Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord [i]elle devient imbuvable à lire cette phrase :D[/i]
AnonymeIl y a 10 ans


Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord






elle devient imbuvable à lire cette phrase

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige en même temps elle l'est depuis le début ^^
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige

en même temps elle l'est depuis le début

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son
AnonymeIl y a 10 ans


Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé et au coeur fondant
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé et au coeur fondant

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé et au cœur fondant sous les dents
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé et au cœur fondant sous les dents

SALUT SAY MOI PAUL BISMUTH
Maitre Kaio Il y a 10 ans

SALUT SAY MOI PAUL BISMUTH

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé et au cœur fondant sous les dents de @Paul_Bismuth. Salut say moi @Paul_Bismuth le roi de
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos bossus et complexe pour faire des pelotes dont les chats entre les seins s'amusent à les défaire avec leurs griffes aiguisées comme une lame de couteau en plastique mou comme les seins et les bites défraîchis et ratatinées avec l'âge dinosauresque tel un tyrannosaure sans dent ni queue en tire-bouchon de bouteille de Gaillac-sur-Rhin en Bretagne du Nord sous la neige du Kilimandjaro que Guédiguian a fait fondre son gros Miko au chocolat au beurre salé et au cœur fondant sous les dents de @Paul_Bismuth.


Salut say moi @Paul_Bismuth le roi de

Salut say moi @Paul_Bismuth le roi de l'embrouille
AnonymeIl y a 10 ans



Salut say moi @Paul_Bismuth le roi de l'embrouille


Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles
AnonymeIl y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil
Alizée Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille
AnonymeIl y a 10 ans


Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille
AnonymeIl y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille
Alizée Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles
caféine Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille
Alizée Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille
caféine Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille
Alizée Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles
AnonymeIl y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent
Alizée Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles
blat Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles

bah v'là l'chef qui s'y met :D Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent
AnonymeIl y a 10 ans


bah v'là l'chef qui s'y met


Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent


Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille
AnonymeIl y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille
Alizée Il y a 10 ans

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille qu'on zigouille à grands coups de citrouilles qui pendouillent comme mes couilles qui bouillent dans la ratatouille qui vadrouille

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AnonymeIl y a 10 ans

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