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Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé et veiller
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé suffisamment pour l'écouter d'une concentration
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé et veiller suffisamment pour l'écouter d'une concentration partielle
Tu as mal recopier la fin @attachiante. Fait copier/coller la prochaine fois :-/
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé suffisamment pour l'écouter d'une concentration partiellement correcte
[quote="JoannLataste"]Tu as mal recopi[b]é[/b] la fin @attachiante. Fait copier/coller la prochaine fois :-/[/quote]
En fait à priori elle n'a fait que rajouter les deux mots que j'ai écrit et que tu n'as apparemment pas vus, mais je ne t'en veux point, l'erreur est humaine comme on dit...
Tu as mal recopié la fin attachiante. Fait copier/coller la prochaine fois
En fait à priori elle n'a fait que rajouter les deux mots que j'ai écrit et que tu n'as apparemment pas vus, mais je ne t'en veux point, l'erreur est humaine comme on dit...
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé et veiller suffisamment pour l'écouter d'une concentration partiellement correcte que l'indécision
[quote="Speed 26"][quote="JoannLataste"]Tu as mal recopi[b]é[/b] la fin @attachiante. Fait copier/coller la prochaine fois :-/[/quote]
En fait à priori elle n'a fait que rajouter les deux mots que j'ai écrit et que tu n'as apparemment pas vus, mais je ne t'en veux point, l'erreur est humaine comme on dit...[/quote]
Oui, voilà, merci @Speed 26
J'ai lu jusqu'au bout moi ;-) @JoannLataste
Tu as mal recopié la fin attachiante. Fait copier/coller la prochaine fois
En fait à priori elle n'a fait que rajouter les deux mots que j'ai écrit et que tu n'as apparemment pas vus, mais je ne t'en veux point, l'erreur est humaine comme on dit...
Oui, voilà, merci @Speed 26
J'ai lu jusqu'au bout moi JoannLataste
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé et veiller suffisamment pour l'écouter d'une concentration partiellement correcte que l'indécision de se faire amputer
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé et veiller suffisamment pour l'écouter d'une concentration partiellement correcte que l'indécision de se faire amputer les oreilles
Salope de mémoire défaillante qui omet les choses essentielles comme l'émotion, la sensibilité qui me tue à petit feu, un peu plus tous les jours pour ne devenir qu'un automate parmi d'autres automates nageant dans la sauce aux tomates aussi rouge que le sang qui s'échappe de mon cœur en lambeaux depuis que tu es parti avec cet autre je vomis ma colère et la noie dans la bière pour m'aveugler de cette réalité mais quelle réalité, est-ce la réalité ou un cauchemar et est-ce que je veux m'en réveiller, pour une autre réalité oui mais quelle réalité? la tienne, la mienne, la notre, ou celle du désespoir, peu importe en réalité puisque cette réalité à jamais ne sera que cauchemar coloré pour ne pas voir ce qui sommeille en nous de meilleur ou aimer y voir le pire mais garder espoir en la désertion prochaine de mon amertume et de ma lâcheté comme mon manque d'humanisme qui m'a rendu sourd et unijambiste me mettant à danser sur Tchiriri Kuduro une valse à mille temps mais pas trop rapide afin de garder l'équilibre de mon corps que je n'ai pu faire avec la houle qui bouscule toute la mélodie de petit ours brun, que ma grand-mère m'a donnée avant de mourir... et aujourd'hui petit ours brun a bien grandi à la campagne et vit maintenant en compagnie de sa femme Oursonne et de ses enfants Ourson et Oursonnet dit la Terreur ou le Ténébreux ou l'Epouvantable dans le monde fantastique d'Oz, car il terrorisait tous ces camarades à l'école comme s'il n'avait que ça à faire l'idiot et ne savait faire que ça pour se faire remarquer, unijambiste comme son père n'était pas suffisant, fallait faire le spectacle, faire l'ennuyeux public endormi ou pas réveillé et veiller suffisamment pour l'écouter d'une concentration partiellement correcte que l'indécision de se faire amputer les oreilles des portes de la perception.
@Nulie tu as conclu le cadavre par un point donc c'est à toi de relancer le bouzin :)
Bon comme personne s'y met, je m'en charge :
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était...
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi;
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!)
Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses