Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens

Pute vierge ils l'ont déterré :D
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Pute vierge ils l'ont déterré

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées
AnonymeIl y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns
Alizée Il y a 9 ans

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis a fourni en anus laissés à l'abandon par des trous du cul aériens qui pilotent des drones qui matent un tapis tapi sous une horde de sauterelles carnivores aux dents en guimauve salées par les embruns