques vers sur le manifeste et son combat actuel Eh oui mon vieux,tu croyais que t’allais te libérer… Tu le croyais, pourtant tu t’es fais insulter mais contre vents et marées toujours a tenu bon car les idées atteignent toujours l’horizon tenir un cap, et une route c’est important l’esprit léger, le coeur zélé toujours vaillant c’est un chemin et derrière ça une colline. un presque rien mais qui pourtant m’illumine. un sourire sur les lèvres et l’esprit plus léger Tu repars au combat, ta lutte est validée. Tous ces gens au Zenith et crois moi j'y étais chantaient tous debout et puis parfois sanglotaient les larmes aux yeux sur cette version qui fut grandiose les enfants paradis qui soigna mes névroses car contre les pourris toujours nous gagnerons les vrais gens comme toi crieront toujours mort aux cons. (je m'aperçois que j'ai le chant de "tous les gamins du monde" en tête et "premier mai" limite je vais écrire les accords sur les mots.)
flos Il y a 7 ans

A toi Méduse je tente ma chance, quelques vers sur le manifeste et son combat actuel

Eh oui mon vieux,tu croyais que t’allais te libérer…
Tu le croyais, pourtant tu t’es fais insulter

mais contre vents et marées toujours a tenu bon
car les idées atteignent toujours l’horizon

tenir un cap, et une route c’est important
l’esprit léger, le coeur zélé toujours vaillant

c’est un chemin et derrière ça une colline.
un presque rien mais qui pourtant m’illumine.

un sourire sur les lèvres et l’esprit plus léger
Tu repars au combat, ta lutte est validée.

Tous ces gens au Zenith
et crois moi j'y étais

chantaient tous debout
et puis parfois sanglotaient

les larmes aux yeux sur cette version qui fut grandiose
les enfants paradis qui soigna mes névroses

car contre les pourris toujours nous gagnerons
les vrais gens comme toi crieront toujours mort aux cons.

(je m'aperçois que j'ai le chant de "tous les gamins du monde" en tête et "premier mai" limite je vais écrire les accords sur les mots.)

MON Dieu, si je n ' existais pas Vous non plus n ' existeriez Puisque moi n' est ce pas vous Avec ce besoin que vous avez de moi KISS you
phoenix64 Il y a 7 ans

MON Dieu, si je n ' existais pas
Vous non plus n ' existeriez
Puisque moi n' est ce pas vous
Avec ce besoin que vous avez de moi

KISS you

Ton sourire devant ce spectacle d'artifice Faisait de mon cœur un tambour martelé. Pour toi, je ferrais le plus beau sacrifice Tes yeux avait la douceur D'une caresse sur ma peau. Si émerveillé, A cet instant, tu avais oublié toute la douleur, Toutes les cicatrices enfouis dans ton être, Pour enfin renaître. Tu es l'univers, Le bien Le mal Le blanc Le noir Plongé dans l'infini Je te laisserai cette nuit Et je veillerai sur toi Comme si c'était moi.
DD Il y a 7 ans

Ton sourire devant ce spectacle d'artifice
Faisait de mon cœur
un tambour martelé.
Pour toi, je ferrais le plus beau sacrifice
Tes yeux avait la douceur
D'une caresse sur ma peau.
Si émerveillé,
A cet instant,
tu avais oublié toute la douleur,
Toutes les cicatrices enfouis dans ton être,
Pour enfin renaître.

Tu es l'univers,
Le bien
Le mal
Le blanc
Le noir

Plongé dans l'infini
Je te laisserai cette nuit
Et je veillerai sur toi
Comme si c'était moi.

La plupart des nouveaux textes sont publiés ici : http://meduses.fr/au-fil-de-leau/ A part l'ironie du Phoenix qui rejoind les renards, et la tendresse de DD avec les méduses.
AnonymeIl y a 7 ans

La plupart des nouveaux textes sont publiés ici :
http://meduses.fr/au-fil-de-leau/

A part l'ironie du Phoenix qui rejoind les renards,
et la tendresse de DD avec les méduses.

A leurs bras a leurs coeurs Tatoués des enfers des océans Aux cris de l âme qui comme un écho Un souffle aux bouteilles échouées Qu un chagrin ouvrira un matin D une esperance rugissant de nos racines Des fleurs plantées aux jardins de nos songes A la plage des ports des barques Ainsi figée les astres en feront des proses De nos suppliques d enfants Tes rochers puis tes mots Des pas dans le sable Empreintes a l immensite Nous en serons ce grain Qui se fera piétiner D une trace bien plus grande Puis ton etoile draguera ta lune Et le papier brillera de ta plume
Pelican bleu Il y a 7 ans

A leurs bras a leurs coeurs
Tatoués des enfers des océans
Aux cris de l âme qui comme un écho
Un souffle aux bouteilles échouées
Qu un chagrin ouvrira un matin
D une esperance rugissant de nos racines
Des fleurs plantées aux jardins de nos songes
A la plage des ports des barques
Ainsi figée les astres en feront des proses
De nos suppliques d enfants
Tes rochers puis tes mots
Des pas dans le sable
Empreintes a l immensite
Nous en serons ce grain
Qui se fera piétiner
D une trace bien plus grande
Puis ton etoile draguera ta lune
Et le papier brillera de ta plume

Ben? @Pelican_bleu, tu fais du zèle ? t'as déjà eu ton mot de passe ... [url=http://www.paranoland.com/emoticones-smileys/13-smileys-forum.html][img]http://www.paranoland.com/emoticones-smileys/smileys/forum/01.gif[/img][/url] Si tu es un jeune auteur en devenir, que tu veux un jour écrire des histoires, dans des livres, pour des jeux vidéos, des vidéos, des films, de la BD ... que sais je encore ... Si tu es prolifiques et que tu as besoin d'un public pour évoluer, tu peux créer ton topic ici : https://www.saezlive.net/forums/view/15/creations-des-membres [url=http://www.paranoland.com/emoticones-smileys/13-smileys-forum.html][img]http://www.paranoland.com/emoticones-smileys/smileys/forum/28.gif[/img][/url]
AnonymeIl y a 7 ans

Ben? Pelican bleu, tu fais du zèle ?
t'as déjà eu ton mot de passe ...


Si tu es un jeune auteur en devenir, que tu veux un jour écrire des histoires, dans des livres, pour des jeux vidéos, des vidéos, des films, de la BD ... que sais je encore ... Si tu es prolifiques et que tu as besoin d'un public pour évoluer, tu peux créer ton topic ici :
https://www.saezlive.net/forums/view/15/creations-des-membres


Des plus arides je sècherai Comme des rides sur ta chair pâle Toutes les sources j’assoifferai Les dernières larmes de ton âme De toutes les terres je suis le sable De tous les vents je suis Simoun Mon ultime souffle sera sur toi Une dernière brise légère et moite Toutes les rivières de mon âme Couleront des mers jusqu’à toi De toutes les terres je suis le sable De toutes les vents je suis Simoun
Aguacan Il y a 7 ans

Des plus arides je sècherai
Comme des rides sur ta chair pâle
Toutes les sources j’assoifferai
Les dernières larmes de ton âme

De toutes les terres je suis le sable
De tous les vents je suis Simoun

Mon ultime souffle sera sur toi
Une dernière brise légère et moite
Toutes les rivières de mon âme
Couleront des mers jusqu’à toi

De toutes les terres je suis le sable
De toutes les vents je suis Simoun

Eh oui meduse juste le plaisir des mots encore merci a toi pour tes tresors J en ai pleins en reserve
Pelican bleu Il y a 7 ans

Eh oui meduse juste le plaisir des mots encore merci a toi pour tes tresors

J en ai pleins en reserve

« Elle » Elle est celle qui, d'épave à fait de moi un homme Accro à son charme, elle est mon sérum Et, je dois l'admettre Croiser ses yeux clairs était la plus belle faute à ne jamais commettre Alors voici mon message à son égard L'harmonie de son regard inspire mon art Elle est mon souffle, la genèse de mon être Son sourire illumine mon âme, alimente cette flamme Et d'avenir en aventures, de présents en futurs J'irai là où elle ira Même à l'autre bout du monde Je marcherai dans ses pas
Azra Il y a 7 ans

« Elle »

Elle est celle qui, d'épave à fait de moi un homme
Accro à son charme, elle est mon sérum
Et, je dois l'admettre
Croiser ses yeux clairs était la plus belle faute à ne jamais commettre

Alors voici mon message à son égard
L'harmonie de son regard inspire mon art
Elle est mon souffle, la genèse de mon être
Son sourire illumine mon âme, alimente cette flamme

Et d'avenir en aventures, de présents en futurs
J'irai là où elle ira
Même à l'autre bout du monde
Je marcherai dans ses pas

Braise bleue Sous le souffle coupé Gorge nouée Noeuds au cerveau Cœur dans l'étau Saigne à flots Sur l'absence des mots Tort toujours De travers de travers Mort pour toujours Bouillon de colère Air de cimetière Hisse moi encore Si tu me lâches Je suis mort C'est celui qui dit Qui te hait C'est celle qui fuit Qui est morte La paix Trahis moi Trahis moi fort Viole mon cœur Et je suis fleur
lesondureveil Il y a 7 ans

Braise bleue
Sous le souffle coupé
Gorge nouée
Noeuds au cerveau
Cœur dans l'étau

Saigne à flots
Sur l'absence des mots
Tort toujours
De travers de travers
Mort pour toujours

Bouillon de colère
Air de cimetière
Hisse moi encore
Si tu me lâches
Je suis mort

C'est celui qui dit
Qui te hait
C'est celle qui fuit
Qui est morte
La paix

Trahis moi
Trahis moi fort
Viole mon cœur
Et je suis fleur

Société Les établissements pour diplômés N'apportent qu'une utopie salaire Le but est-il de nous affamer? Leur bonheur est notre misère Penser à avoir de la mie Mais quelle idée saugrenue Faut avoir un projet de vie, Puisque vivre ne suffit plus On nous demande de la gagner, De laisser échapper nos rêves, Comment a-t-on pu y arriver Alors qu'on ne cherche qu'une trêve? Peuple manifeste-toi Ta vie t'appartient Va le crier sous les toits Te laisse pas crever comme un chien Lève ton poing Ne les laisse pas faire Ne reste pas dans ton coin Cette époque n'est qu'éphémère
Pimpon Il y a 7 ans

Société

Les établissements pour diplômés
N'apportent qu'une utopie salaire
Le but est-il de nous affamer?
Leur bonheur est notre misère

Penser à avoir de la mie
Mais quelle idée saugrenue
Faut avoir un projet de vie,
Puisque vivre ne suffit plus

On nous demande de la gagner,
De laisser échapper nos rêves,
Comment a-t-on pu y arriver
Alors qu'on ne cherche qu'une trêve?

Peuple manifeste-toi
Ta vie t'appartient
Va le crier sous les toits
Te laisse pas crever comme un chien

Lève ton poing
Ne les laisse pas faire
Ne reste pas dans ton coin
Cette époque n'est qu'éphémère

Des souvenirs Des pleurs, des rires Un empire A n'en plus finir Paroles ados A texte "pierrot" Vers saignants A textes poignants Des mots saisissants Démon hurlant 40 ans putain Allez on lache rien...
C-nnay Il y a 7 ans

Des souvenirs Des pleurs, des rires Un empire A n'en plus finir Paroles ados A texte "pierrot" Vers saignants A textes poignants Des mots saisissants Démon hurlant 40 ans putain Allez on lache rien...

De grâce qui es-tu Toi qui beauté inonde De ton corps, des nues Mon âme vagabonde Quel est ce chant divin Quand ton sein, ce refuge Il me vient de si haut Cette force profonde Il n’y a pas d’absence Puisque où que j’aille Ton visage m’accompagne Du sens que tu nous donnes Du mouvement de ton corps On emplit de sensible Nos marches, nos souvenirs Tu parles et t’illumines Tu transpires de chaleur Comment tant de douceur Peut sortir de ton coeur Il n’y a pas d’absence Puisque où que j’aille Ton visage m’accompagne Délicate et sereine Dans le creux de tes mains Se dégage ce pouvoir Qui nous tient si loin
DARIEN Il y a 7 ans

De grâce qui es-tu
Toi qui beauté inonde
De ton corps, des nues
Mon âme vagabonde

Quel est ce chant divin
Quand ton sein, ce refuge
Il me vient de si haut
Cette force profonde

Il n’y a pas d’absence
Puisque où que j’aille
Ton visage m’accompagne

Du sens que tu nous donnes
Du mouvement de ton corps
On emplit de sensible
Nos marches, nos souvenirs

Tu parles et t’illumines
Tu transpires de chaleur
Comment tant de douceur
Peut sortir de ton coeur

Il n’y a pas d’absence
Puisque où que j’aille
Ton visage m’accompagne

Délicate et sereine
Dans le creux de tes mains
Se dégage ce pouvoir
Qui nous tient si loin

Bonjour à tous, Ma petite contribution sans prétention histoire de déverrouiller " Je rentre à la maison " ;) L'ÉPOUVANTAIL Je n’suis pas dans les batailles, j’suis pas non plus aux fiançailles, je suis l’homme épouvantail, celui qui chante, qu’est fait de paille… Celui qu’est chiant et qui rigole, qui fait toujours le guignol, ces mots s’échappent et puis s’envolent, il court après les feuilles folles. Il court après toutes ses années, ses souvenirs, ses fleurs fanées, le temps qui nous a traversé, qui court toujours, j’le vois passer… Il est là, au milieu des bêtes, il court, il chante, il fait la fête, lui qui consume les cigarettes et que jamais rien n’arrête… Autour de moi ivre profond, il tourbillonne, il fait des ronds, on est là comme deux cons… Viens… On rentre à la maison. L’hiver approche et dans sa main, tenant un morceau de mon sein, voudrait m’offrir un bout du sien, que j’le grignote comme un chien… Il souffle un parfum que j’aimais, celui des amours enlacés, ceux qui deviennent divinités et pour qui on tuerait. J’en ai plein mes insomnies, des p’tits wagons, des colonies, ils voyagent dans la nuit comme l’amour qui s’est enfuit dans les couloirs de ma mémoire, dans la fumée de mes pétards… C’est un pays où il fait noir, où il ne fait que pleuvoir… Où les tapis se rallongent, où je m’endors, où je m’allonge, une mer où je me plonge dans la douleur qui me ronge… Dans les tapis les rideaux, tel un marin en bateau, Capitaine que j’suis beau ! Dans cet habit ce manteau… Chut… Plus un bruit un murmure ! Et contemplez mes voilures ! Toutes rouges ces couvertures, je suis trop bien dans mon armure ! Et je souris comme un con ! Je tourbillonne ! Je fais des ronds ! Autour de moi ivre profond… Sur le parquet de ma maison… P.S : Merci à Méduse pour la pass et le partage de ces inédites :)
Arlequin Il y a 7 ans

Bonjour à tous,

Ma petite contribution sans prétention histoire de déverrouiller " Je rentre à la maison "


L'ÉPOUVANTAIL


Je n’suis pas dans les batailles, j’suis pas non plus aux fiançailles, je suis l’homme épouvantail, celui qui chante, qu’est fait de paille… Celui qu’est chiant et qui rigole, qui fait toujours le guignol, ces mots s’échappent et puis s’envolent, il court après les feuilles folles. Il court après toutes ses années, ses souvenirs, ses fleurs fanées, le temps qui nous a traversé, qui court toujours, j’le vois passer… Il est là, au milieu des bêtes, il court, il chante, il fait la fête, lui qui consume les cigarettes et que jamais rien n’arrête… Autour de moi ivre profond, il tourbillonne, il fait des ronds, on est là comme deux cons… Viens… On rentre à la maison.

L’hiver approche et dans sa main, tenant un morceau de mon sein, voudrait m’offrir un bout du sien, que j’le grignote comme un chien… Il souffle un parfum que j’aimais, celui des amours enlacés, ceux qui deviennent divinités et pour qui on tuerait. J’en ai plein mes insomnies, des p’tits wagons, des colonies, ils voyagent dans la nuit comme l’amour qui s’est enfuit dans les couloirs de ma mémoire, dans la fumée de mes pétards… C’est un pays où il fait noir, où il ne fait que pleuvoir… Où les tapis se rallongent, où je m’endors, où je m’allonge, une mer où je me plonge dans la douleur qui me ronge… Dans les tapis les rideaux, tel un marin en bateau, Capitaine que j’suis beau ! Dans cet habit ce manteau… Chut… Plus un bruit un murmure ! Et contemplez mes voilures ! Toutes rouges ces couvertures, je suis trop bien dans mon armure ! Et je souris comme un con ! Je tourbillonne ! Je fais des ronds ! Autour de moi ivre profond… Sur le parquet de ma maison…

P.S : Merci à Méduse pour la pass et le partage de ces inédites

Merci Arlequin. Je t'ai publié à la date du 20 juin ... je sais ... mais le temps n'est qu'un concept dans mon monde ;-)
AnonymeIl y a 7 ans

Merci Arlequin. Je t'ai publié à la date du 20 juin ... je sais ... mais le temps n'est qu'un concept dans mon monde

Et comme ma plume est brisée, Et qu'elle a laissé place au pinceau, Pour un paysage lacéré. Ma participation sera tableau. [URL=https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=609712DSCF0350.jpg][IMG]https://img11.hostingpics.net/pics/609712DSCF0350.jpg[/IMG][/URL]
Shoraex Il y a 7 ans

Et comme ma plume est brisée,
Et qu'elle a laissé place au pinceau,
Pour un paysage lacéré.
Ma participation sera tableau.

On peut bien chialer dans les bars de Pontarlier, Répéter des bêtises à des statues usées On peut boire et reboire jusqu'à être explosé Ou chercher un chemin sur un corps étranger Le lendemain, toujours, il nous faudra poursuivre Un quotidien bancal, construire et reconstruire Des gestes auxquelles il faut offrir un horizon Essayer, échouer, peut-être tourner en rond Comme un monde, une planète, sous les feux d'un soleil, Se résigner de vivre, alors, viser le ciel En chansons, en images, trouver du beau partout Le créer, l'échanger, cultiver le bon goût Planter dans le béton un magnifique platane Pour en manger les fruits, pour se faire une cabane Pour mettre des obstacles sur les routes marchandes Reprendre les armes encore, l'histoire nous le commande. Il faut transformer sa maison en maquis A ce Soudanais qui, venu par l'Italie, A peut-être fui la guerre ou juste un paysage Barré par la misère et les mauvais présages. Derrière la statistique, regarder l'être humain. Notre travail, aussi, voudrait s'enfuir au loin Du commerce, de l'argent, des concurrences raides Briser les hiérarchies, éviter que possède Un connard d'un gratte-ciel, un pouvoir indécent Sur des pauvres exploités, dans des tours, survivants ; Sur des grecs malheureux, privés d'avoir une vie ; Sur une nature grandiose pillée pour du grisbi. Il y a d'autres rêves que celui de l'argent, D'autres chemins, aussi, que les tranquillisants Et d'autres livres, enfin, que ces vétustes bibles. Il faut écrire nos vies, nos rêves pris comme cible. C'est bon ? J'ai le droit au mot de passe ? :p
PJ Il y a 7 ans

On peut bien chialer dans les bars de Pontarlier,
Répéter des bêtises à des statues usées
On peut boire et reboire jusqu'à être explosé
Ou chercher un chemin sur un corps étranger
Le lendemain, toujours, il nous faudra poursuivre
Un quotidien bancal, construire et reconstruire
Des gestes auxquelles il faut offrir un horizon
Essayer, échouer, peut-être tourner en rond
Comme un monde, une planète, sous les feux d'un soleil,
Se résigner de vivre, alors, viser le ciel
En chansons, en images, trouver du beau partout
Le créer, l'échanger, cultiver le bon goût
Planter dans le béton un magnifique platane
Pour en manger les fruits, pour se faire une cabane
Pour mettre des obstacles sur les routes marchandes
Reprendre les armes encore, l'histoire nous le commande.


Il faut transformer sa maison en maquis
A ce Soudanais qui, venu par l'Italie,
A peut-être fui la guerre ou juste un paysage
Barré par la misère et les mauvais présages.
Derrière la statistique, regarder l'être humain.
Notre travail, aussi, voudrait s'enfuir au loin
Du commerce, de l'argent, des concurrences raides
Briser les hiérarchies, éviter que possède
Un connard d'un gratte-ciel, un pouvoir indécent
Sur des pauvres exploités, dans des tours, survivants ;
Sur des grecs malheureux, privés d'avoir une vie ;
Sur une nature grandiose pillée pour du grisbi.
Il y a d'autres rêves que celui de l'argent,
D'autres chemins, aussi, que les tranquillisants
Et d'autres livres, enfin, que ces vétustes bibles.
Il faut écrire nos vies, nos rêves pris comme cible.

C'est bon ? J'ai le droit au mot de passe ?

[quote="PJ"]On peut bien chialer dans les bars de Pontarlier, Répéter des bêtises à des statues usées On peut boire et reboire jusqu'à être explosé Ou chercher un chemin sur un corps étranger Le lendemain, toujours, il nous faudra poursuivre Un quotidien bancal, construire et reconstruire Des gestes auxquelles il faut offrir un horizon Essayer, échouer, peut-être tourner en rond Comme un monde, une planète, sous les feux d'un soleil, Se résigner de vivre, alors, viser le ciel En chansons, en images, trouver du beau partout Le créer, l'échanger, cultiver le bon goût Planter dans le béton un magnifique platane Pour en manger les fruits, pour se faire une cabane Pour mettre des obstacles sur les routes marchandes Reprendre les armes encore, l'histoire nous le commande[/quote]C'est super ! J'aime beaucoup ! :)
JoannLataste Il y a 7 ans

On peut bien chialer dans les bars de Pontarlier,
Répéter des bêtises à des statues usées
On peut boire et reboire jusqu'à être explosé
Ou chercher un chemin sur un corps étranger
Le lendemain, toujours, il nous faudra poursuivre
Un quotidien bancal, construire et reconstruire
Des gestes auxquelles il faut offrir un horizon
Essayer, échouer, peut-être tourner en rond
Comme un monde, une planète, sous les feux d'un soleil,
Se résigner de vivre, alors, viser le ciel
En chansons, en images, trouver du beau partout
Le créer, l'échanger, cultiver le bon goût
Planter dans le béton un magnifique platane
Pour en manger les fruits, pour se faire une cabane
Pour mettre des obstacles sur les routes marchandes
Reprendre les armes encore, l'histoire nous le commande
C'est super ! J'aime beaucoup !

merci, c'est gentil. (Je l'ai augmenté d'un paragraphe.)
PJ Il y a 7 ans

merci, c'est gentil. (Je l'ai augmenté d'un paragraphe.)

Macron t'es foutu, Le peuple est dans la rue! Merci pour le mot de passe :P
AnonymeIl y a 7 ans

Macron t'es foutu,
Le peuple est dans la rue!

Merci pour le mot de passe

La souffrance fais partie de notre vie, il faut apprendre a aimer le chaos que constitue la realite. Il ne s' agit pas de se resigner mais de vouloir notre existence, de reconcilier le bonheur avec le malheur, d' accepter les choix que nous faisons et qui ont une consequence sur notre present. Est que ca debloques le restes des inedites?
phoenix64 Il y a 7 ans

La souffrance fais partie de notre vie,
il faut apprendre a aimer le chaos que constitue la realite.
Il ne s' agit pas de se resigner mais de vouloir notre existence, de reconcilier le bonheur avec le malheur, d' accepter les choix que nous faisons et qui ont une consequence sur notre present.

Est que ca debloques le restes des inedites?

Non, mais ça peut dénouer pas mal de problèmes éphémères. [Pub] Philosophie et spiritualité, on aurait tord de s'en priver ! [/pub] @didier, merci pour la blague, rien de mieux que de se marrer, mais je suis sûr que tu as autre chose sous le coude qu'un slogan ... ;-)
AnonymeIl y a 7 ans

Non, mais ça peut dénouer pas mal de problèmes éphémères.
[Pub] Philosophie et spiritualité, on aurait tord de s'en priver ! [/pub]

@didier, merci pour la blague, rien de mieux que de se marrer,
mais je suis sûr que tu as autre chose sous le coude qu'un slogan ...

C'est trente euros qu'il me dit pour ce beau torchon pour ce triste chiffon. C'est trente larmes qu'il me dit pour une séparation pour deux ans de frissons. C'est trente tours de la terre en voilier qu'il faut faire pour revenir au plus beau à chez soi. C'est trente ans qu'il me dit pour croire aux vingt ans où tu croyais à tes dix ans C'est trop tôt pour mourir c'est trop tard pour revivre quel est l'âge du tournant ? C'est dix euros le rimmel C'est mille euros les deux seins C'est une belle promotion ! Et combien pour mes trente-deux dents ? C'est trente rides pour la sagesse Eh oui mon vieux tout se vend. C'est trente vies qu'il faudrait Pour savoir où mourir et partir en souriant C'est trente chutes pour l'arrivée. Trente et pas une de moins car à vingt-neuf il n'y a rien. C'est trente euros qu'il me dit mais moi je n'en ai que dix ! Surpris, il me crie : il ne te reste qu'à voler. C'est cinquante euros qu'il me dit Je n'en ai toujours pas assez il rit et me crie Il ne te reste qu'à aimer.
Scuti Il y a 7 ans

C'est trente euros qu'il me dit
pour ce beau torchon
pour ce triste chiffon.

C'est trente larmes qu'il me dit
pour une séparation
pour deux ans de frissons.

C'est trente tours de la terre
en voilier qu'il faut faire
pour revenir au plus beau
à chez soi.

C'est trente ans qu'il me dit
pour croire aux vingt ans
où tu croyais à tes dix ans

C'est trop tôt pour mourir
c'est trop tard pour revivre
quel est l'âge du tournant ?

C'est dix euros le rimmel
C'est mille euros les deux seins
C'est une belle promotion !
Et combien pour mes trente-deux dents ?

C'est trente rides pour la sagesse
Eh oui mon vieux tout se vend.

C'est trente vies qu'il faudrait
Pour savoir où mourir
et partir en souriant

C'est trente chutes pour l'arrivée.
Trente
et pas une de moins
car à vingt-neuf il n'y a rien.

C'est trente euros qu'il me dit
mais moi je n'en ai que dix !
Surpris, il me crie :
il ne te reste qu'à voler.

C'est cinquante euros qu'il me dit
Je n'en ai toujours pas assez
il rit et me crie
Il ne te reste qu'à aimer.

Putain l'amertume, quand on se rend compte que son sel n'atteint pas les étoiles, qu'il n'atteint pas les sommets, ces putains de sommets qu'on se promet enfant, qu'on se prend à rêver quand son sel n'atteint même pas le cœur des filles, n'atteint même pas le cœur d'une fille. Putain cette horreur qui hurle et qui cogne, comment dire putain comment dire la jalousie, comment dire la solitude quand milliards vous entourent, tu feras comme tout le monde et puis merde, saloperie de vie quand la mort est l'unique réconfort, ça s'arrêtera un jour dis ? ça s'arrêtera un jour, dis-moi que ça s'arrêtera un jour, dis-moi que ça s'arrêtera et qu'elles seront toujours jolies et qu'elles riront toujours, dis-moi que moi dans ma tombe je les entendrai ces rires, que moi, je les aimerai ces rires, putain qu'est-ce que je les aime ces rires, putains, ces sourires, jusqu'au bout je les aime, puisse-t-il ne pas y avoir de bout, pour aimer, aimer, aimer à en revenir.. Un peu de sel putain un peu de sel, c'est trois mots, c'est pas dur trois mots, c'est pas dur du tout, pas dur du tout...
Zleilndka Il y a 7 ans

Putain l'amertume, quand on se rend compte que son sel n'atteint pas les étoiles, qu'il n'atteint pas les sommets, ces putains de sommets qu'on se promet enfant, qu'on se prend à rêver quand son sel n'atteint même pas le cœur des filles, n'atteint même pas le cœur d'une fille. Putain cette horreur qui hurle et qui cogne, comment dire putain comment dire la jalousie, comment dire la solitude quand milliards vous entourent, tu feras comme tout le monde et puis merde, saloperie de vie quand la mort est l'unique réconfort, ça s'arrêtera un jour dis ? ça s'arrêtera un jour, dis-moi que ça s'arrêtera un jour, dis-moi que ça s'arrêtera et qu'elles seront toujours jolies et qu'elles riront toujours, dis-moi que moi dans ma tombe je les entendrai ces rires, que moi, je les aimerai ces rires, putain qu'est-ce que je les aime ces rires, putains, ces sourires, jusqu'au bout je les aime, puisse-t-il ne pas y avoir de bout, pour aimer, aimer, aimer à en revenir.. Un peu de sel putain un peu de sel, c'est trois mots, c'est pas dur trois mots, c'est pas dur du tout, pas dur du tout...

[quote="Meduse"] @didier, merci pour la blague, rien de mieux que de se marrer, mais je suis sûr que tu as autre chose sous le coude qu'un slogan ... ;-)[/quote] [url=http://sendeyo.com/show/8ed025225e]Sur une mélodie de Ignatus[/url] (mot de passe : Camille) [b]Mama Sam la suite[/b] Mama Sam Au Kenya L’occident Loin de toi Depuis que Matthieu a chanté ton exil Je pense souvent à l’africaine occidentale À la recherche des racines dans la ville Qui a vu naitre tes parents avant leur départ Mama Sam Qu’y a-t-il ? Au Kenya Rien ne va Les racines j’ai retrouvé Mais sur le chemin bien sombre Qui gagne ici aussi mes amitiés Ceux qui croient contre ceux qui sont libres Mama Sam Reviens-tu ? Ma vie ici N’est pas perdue Je crois qu’à force d’actions Et à grands coups de percussions Mes amis trouveront la raison Et en paix je serai en ma maison Mama Sam Mama Sam Mama Sam Mama Sam…
AnonymeIl y a 7 ans


@didier, merci pour la blague, rien de mieux que de se marrer,
mais je suis sûr que tu as autre chose sous le coude qu'un slogan ...
@Meduse


Sur une mélodie de Ignatus (mot de passe : Camille)

Mama Sam la suite

Mama Sam Au Kenya
L’occident Loin de toi

Depuis que Matthieu a chanté ton exil
Je pense souvent à l’africaine occidentale
À la recherche des racines dans la ville
Qui a vu naitre tes parents avant leur départ

Mama Sam Qu’y a-t-il ?
Au Kenya Rien ne va

Les racines j’ai retrouvé
Mais sur le chemin bien sombre
Qui gagne ici aussi mes amitiés
Ceux qui croient contre ceux qui sont libres

Mama Sam Reviens-tu ?
Ma vie ici N’est pas perdue

Je crois qu’à force d’actions
Et à grands coups de percussions
Mes amis trouveront la raison
Et en paix je serai en ma maison

Mama Sam Mama Sam
Mama Sam Mama Sam…