Ne me laisse pas me noyer dans ce qui pourrait soudainement exister. La solitude d'une demi-âme ponctuée du fossé invisible. je suis noyée de ton absence. pourtant il ne faudrait pas grand chose pour si seulement tu pouvais poser tes lèvres à nouveau m'offrir ce baiser ce baiser qui me sauverait.
noyée sous sa peau elle me charge de ses maux, cet éternel passage d'un être à un autre comment trouver le mot le mot du trop qui déconstruira le mot des coups sous la peau
J’aurais pas dû ouvrir le bouquin ça me réactive sans cesse la machine. J’en fais quoi de ses mots puis de l’image de sa gueule sur le radiateur. Cette douleur qui ruisselle sous nos peaux en continue.
Moi j’ai tout jeté quasiment tout, je veux pas que quand on m’entendra y a ce poids dans le mot sans l’oxygène de la résilience.
Je veux juste voler comme une bulle. Puis je m’habille en couleurs roses. Je manifeste le féministe qui demande aux hommes de revenir à nous. J’en peux plus de devoir partir seule sans mari. Je rame même plus y a plus personne sur l'île. J’y suis déjà allée y’avait tout Le Soleil, l’eau, la montagne, les animaux, le bio, mais pas mon mari.
J’y retourne plus je m’y retrouve plus.
J’ai tout jeté je voulais plus être rattachée à elles, puis à lui surtout. Voilà tout est fini. Presque. Je suis quasiment toute propre ou toute libre je sais pas comment on dit quand faut la nouvelle trajectoire.
Faut juste que tu viennes me chercher.
Ne me laisse pas me noyer dans ce qui pourrait soudainement exister. La solitude d'une demi-âme ponctuée du fossé invisible. je suis noyée de ton absence. pourtant il ne faudrait pas grand chose pour si seulement tu pouvais poser tes lèvres à nouveau m'offrir ce baiser ce baiser qui me sauverait.
noyée sous sa peau elle me charge de ses maux, cet éternel passage d'un être à un autre comment trouver le mot le mot du trop qui déconstruira le mot des coups sous la peau
J’aurais pas dû ouvrir le bouquin ça me réactive sans cesse la machine. J’en fais quoi de ses mots puis de l’image de sa gueule sur le radiateur. Cette douleur qui ruisselle sous nos peaux en continue.
Moi j’ai tout jeté quasiment tout, je veux pas que quand on m’entendra y a ce poids dans le mot sans l’oxygène de la résilience.
Je veux juste voler comme une bulle. Puis je m’habille en couleurs roses. Je manifeste le féministe qui demande aux hommes de revenir à nous. J’en peux plus de devoir partir seule sans mari. Je rame même plus y a plus personne sur l'île. J’y suis déjà allée y’avait tout Le Soleil, l’eau, la montagne, les animaux, le bio, mais pas mon mari.
J’y retourne plus je m’y retrouve plus.
J’ai tout jeté je voulais plus être rattachée à elles, puis à lui surtout. Voilà tout est fini. Presque. Je suis quasiment toute propre ou toute libre je sais pas comment on dit quand faut la nouvelle trajectoire.
Cadeau !
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Petite douceur, comme ça...bonne soirée SL !
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y'a des jours comme ça mais c'est une humeur positive ^^
y'a des jours comme ça mais c'est une humeur positive
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...et c'est confortable ( le trépied - yoga )
