Il doit y en avoir un petit paquet ici de femmes passionnées de Damien clem15700

ouais , Damien ne serait-il pas juste un prétexte parce-que Julien veut pécho lulute ?

je comprends pas où tu veux en venir ? En fait il semblerait que deux personnages se rapprochent autour d'une passion commune. Julien n'a pas l'air de faire sembler d'aimer Damien pour se taper Lulute ...

Il doit y en avoir un petit paquet ici de femmes passionnées de Damien clem15700

ouais , Damien ne serait-il pas juste un prétexte parce-que Julien veut pécho lulute ?

je comprends pas où tu veux en venir ? En fait il semblerait que deux personnages se rapprochent autour d'une passion commune. Julien n'a pas l'air de faire sembler d'aimer Damien pour se taper Lulute ...

M'enfin faut bien un point commun pour rapprocher deux personnages sinon ils continuent leur route chacun de leur côté.

M'enfin faut bien un point commun pour rapprocher deux personnages sinon ils continuent leur route chacun de leur côté.

ça serait pas cool de jouer avec ses sentiments car elle a l'air fragile lulute

Il doit y en avoir un petit paquet ici de femmes passionnées de Damien clem15700

M'enfin faut bien un point commun pour rapprocher deux personnages sinon ils continuent leur route chacun de leur côté.

Pas forcément. Regarde Narcisse et goldmund ... Ils ont pas grand chose en commun de base

C'est vrai qu'elle a l'air fragile lulute.

clem15700 bah c'est triste mais certaines personnes peuvent être de vrais caméléons pour parvenir à leur but.

t'façon dans une histoire d'amour il en faut 2, le troisième est de trop, même si c'est damien

ça serait pas cool de jouer avec ses sentiments car elle a l'air fragile lulute

attend c'est pas arrivé à la turlute encore si il nous raconte tout en détail

Il doit y en avoir un petit paquet ici de femmes passionnées de Damien clem15700

oui mais bon certaines aussi ce serve de damien pour chopper des mecs, la dernière que j'ai eu vlà quoi aux final saez elle s'en battait les ovaires

Que de commentaires! Merci à vous tous de vous intéresser à ce récit. Grâce à vous, j'ai un peu le sentiment que ces personnages existent vraiment.

Pour répondre à certaines de vos interrogations, j'invente cette histoire au jour le jour sans savoir au juste où elle va m'entraîner. C'est ce qui en fait tout le charme pour moi. Avec, bien sûr, le plaisir de rester à proximité de Saez.

Par contre, je suis certain d'une chose: ni Lulute ni Julien n'utilisera Damien pour arriver à ses fins. Pas d'arrière-pensées intéressées. C'est une passion commune pour lui qui les rapproche. Ça, j'y tiens beaucoup. Ce qui ne va pas me rendre les choses faciles: comme le fait remarquer NaN NaN, ça risque du coup de devenir chiant ou de tourner en rond. C'est un écueil qu'il va falloir trouver le moyen d'éviter.

Vont-ils tomber amoureux l'un de l'autre? Je n'en ai pas encore la moindre idée. Mais ce qu'ils vont vivre ensemble sera de.toute façon intense.

Et puis des personnages secondaires viendront sans doute de temps à autre relancer l'action. Ou la perturber.

Bonne nuit à tous et à bientôt pour un nouvel épisode.

et on aurait la détail de la culbute

et on aurait la détail de la culbute

et on aurait la détail de la culbute

Mollo fillo sur les culbuto nanmeoh elle est toute mignonnette lulutte !

M'enfin faut bien un point commun pour rapprocher deux personnages sinon ils continuent leur route chacun de leur côté.

Pas forcément. Regarde Narcisse et goldmund ... Ils ont pas grand chose en commun de base

Je l'ai pas lu mais ils ont pas l'amour de l'art en commun ? Ou je confonds avec autre chose...

4-

Elle a décroché.
– Allô ! Ben oui, c’est moi ! Évidemment que c’est moi. Qui veux-tu que ce soit ? Mais à Châtillon je suis, Baptiste, enfin, je te l’ai dit ! Ce que j’y fais? J’écoute Saez. Je marche sur ses pas. Je m’imprègne de lui. Ah, tu vas pas recommencer ! Mais pour toi, c’est des conneries, pour toi ! Pas pour moi. Oui, bon, écoute, si tu continues, je raccroche. Non, je m’énerve pas, non, mais on en a déjà parlé dix mille fois et, à chaque fois, faut que tu m’agresses là-dessus. Alors, c’est bon. Quoi ? Quand je rentre ? Tu verras bien quand je rentre. En principe demain. Oui, c’est ça. Moi aussi.
Elle a jeté son portable au fond de son sac.
– Il me gave, par moments, mais il me gave ! Il est d’un lourd ! S’il a pas encore compris qu’il arrivera pas à me détacher de Damien. Que personne y arrivera…
– Ça paraît pourtant évident.
– Oui, ben pas pour lui. Il y a pas que ça n’importe comment. Parce qu’il peut pas sentir Damien, c’est sûr, mais ce qu’il y a aussi, c’est qu’il supporte pas que je me passionne pour autre chose que ce qui l’intéresse, lui. Il faudrait que je n’aie d’existence qu’à travers lui. Ses goûts à lui. Ses amis à lui. Ses loisirs à lui. Tu sais ce qui va se passer quand je vais rentrer ? Il va me faire la gueule. Trois jours. Au moins. Comme si j’avais commis je ne sais quel crime impardonnable à vouloir exister par moi-même. À vouloir être moi. Il y a une époque, ça prenait. Je culpabilisais. Et je me rognais. Je m’amputais de ce que j’avais de meilleur. Mais c’est fini. Ça marche plus. Je mène ma vie. Ça lui convient, tant mieux. Ça lui convient pas, tant pis. Et puis voilà. De toute façon…
– De toute façon ?
– Non. Rien. On va pas perdre notre temps à parler de lui. Dis-moi des trucs sur toi plutôt.
– Quoi ?
– Ce que tu veux. Je sais rien de toi finalement.
– J’adore Saez.
– Oui, ben ça, j’avais cru comprendre, merci. Mais encore ?
– J’ai 42 ans. Je travaille chez moi. Sur Internet. J’élabore des programmes informatiques. J’adore cuisiner. Nager. Jardiner. J’ai un chien, un chat et une tortue. Je vis tout seul, mais j’ai été marié. Un an. Voilà. Satisfaite ?
– Tu l’aimais ?
– Comme un fou.
– Et elle est partie.
– Non. Je l’ai foutue dehors.
– Je comprends pas tout, là.
– C’était il y a six ans. Non, cinq. Je fréquentais assidûment la piscine municipale. Elle aussi. Une femme d’une beauté à vous couper le souffle. Avec un charme fou. Le genre de femme dont tu te dis qu’elle est pas pour toi. Que c’est même pas la peine que t’y songes. Et pourtant… On s’est parlé. On a sympathisé. On s’est vus. Ailleurs qu’à la piscine. On s’est revus. Je suis tombé éperdument amoureux. Elle aussi. C’est ce qu’elle disait. C’est ce qu’elle montrait. C’est ce que j’ai cru. Je n’avais aucune raison d’en douter. On s’est mariés. Et on a filé le parfait amour. Jusqu’à ce que je découvre…
– Qu’elle te trompait.
– Pire que ça. Qu’elle m’avait roulé dans la farine. De A jusqu’à Z. Depuis le début. Ça faisait des années qu’elle était la maîtresse d’un homme marié dont elle était raide dingue et qui n’avait pas la moindre intention de divorcer pour elle. Ça lui était égal. Tant pis. Elle ne voulait rien. Elle n’exigeait rien. Juste être dans ses bras chaque fois que c’était possible. Et qu’il lui fasse un bébé. Il n’était pas contre. À condition qu’on ne puisse en aucun cas soupçonner qu’il était de lui. Et à condition que quelqu’un d’autre s’imagine en être le père et se charge de son éducation.
– Quelle salope !
– Je te le fais pas dire.
– Et tu t’en es rendu compte comment de tout ça ?
– Elle avait une excellente amie. À qui elle faisait toutes ses confidences. Qui n’a pas pu garder ça pour elle.
– Je vois. Et qu’avait des vues sur toi.
– Je sais pas. Je crois pas.
– Oh, sûrement ! Et le bébé ? Il y en a pas eu ?
– Elle a fait une fausse couche.
– Encore heureux ! Mais oh là là, mon pauvre, comment t’as dû déguster ! Il y a rien de pire que de faire confiance à quelqu’un et de s’apercevoir…
Elle s’est penchée, m’a déposé, très vite, un baiser en aile douce sur la joue.
– Oh, mais on est pas toutes comme ça, hein ! Tu trouveras, tu verras.
– Je suis pas sûr d’en avoir vraiment envie.
Elle s’est levée.
– On va faire un tour ? Il y a des tas de trucs à voir à Châtillon. Et puis après, on ira casser une petite croûte. Parce que je sais pas toi, mais moi je commence à avoir sacrément la dalle.


(à suivre)

Merci pour la suite. Pfff pauvre Julien, il a dû souffrir. Pas simple de se remettre de cette histoire !

Oh merci .... Pauvre Julien c'est moche la vie des fois .... En espérant que Lulu lui fasse oublié tout ça ...😊

assez surprenant.
Sans indices sur l'âge jusque là on pouvait imaginer un peu ce qu'on voulait et personnellement je voyais un peu des adolescents voir jeunes adultes ! Le 42 ans m'a surpris mais surtout montré que l'histoire n'a pas de frontière de temps. Bref

Sinon c'est en effet bien d'être passé sur l'histoire de Julien ... voyons la suite. 😊

NDD c'est plus le tiers qui est en trop mais toute une smala....

Mais que voulait elle lui demander dans l'épisode précédent ??! Rabat joie le Baptiste il m'agace déjà.
Vivement la suite.😊

Super histoire !
J'ai hâte de connaître la suite ! Bravo !

Merci à vous tous qui me faites part de vos ressentis. Ça me va droit au cœur.

5-

On a marché. On s’est éternisés sur le pont du Perthuis-au-loup, avec l’église en arrière-fond.
– Tu crois qu’il y venait Damien ici ?
– Oh, il y est sûrement passé.
– Peut-être qu’il y a eu des idées de chansons alors, va savoir ! Ou du moins qu’à regarder couler l’eau, comme ça, comme nous, il y a des trucs qui, déjà, se sont mis en place dans sa tête. Qui, après, se sont mélangés à d’autres. Et ça a fini par faire « En bords de Seine » ou « Marie ».
Une femme a longé la berge. Elle l’a longuement suivie des yeux.
– Qu’est-ce qu’elle a de la chance, elle, d’habiter Châtillon ! De pouvoir se dire qu’il a vu tout ça. Qu’il a respiré le même air qu’elle. Et puis tu sais ce que je pense en plus ? Combien elle a, à ton avis ? Quarante-cinq balais. À peu près. Quelque chose comme ça. Peut-être même un peu plus. Eh ben Damien, si ça tombe, il a été amoureux d’elle. Et elle le sait même pas. Parce que c’est souvent que les garçons, à l'âge qu'il avait, ils s’enflamment en secret pour des filles plus âgées qu’eux. Non ? Tu crois pas ? Ça t’est jamais arrivé à toi ?
– Oh, que si ! Et plus souvent qu’à mon tour.
– Ah, tu vois !
Elle s’est remise lentement en marche.
– Qu’est-ce que je suis contente, n’empêche ! Tu peux pas savoir ce que je suis contente.
– À cause ?
– De comment ça se passe. Parce que d’être là tous les deux, ça l’élimine complètement l’autre, au fur à mesure qu’on repasse là où j’ai été avec. Ça le gomme encore plus que ce que j’avais imaginé. Et ce que ça met à la place, c’est… Mais tu vas pas me laisser en plan maintenant, hein, au moins ! On continue à aller partout où il faut.
– On continue.
– Alors par là on va. Ou plutôt non. En longeant la rivière on y arrivera pareil, mais ce sera plus agréable.
– Tu m’emmènes où ?
– Au restaurant. Et un bon, tu vas voir…

Elle a insisté pour qu’on nous installe face à la cheminée.
– Là ! T’as compris pourquoi je tenais tant à avoir cette table ?
– Ça, c’est pas bien sorcier.
Elle a déployé le menu.
– Et maintenant ce qui serait le top… Oui, super ! Elles y sont encore. Alors pour moi, ce sera écrevisses amoureuses et ris de veau aux truffes. Avec ce Bourgogne… Où il est ? Me dis pas qu’il y est plus ! Ah, si ! Ouf ! J’ai eu peur. C’est juste qu’ils l’ont changé de page. Bon. Et ben voilà ! Et tu sais ce qui serait le top, c’est que, toi aussi, comme lui alors, tu prennes exactement la même chose que moi. Tout pareil. Sauf, évidemment, si t’aimes pas ça.
J’aimais, si. Il y avait pas de problème.

– On se régale, hein ?
– C’est le moins qu’on puisse dire.
– Bon. Et maintenant, même que j’aie sacrément la trouille, faut quand même que je te pose la question de confiance.
– Je t’écoute.
– Hou là là ! C’est vraiment pas facile. Mais je crois qu’à toi, je peux demander ça.
– Lance-toi !
– Il y a des chambres au-dessus.
– Dans un hôtel, j’me doute.
– Et alors si on y dormait juste comme frangin-frangine, sages comme Pierrot et Colombine, ça finirait de tout me réparer. Il y aurait jamais rien eu. Il aurait jamais existé ce type. Évanoui. Liquéfié. Tu comprends ?
– Je comprends. Bien sûr que je comprends. Seulement… tu es une jeune femme très désirable, Lulute.
– Et tu… Je suis idiote. J’aurais jamais dû te demander ça.
– Mais tu n’es pas QUE désirable. Alors oui, du coup, ça va être possible.
– Tu es sûr ? Parce que ça me ferait un mal fou, tu sais. Ça me détruirait définitivement Châtillon. Et ça je le veux pour rien au monde.
– Je suis sûr, oui.
Elle m’a pris les mains dans les siennes par-dessus la table.
– T’es un amour. Merci.

(à suivre)

Ca prend une drôle de tournure cette histoire. J'ai pensé à Lulute hier, j'étais à Pontarlier !

Elle me fait peur ton histoire, cette Lulute me terrifie, elle vit sa vie qu'à travers l'ours ?

"Qu’est-ce qu’elle a de la chance, elle, d’habiter Châtillon ! De pouvoir se dire qu’il a vu tout ça. Qu’il a respiré le même air qu’elle"

Alerte top groupie, heureusement c'est qu'une fiction....

Elle me fait peur ton histoire, cette Lulute me terrifie, elle vit sa vie qu'à travers l'ours ?

"Qu’est-ce qu’elle a de la chance, elle, d’habiter Châtillon ! De pouvoir se dire qu’il a vu tout ça. Qu’il a respiré le même air qu’elle"

Alerte top groupie, heureusement c'est qu'une fiction....