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Voici ma contributiion :) hâte de recevoir le fameux mot de passe dont tout le monde parle ahah ;)
Bonne lecture à vous
Hugo BLIN
Lettre à Lorelei
On est, je pense, toujours, à la recherche d'un idéal. Je ne sais pas pourquoi. Sûrement pour se prouver quelque chose à soi, à sa mère, ou à son chien. Enfin, je sais pas. Mais c'est sûrement pour se prouver quelque chose, qu'on est beau, fort, intelligent. Ou un autre de ces adjectifs à la mort moi le noeud qu'on égraine au fond des bouteilles de whisky.
Alors oui, moi, Lazlo, je cherche mon idéal. Ce con est dur à trouver. Il doit être caché, c'est ce qu'on se dit tous. Au fond du bar. Au fond de la classe. Bien au fond de nos souvenirs. On l'a peut-être déjà vu passer après tout, qui sait. Tu sais, tu vois ce que je veux dire ? Le cliché de la fille ou du gars qu'on rate car on a pris le tram d'après ou alors parce qu'on a pas été se balader Tu vois ce que je veux dire, ouais. Je sais bien que tu le vois. Je te dis ça à toi Lorelei, mais après tout je le dis aux autres. Ouais, t'es peut-être pas la seule à lire ces putains de lignes que j'écris dans mon lit à une heure imbue de la nuit. Au moment où je regrette de finalement pas avoir gardé une clope dans le paquet que je t'ai achetée. C'est sûrement parce que t'en as plus besoin que moi, de cette clope. Et j'ai même plus le whisky de June, finie la bouteille qu'elle m'avait offert il y a de ça des années, déjà des années. Je garde la bouteille vide au placard, comme un souvenir, un souvenir oublié, car on était encore trop bourré.
Je sais que tu comprends ce que je veux dire là aussi, tu gardes tout, tu m'avais confié ce penchant un peu psychorigide, mais moi je trouve ça mignon. En fait, y'a pas mal de choses que je trouve mignons chez toi, tout pour ainsi dire. C'est peut-être pour ça que je parle d'idéal, même tes défauts me font marrer, et Dieu sait que t'en as, morue. Mais bon, je passe outre, ma petite loutre.
Alors on verra si je me trompe, ou pas. Bah ! Si c'est le cas y'aura encore un bouquin, qui racontera comment tu m'as abandonné de façon larmoyante, comme Lula, June, Léa, et peut-être Aline, avant toi. Ouais, si y'a un nouveau bouquin dans la même veine, avec les rimes, les injures et tout le tintouin qui fait croire qu'on peut vendre avec ça, si y'a un nouveau bouquin Lorelei, et bah c'est que finalement tu étais comme toutes les autres. Que tu étais une fille, tout simplement, alors que moi je te vois comme bien plus que ça. Bah nan, t'es pas une fille, puisque t'es mon idéale. Tu suis un peu, poupée ?
La première fois c'était en Avril, depuis, toutes les nuits, ça recommence. Quoi qui recommence ? Bah que je pense à toi, merde. Avant je pensais aux autres, maintenant c'est à toi, c'est comme ça. Va pas passer que tu passes après elle. Elles sont justes passées avant toi. T'aurais dû les doubler, c'est de ta faute, après tout. Alors montre-moi que j'ai pas écrit tout ça pour rien, bel ange. Toutes ces pages où je les traite de tous les noms pour les crasses qu'elles me font fait, dis-moi que tu les as compris. Elles m'ont quitté, ouais, ça arrive me diront tous les gens sensés. Mais moi je ne le suis pas, je suis un chapelier, un joker, tu vois le genre. Alors si même se faire quitter c'est peut-être normal.
Hugo BLIN
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
[respire]
Voilà ma petite contribution ;)
Démocratie mise à mort
Démocratie mise à mort,
Sous l'autel des sévices.
Dis-moi quand ils seront morts,
Que sera leur supplice ?
Nous ! Solidaires citoyens du Monde !
Après avoir vécu l'enfer des galères,
Le Paradis nous ouvrira les bras.
Eux ! Cyniques Politiques de leur Monde!
Après avoir connu la luxure du pervers,
L'Enfer des ombres leur ouvrira les bras "
Démocratie mise à mort,
Sous les pavés, des lance-pierres.
Dis-moi quand ils seront morts,
Qui les mangera ? Les Vers ?
Nous ! Marchons ensemble vers la lumière !
Unissons-nous pour protéger nos terres !
Que nos pas soient guidés
Vers une Liberté retrouvée !
Eux, finirons en infimes poussières !
Oubliés au fin fond d’un cratère !
Qu’ils soient jetés en pâtures,
Derrière d’épais murs !
Nous ! Etincelantes Lumières
Nous resterons
De nos cœurs appauvris
Jaillira la vie !
Eux ! Dans leur noirceur
Ils finiront !
Dans leurs esprits avares
S’enfoncera le poignard !
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Bonjour. Je me lance aussi ... en espérant ne pas trop vous déplaire.
Le suaire hante la nuit du rêveur
Le sang se fige, la sueur est froide
Avançant vers la faible lueur
Caressant les rayons d'une main moite
Si belle dans son fourreau noir
Reine de l'immensité du vide
Poète inspiré de la moire
Pour l'éternité devient Cid
Hâte-toi, vient le voile de brume
Annonçant l'aube naissante
Embrasses une dernière fois la lune
Quitte les bras de ton amante
Mais le soir bientôt viendra
Et quand le ciel s'enflammera
S'envolera toute ta peine
Espérance d'une délivrance d'ébène.
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Bonjour désolé je ne suis pas très doué pour exprimer mes pensées
A l'instar du vent dans les champs de blé
Sa Chevelure dorée me fit frissonner
Dans ces moments là on n'est obligé de mentir
Le jeux de la vérité la ferai fuir
Je n'avais rien à lui proposer autre que ma naïveté
Après quelques mots échangés le prochain rendez vous était fixé
Si j'étais sincère je lui aurais dit:
Que penses tu de la vie?
La vie ???
Qui est elle ? A quoi sert elle ?
Un jour tu vis un jour tu meurs
Un coeur ? Des cœurs ?
Un amour ? Amour de sa vie
Une vie remplit d'amour
L'amour d une vie
La vie un coeur qui bat
Un amour qui bat son coeur
Une vie une âme un corps
La mort est partout
Éternelle recommencement
Et puis non je n'ai rien dit le jeu de dupe a continué...
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Nos 5 sens sont limités mais qu est ce qu on ne voit pas ? notre intelligence est limitée notre cerveau utilise si peu de sa capacité. Nos technologies pour voir l univers sont limitées, notre amour est sans doute limité aussi. Le mental affirme cela et s interesse aux aspects rationnels et materiels, le coeur, qui pense le contraire, qui sait que tout est illimité, lui ne dit rien , il attend sagement qu on lui demande.
[quote="Sam59"]Bonjour désolé je ne suis pas très doué pour exprimer mes pensées
A l'instar du vent dans les champs de blé
Sa Chevelure dorée me fit frissonner
Dans ces moments là on n'est obligé de mentir
Le jeux de la vérité la ferai fuir
Je n'avais rien à lui proposer autre que ma naïveté
Après quelques mots échangés le prochain rendez vous était fixé
Si j'étais sincère je lui aurais dit:
Que penses tu de la vie?
La vie ???
Qui est elle ? A quoi sert elle ?
Un jour tu vis un jour tu meurs
Un coeur ? Des cœurs ?
Un amour ? Amour de sa vie
Une vie remplit d'amour
L'amour d une vie
La vie un coeur qui bat
Un amour qui bat son coeur
Une vie une âme un corps
La mort est partout
Éternelle recommencement
Et puis non je n'ai rien dit le jeu de dupe a continué...
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i][/quote]
Je trouve ça touchant, beau mais triste à la fois .
Bonjour désolé je ne suis pas très doué pour exprimer mes pensées
A l'instar du vent dans les champs de blé
Sa Chevelure dorée me fit frissonner
Dans ces moments là on n'est obligé de mentir
Le jeux de la vérité la ferai fuir
Je n'avais rien à lui proposer autre que ma naïveté
Après quelques mots échangés le prochain rendez vous était fixé
Si j'étais sincère je lui aurais dit:
Que penses tu de la vie?
La vie ???
Qui est elle ? A quoi sert elle ?
Un jour tu vis un jour tu meurs
Un coeur ? Des cœurs ?
Un amour ? Amour de sa vie
Une vie remplit d'amour
L'amour d une vie
La vie un coeur qui bat
Un amour qui bat son coeur
Une vie une âme un corps
La mort est partout
Éternelle recommencement
Et puis non je n'ai rien dit le jeu de dupe a continué...
Edit modération : mot de passe envoyé.
Je trouve ça touchant, beau mais triste à la fois .
Chère Meduse, les goélands du "phare"book arrivent en cette île de douceur et poésie.
Oui ma chère Nulie, je le sais.
Le mot de passe a changé parcontre. Le redemander au besoin ;)
Je ne sais pas si j'ai bien compris la règle du jeu, je reviens sur ce forum après quelques mois d'absence... et puis d'après @Meduse je suis le symbole de la connerie, vous m'accorderez donc d'avoir la comprennette un peu délicate...
Mais voici en tous cas ma participation :
Elle :
Elle prend ses mains, elle le caresse,
C'est sans lendemain, histoire de fesses,
Elle le regarde, et il est beau,
Faut qu'elle n'en garde que la peau.
Elle passe ses mains dans ses cheveux
Il a des rides aux coins des yeux
Elle l'écoute respirer
Tu peux me croire c'est pas le premier.
Elle prend sa bouche, elle prend son temps,
Elle prend son pied, c'est pas souvent,
Elle descend vers son bassin
Pour s'y réchauffer les mains,
Elle n'en attend rien de son Surcouff
Elle sait très bien qu'ils se barrent tous
Avec la marée ou pire que ça,
Mais elle l'aime bien celui-là.
C'est un marin, un Tabarly,
Un beau, un vrai, un pro du lit,
Un de ses hommes qui s'en va,
Pendant que les autres s'enfuient.
Elle se donne, elle se tend,
Elle bourgeonne, à pleine dent,
Dans les draps ou les voiles,
C'est du vent sur une toile.
Elle est belle écarlate,
Ecartée, à quatre pattes,
Regardes les, elle s'éclate,
Regarde les, les acrobates,
Elle le sent dans ses reins,
Ca faisait longtemps, ça fait du bien,
De la nuit au matin,
D'être nue dans ses mains,
Elle l'oublie, elle s'oublie,
Elle se souvient, elle se rappelle,
Comme c'est bon d'être en vie,
Et puis, la couleur du ciel...
C'est un marin, un Tabarly,
Un beau, un vrai, un pro du lit,
Un de ses hommes qui s'en va,
Pendant que les autres s'enfuient.
J'm'en occupe ...
On a un p'tit contentieux @Elie et moi
rien de méchant
:-)
Un matin il y avait une fleur dans mon jardin. Je veux dire une nouvelle, arrivée par surprise, pas prévue du tout la belle invitée.
Je crois que le poète l'a deposé à la rosée, à la pointe de l'aurore car je l'ai pas vu. Il n'a pas fait de bruit, et n'a laissé aucune trace. Ce n'était pas la guerre pourtant. Peut être un terrain vaguement entretenu, gouverné par deux sapins majestueux.
Mais ce qui a été plus étrange c'est le lendemain matin à la même heure. Sur ma chaise de jardin en plastique blanc, Charles Baudelaire fumait. Vraiment. Le poète connu là. Vous ne me croyez pas ? Moi non plus je ne me croirais pas en fait. Mais pourtant je ne vous mens pas ! Il était en noir et blanc comme sur la photographie de Nadar.
Je l'ai ignoré comme si je rêvais. Serrant les yeux pour me réveiller, il lança calmement :
- Je vous ai apporté une autre fleur. Violette. Car hier le jeune homme n'a pas été très généreux.
Vous connaissez Édouard Manet ? Cet homme des arts a été mon ami. Le plus précieux malgré les hauts et les bas. Manet pas Monet hein. J'insiste. J'ai su que votre comment ... cinéma avait célèbré Cézanne et Zola. Pourquoi eux ? Une amitié trouble. Cézanne était fou je crois. Zola espérait, aspirait à devenir.
- Je l'ai vu.
- Zola ? Impossible il est mort.
- Vous aussi et pourtant ... je parlais du film.
- Je ne suis pas là pour ça. Vous me devez un poème. Une fleur, un poème. Le jeune garçon a été clair.
Prise de court j'ai vaguement récité du Hugo. L'un des rares que je connaissais un peu. " Demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne je partirais".
Mon jardin devint idyllique. Chaque matin, comme une parenthèse magique, un monde inaccessible désormais installé dans mon jardin la poésie naissait avec le soleil.
La plus belle matinée fut un peu fraîche, mais un tête à tête incroyable. J'avais accepté l'idée que là où passait une fleur, venait aussi une âme des arts. Et qu'à mon tour je donnais une petite ligne, récitation comme enfantine, de poésie pour commencer un nouveau jour. Étais je folle ? Peut-être, mais peut-être que j'étais moi même oeuvre de fiction. Un personnage parmi les autres. Aussi cela ne pouvait plus être surprenant. C'était la vérité. Il y avait bien eu Minuit à Paris !
Un matin, donc. Tête à tête avec une femme de l'être. Nimbée d'un nuage sombre, élégante sans pareil, Barbara chantait. Pétrifiée de la regarder, de croiser ce regard j'ai refermé la porte. Quelle poésie pouvais je lui réciter ? Quel mot sonnerait à la hauteur de cette dame au piano ?
Elle me tenda la fleur. Un lys blanc.
- Pour votre jardin jeune fille.
En guise de réponse mon éternel silence dans une larme timide. Rappelle toi Barbara disait l'autre.
Je n'avais jamais autant lu mes recueils de poésie, me tenir prête pour le lever du jour était une vraie quête. Celle de la rime, de la strophe, les syllabes du bout des doigts pour les chanter du bout des lèvres. Reconquérir mes livres pour qu'en un instant la poésie renoue à ses origines. L'oralité. Homère et tout les grecs. L'agora et le théâtre. L'Odéon et l'acropole. Les dieux et toute la mythologie. L'oralité qui rompt le silence. Qui fait l'humanité.
Après l'avoir récité le premier jour, je le rencontrais enfin. Il marchait partout en pestant parce que la campagne ce n'était pas la mer.
- Choisissez la fleur. Je choisirais le poème.
- Un coquelicot.
- Les yeux. Sully Prud'homme.
Il observait les couleurs des fleurs précédentes. Cela donnait un fouillis de couleurs comme un pré libre de l'homme. Je me taisais encore. Il ne semblait pas tellement attentif.
- Le jeune homme a insisté. Une fleur, un poème.
Voilà que je me fais gronder par Hugo. La plus belle engueulade de ma vie. Le jeune homme était clair oui. Son identité absolument plus un mystère. Je l'attendais. Comme un aviateur attendait l'autre enfant des mots et des fleurs. Peut-être aurais je du apprivoiser un renard ...
- Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore.
- Le manifeste n'est pas toujours là où on croit. Il n'est pas toujours la forme que l'on croit. J'ai aimé profondément la justice. La paix. L'humanisme. Il sait pourquoi il fait ça.
Tous n'étaient pas venus. J'aurais cru rencontrer tant d'autres noms avant que ... mais les jours passent et je demeure. J'ai continué à lire, à réciter mes vers comme une nourriture essentiel à chaque journée. Quelques phrases de rime en rime faisant sonner les mots, le tons, les jeux de langage. L'oralité qui aspire les lettre mortes pour les ressusciter. Poésie toujours.
Comme lorsque le soleil passe sous la mer à l'horizon, le personnage clown triste était assis en tailleur au milieu des fleurs. Il semblait leur murmurer quelque chose. Une à une, les caressant à peine du bout des doigts les pétales dansant sous le vent léger. En ouvrant la porte, il chantait ... "Quand je jette à la mer ..." doucement, à son rythme sans mélodie. Une comptine aux fleurs qui l'écoutaient vraiment. Je me suis assise en face mais pas trop près et au delà de moi j'ai continué " ... tristes sanglots je crois".
To be continued ... plus sérieusement, peut-être que je développerait l'idée, j'aime bien.
Julie G.
Et lorsque le temps latent dans dix ans aura détruit toutes traces de toi. Château en ruine, chaloupe s abîmant au fond de l abysse que ton amour à laisser dans mon cœur. Peut être que le courant me ramènera à la terre pour mener cette bataille amère , lutte acharnée pour ne pas finir décharnée par le sentiment amoureux, par l amour viscéral celui qui ne nous laisse aucune autre chance que d être malheureux. Une seconde s arrêtera de durer une éternité et le temps reprendra son cours, magistral et douloureux, des claques prisent chaque jour pour ne pas oublier le prix de vouloir être heureux. Et dans ce chaos sans fin le premier son de ta voix, ton premier sourire, ton premier geste sur moi resteront mon phare qui jamais ne s allumera pour me montrer le chemin. Et dans dix ans nous ne serons plus les mêmes , nous n aurons plus rien à nous donner où à nous reprendre , nous n aurons que le vague souvenir d une rencontre écorchée qui se rappèlera au bon souvenir douloureusement joyeux que personne hormis nous ne connaîtra. Un secret d alcôve que le temps fera disparaître avec nous, que nul livre narrera, qu aucune légende ne reprendra même en chanson, on ne sera plus rien comme si le jour de notre rencontre n avait jamais existé et mon âme, où qu elle soit , pourra enfin souffler et reposer en paix.
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
[quote="Nulie"] peut-être que je développerait l'idée, j'aime bien.
Julie G.[/quote]
Oui, c'est beau :-)
peut-être que je développerait l'idée, j'aime bien.
Julie G.
Oui, c'est beau
Pouvez vous me renvoyer le mot de passe svp?
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Puis-je avoir de nouveau le mot de passe s'il-vous-plaît ? Merci.
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
MP envoyé !
Euh, je veux bien le nouveau MDP aussi tiens :)
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
J'en profite pour le redemander aussi siouplai ;)
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Idem aussi please le nouveau mot de passe....
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
[quote="Meduse"]MP envoyé !
Tout le monde vérifie bien qu'une contribution a été posté en amont hein ?
Mais oui mais oui ... ils sont pro les modos !
C'est un peu chiant, je sais, mais bon, y a eu fuite ...[/quote]
ahah pour ceux qui ont 4 posts à leur actif, c'est relativement facile... mais pour @Marta012, on fait comment hein ?!!!! ;)
MP envoyé !
Tout le monde vérifie bien qu'une contribution a été posté en amont hein ?
Mais oui mais oui ... ils sont pro les modos !
C'est un peu chiant, je sais, mais bon, y a eu fuite ...
ahah pour ceux qui ont 4 posts à leur actif, c'est relativement facile... mais pour Marta012, on fait comment hein ?!!!!
J'ai été jeune et çon
Et j'ai voulu sauver cette étoile
J'ai retenu la leçon
Empêtré dans la toile
En ces jours étranges
Je veux m'en aller
Retrouver mon ange
Et lui chanter:
Un hallelujah au crépuscule
De ce soleil 2000
Dont les rayons brûlent
Mon coeur en plein dans le mille
Amandine ma rock n roll star
Tu es ma funny valentine
Moi un artiste à part
Qui pleure son âme
Toi t'es montée là-haut
Rejoindre le petit prince
Moi je n'ai que ces mots
Pour te dire que pour toi j'en pince
C ' est peut-être trop facile comme texte mais il me plait !
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Je veux bien le nouveau mot de passe à mon tour s'il vous plait :)
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Je suis ici pour toi, ma chère...
Quand le monde est cruel, tu peux venir,
La consolation est la tienne toujours,
Mon grand amour te protégera du mal.
Le soleil brille, et tu vivras en paix,
Je veux que tu chantes la chanson de victoire.
Aujourd'hui est précieux pour marcher en souriant,
Je te donne un nouveau espoir, je t'aime.
Dans ta tristesse, ma parole est ton courage,
Ne t'inquiètes pas, je suis près de toi,
Ton âme je garderai avec ma propre main.
Abondante est ta joie dans ma présence,
La vie est dur mais ma fidélité est avec toi.
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Merci Falcon <3
https://www.youtube.com/watch?v=z5Nd_Z7BBiI&list=PLlO28XWxcmoLJYYUf_GXfCBqNlL-Yb1-8&index=38
https://www.youtube.com/watch?v=z5Nd_Z7BBiI&list=PLlO28XWxcmoLJYYUf_GXfCBqNlL-Yb1-8&index=38
Alors voilà; c'est très simple.
J'ai profité de l'acalmie pour relire toutes vos contributions.
Une nuit blanche, un mal de tête, et quelques digestions de conscience plus tard
j'ai taillé le rosier !
L'Art est égoïste. C'est un jeu, un puzzle, des bouts de miroirs, un grande roue qui tourne ...
http://meduses.fr/category/concours-de-plume/
Avant toutes choses j aimerais te remercier Méduse, de m'avoir répondu sur youtube, et d'avoir entrepris cette démarche, je porte un intérêt très particulier aux chansons de notre bon Damien, celles du premier album, de ses début, de ses maquettes car elles ont une odeur, de l'adolescent qui ma accompagné quand je faisais de la zique, quand j'étais encore printemps..Quand tu m'as dit qu'il y avait 17 chansons que je ne connaissait pas, j'ai presque eu les larmes aux yeux...comme un gros fragile :/ Mais pour ceux qui ont grandi avec Saez en fond sonore, qui ne trouve rien à redire à aucune de ses chansons (peu être je suis le christ qui est moyenne ;) et bien c'est le genre de nouvelles qui vous fait vibrer...alors je vais te poster un petit écrit et le lien d'une de mes chansons enregistré en concert...j'avais 20 ans...merci à toi.
Des bouts de papiers sur les murs
où des morceaux de vie bien mince
il y a de la peinture qui en à coulée sûr
Et moi je ne vois que ce qu'il me reste au bouts des doigts..
Il y à de l'encre aux idées noirs
et de l’arthrose sur nos poings
il y à de cette envie de sortir dans les bars
et cette envie de toujours aller plus loin
aller dit moi...es que c'est ça que tu veux?
de ses quatre murs comme horizon, et moi je ne vois plus la raison
de ne pas aller sentir le monde,
d'aller flanner la pauvreté quitte à quitter les routines
histoire de toucher les cimes, mais
regarde, comme c'est indescent...
de rester assis devant..le canapé
à consommer des émissions d’irréalité.
Et pour finir Mathilde...
https://www.youtube.com/watch?v=Eb4Cra3pAeQ
https://www.youtube.com/watch?v=Eb4Cra3pAeQ
MP envoyé
J'échange ma vie contre un poème , qui décrirait combien je l'aime.
Je ne suis pas capable de l'écrire,
Je ne suis pas capable de m'en sortir.
Si je m'arrête un instant
Pour prendre le temps d'y penser
Me perdre et sourire au néant jusqu'à me faire apprivoiser.
Une constellation comme armure pour un rêve du bout des doigts.
La bulle se crashe sur le mur,
Pour s'éteindre comme à chaque fois.
Ici je brûle en entendant plus rien.
Ici je brûle en attendant la fin,
[i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]