Hum... Touchée! Mais pas coulée. Je lui trouverai une image, à ce train bleu, après avoir rempli mon ciel de chants sacrés. Une jolie fraise peut-être... Ou un paysage... Un paysage qui laisserait les rêves s'ensoleiller... Merci pour ton Art.
AnonymeIl y a 7 ans

Hum... Touchée!
Mais pas coulée.

Je lui trouverai une image, à ce train bleu, après avoir rempli mon ciel de chants sacrés.
Une jolie fraise peut-être... Ou un paysage... Un paysage qui laisserait les rêves s'ensoleiller...

Merci pour ton Art.

Merci à Toi, Meduse...
Nour Il y a 7 ans

Merci à Toi, Meduse...

Je vous soumets ma modeste contribution. Je n'ai malheureusement aucun talent en écriture... Mais je prends en revanche plaisir à lire vos textes. Merci méduse pour cette idée, en espérant pouvoir également bientôt profiter de ce mystérieux "premier disque". Tu n’as pas mal au cœur quand tu allumes la télé ? Inonder de malheur, moi ça me donne envie de pleurer. On voit des gens qui meurent, d’un air détaché, Pour les p’tits sous de quelques politiques, Ça ne vaut pas le coup ce combat pour le fric. De notre modèle occidental, on s’est accommodé, On se comporte comme un animal, tous en train de bêler. Venez troupeau de moutons, restez bien dans la rangée Le concept de révolution risque de vous fatiguer Dans cet état où ont dénigre les étrangers. Où on ne veut pas que deux hommes soient mariés, Car la différence est vécue comme un danger. Dans ce climat de méfiance qui commence à peser. A quoi bon lever le poing et se mettre à rêver ? Car ce rêve semble si loin, on n’ose pas le toucher Alors on retourne dans nos vies qui n’ont pas de sens Moi aussi j’y suis soumis, j’en ai bien conscience.
flom63 Il y a 7 ans

Je vous soumets ma modeste contribution. Je n'ai malheureusement aucun talent en écriture... Mais je prends en revanche plaisir à lire vos textes. Merci méduse pour cette idée, en espérant pouvoir également bientôt profiter de ce mystérieux "premier disque".



Tu n’as pas mal au cœur quand tu allumes la télé ?
Inonder de malheur, moi ça me donne envie de pleurer.
On voit des gens qui meurent, d’un air détaché,
Pour les p’tits sous de quelques politiques,
Ça ne vaut pas le coup ce combat pour le fric.

De notre modèle occidental, on s’est accommodé,
On se comporte comme un animal, tous en train de bêler.
Venez troupeau de moutons, restez bien dans la rangée
Le concept de révolution risque de vous fatiguer

Dans cet état où ont dénigre les étrangers.
Où on ne veut pas que deux hommes soient mariés,
Car la différence est vécue comme un danger.
Dans ce climat de méfiance qui commence à peser.

A quoi bon lever le poing et se mettre à rêver ?
Car ce rêve semble si loin, on n’ose pas le toucher
Alors on retourne dans nos vies qui n’ont pas de sens
Moi aussi j’y suis soumis, j’en ai bien conscience.

Edit Méduse: Mot de passe envoyé
AnonymeIl y a 7 ans

Edit Méduse: Mot de passe envoyé

C'est comme une étoile filante, comme une fleur empoisonnée. C'est comme un rêve lointain, comme une fausse vérité. C'est comme une âme morte, comme un coeur sans vie. Un désert sans oasis, un espoir interdit. C'est comme une destinée, comme un rayon de soleil. C'est comme une providence, comme une danse du ciel. C'est comme une larme de plus, comme une pluie, Lydie. Un océan de bonheur, dans l'enfer du paradis. [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Albatros Il y a 7 ans

C'est comme une étoile filante,
comme une fleur empoisonnée.
C'est comme un rêve lointain,
comme une fausse vérité.
C'est comme une âme morte,
comme un coeur sans vie.
Un désert sans oasis,
un espoir interdit.
C'est comme une destinée,
comme un rayon de soleil.
C'est comme une providence,
comme une danse du ciel.
C'est comme une larme de plus,
comme une pluie, Lydie.
Un océan de bonheur,
dans l'enfer du paradis.

Edit modération : mot de passe envoyé.

Voici ma contribution : J’aimerais te dire J'aimerais te dire à quel point je t'ai aimé Que tu me manques depuis que tu t'en es allée Que de plaines immenses et désertiques Que je parcours en récitant mes suppliques J'aimerais te dire que où que j'aille Quoi que je fasse et quelque soit la bataille Je ferai toujours tout en ta mémoire Tu paraîtras dans tous mes grimoires J'écrirai des poèmes d’or Et je t’aimerai encore et encore Pour te dire mes espoirs Espérer pouvoir refaire notre histoire J'aimerais te dire que maintenant que tu es partie Il ne me reste que Dieu en qui croire Et je prie ©️ Michael Riethmuller 27/03/2011 J'en profite aussi pour faire un peu de pub. :) Mon recueil de poésie "La Danseuse" paraitra en Octobre 2017 aux éditions Do Bentzinger Editeur. Vous pouvez précommander le recueil, retrouver des extraits et des textes inédits sur mon site : https://lesondesfuyantes.wordpress.com N'hésitez pas à commenter, liker ou partager autour de vous si vous appréciez mon univers. Vous pouvez aussi me suivre sur Facebook sur ma page : https://www.facebook.com/LesOndesFuyantes/ Bien à vous. Michael
Mic_182 Il y a 7 ans

Voici ma contribution :

J’aimerais te dire

J'aimerais te dire à quel point je t'ai aimé
Que tu me manques depuis que tu t'en es allée
Que de plaines immenses et désertiques
Que je parcours en récitant mes suppliques

J'aimerais te dire que où que j'aille
Quoi que je fasse et quelque soit la bataille
Je ferai toujours tout en ta mémoire
Tu paraîtras dans tous mes grimoires

J'écrirai des poèmes d’or
Et je t’aimerai encore et encore
Pour te dire mes espoirs

Espérer pouvoir refaire notre histoire
J'aimerais te dire que maintenant que tu es partie
Il ne me reste que Dieu en qui croire

Et je prie

©️ Michael Riethmuller
27/03/2011

J'en profite aussi pour faire un peu de pub.

Mon recueil de poésie "La Danseuse" paraitra en Octobre 2017 aux éditions Do Bentzinger Editeur.

Vous pouvez précommander le recueil, retrouver des extraits et des textes inédits sur mon site : https://lesondesfuyantes.wordpress.com
N'hésitez pas à commenter, liker ou partager autour de vous si vous appréciez mon univers.

Vous pouvez aussi me suivre sur Facebook sur ma page : https://www.facebook.com/LesOndesFuyantes/

Bien à vous.

Michael

Voici ma contribution... Il y a ces couples Bien sur, il y a ces couples qui n’imaginent pas Jusqu’à quel point la vie est un cadeau précieux Puisque dans leur idylle il n’est point de combat Puisque leur existence les rend toujours heureux Bien sur il y a ces couples qui croquent à pleines dents La vie qui n’est pour eux qu’un long fleuve tranquille, Sans contraintes, sans limites, sans le moindre incident Qui ne viendrait ternir ce bonheur facile. Bien sur, il y a ces couples qui fondent une famille Sans se dire qu’ils élèvent de futurs orphelins Ces parents innocents qui ont l’ regard qui brille Quand la vie leur sourit un peu plus chaque matin Bien sur il y a ces couples, qui aiment à se projeter Au plus loin de leur vie de manière naturelle, La retraite, la vieillesse, voyages organisés, Pour conquérir le monde aux congés éternels. Et puis, il y a ces couples, dont nous faisons partie, Oui nous, parmi tant d’autres, qui sommes confrontés, Chaque jour que dieu fait, et chaque nuit aussi, A ce mal qui détruit la chair de l’être aimé. Et puis, il y a ces couples, dont la vie tourne autour, De cette maladie qui la pourrit la vie, Ces couples, qui par amour, se livrent sans détour, Dans un combat féroce aux allures de survie. Et puis, il y a ces couples, dont l’un deux a choisi, Tout en sachant que l’autre, oui, n’était que souffrance, Sans la moindre question, sans le moindre souci, De ne croire qu’en l’amour, de le vouloir intense. Et puis, il y a ces couples, dont l’un d’eux a choisi, Quels qu’en soit les obstacles, qu’importe le sacrifice, D’offrir tout son amour, à cette âme meurtrie, A cette âme si forte, a cette âme délice. Mais moi j’aurai toujours cette boule dans le ventre, Cette peur que le mal remporte la partie, De te trouver un soir, quand du labeur je rentre, Etendue sur le sol, sans un souffle de vie. Qu’importe combien d’années durera notre histoire, Qu’importe si la faucheuse y met fin bien trop tôt, Notre amour est si fort, si intense et si rare Que jamais les regrets n’enrichiront mes mots. Il est, oui j’en conviens, un peu contradictoire, De devoir partager, tout cet amour que j’ai, Avec cette angoisse, avec ce désespoir, Que demain je pourrais te perdre à tout jamais. Mais c’est cette phobie qui renforce je pense, Les sentiments qui font que l’on vit chaque jour Comme si ce jour était notre dernière danse L’amour comme le plus grand des mets que l’on savoure. Alors non, des regrets, moi je n’en aurai point, D’avoir fait ce choix, ne songeant qu’a l’amour, Et l’amour, avec toi, il m’emporte aussi loin Que la force te pousse à te battre chaque jour. Pat Vurden
Pat Vurden Il y a 7 ans

Voici ma contribution...

Il y a ces couples

Bien sur, il y a ces couples qui n’imaginent pas
Jusqu’à quel point la vie est un cadeau précieux
Puisque dans leur idylle il n’est point de combat
Puisque leur existence les rend toujours heureux

Bien sur il y a ces couples qui croquent à pleines dents
La vie qui n’est pour eux qu’un long fleuve tranquille,
Sans contraintes, sans limites, sans le moindre incident
Qui ne viendrait ternir ce bonheur facile.

Bien sur, il y a ces couples qui fondent une famille
Sans se dire qu’ils élèvent de futurs orphelins
Ces parents innocents qui ont l’ regard qui brille
Quand la vie leur sourit un peu plus chaque matin

Bien sur il y a ces couples, qui aiment à se projeter
Au plus loin de leur vie de manière naturelle,
La retraite, la vieillesse, voyages organisés,
Pour conquérir le monde aux congés éternels.


Et puis, il y a ces couples, dont nous faisons partie,
Oui nous, parmi tant d’autres, qui sommes confrontés,
Chaque jour que dieu fait, et chaque nuit aussi,
A ce mal qui détruit la chair de l’être aimé.

Et puis, il y a ces couples, dont la vie tourne autour,
De cette maladie qui la pourrit la vie,
Ces couples, qui par amour, se livrent sans détour,
Dans un combat féroce aux allures de survie.

Et puis, il y a ces couples, dont l’un deux a choisi,
Tout en sachant que l’autre, oui, n’était que souffrance,
Sans la moindre question, sans le moindre souci,
De ne croire qu’en l’amour, de le vouloir intense.

Et puis, il y a ces couples, dont l’un d’eux a choisi,
Quels qu’en soit les obstacles, qu’importe le sacrifice,
D’offrir tout son amour, à cette âme meurtrie,
A cette âme si forte, a cette âme délice.


Mais moi j’aurai toujours cette boule dans le ventre,
Cette peur que le mal remporte la partie,
De te trouver un soir, quand du labeur je rentre,
Etendue sur le sol, sans un souffle de vie.

Qu’importe combien d’années durera notre histoire,
Qu’importe si la faucheuse y met fin bien trop tôt,
Notre amour est si fort, si intense et si rare
Que jamais les regrets n’enrichiront mes mots.

Il est, oui j’en conviens, un peu contradictoire,
De devoir partager, tout cet amour que j’ai,
Avec cette angoisse, avec ce désespoir,
Que demain je pourrais te perdre à tout jamais.

Mais c’est cette phobie qui renforce je pense,
Les sentiments qui font que l’on vit chaque jour
Comme si ce jour était notre dernière danse
L’amour comme le plus grand des mets que l’on savoure.


Alors non, des regrets, moi je n’en aurai point,
D’avoir fait ce choix, ne songeant qu’a l’amour,
Et l’amour, avec toi, il m’emporte aussi loin
Que la force te pousse à te battre chaque jour.

Pat Vurden

Regarde le, regarde le ce mec qui dort juste à côté de toi. Il a l'air de dormir paisiblement alors que toi t'es là à ravaler ta bile en pensant à votre tango. T'as jamais aimé danser hein, mais t'as toujours aimé les danseurs. Cette impression de contrôle sur leur corps, ça te donne l'impression qu'ils contrôlent leur vie un peu. Et toi, tu contrôles rien. Toi, tu te perds continuellement dans ton océan de solitude. Toi, à force d'aimer tout le monde autour de toi, tu n'as plus gardé assez d'amour pour toi. Alors tu danses, la seule danse que tu connais, avec des inconnus de passage. Et lorsque les grands danseurs ne sont plus que des hommes endormis, lorsque les draps sont froissés et que la danse est finie, tu reprends peur. Tu te sens sale et humiliée ? C'est toi qui l'a voulu ce tango. C'est toi qui a voulu sentir que tu comptais un peu pour quelqu'un, rien qu'un moment, encore une fois, une dernière fois. C'est toujours la dernière fois. Alors, regarde le ce mec là qui dort encore. Regarde le, parce que peut-être bien qu'il n'est pas meilleur danseur que toi. Lui aussi il fuit. Lui aussi il ne connait que le tango pour échapper à son désert de solitude. Peut-être. Tu te rhabilles, tu pars. Sans un bruit, sans un regard. Tu rentres chez toi, t'arrêtes pour échanger quelques mots avec quelques échoués bien plus échoués que toi. Toujours à te comparer à la souffrance des autres pour trouver une nouvelle raison de te détester de te plaindre alors qu' "il y a pire". Il y a toujours pire. Mais est-ce une raison ? Tu te sens comme une donnée négligeable aux yeux des autres. Et si t'étais la seule à te négliger ? Vas-y rentre chez toi, retrouver ton lit bien trop grand et bien trop froid. Tu te joueras un tango en solitaire pour te donner l'impression que t'as besoin de personne. Que tu contrôles. Tu contrôles rien. T'essayes juste de t'en persuader pour ne pas trop sentir cette solitude qui te bouffe.Tu te tournes vers les autres pour ne surtout pas penser à toi. Ca te fait trop mal hein. Travail avec des jeunes mineurs isolés qui ont besoin de papiers, bénévolat avec des enfants hospitalisés à longue durée, maraudes de nuit pour donner à manger, manifestations pour le climat... Tu trouves même du temps pour les chats des rues. Mais alors pour toi ? Ne surtout pas repenser à ce mec là, on ne sait jamais, juste au cas où il aurait pu t'aimer. Ca fait trop peur.
Solène. Il y a 7 ans

Regarde le, regarde le ce mec qui dort juste à côté de toi. Il a l'air de dormir paisiblement alors que toi t'es là à ravaler ta bile en pensant à votre tango. T'as jamais aimé danser hein, mais t'as toujours aimé les danseurs. Cette impression de contrôle sur leur corps, ça te donne l'impression qu'ils contrôlent leur vie un peu. Et toi, tu contrôles rien. Toi, tu te perds continuellement dans ton océan de solitude. Toi, à force d'aimer tout le monde autour de toi, tu n'as plus gardé assez d'amour pour toi. Alors tu danses, la seule danse que tu connais, avec des inconnus de passage. Et lorsque les grands danseurs ne sont plus que des hommes endormis, lorsque les draps sont froissés et que la danse est finie, tu reprends peur. Tu te sens sale et humiliée ? C'est toi qui l'a voulu ce tango. C'est toi qui a voulu sentir que tu comptais un peu pour quelqu'un, rien qu'un moment, encore une fois, une dernière fois. C'est toujours la dernière fois.
Alors, regarde le ce mec là qui dort encore. Regarde le, parce que peut-être bien qu'il n'est pas meilleur danseur que toi. Lui aussi il fuit. Lui aussi il ne connait que le tango pour échapper à son désert de solitude. Peut-être. Tu te rhabilles, tu pars. Sans un bruit, sans un regard. Tu rentres chez toi, t'arrêtes pour échanger quelques mots avec quelques échoués bien plus échoués que toi. Toujours à te comparer à la souffrance des autres pour trouver une nouvelle raison de te détester de te plaindre alors qu' "il y a pire". Il y a toujours pire. Mais est-ce une raison ? Tu te sens comme une donnée négligeable aux yeux des autres. Et si t'étais la seule à te négliger ?
Vas-y rentre chez toi, retrouver ton lit bien trop grand et bien trop froid. Tu te joueras un tango en solitaire pour te donner l'impression que t'as besoin de personne. Que tu contrôles. Tu contrôles rien. T'essayes juste de t'en persuader pour ne pas trop sentir cette solitude qui te bouffe.Tu te tournes vers les autres pour ne surtout pas penser à toi. Ca te fait trop mal hein. Travail avec des jeunes mineurs isolés qui ont besoin de papiers, bénévolat avec des enfants hospitalisés à longue durée, maraudes de nuit pour donner à manger, manifestations pour le climat... Tu trouves même du temps pour les chats des rues. Mais alors pour toi ?
Ne surtout pas repenser à ce mec là, on ne sait jamais, juste au cas où il aurait pu t'aimer. Ca fait trop peur.

[quote="Solène."]Regarde le, regarde le ce mec qui dort juste à côté de toi. Il a l'air de dormir paisiblement alors que toi t'es là à ravaler ta bile en pensant à votre tango. T'as jamais aimé danser hein, mais t'as toujours aimé les danseurs. Cette impression de contrôle sur leur corps, ça te donne l'impression qu'ils contrôlent leur vie un peu. Et toi, tu contrôles rien. Toi, tu te perds continuellement dans ton océan de solitude. Toi, à force d'aimer tout le monde autour de toi, tu n'as plus gardé assez d'amour pour toi. Alors tu danses, la seule danse que tu connais, avec des inconnus de passage. Et lorsque les grands danseurs ne sont plus que des hommes endormis, lorsque les draps sont froissés et que la danse est finie, tu reprends peur. Tu te sens sale et humiliée ? C'est toi qui l'a voulu ce tango. C'est toi qui a voulu sentir que tu comptais un peu pour quelqu'un, rien qu'un moment, encore une fois, une dernière fois. C'est toujours la dernière fois. Alors, regarde le ce mec là qui dort encore. Regarde le, parce que peut-être bien qu'il n'est pas meilleur danseur que toi. Lui aussi il fuit. Lui aussi il ne connait que le tango pour échapper à son désert de solitude. Peut-être. Tu te rhabilles, tu pars. Sans un bruit, sans un regard. Tu rentres chez toi, t'arrêtes pour échanger quelques mots avec quelques échoués bien plus échoués que toi. Toujours à te comparer à la souffrance des autres pour trouver une nouvelle raison de te détester de te plaindre alors qu' "il y a pire". Il y a toujours pire. Mais est-ce une raison ? Tu te sens comme une donnée négligeable aux yeux des autres. Et si t'étais la seule à te négliger ? Vas-y rentre chez toi, retrouver ton lit bien trop grand et bien trop froid. Tu te joueras un tango en solitaire pour te donner l'impression que t'as besoin de personne. Que tu contrôles. Tu contrôles rien. T'essayes juste de t'en persuader pour ne pas trop sentir cette solitude qui te bouffe.Tu te tournes vers les autres pour ne surtout pas penser à toi. Ca te fait trop mal hein. Travail avec des jeunes mineurs isolés qui ont besoin de papiers, bénévolat avec des enfants hospitalisés à longue durée, maraudes de nuit pour donner à manger, manifestations pour le climat... Tu trouves même du temps pour les chats des rues. Mais alors pour toi ? Ne surtout pas repenser à ce mec là, on ne sait jamais, juste au cas où il aurait pu t'aimer. Ca fait trop peur.[/quote] j’aime beaucoup...
Marta012 Il y a 7 ans

Regarde le, regarde le ce mec qui dort juste à côté de toi. Il a l'air de dormir paisiblement alors que toi t'es là à ravaler ta bile en pensant à votre tango. T'as jamais aimé danser hein, mais t'as toujours aimé les danseurs. Cette impression de contrôle sur leur corps, ça te donne l'impression qu'ils contrôlent leur vie un peu. Et toi, tu contrôles rien. Toi, tu te perds continuellement dans ton océan de solitude. Toi, à force d'aimer tout le monde autour de toi, tu n'as plus gardé assez d'amour pour toi. Alors tu danses, la seule danse que tu connais, avec des inconnus de passage. Et lorsque les grands danseurs ne sont plus que des hommes endormis, lorsque les draps sont froissés et que la danse est finie, tu reprends peur. Tu te sens sale et humiliée ? C'est toi qui l'a voulu ce tango. C'est toi qui a voulu sentir que tu comptais un peu pour quelqu'un, rien qu'un moment, encore une fois, une dernière fois. C'est toujours la dernière fois.
Alors, regarde le ce mec là qui dort encore. Regarde le, parce que peut-être bien qu'il n'est pas meilleur danseur que toi. Lui aussi il fuit. Lui aussi il ne connait que le tango pour échapper à son désert de solitude. Peut-être. Tu te rhabilles, tu pars. Sans un bruit, sans un regard. Tu rentres chez toi, t'arrêtes pour échanger quelques mots avec quelques échoués bien plus échoués que toi. Toujours à te comparer à la souffrance des autres pour trouver une nouvelle raison de te détester de te plaindre alors qu' "il y a pire". Il y a toujours pire. Mais est-ce une raison ? Tu te sens comme une donnée négligeable aux yeux des autres. Et si t'étais la seule à te négliger ?
Vas-y rentre chez toi, retrouver ton lit bien trop grand et bien trop froid. Tu te joueras un tango en solitaire pour te donner l'impression que t'as besoin de personne. Que tu contrôles. Tu contrôles rien. T'essayes juste de t'en persuader pour ne pas trop sentir cette solitude qui te bouffe.Tu te tournes vers les autres pour ne surtout pas penser à toi. Ca te fait trop mal hein. Travail avec des jeunes mineurs isolés qui ont besoin de papiers, bénévolat avec des enfants hospitalisés à longue durée, maraudes de nuit pour donner à manger, manifestations pour le climat... Tu trouves même du temps pour les chats des rues. Mais alors pour toi ?
Ne surtout pas repenser à ce mec là, on ne sait jamais, juste au cas où il aurait pu t'aimer. Ca fait trop peur.
j’aime beaucoup...

Bonsoir/Bonjour, j'aimerai faire une courte présentation avant de publier mon petit poème assez inspiré de Saez : Je viens de Tahiti, Polynésie française...faut dire qu'ici, tu trouveras pas ses CDs mais j'me suis débrouillé pour en avoir (j'en ai 2 seulement...), je tiens à préciser que je ne suis pas un très grand poète (c'est mon premier, pour la bonne cause haha) donc, voilà, ouais, très courte cette présentation... PS : Oui, j'ai créé ce compte juste pour ce ''trésor''...en espérant pouvoir faire partie des frangins et frangines qui ont eu la chance d'écouter ces pépites. Voici ma contribution : Petit Prince : Dis-moi, veux-tu partir avec moi ? Tu seras ma reine et moi, moi je serai ton roi Allez, dis-moi...dis-moi que t'en as envie Je ferai tout pour toi, partons, je t'en supplie Prends ma main et partons au gré des proses Je serai le Petit Prince et toi tu seras ma Rose Je chérirai chacune de tes pétales Qu'elles puissent briller tel un millier d'étoiles Tu seras la seule fleur dans mon monde Ma rose, ma belle, mon paradis, ma tendre Nous chanterons qu'on est fou Mais restons simplement nous Nous serons cœurs infinis face au néant Nous serons la poésie des résistants Nous vivrons d'amour pour toujours De nuit en nuit, de jour en jour Pour toi je bâtirai un empire Juste pour ton sourire Je deviendrai soleil pour éclairer ton ciel Je te promet que la vie sera plus belle Alors viens ma Rose, mon amour Viens, partons pour toujours Toi qui fais battre mon coeur tambour Laisse-moi te montrer comme je t'aime mon amour.
Passager Clandestin Il y a 7 ans

Bonsoir/Bonjour, j'aimerai faire une courte présentation avant de publier mon petit poème assez inspiré de Saez :
Je viens de Tahiti, Polynésie française...faut dire qu'ici, tu trouveras pas ses CDs mais j'me suis débrouillé pour en avoir (j'en ai 2 seulement...), je tiens à préciser que je ne suis pas un très grand poète (c'est mon premier, pour la bonne cause haha) donc, voilà, ouais, très courte cette présentation...
PS : Oui, j'ai créé ce compte juste pour ce ''trésor''...en espérant pouvoir faire partie des frangins et frangines qui ont eu la chance d'écouter ces pépites.

Voici ma contribution :

Petit Prince :

Dis-moi, veux-tu partir avec moi ?
Tu seras ma reine et moi, moi je serai ton roi
Allez, dis-moi...dis-moi que t'en as envie
Je ferai tout pour toi, partons, je t'en supplie

Prends ma main et partons au gré des proses
Je serai le Petit Prince et toi tu seras ma Rose
Je chérirai chacune de tes pétales
Qu'elles puissent briller tel un millier d'étoiles

Tu seras la seule fleur dans mon monde
Ma rose, ma belle, mon paradis, ma tendre
Nous chanterons qu'on est fou
Mais restons simplement nous

Nous serons cœurs infinis face au néant
Nous serons la poésie des résistants
Nous vivrons d'amour pour toujours
De nuit en nuit, de jour en jour

Pour toi je bâtirai un empire
Juste pour ton sourire
Je deviendrai soleil pour éclairer ton ciel
Je te promet que la vie sera plus belle

Alors viens ma Rose, mon amour
Viens, partons pour toujours
Toi qui fais battre mon coeur tambour
Laisse-moi te montrer comme je t'aime mon amour.

Oups ... mais kest ce qui s'passe ... c'est le rush ? MDP envoyés jusqu'ici
AnonymeIl y a 7 ans

Oups ... mais kest ce qui s'passe ... c'est le rush ?
MDP envoyés jusqu'ici

Comme Lulu, j’ai beaucoup chialé L’absence de réciprocité. Combien d’heures, de jours Et de mois il me faudra Pour qu’elle s’éloigne de mes pensées Sans elle je ne me relève pas Et les levés du jour Sont loins des couchés de soleil Quand tu n’as pas sommeil. On n’a pas dansé de tango Avec elle c’était plutôt flamenco Et maintenant je suis le seul A danser mon solo Dans le salon qu’elle peignait Restait plus que les pots, les rouleaux Et les pinceaux qui desséchaient Pas comme les larmes sur ma gueule. [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Pierrotsanscolombine Il y a 7 ans

Comme Lulu, j’ai beaucoup chialé
L’absence de réciprocité.
Combien d’heures, de jours
Et de mois il me faudra
Pour qu’elle s’éloigne de mes pensées
Sans elle je ne me relève pas
Et les levés du jour
Sont loins des couchés de soleil
Quand tu n’as pas sommeil.

On n’a pas dansé de tango
Avec elle c’était plutôt flamenco
Et maintenant je suis le seul
A danser mon solo
Dans le salon qu’elle peignait
Restait plus que les pots, les rouleaux
Et les pinceaux qui desséchaient
Pas comme les larmes sur ma gueule.

Edit modération : mot de passe envoyé.

https://www.youtube.com/watch?v=Eq4Yu180PNY
AnonymeIl y a 7 ans


https://www.youtube.com/watch?v=Eq4Yu180PNY

Bonjour à tous, Je ne suis pas du tout à l'aise sur les forums et tout cela, mais je me lance pour vous faire partager un petit poème retrouvé (avec un grand plaisir) dans mon carnet de mes quinze ans ... le combat à cette époque était déjà pour l'Humain et les animaux notamment les cétacés d’où l'inspiration pour ce petit texte ! Puisque les chansons sont celles de la jeunesse de Damien ... cela me semblait approprié de vous proposer un texte de moi ... jeune ;o) (Pour tout vous dire, ça m'a fait chaud au cœur de me relire ... et mon regard est aujourd'hui plein de bienveillance par rapport à celle que j'étais ado et à la jeunesse en général ... cela me rappelle l'importance de préserver cette jeunesse et sa richesse... pas si innocente et anodine, pour la suite de la vie !) Voyage dans les cieux Sur la plage la nuit tombée Le petit homme scrutait la mer Loin des regards il espérait Qu’un jour il exaucerait son rêve Les yeux brillants, les joues mouillées Il leva les yeux vers les étoiles: C'est là que sa famille reposait Loin du mal et des massacres il entendit dans le lointain Un bruit qu'il ne connaissait pas Il regarda et vit un dauphin Qui nageait devant son regard Ses larmes séchèrent, ses lèvres sourirent Et le cœur battant, il plongea dans l'eau bleue Pendant un seconde, un instant unique L'enfant heureux crut voler dans les cieux Ils nagèrent ensemble, Loin, vers un horizon infini Oubliant leurs soucis, remerciant le destin Ou' leurs âmes réunies, suivaient le même chemin [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Maïder Il y a 7 ans

Bonjour à tous,

Je ne suis pas du tout à l'aise sur les forums et tout cela,
mais je me lance pour vous faire partager un petit poème retrouvé (avec un grand plaisir) dans mon carnet de mes quinze ans ... le combat à cette époque était déjà pour l'Humain et les animaux notamment les cétacés d’où l'inspiration pour ce petit texte !
Puisque les chansons sont celles de la jeunesse de Damien ...
cela me semblait approprié de vous proposer un texte de moi ... jeune ;o)
(Pour tout vous dire, ça m'a fait chaud au cœur de me relire ... et mon regard est aujourd'hui plein de bienveillance par rapport à celle que j'étais ado et à la jeunesse en général ...
cela me rappelle l'importance de préserver cette jeunesse et sa richesse...
pas si innocente et anodine, pour la suite de la vie !)

Voyage dans les cieux

Sur la plage la nuit tombée
Le petit homme scrutait la mer
Loin des regards il espérait
Qu’un jour il exaucerait son rêve

Les yeux brillants, les joues mouillées
Il leva les yeux vers les étoiles:
C'est là que sa famille reposait
Loin du mal et des massacres

il entendit dans le lointain
Un bruit qu'il ne connaissait pas
Il regarda et vit un dauphin
Qui nageait devant son regard

Ses larmes séchèrent, ses lèvres sourirent
Et le cœur battant, il plongea dans l'eau bleue
Pendant un seconde, un instant unique
L'enfant heureux crut voler dans les cieux

Ils nagèrent ensemble,
Loin, vers un horizon infini
Oubliant leurs soucis, remerciant le destin
Ou' leurs âmes réunies, suivaient le même chemin

Edit modération : mot de passe envoyé.

Je suis curieuse de pouvoir écouter ces inédites que Méduse partage gentillement , je n'écris plus depuis longtemps soyez donc indulgents . L'éphémère gravée aux creux des reins, nue sur ce chemin, je t'en prie accorde moi une dance qui cristalisera toutes espérances. Âme damnée qui erre, fleur opaline flottant dans les airs qui appel au secours mais il n'y a plus de recours. Toi lueur de mes nuits, je ne sais si je te fuis mais tant de fois j'y ai cru jusqu'à en être perdue. Plaintes ritournelles, mon amour Te sera éternel.
Luelsya Il y a 7 ans

Je suis curieuse de pouvoir écouter ces inédites que Méduse partage gentillement , je n'écris plus depuis longtemps soyez donc indulgents . L'éphémère gravée aux creux des reins, nue sur ce chemin, je t'en prie accorde moi une dance qui cristalisera toutes espérances. Âme damnée qui erre, fleur opaline flottant dans les airs qui appel au secours mais il n'y a plus de recours. Toi lueur de mes nuits, je ne sais si je te fuis mais tant de fois j'y ai cru jusqu'à en être perdue. Plaintes ritournelles, mon amour Te sera éternel.

Nous ne sommes pas là pour juger. Juste partager. MDP envoyé
AnonymeIl y a 7 ans

Nous ne sommes pas là pour juger.
Juste partager.


MDP envoyé

Ce n'est pas un poème mais j'espère que ça fera l'affaire même si c'est court. Pour ce mois de novembre qui m'ajoute une pige chaque année. "Un nouvel automne vient de frapper à notre porte les amis et moi j'aime pas l'automne. Parce que l'été et ses belles robes nous quitte et surtout cette période sonne un peu plus comme l'érosion de ma jeunesse chiffrée. Oui ce début novembre et l'approche de mon anniversaire qui est mien, où chaque année année nostalgie s'empresse de me rappeler ce bon vieux temps qui se disperse au derrière de moi. Celui des cours de récré où l'on entend encore la sonnerie de l'école, celle que l'on fuyait pourtant quand on préférait querelles et marelles avec les copains. Ce temps qui se joue de nous, qui nous tabasse puis nous embrasse." [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Drive_Me Il y a 7 ans

Ce n'est pas un poème mais j'espère que ça fera l'affaire même si c'est court.
Pour ce mois de novembre qui m'ajoute une pige chaque année.

"Un nouvel automne vient de frapper à notre porte les amis et moi j'aime pas l'automne. Parce que l'été et ses belles robes nous quitte et surtout cette période sonne un peu plus comme l'érosion de ma jeunesse chiffrée.
Oui ce début novembre et l'approche de mon anniversaire qui est mien, où chaque année année nostalgie s'empresse de me rappeler ce bon vieux temps qui se disperse au derrière de moi. Celui des cours de récré où l'on entend encore la sonnerie de l'école, celle que l'on fuyait pourtant quand on préférait querelles et marelles avec les copains. Ce temps qui se joue de nous, qui nous tabasse puis nous embrasse."

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- Jalousie - Et j'avais déjà joui de nos après-midis Amoureux de ces heures amoureux de ces nuits De tes yeux qui se plantent dans les cimes d'acacias De ta peine qui dans l'ombre ne voyait pas mes bras. Me susurrant enfin son prénom nasillard Dans un élan de haine où la pupille se noie Es-tu pour lui mon ange ce que je suis pour toi Le fou, le fou des coeurs, le fou mais pas le Roi ?
Sym Il y a 7 ans

- Jalousie -

Et j'avais déjà joui de nos après-midis
Amoureux de ces heures amoureux de ces nuits
De tes yeux qui se plantent dans les cimes d'acacias
De ta peine qui dans l'ombre ne voyait pas mes bras.

Me susurrant enfin son prénom nasillard
Dans un élan de haine où la pupille se noie
Es-tu pour lui mon ange ce que je suis pour toi
Le fou, le fou des coeurs, le fou mais pas le Roi ?

Bonjour à tous, je suis comme vous, je tente ma chance pour pouvoir accéder aux inédites de notre ami Saez, je vous propose donc 2 sortes de textes/poèmes, écrit lorsque j’avais 16 ans dans mes notes de mon ancien téléphone, juste après une dure rupture amoureuse... Je n’ai jamais été très fort pour exprimer ce que je ressentais, ni même pour l’ecrire, donc soyez indulgents s’il vous plait... (Désolé des fautes au passage.) J’ai ce coeur qui ne fait que noircir, Et cette haine qui ne fait que s’endurcir, J’aurai vendu mon âme au diable juste pour ton sourire, Mais toi comme une conne tu as préférée partir, Me laissant là, Dans un pitoyable état, J’aimerai te demander « pourquoi ? » Mais il n’y a aucune réponse je crois, Et toi tu m’a fait espérer, Et comme un con je t’écoutais, Sans savoir que j’allais me planter, J’aimerai tout recommencer, Mais je crois bien que tout est foutu, J’ai ce coeur qui ne bat plus, Oui tu m’a bien entendu, Je suis bel et bien perdu, Alors je me défonce, Je m’enfonce, Le cœur plongé dans les ronces, En attendant une réponse, Depuis ton départ je ne suis plus le même, J’ai demandé au temps une seconde chance tout de même, Depuis que la drogue a prit possession de mes pensées, Je n’ai plus qu’une seule envie, c’est de sauter... Ptitmort. Et le second... plus court : T’es parvenu à me laisser sur l’cul, Mais tout ce que je retiens, C’est que t’es pas revenue, Un jour peut-être au beau matin, T’iras voir un autre que moi, Tu seras heureuse de le voir tous les mois, Avec lui il n’y aura aucune loi, Mais jamais tu m’oublieras, moi, Moi, que l’on surnomme Ptitmort, Parce que par la mort je suis condamné, À une triste vie sans aimé, Son prochain avant sa mort, La douleur n’est pas physique, Elle est mental, Elle te nique, Jusqu’à ce que ça fasse mal... Ptitmort.
Ptitmort Il y a 7 ans

Bonjour à tous, je suis comme vous, je tente ma chance pour pouvoir accéder aux inédites de notre ami Saez, je vous propose donc 2 sortes de textes/poèmes, écrit lorsque j’avais 16 ans dans mes notes de mon ancien téléphone, juste après une dure rupture amoureuse... Je n’ai jamais été très fort pour exprimer ce que je ressentais, ni même pour l’ecrire, donc soyez indulgents s’il vous plait...
(Désolé des fautes au passage.)

J’ai ce coeur qui ne fait que noircir,
Et cette haine qui ne fait que s’endurcir,
J’aurai vendu mon âme au diable juste pour ton sourire,
Mais toi comme une conne tu as préférée partir,

Me laissant là,
Dans un pitoyable état,
J’aimerai te demander « pourquoi ? »
Mais il n’y a aucune réponse je crois,

Et toi tu m’a fait espérer,
Et comme un con je t’écoutais,
Sans savoir que j’allais me planter,
J’aimerai tout recommencer,

Mais je crois bien que tout est foutu,
J’ai ce coeur qui ne bat plus,
Oui tu m’a bien entendu,
Je suis bel et bien perdu,

Alors je me défonce,
Je m’enfonce,
Le cœur plongé dans les ronces,
En attendant une réponse,

Depuis ton départ je ne suis plus le même,
J’ai demandé au temps une seconde chance tout de même,
Depuis que la drogue a prit possession de mes pensées,
Je n’ai plus qu’une seule envie, c’est de sauter...
Ptitmort.

Et le second... plus court :

T’es parvenu à me laisser sur l’cul,
Mais tout ce que je retiens,
C’est que t’es pas revenue,
Un jour peut-être au beau matin,
T’iras voir un autre que moi,
Tu seras heureuse de le voir tous les mois,
Avec lui il n’y aura aucune loi,
Mais jamais tu m’oublieras, moi,
Moi, que l’on surnomme Ptitmort,
Parce que par la mort je suis condamné,
À une triste vie sans aimé,
Son prochain avant sa mort,
La douleur n’est pas physique,
Elle est mental,
Elle te nique,
Jusqu’à ce que ça fasse mal...
Ptitmort.

2h ? mais que font les modos ... #fauttoutfairesoismême ;-)
AnonymeIl y a 7 ans

2h ? mais que font les modos ...
#fauttoutfairesoismême

Bonsoir à tous, je souhaiterai également m'essayer au jeu poétique. :) Tu marches depuis tant d’années, Les yeux fixés sur tes pensées (cf. V. Hugo), Tu ne sais même plus si tu es dedans ou dehors, Ni même à quoi peut ressembler ton corps, S’il existe bien des reflets, seule ta silhouette y est esquissée, Il ne reste que ce regard froid et distant, dévoilant juste une âme plombée d’épuisement, Tu as pris la route pour rejoindre Morphée, Un chemin paisible que tu as l’habitude de suivre, Depuis ta naissance jusqu’à ce que tu te livres, Mais là tu n’y as croisé que des astres enflammés, Aucun signe de vie, même pas celui de ton amie, Elle qui t’a tant bercé, t’a laissé tomber, Tu arpentes seul la nuit, à la recherche d’une âme qui luit, Que te permettra de te reposer, mais en vain, elle s’est barrée. Alors, en main le stylo, tu deviens Thoreau, Au bord du lac Walden, tu vis tes peines, A l’abri du vacarme, tu t’échappes du sarcasme, Des villes sans lumières qui n’éclairent que les chemins cimetières, Tu t’allonges dans les près, bordés de coquelicots et d’œillets, Pour ressentir l’amour qui est en toi depuis toujours, Pour échapper à l’aliénation qui va bon train sans concession, Sur les bords du rivage, tu contemples les naufrages, De ceux là qui se débattent, avant de goûter l’asphalte. De là les temps modernes, te paraissent bien ternes, Tu récupères les échoués, pour les remettre sur pieds, Grace à la douceur des mots, qui atténuent leurs sanglots, Tu n’as rien que tes verbes, pour alimenter leurs veines. Équipé d’un sac à dos, tu traverses les monts, les ruisseaux, Et quand tout va mal tu ris, pendant que certains prient, Pour échapper à leurs souffrances, sans un esprit de méfiance, Alors, quand le ciel s’embrase, il ne reste plus que tes phrases, Pour te sortir des ténèbres, que dans tes veines coule la sève, L’écume de tes nuits, que tes chimères prennent vie, A l’intérieur de ton antre, que tes tripes s’échappent de ton ventre, Avant qu’elles nécrosent, pour t’éviter une névrose. C’est l’âme scarifiée, le visage éreinté, Que tu quittes ce linceul, rallumant ton brûle-gueule, Pour des siècles d’errances, nourrissant ton esprit plutôt que ta panse, C’est en toile de fond, que s’égosillent les cons, Qu’importe leur nombre, ils se perdent dans la pénombre. [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Didiwa Il y a 7 ans

Bonsoir à tous, je souhaiterai également m'essayer au jeu poétique.


Tu marches depuis tant d’années,
Les yeux fixés sur tes pensées (cf. V. Hugo),
Tu ne sais même plus si tu es dedans ou dehors,
Ni même à quoi peut ressembler ton corps,
S’il existe bien des reflets, seule ta silhouette y est esquissée,
Il ne reste que ce regard froid et distant, dévoilant juste une âme plombée d’épuisement,
Tu as pris la route pour rejoindre Morphée,
Un chemin paisible que tu as l’habitude de suivre,
Depuis ta naissance jusqu’à ce que tu te livres,
Mais là tu n’y as croisé que des astres enflammés,
Aucun signe de vie, même pas celui de ton amie,
Elle qui t’a tant bercé, t’a laissé tomber,
Tu arpentes seul la nuit, à la recherche d’une âme qui luit,
Que te permettra de te reposer, mais en vain, elle s’est barrée.
Alors, en main le stylo, tu deviens Thoreau,
Au bord du lac Walden, tu vis tes peines,
A l’abri du vacarme, tu t’échappes du sarcasme,
Des villes sans lumières qui n’éclairent que les chemins cimetières,
Tu t’allonges dans les près, bordés de coquelicots et d’œillets,
Pour ressentir l’amour qui est en toi depuis toujours,
Pour échapper à l’aliénation qui va bon train sans concession,
Sur les bords du rivage, tu contemples les naufrages,
De ceux là qui se débattent, avant de goûter l’asphalte.
De là les temps modernes, te paraissent bien ternes,
Tu récupères les échoués, pour les remettre sur pieds,
Grace à la douceur des mots, qui atténuent leurs sanglots,
Tu n’as rien que tes verbes, pour alimenter leurs veines.
Équipé d’un sac à dos, tu traverses les monts, les ruisseaux,
Et quand tout va mal tu ris, pendant que certains prient,
Pour échapper à leurs souffrances, sans un esprit de méfiance,
Alors, quand le ciel s’embrase, il ne reste plus que tes phrases,
Pour te sortir des ténèbres, que dans tes veines coule la sève,
L’écume de tes nuits, que tes chimères prennent vie,
A l’intérieur de ton antre, que tes tripes s’échappent de ton ventre,
Avant qu’elles nécrosent, pour t’éviter une névrose.
C’est l’âme scarifiée, le visage éreinté,
Que tu quittes ce linceul, rallumant ton brûle-gueule,
Pour des siècles d’errances, nourrissant ton esprit plutôt que ta panse,
C’est en toile de fond, que s’égosillent les cons,
Qu’importe leur nombre, ils se perdent dans la pénombre.

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Bonjour !! Bon je m'essaie aussi à l'écriture. C'est vraiment loin d'être parfait (ça doit remonter au lycée la dernière fois que j'ai écris quelque chose) mais j'ai profiter de cette occasion pour essayer de poser un petit bout de ma vie (sans aucune prétention) : La vie… la vie est un livre A toi de choisir Ce que tu souhaites lire Mais moi… mais moi je ne pense qu’à être ivre Pendant que d’autres ne souhaite être ivre… que de toi Bien-sûr il y a son sourire Qui marche tous les jours avec moi Mais moi je ne cesse de penser qu’au jour Où ne nous serons plus que des souvenirs L’un et l’autre loin de soi Oui je sais qu’un jour, ce ne sera plus mon tour D’être dans tes bras. Moi, moi j’y peux rien si je suis sombre Je ne pense qu’au jour on nous nous retrouverons dans la tombe C’est vrai je ne crois pas en Dieu Tous ces idiots qui pensent être pieux Bien-sûr qu’ils sont malheureux Il faut voir la peine dans leurs yeux Et puis il y a toi… Toi qui m’accompagnais chaque jour dans ma peine Il n’a fallu qu’un instant pour que j’apprenne Que la vie a sa propre loi Toi à qui je pouvais me confier Toi qui supportais mon désarroi Quand Elle ne voulait plus de moi Je sais que toi tu étais là Bien-sûr il n’y avait pas d’amour entre nous deux Mais moi sans toi je suis malheureux Ma vie et mon humeur ont basculées Le jour où ce putain d’destin nous a séparés. La vie peut aussi être belle Même si j’ai dû mal à vivre sans elles Mais moi, moi j’y peux rien si je suis sombre Je ne pense qu’au jour on nous nous retrouverons dans la tombe C’est vrai je ne crois pas en Dieu Tous ces idiots qui pensent être pieux Bien-sûr qu’ils sont malheureux Il faut voir la peine dans mes yeux… [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Un ami du Havre Il y a 7 ans

Bonjour !! Bon je m'essaie aussi à l'écriture. C'est vraiment loin d'être parfait (ça doit remonter au lycée la dernière fois que j'ai écris quelque chose) mais j'ai profiter de cette occasion pour essayer de poser un petit bout de ma vie (sans aucune prétention) :

La vie… la vie est un livre
A toi de choisir
Ce que tu souhaites lire
Mais moi… mais moi je ne pense qu’à être ivre
Pendant que d’autres ne souhaite être ivre… que de toi
Bien-sûr il y a son sourire
Qui marche tous les jours avec moi
Mais moi je ne cesse de penser qu’au jour
Où ne nous serons plus que des souvenirs
L’un et l’autre loin de soi
Oui je sais qu’un jour, ce ne sera plus mon tour
D’être dans tes bras.

Moi, moi j’y peux rien si je suis sombre
Je ne pense qu’au jour on nous nous retrouverons dans la tombe
C’est vrai je ne crois pas en Dieu
Tous ces idiots qui pensent être pieux
Bien-sûr qu’ils sont malheureux
Il faut voir la peine dans leurs yeux

Et puis il y a toi…
Toi qui m’accompagnais chaque jour dans ma peine
Il n’a fallu qu’un instant pour que j’apprenne
Que la vie a sa propre loi
Toi à qui je pouvais me confier
Toi qui supportais mon désarroi
Quand Elle ne voulait plus de moi
Je sais que toi tu étais là
Bien-sûr il n’y avait pas d’amour entre nous deux
Mais moi sans toi je suis malheureux
Ma vie et mon humeur ont basculées
Le jour où ce putain d’destin nous a séparés.

La vie peut aussi être belle
Même si j’ai dû mal à vivre sans elles
Mais moi, moi j’y peux rien si je suis sombre
Je ne pense qu’au jour on nous nous retrouverons dans la tombe
C’est vrai je ne crois pas en Dieu
Tous ces idiots qui pensent être pieux
Bien-sûr qu’ils sont malheureux
Il faut voir la peine dans mes yeux…

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tout ton art est uni vers elle, la conscience qui nous relie, c'est l'amour et la poésie, Tes mots naissent puis deviennent éternels. tu es l'alchimiste du verbe, ta musique est comme un coeur qui bat, c'est la perfection du brin d'herbe, un message qui t'élève d'ici bas c'est ton âme qu'on entend ton âme d'alchimiste conscient. [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
NaTLi Il y a 7 ans

tout ton art est uni vers elle,
la conscience qui nous relie,
c'est l'amour et la poésie,
Tes mots naissent puis deviennent éternels.

tu es l'alchimiste du verbe,
ta musique est comme un coeur qui bat,
c'est la perfection du brin d'herbe,
un message qui t'élève d'ici bas

c'est ton âme qu'on entend
ton âme d'alchimiste conscient.

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- Sthéno espère - Je te connais, toi qui choisis de trainer tes lourdes guêtres sur les chemins boueux de mots qui taillent. C’est au bord du précipice, attiré par le vide morbide d’un néant prometteur que tu te sens vivant. Mieux vaut encore une souffrance déchirante à la contemplation désuète d’un monde merveilleusement imparfait. Je te connais, toi qui a besoin de lutter pour sentir, encore un peu, le souffle de la vie irriguer tes muscles et ton cœur. Chaque jour plus rabougri, misérable et sec, tu voues un culte au dieu Quichotte, enchanté de sa lune terne. Tu t’illusionnes d’un pouvoir gargarisant, chimère sublime de tout ce que tu ne seras jamais. Je te connais, adorateur d’un Damien écorché qui croit encore, malgré les années, que scander de belles paroles mène à la rédemption. Tu te nourris de mots qui heurtent, de mots qui coupent ta gorge à vif. Adepte du sel sur la plaie, tu la regardes suppurer : ainsi donc, j’existe. « J’en chie donc je suis ! » aurait dit le jeune philosophe avant de grandir, avant de comprendre… ...Avant de comprendre qu’une vie est une fin en soi, avant de comprendre que chaque instant est un miracle, avant de comprendre que la paix est une victoire. Je t’aime avec tristesse, toi qui refuses la résignation tranquille de celui qui ne cherche plus a laisser sa trace. Tu pourrais pourtant faire d’autres choix. Écouter avec douceur les gens qui te portent, comme un oiseau blessé, au fond de leur cœur. Gouter le miel de jours pour que chaque instant porte un parfum de butineuses joviales. Comprendre que c’est toi le miracle. Rien de plus beau ne sortira de tout cela, car c'est toi le sens de la vie. Je t’aime avec tristesse, toi qui paies la double peine de ta condition mortelle. Ton temps limité, rien ne t’oblige à le gâcher dans des attentes stériles, des regrets surannés, le refus de ta condition limitée. Dépose ton fardeau et regarde le monde d’un œil paisible : les couleurs de l’automne, la fraicheur d’un matin clair, la crème de marrons... Ne vois-tu pas qu’une belle vie, ce n’est que cela ? Prendre chaque seconde avec courage et en faire des phares face aux naufrages. La mélancolie n’est pas une preuve de grandeur ; c’est une abdication; une renonciation à la simple joie d'être ce que tu es. Je t’aime avec tristesse, toi qui ouvrira un jour les bras, vulnérable et fier, à la quiétude de lendemains incertains ; toi qui auras déposé les armes ; toi qui auras séché les larmes. Il n’y a pas d’urgence, va à ton rythme : j’ai tout mon temps. Moi, je suis celle qui était, qui est et qui restera. Lorsque tu ne seras plus, je continuerai à me souvenir de toi : celui qui jamais n’accepta la joie simple de n’être qu’un homme et qui se refusa, dans sa soif d’absolu, la source d’un quotidien serein.
AnonymeIl y a 7 ans

- Sthéno espère -

Je te connais, toi qui choisis de trainer tes lourdes guêtres sur les chemins boueux de mots qui taillent. C’est au bord du précipice, attiré par le vide morbide d’un néant prometteur que tu te sens vivant. Mieux vaut encore une souffrance déchirante à la contemplation désuète d’un monde merveilleusement imparfait.

Je te connais, toi qui a besoin de lutter pour sentir, encore un peu, le souffle de la vie irriguer tes muscles et ton cœur. Chaque jour plus rabougri, misérable et sec, tu voues un culte au dieu Quichotte, enchanté de sa lune terne. Tu t’illusionnes d’un pouvoir gargarisant, chimère sublime de tout ce que tu ne seras jamais.

Je te connais, adorateur d’un Damien écorché qui croit encore, malgré les années, que scander de belles paroles mène à la rédemption. Tu te nourris de mots qui heurtent, de mots qui coupent ta gorge à vif. Adepte du sel sur la plaie, tu la regardes suppurer : ainsi donc, j’existe. « J’en chie donc je suis ! » aurait dit le jeune philosophe avant de grandir, avant de comprendre…

...Avant de comprendre qu’une vie est une fin en soi, avant de comprendre que chaque instant est un miracle, avant de comprendre que la paix est une victoire.

Je t’aime avec tristesse, toi qui refuses la résignation tranquille de celui qui ne cherche plus a laisser sa trace. Tu pourrais pourtant faire d’autres choix. Écouter avec douceur les gens qui te portent, comme un oiseau blessé, au fond de leur cœur. Gouter le miel de jours pour que chaque instant porte un parfum de butineuses joviales. Comprendre que c’est toi le miracle. Rien de plus beau ne sortira de tout cela, car c'est toi le sens de la vie.

Je t’aime avec tristesse, toi qui paies la double peine de ta condition mortelle. Ton temps limité, rien ne t’oblige à le gâcher dans des attentes stériles, des regrets surannés, le refus de ta condition limitée. Dépose ton fardeau et regarde le monde d’un œil paisible : les couleurs de l’automne, la fraicheur d’un matin clair, la crème de marrons... Ne vois-tu pas qu’une belle vie, ce n’est que cela ? Prendre chaque seconde avec courage et en faire des phares face aux naufrages.

La mélancolie n’est pas une preuve de grandeur ; c’est une abdication; une renonciation à la simple joie d'être ce que tu es.

Je t’aime avec tristesse, toi qui ouvrira un jour les bras, vulnérable et fier, à la quiétude de lendemains incertains ; toi qui auras déposé les armes ; toi qui auras séché les larmes. Il n’y a pas d’urgence, va à ton rythme : j’ai tout mon temps. Moi, je suis celle qui était, qui est et qui restera. Lorsque tu ne seras plus, je continuerai à me souvenir de toi : celui qui jamais n’accepta la joie simple de n’être qu’un homme et qui se refusa, dans sa soif d’absolu, la source d’un quotidien serein.

Je vais vite demander aux modos de te donner le mots de passe Meduse ! ;) Très très belle plume, c'est vraiment beau.
Nulie Il y a 7 ans

Je vais vite demander aux modos de te donner le mots de passe Meduse !

Très très belle plume, c'est vraiment beau.

Voilà ma contribution. Petit extrait d'un roman que je suis en train d'écrire et qui résume plutôt bien ma pensée. Elle s'isole dans la salle de bains, se déshabille. Jette ses vêtements. Il y a trop d'horreurs accrochés à leurs fibres. Le jet de la douche peine à purifier son corps et son âme. Ils sont blessés. Meurtris. Par la folie des hommes. Par la mort qu'ils propagent au nom d'idéaux ridicules ou de dieux pacifistes qui n'ont jamais prôné de faire de mal à son prochain. Elle reste là, sous l'eau qui coule. Longtemps. Des larmes ravagent à nouveau son visage. Comment vivre dans ce monde ? Comment supporter tout cela ? Comment faire comprendre à tous les extrémistes qu'une autre voie est possible ? Elle a rêvé que c'était possible. Elle en doute aujourd'hui. Pourquoi s'évertuer à sauver la vie quand on voit ce que l'humanité en fait ? Comment croire qu'il y a encore du bon ? Des gens prêts à faire le bien ? À respecter la Terre et ses habitants ? Pourquoi croire encore ? L'utopie et l'espoir sont vains. Écrasés par la folie des hommes. Aux quatre coins du monde. Le terrorisme est partout. Demain, personne ne parlera de ces enfants, de ces femmes et de ces hommes morts dans ce pays sinistré. Un autre attentat dans un pays riche fera la une des journaux. Pourquoi certaines vies valent mieux que d'autres ? Bien sûr, ici, les habitants les pleureront. Mais cela n'ira pas plus loin. Il n'y aura pas de prières pour eux au-delà des murs de Kaboul. Même elle n'en fera pas pour eux. Pourquoi s'adresser à des dieux auxquels elle ne croit pas ? Des dieux au nom desquels les autres tuent ? Ses sanglots épuisés, elle sort de la douche. L'eau y était froide depuis longtemps. Elle sèche son corps tandis que son cœur continue de saigner. Elle s'habille. Couvre ses épaules, ses bras, ses jambes. Par déférence pour les victimes. Même si la température est étouffante. Comme une automate, elle essaie de reprendre sa vie. D'y retrouver un sens. Ce ne sera pas pour aujourd'hui. [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Poledra Il y a 7 ans

Voilà ma contribution. Petit extrait d'un roman que je suis en train d'écrire et qui résume plutôt bien ma pensée.



Elle s'isole dans la salle de bains, se déshabille. Jette ses vêtements. Il y a trop d'horreurs accrochés à leurs fibres.
Le jet de la douche peine à purifier son corps et son âme. Ils sont blessés. Meurtris. Par la folie des hommes. Par la mort qu'ils propagent au nom d'idéaux ridicules ou de dieux pacifistes qui n'ont jamais prôné de faire de mal à son prochain.
Elle reste là, sous l'eau qui coule. Longtemps.
Des larmes ravagent à nouveau son visage.
Comment vivre dans ce monde ? Comment supporter tout cela ? Comment faire comprendre à tous les extrémistes qu'une autre voie est possible ?
Elle a rêvé que c'était possible. Elle en doute aujourd'hui.
Pourquoi s'évertuer à sauver la vie quand on voit ce que l'humanité en fait ? Comment croire qu'il y a encore du bon ? Des gens prêts à faire le bien ? À respecter la Terre et ses habitants ?
Pourquoi croire encore ?
L'utopie et l'espoir sont vains. Écrasés par la folie des hommes. Aux quatre coins du monde.
Le terrorisme est partout. Demain, personne ne parlera de ces enfants, de ces femmes et de ces hommes morts dans ce pays sinistré. Un autre attentat dans un pays riche fera la une des journaux. Pourquoi certaines vies valent mieux que d'autres ?
Bien sûr, ici, les habitants les pleureront. Mais cela n'ira pas plus loin.
Il n'y aura pas de prières pour eux au-delà des murs de Kaboul.
Même elle n'en fera pas pour eux. Pourquoi s'adresser à des dieux auxquels elle ne croit pas ? Des dieux au nom desquels les autres tuent ?
Ses sanglots épuisés, elle sort de la douche. L'eau y était froide depuis longtemps. Elle sèche son corps tandis que son cœur continue de saigner.
Elle s'habille. Couvre ses épaules, ses bras, ses jambes.
Par déférence pour les victimes.
Même si la température est étouffante.
Comme une automate, elle essaie de reprendre sa vie. D'y retrouver un sens. Ce ne sera pas pour aujourd'hui.

Edit modération : mot de passe envoyé.

Voici ma contribution. Il s'agit juste en fait de ma réponse sur un groupe privé, suggérée par la publication d'une chanson, illustrée d'un texte. Voici ma réflexion sur ce texte "Oui, une humanité déshumanisée, c'est tout à fait ça. Donner un prix pour tout a convaincu le monde que tout s'achète, et l'a éloigné de ses valeurs fondamentales. Quelle tristesse de voir cette cupidité égoïste ronger cette société, dans une course au profit sans ligne d'arrivée. Une course perpétuelle, qui n'a pas de fin, qui ne s'arrête jamais. Elle nous amène à bout de souffle (tiens, je n'ai pas fais exprès), nous exténuant dans un quotidien suffoquant, et sans but. Un quotidien où il faut réapprendre ces valeurs simples de fraternité, de partage, d'entraide, d'écoute, de sincérité, .... Je crois que ces valeurs se perdent, mais ne se sont pas éteintes. Juste les réapprendre Mais comme tout sens à la vie, il y a toujours un espoir qui illumine une porte de sortie même dans les plus noires des situations" [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
YAB Il y a 7 ans

Voici ma contribution. Il s'agit juste en fait de ma réponse sur un groupe privé, suggérée par la publication d'une chanson, illustrée d'un texte. Voici ma réflexion sur ce texte

"Oui, une humanité déshumanisée, c'est tout à fait ça.
Donner un prix pour tout a convaincu le monde que tout s'achète, et l'a éloigné de ses valeurs fondamentales. Quelle tristesse de voir cette cupidité égoïste ronger cette société, dans une course au profit sans ligne d'arrivée. Une course perpétuelle, qui n'a pas de fin, qui ne s'arrête jamais. Elle nous amène à bout de souffle (tiens, je n'ai pas fais exprès), nous exténuant dans un quotidien suffoquant, et sans but. Un quotidien où il faut réapprendre ces valeurs simples de fraternité, de partage, d'entraide, d'écoute, de sincérité, .... Je crois que ces valeurs se perdent, mais ne se sont pas éteintes. Juste les réapprendre

Mais comme tout sens à la vie, il y a toujours un espoir qui illumine une porte de sortie même dans les plus noires des situations"

Edit modération : mot de passe envoyé.

Souvenir du 21 et 22 avril 2017 : Ces deux jours à venir je ne suis là pour personne... En ces Jours étranges, je Monte là haut sur Paris et quitte mon Château de brume sans mon Tricycle jaune ou ma Cadillac noire, et ce pour rejoindre le Peuple manifestant, retrouver l'Oiseau liberté, Rue d'la soif et l'Humaniste de Châtillon sur Seine avec l'espoir de Sauver cette étoile. Bonnie, Marie ou Maryline, la Marguerite, Lula, Alice, Kasia, Betty, Debbie et Pierrot seront là tout comme Mon Européenne, Les Magnifiques, Les Infidèles et Les meurtrières. Jeune et con, vieux et fou, Fils de France, frangines, frangins, nous Tous les gamins du monde nous serons une nouvelle fois, cette Jeunesse qui se lève, Menacés mais libres, malgré Des Marées d'écume à nos yeux. Tout est noir dans ce pays en perdition, Autour de nous les fous et Ceux qui sont en laisse. Mais en cette Fin des mondes, En Bords de Seine, nous, bien qu'Usés et Cherchant encore, nous continuerons d'y croire à cette putain de magie des rencontres...
kafar33 Il y a 7 ans

Souvenir du 21 et 22 avril 2017 :
Ces deux jours à venir je ne suis là pour personne...
En ces Jours étranges, je Monte là haut sur Paris et quitte mon Château de brume sans mon Tricycle jaune ou ma Cadillac noire, et ce pour rejoindre le Peuple manifestant, retrouver l'Oiseau liberté, Rue d'la soif et l'Humaniste de Châtillon sur Seine avec l'espoir de Sauver cette étoile.
Bonnie, Marie ou Maryline, la Marguerite, Lula, Alice, Kasia, Betty, Debbie et Pierrot seront là tout comme Mon Européenne, Les Magnifiques, Les Infidèles et Les meurtrières.
Jeune et con, vieux et fou, Fils de France, frangines, frangins, nous Tous les gamins du monde nous serons une nouvelle fois, cette Jeunesse qui se lève, Menacés mais libres, malgré Des Marées d'écume à nos yeux.
Tout est noir dans ce pays en perdition, Autour de nous les fous et Ceux qui sont en laisse.
Mais en cette Fin des mondes, En Bords de Seine, nous, bien qu'Usés et Cherchant encore, nous continuerons d'y croire à cette putain de magie des rencontres...

:-) Ca change des contributions en MP qui me vexent un peu en ce moment ... de la confiture au cochon dîtes vous ? Nan ... allez Méduse, résiste à la médisance !!!! Ils ont juste pas compris qu'on veut construire une cathédrale ... (MP envoyé)
AnonymeIl y a 7 ans



Ca change des contributions en MP qui me vexent un peu en ce moment ...
de la confiture au cochon dîtes vous ?
Nan ... allez Méduse, résiste à la médisance !!!!
Ils ont juste pas compris qu'on veut construire une cathédrale ...

(MP envoyé)

l'amour et les saisons l'hiver ...quand tu rentre chez toi tu ouvre les volet l,hiver tu recherche le soleil l,hiver tu recherches la chaleur enroulé dans ta couette a coté du radiateur tu regarde par la fenêtre en pensant a l,été l'hiver tu ouvre tes volet pour un peu de lumière que le soleil caresse ton visage de manière éphémère tu envis l,été oui le froid c'est l'enfer mais l'été, tu fais quoi l'été ? tu rentre chez toi et tu ferme les volet l'été tu te plais sous l'eau froide en pensant a hiver l'été tu fuis le soleil et maudit la chaleur l'été tu regarde plus par la fenêtre oui les volet son fèrmé c'est comme l'amour au fond les saisons quand on est deux on envies solitude on ce sent enfèrmé et quand tu es seul tes volet sont fèrmé tu regarde par le fenetre en envient le passé tu regarde par la fenètre en regardant les saisons passé on ce rend compte de tout que quand le temps a passé [i]Edit modération : mot de passe envoyé.[/i]
Gilbert Il y a 7 ans

l'amour et les saisons
l'hiver ...quand tu rentre chez toi tu ouvre les volet l,hiver
tu recherche le soleil l,hiver tu recherches la chaleur
enroulé dans ta couette a coté du radiateur
tu regarde par la fenêtre en pensant a l,été l'hiver
tu ouvre tes volet pour un peu de lumière
que le soleil caresse ton visage de manière éphémère
tu envis l,été oui le froid c'est l'enfer
mais l'été, tu fais quoi l'été ?
tu rentre chez toi et tu ferme les volet l'été
tu te plais sous l'eau froide en pensant a hiver l'été
tu fuis le soleil et maudit la chaleur l'été
tu regarde plus par la fenêtre oui les volet son fèrmé
c'est comme l'amour au fond les saisons
quand on est deux on envies solitude on ce sent enfèrmé
et quand tu es seul tes volet sont fèrmé
tu regarde par le fenetre en envient le passé
tu regarde par la fenètre en regardant les saisons passé
on ce rend compte de tout que quand le temps a passé

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