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Poèmes, chansons, romans, extraits, ...
Parce que je ne suis personne, mais que mes mots vous toucheront peut-être...
Je suis le pacifiste humaniste
J'ère ici bas parmi les autres
Au milieu des foules perdues toujours
Je me cogne contre les murs invisibles
Je suis l'artiste utopiste
Et si ce monde n'est pas le nôtre
Je veux croire en l'humain amour
Pour des futurs plus accessibles
Je suis lambda, je suis personne
Si je suis las je m'abandonne
Au milieu des foules perdues toujours
Je suis chagrin aux alentours
Je suis personne, je ne suis rien
Je ne suis qu'homme au petit matin
J'ère ici bas parmi vous autres
Pour que ce monde devienne le nôtre…
Bonjour à vous peuple réseaux…
https://les-mots-de-mr-nobody.tumblr.com/
Faut mettre la poésie dans la matière... Ça éveille
à la sensibilité qui s'appelle la vie.
Bienvenu ( ? Ou non je ne sais pas si t'es nouveau)
Le monde est déjà le nôtre on l'a juste oublié à des vendeurs de mirages
On en aura jamais fini de saigner de nos doigts à nos pieds
Je sais juste qu'on a déjà gagné
Même si on ne connait pas l'avènement
Nous sommes bâtisseurs désintéressés
Il sera pour nos chairs tombées... Des lits qui se vident et autres
Nous avons déjà gagné, alors, ne lâchons pas les plumes, siècle d'envol où l'humanité n'est encore qu'une proie de chasseur.
Ami réseau, prières celluloses pour les pluies diluviennes
désillusion divine
J’ai cent fois regardé le ciel, à m’en crever la rétine
Les mains jointes, genoux au sol, à attendre que l’on me piétine
Sans foi, perdu mon temps qui se fait pourtant si précieux
Mais ma vie n’intéresse personne, mon reflet n’est pas dans leurs yeux
J’ai cent fois écouté les grands, leurs conseils et leurs sagesses
Et puis je les ai vu vieillir, mentir et faire preuve de faiblesse
Et Tout comme celui qu’ils adulent et dont je tairais le nom
Ils font semblant, ils gesticulent pour se donner une dimension
J’en ai essuyé des gouttelettes roulant sur mes joues arrosées
Contre les murs, cogné ma tête de gamin un peu paumé.
Alors j’ai seulement fermé les yeux, à m’en crever les paupières
Et ce temps pourtant si précieux, ne sachant plus trop quoi en faire
Je l’ai laissé aux rêveurs, eux seuls en connaissent la valeur
Afin qu’ils rêvent pour moi, afin qu’ils se lèvent pour moi
Et tout comme celui qu’ils adulent, ils réinventeront le monde
Avec la même volonté, mais beaucoup plus d’humanité
Et quand du ciel je regarderais la terre, des étoiles plein les yeux
Je me dirais qu’importe les dieux, L’homme est ce qu’il y a de plus précieux