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Les enfants lune
J'aime beaucoup, c'est vraiment très beau.
Je trouve que c'est une superbe idée de dessiner Damien en mode clown triste.
Après tout ce déguisement c'est devenu un peu le nouveau symbole, le nouvel emblème de Saez.
En tout cas Bravo pour ce si beau dessin et hâte de voir la suite.
Merci@Yves-Baggio :)
" Nous allons les chemins de pluie
Mettre des fleurs à mon pays
Pour toi puis pour l'humain je crois " c'est la base de l'inspiration de ce petit croquis...
[url=https://pix.blizzart.net/image/1489150931][img]https://pix.blizzart.net/image/1489150931/medium.jpg[/img][/url]
Andy Sabkhi
---
[quote="Yves Baggio"]En écoutant "Notre-Dame Mélancolie" ça m'a donné l'idée de faire Saez (en mode clown triste) à genoux face à l'église Notre-Dame de Paris, à lui chanter ses cris du coeurs.
ça pourrait donner un truc sympa.[/quote]
:)
En écoutant "Notre-Dame Mélancolie" ça m'a donné l'idée de faire Saez (en mode clown triste) à genoux face à l'église Notre-Dame de Paris, à lui chanter ses cris du coeurs.
ça pourrait donner un truc sympa.
https://www.youtube.com/watch?v=I-By1LkFxPk
World has to Change dance choreography by Thomas Bimai Lunik Grio
https://www.youtube.com/watch?v=I-By1LkFxPk
World has to Change dance choreography by Thomas Bimai Lunik Grio
" Damien,
tu sais, j'ai le cœur à l'arrache. J'ai pris le train d'un amour passager et je ne sais pas si je dois sauter en route ou déclencher le signal d'alarme. J'ai le cœur au bord du ruisseau. Mais j'aime bien le roulis de ses wagons, alors j'ai pas vraiment envie de descendre à la première gare. Et puis il va où ce train, hein il va où ? Il traverse les paysages sans jamais s'arrêter nulle part. Alors, je les regarde comme un rêve. Un rêve que tu ne contrôles pas parce que la vie, on ne la contrarie pas. "
https://www.youtube.com/watch?v=atyvdC15HFA
https://www.youtube.com/watch?v=atyvdC15HFA
[url=https://pix.blizzart.net/image/1491553418][img]https://pix.blizzart.net/image/1491553418/medium.jpg[/img][/url]
https://www.youtube.com/watch?v=UEcz-Z2oUcU
♪ Le Fantôme De Pierrot ♪
Assis sur son croissant de lune,
Pierrot attend
Que quelqu'un lui rende sa plume.
Depuis le temps,
Depuis le temps qu'on la lui vole
Pour envoyer des petits mots,
Pierrot va prendre la parole.
Écoutez bien Pierrot.
Assis sur son croissant de lune
En spectateur,
Depuis sa luisante tribune
De nos malheurs,
Pierrot a tant de choses à dire
Que si vous ne vous dépêchez
De lui donner de quoi écrire,
Pierrot va se mettre à crier :
"J'étais vivant, Messieurs, Mesdames,
J'étais vivant
Quand je jouais les mélodrames
De pantomimes en mimodrames.
J'étais vivant,
Et si je me taisais souvent,
C'est que l'amour est bien plus beau
Avec des mains qu'avec des mots.
Eh, regardez ce qu'on a fait de moi :
Un habitant béat de vos pays lunaires
Et qui, à force de se taire,
S'en va rêver tout seul.
Pourtant j'étais fils de révolte
Avec mes comédiens,
De Colombine désinvolte
En singe d'Arlequin,
La pièce n'est pas si gentille
Quand le valet
Vole la fortune et la fille
De celui qui le paie.
Tu as bien applaudi, merci
Tu t'es levé, tu es parti.
T'étais vivant, Messieurs, Mesdames,
T'étais vivant,
Quand tu venais aux mélodrames
De pantomime en mimodrames.
T'étais vivant
Et si tu payais pas souvent
Au moins, tu savais t'en aller
Quand le spectacle était mauvais.
Eh, tu as l'air de quoi dans ton fauteuil,
A écouter bêler ce gratteur de guitare ?
Regarde-moi, et puis compare
Si tu as encore un œil.
A moi tous ceux qui me ressemblent,
Les valets, les piétons,
Timides, muets, ceux qui tremblent
Devant tous les bâtons,
C'était des coups de pied aux fesses,
Des cris de joies
Que je voulais dans cette pièce
Que vous jouez en bas.
Quand le dénouement va venir
Je s'rai trop vieux pour applaudir."
Descends de ton croissant de lune
Juste une fois
Si tu ne veux pas pour des prunes
User ta voix.
Rester là-haut, c'est un peu comme
Si tu criais dans un désert.
Descends de là, si t'es un homme,
Te battre avec la terre.
Assis sur son croissant de lune,
Pierrôt répond :
"Moi qui ne suis un homme en aucune
De vos façons,
Moi qui suis fait de différences
Tantôt tout blanc, tantôt tout noir
J'arrive au pays des nuances
Tout est grisaille ici ce soir.
Avez-vous regardé d'abord
Le pays qui vous sert de piste.
Je n'ai jamais vu de décor
Si triste.
Quel est donc ce décorateur
Pour qui le sinistre est de mise
Et qui ne sait qu'une couleur :
La grise ?
Quel est donc ce peintre maudit
Qui a dessiné sur la toile
La toile de fond de Paris
En y oubliant les étoiles ?
Comme ton costume a changé !
Où sont les carreaux de ta veste ?
Arlequin, ton masque est jeté,
Tu restes,
Sans ton chapeau, sans tes manies,
Tu restes le perdant qui gagne
Mais qui ne gagne que sa vie
Au bagne.
Comme ton allure a changé !
Plus de sauts, plus de cabrioles.
Tu vas au boulot résigné.
C'est ton auto qui te console.
Colombine, quel est l'auteur
Qui a pondu pour toi ce rôle
Ni gai, ni simple, ni charmeur
Ni drôle ?
Depuis qu'un tas d'honnêteté
T'a prise avec lui en ménage,
Femme dans cette société
Tu nages.
Tu nages dans tes draps de lit,
Tu nages dans l'eau de vaisselle.
A tant te battre, tu oublies
Que de mon temps tu étais belle.
On ne te vole plus ton or,
Harpagon, Pantalon, Cassandre.
Il a bien grandi le trésor
A prendre
Et tu possèdes, maintenant
Que tu as pris goût aux affaires,
Les rois, les hommes, les enfants
La terre.
Comme on ne te reconnaît plus
Sous tes sociétés anonymes,
Jamais les coups de pied au cul
Ne peuvent trouver leur victime
Et toi tu joues, Messieurs, Mesdames,
Et toi tu joues
Ce lamentable mélodrame
De pantomime en mimodrame.
Et toi tu joues.
Es-tu sûr d'arriver au bout ?
Sans t'apercevoir à la fin.
Que ce contrat ne valait rien
Eh, tu as l'air de quoi dans ton habit.
S'il suffisait d'avoir un peu de maquillage
Pour se changer cœur et visage,
Tu serais un génie.
Tu sais, c'est pas écrit d'avance,
Juste un petit dessin.
Ça s'improvise, ça se danse,
Tu peux changer la fin.
Cesse de rabâcher ton texte,
Mauvais acteur.
Saute sur le premier prétexte
Si tu n'as pas trop peur.
De mon silence, enfin, je sors.
Écoute-moi, fais un effort.
Tu vas mourir, Messieurs, Mesdames,
Tu vas mourir
Pour terminer le mélodrame
De pantomime en mimodrame.
Tu vas mourir
Sans avoir jamais su sourire.
Le rideau tombe et demain soir
On te remplace et ça repart. "
Va-t'en sur ton croissant de lune,
Pierrot bavard.
Tu vas déchaîner la rancune
Du désespoir.
Si t'es venu dire à la terre
Que cette vie mène au trépas,
Reste muet, reste lunaire.
On ne t'en voudra pas.
Assis sur son croissant de lune,
Pierrot s'en va.
https://www.youtube.com/watch?v=UEcz-Z2oUcU
♪ Le Fantôme De Pierrot ♪
Assis sur son croissant de lune,
Pierrot attend
Que quelqu'un lui rende sa plume.
Depuis le temps,
Depuis le temps qu'on la lui vole
Pour envoyer des petits mots,
Pierrot va prendre la parole.
Écoutez bien Pierrot.
Assis sur son croissant de lune
En spectateur,
Depuis sa luisante tribune
De nos malheurs,
Pierrot a tant de choses à dire
Que si vous ne vous dépêchez
De lui donner de quoi écrire,
Pierrot va se mettre à crier :
"J'étais vivant, Messieurs, Mesdames,
J'étais vivant
Quand je jouais les mélodrames
De pantomimes en mimodrames.
J'étais vivant,
Et si je me taisais souvent,
C'est que l'amour est bien plus beau
Avec des mains qu'avec des mots.
Eh, regardez ce qu'on a fait de moi :
Un habitant béat de vos pays lunaires
Et qui, à force de se taire,
S'en va rêver tout seul.
Pourtant j'étais fils de révolte
Avec mes comédiens,
De Colombine désinvolte
En singe d'Arlequin,
La pièce n'est pas si gentille
Quand le valet
Vole la fortune et la fille
De celui qui le paie.
Tu as bien applaudi, merci
Tu t'es levé, tu es parti.
T'étais vivant, Messieurs, Mesdames,
T'étais vivant,
Quand tu venais aux mélodrames
De pantomime en mimodrames.
T'étais vivant
Et si tu payais pas souvent
Au moins, tu savais t'en aller
Quand le spectacle était mauvais.
Eh, tu as l'air de quoi dans ton fauteuil,
A écouter bêler ce gratteur de guitare ?
Regarde-moi, et puis compare
Si tu as encore un œil.
A moi tous ceux qui me ressemblent,
Les valets, les piétons,
Timides, muets, ceux qui tremblent
Devant tous les bâtons,
C'était des coups de pied aux fesses,
Des cris de joies
Que je voulais dans cette pièce
Que vous jouez en bas.
Quand le dénouement va venir
Je s'rai trop vieux pour applaudir."
Descends de ton croissant de lune
Juste une fois
Si tu ne veux pas pour des prunes
User ta voix.
Rester là-haut, c'est un peu comme
Si tu criais dans un désert.
Descends de là, si t'es un homme,
Te battre avec la terre.
Assis sur son croissant de lune,
Pierrôt répond :
"Moi qui ne suis un homme en aucune
De vos façons,
Moi qui suis fait de différences
Tantôt tout blanc, tantôt tout noir
J'arrive au pays des nuances
Tout est grisaille ici ce soir.
Avez-vous regardé d'abord
Le pays qui vous sert de piste.
Je n'ai jamais vu de décor
Si triste.
Quel est donc ce décorateur
Pour qui le sinistre est de mise
Et qui ne sait qu'une couleur :
La grise ?
Quel est donc ce peintre maudit
Qui a dessiné sur la toile
La toile de fond de Paris
En y oubliant les étoiles ?
Comme ton costume a changé !
Où sont les carreaux de ta veste ?
Arlequin, ton masque est jeté,
Tu restes,
Sans ton chapeau, sans tes manies,
Tu restes le perdant qui gagne
Mais qui ne gagne que sa vie
Au bagne.
Comme ton allure a changé !
Plus de sauts, plus de cabrioles.
Tu vas au boulot résigné.
C'est ton auto qui te console.
Colombine, quel est l'auteur
Qui a pondu pour toi ce rôle
Ni gai, ni simple, ni charmeur
Ni drôle ?
Depuis qu'un tas d'honnêteté
T'a prise avec lui en ménage,
Femme dans cette société
Tu nages.
Tu nages dans tes draps de lit,
Tu nages dans l'eau de vaisselle.
A tant te battre, tu oublies
Que de mon temps tu étais belle.
On ne te vole plus ton or,
Harpagon, Pantalon, Cassandre.
Il a bien grandi le trésor
A prendre
Et tu possèdes, maintenant
Que tu as pris goût aux affaires,
Les rois, les hommes, les enfants
La terre.
Comme on ne te reconnaît plus
Sous tes sociétés anonymes,
Jamais les coups de pied au cul
Ne peuvent trouver leur victime
Et toi tu joues, Messieurs, Mesdames,
Et toi tu joues
Ce lamentable mélodrame
De pantomime en mimodrame.
Et toi tu joues.
Es-tu sûr d'arriver au bout ?
Sans t'apercevoir à la fin.
Que ce contrat ne valait rien
Eh, tu as l'air de quoi dans ton habit.
S'il suffisait d'avoir un peu de maquillage
Pour se changer cœur et visage,
Tu serais un génie.
Tu sais, c'est pas écrit d'avance,
Juste un petit dessin.
Ça s'improvise, ça se danse,
Tu peux changer la fin.
Cesse de rabâcher ton texte,
Mauvais acteur.
Saute sur le premier prétexte
Si tu n'as pas trop peur.
De mon silence, enfin, je sors.
Écoute-moi, fais un effort.
Tu vas mourir, Messieurs, Mesdames,
Tu vas mourir
Pour terminer le mélodrame
De pantomime en mimodrame.
Tu vas mourir
Sans avoir jamais su sourire.
Le rideau tombe et demain soir
On te remplace et ça repart. "
Va-t'en sur ton croissant de lune,
Pierrot bavard.
Tu vas déchaîner la rancune
Du désespoir.
Si t'es venu dire à la terre
Que cette vie mène au trépas,
Reste muet, reste lunaire.
On ne t'en voudra pas.
Assis sur son croissant de lune,
Pierrot s'en va.
" Damien,
tu sais, je les aime bien les Pierrot. Ils sont un peu magiciens, les Pierrot. Mon Pierrot, il jongle avec les mots ; alors, je l'écoute, je le regarde... Et mon Pierrot quand il me fait Colombine, les étoiles s'illuminent, pour éclairer d'autres cieux. "
https://www.youtube.com/watch?v=vKxPGupvJI4
Le bébé à doudou est tombée dans la boue
Teille ça l'a rendue folle elle lui donne des coups
Coup de bâton, coup de balai, coup de bambou
Si elle continue comme ça lui cassera le cou
Mais malgré tout le doudou est amoureux de la bébé
Bébé si douce avec doudou entre deux coups de balai
Le baba tout béat est bêta d'observer
Qu'il a eu beau crier rien non rien n'a changé
Fatigué de rester dans les coulisses
Il s'est engagé dans la police
Et aujourd'hui le baba est amoureux de sa patrie
C'était bien ce qu'il voulait être gardien de la paix
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
J'ai envoyé du pain pour sauver les enfants
Qui meurent de faim dans le petit écran
Quelle surprise en voyant qu'un militaire
S'envoyait tout cru mon sandwich au gruyère
Car voyez-vous notre pays est amoureux de ses bébés
Il leur envoie des caisses entières de balles de revolver
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
S'il est une morale alors gagnons
À connaître la fin de la chanson
Mais pour cela il n'est pas nécessaire
D'attendre que le monde soit mis en bière
Car voyez-vous il suffit d'être amoureux de la vie
Et si vous le dites avec des fleurs évitez les soucis
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Paroles: Pauline Ester. Musique: Frédéric Loizeau 1990 "Le monde est fou"
https://www.youtube.com/watch?v=vKxPGupvJI4
Le bébé à doudou est tombée dans la boue
Teille ça l'a rendue folle elle lui donne des coups
Coup de bâton, coup de balai, coup de bambou
Si elle continue comme ça lui cassera le cou
Mais malgré tout le doudou est amoureux de la bébé
Bébé si douce avec doudou entre deux coups de balai
Le baba tout béat est bêta d'observer
Qu'il a eu beau crier rien non rien n'a changé
Fatigué de rester dans les coulisses
Il s'est engagé dans la police
Et aujourd'hui le baba est amoureux de sa patrie
C'était bien ce qu'il voulait être gardien de la paix
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
J'ai envoyé du pain pour sauver les enfants
Qui meurent de faim dans le petit écran
Quelle surprise en voyant qu'un militaire
S'envoyait tout cru mon sandwich au gruyère
Car voyez-vous notre pays est amoureux de ses bébés
Il leur envoie des caisses entières de balles de revolver
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
S'il est une morale alors gagnons
À connaître la fin de la chanson
Mais pour cela il n'est pas nécessaire
D'attendre que le monde soit mis en bière
Car voyez-vous il suffit d'être amoureux de la vie
Et si vous le dites avec des fleurs évitez les soucis
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Le monde est fou, fou, fou, fou voyez-vous !
Paroles: Pauline Ester. Musique: Frédéric Loizeau 1990 "Le monde est fou"
Sur un air de Mozart - thème de la symphonie n" 40 K550
Au temps de Pierrot et Colombine par les compagnons de la chanson.
version conte de fée.
https://www.youtube.com/watch?v=70BsJ51PP2k
Au temps de Pierrot et Colombine
Dans un monde moins fou qu'aujourd'hui
Pierrot n'avait pas d'automobile
Pour aller retrouver son amie
Il courait à perdre haleine
Sans s'arrêter aux fontaines
Il courait, courait, courait
Quand Pierrot retrouvait Colombine
Pour aller l'emmener dans les bois
Pierrot n'ayant pas d'automobile
Prenait sa douce amie par le bras
Et les mots lui venaient
Et les phrases tournaient
Et Pierrot bavardait, bavardait, bavardait
Sans penser à l'embrasser
Et sans automobile
Au bras de Colombine
Il prenait tout son temps, tout son temps
Pour lui offrir ses vingt ans
Quand Pierrot rêvait de Colombine
qu'il savait toute seule à la ville
pierrot n'ayant pas de téléphone
pour pouvoir appeler la mignonne
allumait une chandelle
et couchait sur le papier
Les choses les plus belles
Et Pierrot tout entier à sa plume
Ecrivait pour calmer son ardeur
Sous le regard distrait de la lune
Souriant devant tant de bonheur
Et les mots lui venaient
Et les phrases tournaient
Et son coeur chavirait, chavirait, chavirait
Dans le bleu de l'encrier
Et les mots voltigeaient
Et les phrases tournaient
Et quand venait le jour
Il restait
Plus de cent lettres d'amour
Quand Pierrot attendait Colombine
Qui faisait son travail à la ville
Pierrot n'avait pas d'électrophone
Pour tuer tout ce temps monotone
Il prenait sa mandoline
Composait des menuets, de jolies cavatines
Quand Pierrot épousa Colombine
Il était poète et musicien
Colombine chantait dans sa cuisine
En faisant sa lessive et son pain
Et sans automobile
Amoureux et tranquilles
Ils prenaient tout leur temps, tout leur temps
Pour s'aimer éperdument
Et sans le téléphone
Ils vécurent jusqu'à près de cent ans
Et ils eurent beaucoup d'enfants.
https://www.youtube.com/watch?v=70BsJ51PP2k
Au temps de Pierrot et Colombine
Dans un monde moins fou qu'aujourd'hui
Pierrot n'avait pas d'automobile
Pour aller retrouver son amie
Il courait à perdre haleine
Sans s'arrêter aux fontaines
Il courait, courait, courait
Quand Pierrot retrouvait Colombine
Pour aller l'emmener dans les bois
Pierrot n'ayant pas d'automobile
Prenait sa douce amie par le bras
Et les mots lui venaient
Et les phrases tournaient
Et Pierrot bavardait, bavardait, bavardait
Sans penser à l'embrasser
Et sans automobile
Au bras de Colombine
Il prenait tout son temps, tout son temps
Pour lui offrir ses vingt ans
Quand Pierrot rêvait de Colombine
qu'il savait toute seule à la ville
pierrot n'ayant pas de téléphone
pour pouvoir appeler la mignonne
allumait une chandelle
et couchait sur le papier
Les choses les plus belles
Et Pierrot tout entier à sa plume
Ecrivait pour calmer son ardeur
Sous le regard distrait de la lune
Souriant devant tant de bonheur
Et les mots lui venaient
Et les phrases tournaient
Et son coeur chavirait, chavirait, chavirait
Dans le bleu de l'encrier
Et les mots voltigeaient
Et les phrases tournaient
Et quand venait le jour
Il restait
Plus de cent lettres d'amour
Quand Pierrot attendait Colombine
Qui faisait son travail à la ville
Pierrot n'avait pas d'électrophone
Pour tuer tout ce temps monotone
Il prenait sa mandoline
Composait des menuets, de jolies cavatines
Quand Pierrot épousa Colombine
Il était poète et musicien
Colombine chantait dans sa cuisine
En faisant sa lessive et son pain
Et sans automobile
Amoureux et tranquilles
Ils prenaient tout leur temps, tout leur temps
Pour s'aimer éperdument
Et sans le téléphone
Ils vécurent jusqu'à près de cent ans
Et ils eurent beaucoup d'enfants.
" Quand t'es dans le désert
Depuis trop longtemps
Tu t'demandes à qui ça sert
Toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu'on veut t'faire jouer
Les yeux bandés "
JPC
Je vous souhaite des libertés,
de celles qui font grandir,
de celles qui font sourire,
de celles qui rendent l'Amour possible;
Je vous souhaite des libertés,
de celles qui font rêver,
de celles qui permettent de s'accepter.
Je vous souhaite des libertés,
de celles qui dépassent les préjugés,
de celles qui repoussent l'obscurité.
Je vous souhaite la Liberté,
celle qui permet de vous exprimer, de vous affirmer, d'aimer.
" Nue ! Elle cracha le mot. " Vous croyez que je suis nue parce que je n'ai pas de vêtements ? " Sa voix devint plus grave. " Ce n'est pas être nue. On est nue quand l'homme qui vous aime vous tient contre lui et vous tourne pour que vous ayez le dos vers lui, quand il met ses bras sous les vôtres et ses mains sur vous, qu'il vous parle et qu'il laisse errer ses mains, en parlant tout le temps, très doucement, en parlant, en vous caressant et en vous parlant. Alors, on est nue, même si l'on porte un manteau très épais.
extrait de L'Ambassadeur d'André Brink.
Un peu de couleurs avec ma salamandre ( une espèce en danger )
[url=https://pix.blizzart.net/image/1498459370][img]https://pix.blizzart.net/image/1498459370/medium.jpg[/img][/url]
Je slalome entre les météorites. Faut faire preuve d'agilité pour survivre à ces putains de bombes. Au final, on se crame les ailes, mais les miennes renaissent de leurs cendres.
Je sais qu'au milieu des ombres, il n'y a pas assez de lumière pour se faire d'illusions... Je m'accroche aux étoiles...
Ma voie lactée, ma galaxie est faite de cieux étoilés instinctivement ordonnés. Tout caillou peut y entrer et s'y mouvoir avec considération, qualité nécessaire même au sein du chaos. Mon univers est peuplé d'astres libres d'y danser.
ca scintille.wmv mano solo
https://www.youtube.com/watch?v=KhXYeRjEU1k
https://www.youtube.com/watch?v=KhXYeRjEU1k
Une ébauche
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[b]BONNIE ? [/b]
Bon, voilà, Bonnie torchée, Bonnie torchon !.. Bref, Bonnie ratée ! J'ai foiré la mise en couleur. Pas le bon, papier, l'encre que je ne travaille pas souvent, mes pinceaux à réserve qui me lâchent en cours... Ay pas grave, je la referai autrement...
[url=https://pix.blizzart.net/image/1503250753][img]https://pix.blizzart.net/image/1503250753/medium.jpg[/img][/url]
[url=https://pix.blizzart.net/image/1503945624][img]https://pix.blizzart.net/image/1503945624/medium.jpg[/img][/url]
Illustrateur : Jérémy Kartner
Fallait-il blesser l'autre ?
Fallait-il user de médisances ?
Fallait-il jeter l'autre en pâture ?
Fallait-il ?
Ne fallait-il pas raisonner ?
Ne fallait-il pas, l'autre, considérer ?
Ne fallait-il pas juste oser l'honnêteté ?
Ne fallait-il pas ?
Les langues de vipères ont vomi leur venin et on les vénère...
L'autre ne mérite pas, l'autre peut crever...
Quel manque de classe...
[quote="éoline"]Les langues de vipères ont vomi leur venin et on les vénère...[/quote]J'aime beaucoup cette phrase. Jolie allitération !
Les langues de vipères ont vomi leur venin et on les vénère...J'aime beaucoup cette phrase. Jolie allitération !
[quote="JoannLataste"][quote="éoline"]Les langues de vipères ont vomi leur venin et on les vénère...[/quote]J'aime beaucoup cette phrase. Jolie allitération ![/quote]
:) Merci
Les langues de vipères ont vomi leur venin et on les vénère...J'aime beaucoup cette phrase. Jolie allitération !
Merci
[url=https://pix.blizzart.net/image/1504454980][img]https://pix.blizzart.net/image/1504454980/medium.jpg[/img][/url]
[quote="gimmick63"][url=https://pix.blizzart.net/image/1504454980][img]https://pix.blizzart.net/image/1504454980/medium.jpg[/img][/url][/quote]
Hey pas mal ! Tu peux pas nous le mettre à l'endroit ? :)
Hey pas mal ! Tu peux pas nous le mettre à l'endroit ?