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Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac @slinteur a un toc
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison perdue dans le far west
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison perdue dans le far west entre Denver et L.A.
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison perdue dans le far west entre Denver et L.A. où des cow boys
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison perdue dans le far west entre Denver et L.A. où des cow boys et les cow girls
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison perdue dans le far west entre Denver et L.A. où des cow boys et les cow girls font la course
Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille à Houilles dans le champ de fouilles où il me chatouille la cramouille avec des cagouilles qui mouillent de trouille face aux arsouilles aimant les léchouilles quand les oiseaux gazouilles à l'heure de la glandouille quand les yeux se brouillent et picouillent on se gratouille la gorge toute rouge quand au loin rien ne bouge au Moulin rouge sous les infrarouges qu'une gouge maniée avec dextérité par Olympe de Gouges qui rembouge son rouge à lèvres dans les Deux-Sèvres où Ségolène Royal fait son footing sur des escarpins à roulettes en chantant à tue-tête "J'veux du nucléaire" pour éclairer l'ampoule qu'elle s'est faite au pied gauche juste après avoir marché dans une belle merde de La Rochelle, où tous les chiens radioactifs chient des guirlandes luminescentes rouges comme le slip à fleurs de Babar en vacances à Sébastopol où Paul se prend pour Tarzan et hurle "apwal" aux chimpanzés culottés de strings panthères trop petits pour couvrir leurs poils verts et roses qui débordent par poignets dégoulinants de morve collante et puante à cause de la grippe attrapée au Venezuela lors d'une baignade dans le lac Titicaca pris dans les glaces Miko au chocolat caramel au beurre salé dégueulasse et recouvert de champignons et moisissures diverses qui se développent dans les doigts de pied du Géant vert nain connu à Fort Boyard où l'on sert ce tord boyaux infâme à base d’échalotes et de jus de foie de morue dessalée dans du lait de chèvre tourné en vinaigre balsamique dans une barrique en balsa qui danse la salsa d'un pied boiteux et plat comme la poitrine de Jane Birkin chantant comme une quille du bowling de compétition à Sarajevo où François-Ferdinand de Habsbourg situé sur sa planche à roulette avait autrefois repoussé les Normands uniquement munit de son chapeau haut de forme et de sa baguette magique phallique et torsadée comme le zizi de Maitre Kaio que didier a pris en photo pour sa collection de monuments en ruines sur lesquels il fantasme avec Bisounour ou pas car il apprécie ces peaux ridées d'octogénaires assis sur leur chaise au milieu de la cours de la maison de retraite de Russie où Poutine fait une papouille rugueuse à l'inconnu du lac, un connard attentionné mais avec de mauvaises intentions contre les petits pois verts sur les petites robes noires à dentelle de bite ravagée par les dents d'un requin de la finance ruiné comme la citadelle de Montségur où vivent des hippopotames aquaphiles et des audi quattro à cinq places matelassées de billets de 500 roupies vénézuéliennes dont la valeur dépasse largement le prix d'une Cadillac noir a boite automatique et tac slinteur a un toc et des tiques qui lui sucent le cactus qu'il a posé dans sa maison perdue dans le far west entre Denver et L.A. où des cow boys et les cow girls font la course pour arriver les premiers au mariage de tsuki et @Blat mais y'a l'océan Atlantique à traverser donc Charles Lingberg les prend et ils atterrissent au Bourget d'où ils gagnent le Gard et arrivent pour faire boire leurs chevaux éreintés dans l'auge de la tante chaudasse de @Blat qui les hébergent bien gentiment et c'est ainsi que ce termine ce cadavre exquis.
Raoul Villain
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Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi
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Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu'@Alizée les mange
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Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir
:p
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Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre
Raoul Villain aime bien rôder du côté du canal du midi en montrant son zizi tout petit et poilu comme un yéti noir d'Italie qui frémit quand les pâtes sont au pesto et qu' Alizée les mange avec plaisir laissant le plat propre prêt à resservir l'ogre Shrek