Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé de s'évaporer
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé de s'évaporer

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé de s'évaporer pour former des nuages
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé de s'évaporer pour former des nuages

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé de s'évaporer pour former des nuages colorés
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns des cinquantièmes chantants comme Sardou en trottinette à 8 roues dont 2 en mousse au chocolat blanc sali par le charbon des mines de Carmaux et Decazeville en Lot-et-Moselle car les les lorrains sont idiots mais moins que les alsaciens au dialecte germanopratin pataugeant dans le Rhin et entre tes reins greffés avec des pinces de crabe qui arrivent à pied par la Chine en longeant la voie du transsibérien dont la vitesse maximale est celle d'un escargot mongol chevauchant une chèvre à 3 pattes et 2 sabots, la 3e étant pourvue d'orteils, d'ongles incarnés et de cèpes des pins dans les Landes où les sylviculteurs se rendent au carnaval de Dunkerque déguisés en bisounours avec des cheveux blancs, un nez rouge et des yeux noirs couleur charbon de mine à ciel ouvert sur le livre blanc de neige liquide tombant de l'étagère où trônent les DVD de chats à 9 queues et des coffrets poussiéreux farcis d'acariens joyeux comme le nain exposé à côté de Blanche colombe aux plumes pleines de peinture à l'huile de pépin de raisin maltais cultivés sur les monts Atlas que George Everest a supplanté avec un 8000 chevaux rouges fougueux au sang épais et gras utilisé pour les boudins dont les boyaux sont d'origine mais réparés à plusieurs reprises avec une Rustine à vélo pour roues carrées pour éviter les excès de vitesse sanctionnés par les radars voyeuristes aux flashs éblouissants comme un soleil de fin de siècle tristounet à cause de la pluie qui n'a cessé de s'évaporer pour former des nuages colorés

Le chat miaule
Bisounour Il y a 9 ans

Le chat miaule

Le chat miaule devant @Didier
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant @Didier

Le chat miaule devant didier qui aboie
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre mais avec des volets
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre mais avec des volets

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre mais avec des volets volés
AnonymeIl y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre mais avec des volets volés

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre mais avec des volets volés par des voleurs
Alizée Il y a 9 ans

Le chat miaule devant didier qui aboie comme un labrit dopé au foin composté dans un bac à lauréats pas très fiers de leur odeur de stupre qui envahit la pièce close et sans fenêtre mais avec des volets volés par des voleurs