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Bonjour,
j'étais au dôme samedi dernier j'aimerais retrouver plusieurs phrases que damien a projeté:
une sur la croyance qui est plus ou moins " la croyances est la mort de la pensée"
ainsi que les autres.
De même quelqu'un serait il ou trouver (facilement) l'extrait des misérables que damien a lu ?
[quote="AMC2710"]j'étais au dôme samedi dernier j'aimerais retrouver plusieurs phrases que damien a projeté:
une sur la croyance qui est plus ou moins " la croyances est la mort de la pensée"
ainsi que les autres.[/quote] Pendant l'entracte, c'est le texte "nous, citoyens..." qui est diffusé. Il est dispo ici : http://www.culturecontreculture.fr/les_ruisseaux#t248 (accès restreint aux manifestants)
[quote="AMC2710"]De même quelqu'un serait il ou trouver (facilement) l'extrait des misérables que damien a lu ?[/quote] Je suppose que c'est le même que les autres soirs donc :
« Il faut, pour la marche en avant du genre humain, qu'il y ait sur les sommets, en permanence, de fières leçons de courage. Les témérités éblouissent l'histoire et sont une des grandes clartés de l'homme. L'aurore ose quand elle se lève. Tenter, braver, persister, persévérer, s'être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu'elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l'exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise. »
j'étais au dôme samedi dernier j'aimerais retrouver plusieurs phrases que damien a projeté:Pendant l'entracte, c'est le texte "nous, citoyens..." qui est diffusé. Il est dispo ici : http://www.culturecontreculture.fr/les_ruisseaux#t248 (accès restreint aux manifestants)
une sur la croyance qui est plus ou moins " la croyances est la mort de la pensée"
ainsi que les autres.
De même quelqu'un serait il ou trouver (facilement) l'extrait des misérables que damien a lu ?Je suppose que c'est le même que les autres soirs donc :
« Il faut, pour la marche en avant du genre humain, qu'il y ait sur les sommets, en permanence, de fières leçons de courage. Les témérités éblouissent l'histoire et sont une des grandes clartés de l'homme. L'aurore ose quand elle se lève. Tenter, braver, persister, persévérer, s'être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu'elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l'exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise. »
Avant Bonnie il y a également :
[img]http://menacesmaislibres.com/wp-content/uploads/texte-bonnie-live.jpg[/img]
Aaaaaaaaaaah merci j'avais pas tout lu quand il l'avait projeté à Dijon !! J'avais lu jusqu'à "comme ma bite" pis après ça avait disparu.
Quel poète quand même xD
[quote="lehasard"]Avant Bonnie il y a également :
[img]http://menacesmaislibres.com/wp-content/uploads/texte-bonnie-live.jpg[/img][/quote]Ptain... on n'a pas eu ça à Strasbourg :'(
ça me fait penser à Victor Hugo et son calembour
[i]Le calembour est la fiente de l'esprit qui vole. Le lazzi tombe n'importe où ; et l'esprit, après la ponte d'une bêtise, s'enfonce dans l'azur. Une tache blanchâtre qui s'aplatit sur le rocher n'empêche pas le condor de planer. Loin de moi l'insulte au calembour ! Je l'honore dans la proportion de ses mérites ; rien de plus. Tout ce qu'il y a de plus auguste, de plus sublime et de plus charmant dans l'humanité, et peut-être hors de l'humanité, a fait des jeux de mots.[/i]
Avant Bonnie il y a également :Ptain... on n'a pas eu ça à Strasbourg :'(
ça me fait penser à Victor Hugo et son calembour
Le calembour est la fiente de l'esprit qui vole. Le lazzi tombe n'importe où ; et l'esprit, après la ponte d'une bêtise, s'enfonce dans l'azur. Une tache blanchâtre qui s'aplatit sur le rocher n'empêche pas le condor de planer. Loin de moi l'insulte au calembour ! Je l'honore dans la proportion de ses mérites ; rien de plus. Tout ce qu'il y a de plus auguste, de plus sublime et de plus charmant dans l'humanité, et peut-être hors de l'humanité, a fait des jeux de mots.
[url=https://pix.blizzart.net/image/1492002556][img]https://pix.blizzart.net/image/1492002556/medium.jpg[/img][/url]
[url=https://pix.blizzart.net/image/1492002618][img]https://pix.blizzart.net/image/1492002618/medium.jpg[/img][/url]
[url=https://pix.blizzart.net/image/1492002664][img]https://pix.blizzart.net/image/1492002664/medium.jpg[/img][/url]
[url=https://pix.blizzart.net/image/1492002708][img]https://pix.blizzart.net/image/1492002708/medium.jpg[/img][/url]
bon c 'est un peu dans le désordre mais je crois qu'il y a tout
Il y a eu une autre phrase aussi à un moment, quelque chose dans ce genre : toujours le poing levé, mais le cœur sur la main.
[quote="blat"][quote="AMC2710"]De même quelqu'un serait il ou trouver (facilement) l'extrait des misérables que damien a lu ?[/quote] Je suppose que c'est le même que les autres soirs donc :
« Il faut, pour la marche en avant du genre humain, qu'il y ait sur les sommets, en permanence, de fières leçons de courage. Les témérités éblouissent l'histoire et sont une des grandes clartés de l'homme. L'aurore ose quand elle se lève. Tenter, braver, persister, persévérer, s'être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu'elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l'exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise. »[/quote]Les Misérables - Tome III - Marius
Livre premier – Paris étudié dans son atome
Chapitre XI – Railler, régner
[small]Les joies des ebooks et du ctrl + f :D[/small]
Je ne sais pas de quand ça date, mais cela a aussi été repris dans [url=http://dicocitations.lemonde.fr/citation_auteur_ajout/79609.php]un discours de Christiane Taubira[/url], vraisemblablement avant SAEZ donc.
Au demeurant, je trouve ça hardis de sortir un texte comme ça directement des misérable vu l'ampleur de l’œuvre. La proximité avec Taubira, me laisse penser que Damien à repris le texte, aussi, de cette dernière.
Ceci étant, le reste du texte du chapitre vaut lui aussi son pesant de cacahuète et mériterai d'être repris pour les dates de Paris.
Je vous le colle in extenso.
[i]De limite à Paris, point. Aucune ville n’a eu cette domination qui bafoue parfois ceux qu’elle subjugue. Vous plaire, ô Athéniens ! s’écriait Alexandre. Paris fait plus que la loi, il fait la mode ; Paris fait plus que la mode, il fait la routine. Paris peut être bête si bon lui semble ; il se donne quelquefois ce luxe ; alors l’univers est bête avec lui ; puis Paris se réveille, se frotte les yeux, dit : Suis-je stupide ! et éclate de rire à la face du genre humain. Quelle merveille qu’une telle ville ! Chose étrange que ce grandiose et ce burlesque fassent bon voisinage, que toute cette majesté ne soit pas dérangée par toute cette parodie, et que la même bouche puisse souffler aujourd’hui dans le clairon du jugement dernier et demain dans la flûte à l’oignon ! Paris a une jovialité souveraine. Sa gaîté est de la foudre et sa farce tient un sceptre. Son ouragan sort parfois d’une grimace. Ses explosions, ses journées, ses chefs-d’œuvre, ses prodiges, ses épopées, vont au bout de l’univers, et ses coq-à-l’âne aussi. Son rire est une bouche de volcan qui éclabousse toute la terre. Ses lazzi sont des flammèches. Il impose aux peuples ses caricatures aussi bien que son idéal ; les plus hauts monuments de la civilisation humaine acceptent ses ironies et prêtent leur éternité à ses polissonneries. Il est superbe ; il a un prodigieux 14 juillet qui délivre le globe ; il fait faire le serment du Jeu de Paume à toutes les nations ; sa nuit du 4 août dissout en trois heures mille ans de féodalité ; il fait de sa logique le muscle de la volonté unanime ; il se multiplie sous toutes les formes du sublime ; il emplit de sa lueur Washington, Kosciusko, Bolivar, Botzaris, Riego, Bem, Manin, Lopez, John Brown{24}, Garibaldi ; il est partout où l’avenir s’allume, à Boston en 1779, à l’île de Léon en 1820, à Pesth en 1848, à Palerme en 1860 ; il chuchote le puissant mot d’ordre : Liberté, à l’oreille des abolitionnistes américains groupés au bac de Harper’s Ferry, et à l’oreille des patriotes d’Ancône assemblés dans l’ombre aux Archi, devant l’auberge Gozzi, au bord de la mer ; il crée Canaris ; il crée Quiroga ; il crée Pisacane ; il rayonne le grand sur la terre ; c’est en allant où son souffle les pousse que Byron meurt à Missolonghi et que Mazet meurt à Barcelone ; il est tribune sous les pieds de Mirabeau et cratère sous les pieds de Robespierre ; ses livres, son théâtre, son art, sa science, sa littérature, sa philosophie, sont les manuels du genre humain ; il a Pascal, Régnier, Corneille, Descartes, Jean-Jacques, Voltaire pour toutes les minutes, Molière pour tous les siècles ; il fait parler sa langue à la bouche universelle, et cette langue devient le Verbe ; il construit dans tous les esprits l’idée de progrès ; les dogmes libérateurs qu’il forge sont pour les générations des épées de chevet, et c’est avec l’âme de ses penseurs et de ses poètes que sont faits depuis 1789 tous les héros de tous les peuples ; cela ne l’empêche pas de gaminer ; et ce génie énorme qu’on appelle Paris, tout en transfigurant le monde par sa lumière, charbonne le nez de Bouginier au mur du temple de Thésée et écrit Crédeville voleur sur les pyramides.
Paris montre toujours les dents ; quand il ne gronde pas, il rit.
Tel est ce Paris. Les fumées de ses toits sont les idées de l’univers. Tas de boue et de pierres si l’on veut, mais, par-dessus tout, être moral. Il est plus que grand, il est immense. Pourquoi ? parce qu’il ose.
Oser ; le progrès est à ce prix.
Toutes les conquêtes sublimes sont plus ou moins des prix de hardiesse. Pour que la révolution soit, il ne suffit pas que Montesquieu la pressente, que Diderot la prêche, que Beaumarchais l’annonce, que Condorcet la calcule, qu’Arouet la prépare, que Rousseau la prémédite ; il faut que Danton l’ose.
Le cri : Audace ! est un Fiat Lux. [b]Il faut, pour la marche en avant du genre humain, qu’il y ait sur les sommets en permanence de fières leçons de courage. Les témérités éblouissent l’histoire et sont une des grandes clartés de l’homme. L’aurore ose quand elle se lève. Tenter, braver, persister, persévérer, s’être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu’elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l’exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise.[/b] Le même éclair formidable va de la torche de Prométhée au brûle-gueule de Cambronne.[/i]
Les Misérables - Tome III - MariusDe même quelqu'un serait il ou trouver (facilement) l'extrait des misérables que damien a lu ?Je suppose que c'est le même que les autres soirs donc :
« Il faut, pour la marche en avant du genre humain, qu'il y ait sur les sommets, en permanence, de fières leçons de courage. Les témérités éblouissent l'histoire et sont une des grandes clartés de l'homme. L'aurore ose quand elle se lève. Tenter, braver, persister, persévérer, s'être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu'elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l'exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise. »
Livre premier – Paris étudié dans son atome
Chapitre XI – Railler, régner
Les joies des ebooks et du ctrl + f
Je ne sais pas de quand ça date, mais cela a aussi été repris dans un discours de Christiane Taubira, vraisemblablement avant SAEZ donc.
Au demeurant, je trouve ça hardis de sortir un texte comme ça directement des misérable vu l'ampleur de l’œuvre. La proximité avec Taubira, me laisse penser que Damien à repris le texte, aussi, de cette dernière.
Ceci étant, le reste du texte du chapitre vaut lui aussi son pesant de cacahuète et mériterai d'être repris pour les dates de Paris.
Je vous le colle in extenso.
De limite à Paris, point. Aucune ville n’a eu cette domination qui bafoue parfois ceux qu’elle subjugue. Vous plaire, ô Athéniens ! s’écriait Alexandre. Paris fait plus que la loi, il fait la mode ; Paris fait plus que la mode, il fait la routine. Paris peut être bête si bon lui semble ; il se donne quelquefois ce luxe ; alors l’univers est bête avec lui ; puis Paris se réveille, se frotte les yeux, dit : Suis-je stupide ! et éclate de rire à la face du genre humain. Quelle merveille qu’une telle ville ! Chose étrange que ce grandiose et ce burlesque fassent bon voisinage, que toute cette majesté ne soit pas dérangée par toute cette parodie, et que la même bouche puisse souffler aujourd’hui dans le clairon du jugement dernier et demain dans la flûte à l’oignon ! Paris a une jovialité souveraine. Sa gaîté est de la foudre et sa farce tient un sceptre. Son ouragan sort parfois d’une grimace. Ses explosions, ses journées, ses chefs-d’œuvre, ses prodiges, ses épopées, vont au bout de l’univers, et ses coq-à-l’âne aussi. Son rire est une bouche de volcan qui éclabousse toute la terre. Ses lazzi sont des flammèches. Il impose aux peuples ses caricatures aussi bien que son idéal ; les plus hauts monuments de la civilisation humaine acceptent ses ironies et prêtent leur éternité à ses polissonneries. Il est superbe ; il a un prodigieux 14 juillet qui délivre le globe ; il fait faire le serment du Jeu de Paume à toutes les nations ; sa nuit du 4 août dissout en trois heures mille ans de féodalité ; il fait de sa logique le muscle de la volonté unanime ; il se multiplie sous toutes les formes du sublime ; il emplit de sa lueur Washington, Kosciusko, Bolivar, Botzaris, Riego, Bem, Manin, Lopez, John Brown{24}, Garibaldi ; il est partout où l’avenir s’allume, à Boston en 1779, à l’île de Léon en 1820, à Pesth en 1848, à Palerme en 1860 ; il chuchote le puissant mot d’ordre : Liberté, à l’oreille des abolitionnistes américains groupés au bac de Harper’s Ferry, et à l’oreille des patriotes d’Ancône assemblés dans l’ombre aux Archi, devant l’auberge Gozzi, au bord de la mer ; il crée Canaris ; il crée Quiroga ; il crée Pisacane ; il rayonne le grand sur la terre ; c’est en allant où son souffle les pousse que Byron meurt à Missolonghi et que Mazet meurt à Barcelone ; il est tribune sous les pieds de Mirabeau et cratère sous les pieds de Robespierre ; ses livres, son théâtre, son art, sa science, sa littérature, sa philosophie, sont les manuels du genre humain ; il a Pascal, Régnier, Corneille, Descartes, Jean-Jacques, Voltaire pour toutes les minutes, Molière pour tous les siècles ; il fait parler sa langue à la bouche universelle, et cette langue devient le Verbe ; il construit dans tous les esprits l’idée de progrès ; les dogmes libérateurs qu’il forge sont pour les générations des épées de chevet, et c’est avec l’âme de ses penseurs et de ses poètes que sont faits depuis 1789 tous les héros de tous les peuples ; cela ne l’empêche pas de gaminer ; et ce génie énorme qu’on appelle Paris, tout en transfigurant le monde par sa lumière, charbonne le nez de Bouginier au mur du temple de Thésée et écrit Crédeville voleur sur les pyramides.
Paris montre toujours les dents ; quand il ne gronde pas, il rit.
Tel est ce Paris. Les fumées de ses toits sont les idées de l’univers. Tas de boue et de pierres si l’on veut, mais, par-dessus tout, être moral. Il est plus que grand, il est immense. Pourquoi ? parce qu’il ose.
Oser ; le progrès est à ce prix.
Toutes les conquêtes sublimes sont plus ou moins des prix de hardiesse. Pour que la révolution soit, il ne suffit pas que Montesquieu la pressente, que Diderot la prêche, que Beaumarchais l’annonce, que Condorcet la calcule, qu’Arouet la prépare, que Rousseau la prémédite ; il faut que Danton l’ose.
Le cri : Audace ! est un Fiat Lux. Il faut, pour la marche en avant du genre humain, qu’il y ait sur les sommets en permanence de fières leçons de courage. Les témérités éblouissent l’histoire et sont une des grandes clartés de l’homme. L’aurore ose quand elle se lève. Tenter, braver, persister, persévérer, s’être fidèle à soi-même, prendre corps à corps le destin, étonner la catastrophe par le peu de peur qu’elle nous fait, tantôt affronter la puissance injuste, tantôt insulter la victoire ivre, tenir bon, tenir tête ; voilà l’exemple dont les peuples ont besoin, et la lumière qui les électrise. Le même éclair formidable va de la torche de Prométhée au brûle-gueule de Cambronne.
Olalala, merci de l'avoir mis ici ! C'est puissant.
J'avais étudié un extrait des misérables mais sans me plonger plus en détail dans l'œuvre (sans compter les adaptations cinématographiques évidemment)... c'est plaisant de se sentir attiré par un livre avec quelques extraits.
[quote="Nulie"]J'avais étudié un extrait des misérables mais sans me plonger plus en détail dans l'œuvre (sans compter les adaptations cinématographiques évidemment)... c'est plaisant de se sentir attiré par un livre avec quelques extraits.[/quote]Vas y sans hésitation.
A part les 70 pages sur Napoléon, et le passage sur les égouts de Paris, c'est absolument génial.
Rahlalala et ce passage de X pages où il explique la différence entre une émeute et une insurrection.
Des frissons en lisant !
J'avais étudié un extrait des misérables mais sans me plonger plus en détail dans l'œuvre (sans compter les adaptations cinématographiques évidemment)... c'est plaisant de se sentir attiré par un livre avec quelques extraits.Vas y sans hésitation.
A part les 70 pages sur Napoléon, et le passage sur les égouts de Paris, c'est absolument génial.
Rahlalala et ce passage de X pages où il explique la différence entre une émeute et une insurrection.
Des frissons en lisant !
merci à tous c'est génial!
je n'en espérais pas tant !
Un régal ce texte des misérables, entre l'avoir étudié au lycée et le découvrir ou "redécouvrir" maintenant dans ce contexte l'impact n'est pas le même ....
Dernière question pensez vous que comme pour les autres lives, les enregistrements et quelques vidéos du concert du dôme pourront être dispo ?
Pour l'enregistrement du Dôme, Lasyboy s'en charge. On aura droit à l'audio et à la version DVD comme pour la tournée de 2013.
ok super. et merci surtout à Lasyboy !
encore une question j'étais en dôme en 2013, ou peut on trouver l'audio et la version dvd du concert de 2013?
[quote="viper82"][quote="Nulie"]J'avais étudié un extrait des misérables mais sans me plonger plus en détail dans l'œuvre (sans compter les adaptations cinématographiques évidemment)... c'est plaisant de se sentir attiré par un livre avec quelques extraits.[/quote]Vas y sans hésitation.
A part les 70 pages sur Napoléon, et le passage sur les égouts de Paris, c'est absolument génial.
Rahlalala et ce passage de X pages où il explique la différence entre une émeute et une insurrection.
Des frissons en lisant ![/quote]
Entièrement d'accord. De loin le meilleur livre que j'ai eu le plaisir de lire.
J'avais étudié un extrait des misérables mais sans me plonger plus en détail dans l'œuvre (sans compter les adaptations cinématographiques évidemment)... c'est plaisant de se sentir attiré par un livre avec quelques extraits.Vas y sans hésitation.
A part les 70 pages sur Napoléon, et le passage sur les égouts de Paris, c'est absolument génial.
Rahlalala et ce passage de X pages où il explique la différence entre une émeute et une insurrection.
Des frissons en lisant !
Entièrement d'accord. De loin le meilleur livre que j'ai eu le plaisir de lire.
[quote="AMC2710"]ok super. et merci surtout à Lasyboy !
encore une question j'étais en dôme en 2013, ou peut on trouver l'audio et la version dvd du concert de 2013?[/quote]
L'audio est ici : https://www.saezlive.net/events/records/252/30-mars-2013-le-dome-marseille
La version vidéo ici :
https://www.youtube.com/watch?v=mMtY5xJaZI4
Téléchargeable sur le blog à Lasyboy également.
Il était bien bon ce concert de 2013, j'y étais aussi.
ok super. et merci surtout à Lasyboy !
encore une question j'étais en dôme en 2013, ou peut on trouver l'audio et la version dvd du concert de 2013?
L'audio est ici : https://www.saezlive.net/events/records/252/30-mars-2013-le-dome-marseille
La version vidéo ici :
https://www.youtube.com/watch?v=mMtY5xJaZI4
Téléchargeable sur le blog à Lasyboy également.
Il était bien bon ce concert de 2013, j'y étais aussi.
C'est top encore merci
comment peut on se procurer le dvd 2017 une fois qu'il sera prêt ?
merci
[quote="AMC2710"]comment peut on se procurer le dvd 2017 une fois qu'il sera prêt ?[/quote] Sur la page Facebook de @lasyboy : https://www.facebook.com/groups/lasyboyliveblog/ ou sur SaezLive :)
comment peut on se procurer le dvd 2017 une fois qu'il sera prêt ?Sur la page Facebook de lasyboy : https://www.facebook.com/groups/lasyboyliveblog/ ou sur SaezLive
Bonnie:
[i]Le génie n'a pas d'heure
c'est comme ma bite
i' s'lève, i' jette son encre, et i' s'recouche[/i]
[img]https://pix.blizzart.net/image/1492465250/original.jpg[/img]
Fin de mondes:
[i]N'est maitre de son art
que celui qui le crée[/i]
[img]https://pix.blizzart.net/image/1492465308/original.jpg[/img]
Peuple manifestant:
[i]Le poing levé mais le cœur sur la main[/i]
[img]https://pix.blizzart.net/image/1492465348/original.jpg[/img]
L'humaniste:
[i]Est-ce un jardin ou un cimetière?[/i]
Les enfants paradis:
[i]La croyance est la mort de la pensée[/i] ?
Bonjour à tous, j'ai une petite question. J'ai assistée au concert de Damien Saez, au Mans et à Bruxelles. Et lors des entractes quand il publiait des textes, j'en ai lu un à propos de la culture, si je me souviens bien. Je ne l'ai vu qu'à Bruxelles, je ne me souviens pas l'avoir vu au Mans. J'aimerai énormément retrouver ce texte et notamment une phrase à propos de la culture comme j'ai dis plus haut... pourriez vous m'aider ? Merci !