moi je trouve que les prases sont trop courtes et pas assez alambiquées. Et y a bcp bcp trop de ponctuation aussi!
[quote="Maitre Kaio"]moi je trouve que les prases sont trop courtes et pas assez alambiquées. Et y a bcp bcp trop de ponctuation aussi!
:D[/quote]
N'est-ce pas ?
Là est toute la différence entre du pré-mâché livré sans profondeur et une omelette brouillée de ses sens à la coque, forcément, quand on aime que la demi-molle écriture, ça déstabilise.
Vive l'alambic et la prase, pour un œil ignorant, ça peut se revendre cher ;)
moi je trouve que les prases sont trop courtes et pas assez alambiquées. Et y a bcp bcp trop de ponctuation aussi!
N'est-ce pas ?
Là est toute la différence entre du pré-mâché livré sans profondeur et une omelette brouillée de ses sens à la coque, forcément, quand on aime que la demi-molle écriture, ça déstabilise.
Vive l'alambic et la prase, pour un œil ignorant, ça peut se revendre cher
Pierre, tu dors?
Faut pas chercher à comprendre faut plus chercher de quoi ce siècle sera fait si tu n'es pas à la poursuite de toi-même.
Tu peux rêver Pierre, même les poings serrés tu restes du vent, là, immobile déjà sur ton lit de mort.
Si tu peux te réveiller ouvres les yeux, vois par tes pupilles le spectacle de tes croyances, dessines le chant du signe, entends vers quelles cascades te pousses le courant et fais toi une pirogue de ta vie, remontes en travers les remous, suis l'intuition qui te fais longer les quais de nos avenirs.
Pierre, à présent tu dois mettre à sac ton passé, prendre sur ton dos cette chimère et marcher, en évitant les ornières formées par les diables invisibles.
Tu sortiras du coma de tes nuits par la volonté, vers la lumière se baisseront les crépuscules et l'annexion de ton être ne sera plus que cet univers qui s'accorde à t'accueillir dans ses mains, comme confié au soin d'une mère.
Faut pas chercher à comprendre faut plus chercher de quoi ce siècle sera fait si tu n'es pas à la poursuite de toi-même.
Tu peux rêver Pierre, même les poings serrés tu restes du vent, là, immobile déjà sur ton lit de mort.
Si tu peux te réveiller ouvres les yeux, vois par tes pupilles le spectacle de tes croyances, dessines le chant du signe, entends vers quelles cascades te pousses le courant et fais toi une pirogue de ta vie, remontes en travers les remous, suis l'intuition qui te fais longer les quais de nos avenirs.
Pierre, à présent tu dois mettre à sac ton passé, prendre sur ton dos cette chimère et marcher, en évitant les ornières formées par les diables invisibles.
Tu sortiras du coma de tes nuits par la volonté, vers la lumière se baisseront les crépuscules et l'annexion de ton être ne sera plus que cet univers qui s'accorde à t'accueillir dans ses mains, comme confié au soin d'une mère.
Juste, dresses dans ton geste cette rigueur qui fait que l'action reste prêt du coeur.
Adresses aux regards l'arcane de la bienveillance, tu eveilleras la graine à ses propres obscurités pour qu'elle puisse tendre aux harmonies des lunes et des soleils cycliques.
Juste, dresses dans ton geste cette rigueur qui fait que l'action reste prêt du coeur.
Adresses aux regards l'arcane de la bienveillance, tu eveilleras la graine à ses propres obscurités pour qu'elle puisse tendre aux harmonies des lunes et des soleils cycliques.
