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un troglodyte c'est un homme nan?
Emma elle voulait surement dire elle vit [b]comme[/b] un troglodyte, pas "dans un"
j'ai du mal a suivre :(
http://www.anjou-tourisme.com/Decouvertes/Troglodytes
j'aurais dû préciser, habitation troglodytes, mais en Anjou, région de mes grand-parents, si je me souviens bien, on ne précise pas
je n'ai rien inventé c'est sur, je manifester contre le fait qu'avec le smic les gens ne peuvent pas tous vivre qu'on fait des contrat de 25 heure a des caissiére et qu'avec sa u ne vie pas qu'on veut taxer nos "vieux" alors que la plupart vont en baver qu'on nous ment sur a peut prés tout la bouf et par contre je n'irai pas deffilé vontre le mariage homo j'ai d'autre chose a faire (tu n'a pas d'autre photo emma)
HS (désolée pour le sujet)
Effectivement Emma, ici en Anjou, nous ne précisons pas "habitation troglodyte"
nous parlons vulgairement de "troglo" pour parler de ces habitations dans la pierre, qui foisonnent pas mal par ici.
Musa, la définition m'a bien fait sourire, genre ceux qui vivent dans les troglos, ils sont censés vivre à l'âge de pierre ("homme vivant dans des cavernes...") ? oO
Avant de faire la révolution dans la rue. Il faut d'abord se la faire dans la tête.
@ Emma_Jacobus, je suis très au courant de ce que c'est qu'une ferme troglodyte, une maison troglodyte, une habitation troglodyte.
Mais un troglodyte, c'est alternativement un oiseau ou bien un bonhomme qui vit dans une habitation troglodyte: donc j'ai ri, d'un rire caverneux haha, et sans méchanceté aucune, juste je trouvais drôle que tu puisses vivre dans un oiseau!
[quote="bibi"]je n'ai rien inventé c'est sur, je manifester contre le fait qu'avec le smic les gens ne peuvent pas tous vivre qu'on fait des contrat de 25 heure a des caissiére et qu'avec sa u ne vie pas qu'on veut taxer nos "vieux" alors que la plupart vont en baver qu'on nous ment sur a peut prés tout la bouf et par contre je n'irai pas deffilé vontre le mariage homo j'ai d'autre chose a faire (tu n'a pas d'autre photo emma)[/quote]
@bibi président !!!
je n'ai rien inventé c'est sur, je manifester contre le fait qu'avec le smic les gens ne peuvent pas tous vivre qu'on fait des contrat de 25 heure a des caissiére et qu'avec sa u ne vie pas qu'on veut taxer nos "vieux" alors que la plupart vont en baver qu'on nous ment sur a peut prés tout la bouf et par contre je n'irai pas deffilé vontre le mariage homo j'ai d'autre chose a faire (tu n'a pas d'autre photo emma)
bibi président !!!
j'ai 25 ans sa me derange pas du tout vos petit message . je suis bête et naif vous penser ? vous juger tellement vite !! a vous grands esprits
T'as vingt cinq ans ? putain...
Descendre dans la rue ? Je suis jeune, j'y descends, pour retrouver des amoureuses (la nuit surtout, et souvent) me promener quand il fait noir.
Mais pour manifester, se perdre dans une foule imbécile, suante et contente d'être foule, c'est à dire d'être arrivé à ce point ultime de la négation de l'individu, de confier soi sa voix réelle à un groupe et de façon pire qu'aux élections.
Je méprise de toute ma haine, de toute ma nuit, les faibles.
Par faibles, je ne dis pas fragiles, je dis lâches, impuissants, terrorisés, ceux qui depuis le premier jour se cherchent des chefs et firent toute l'incroyable litanie des dirigeants du plus antique tyran au très neuf président.
J'ai un goût immodéré pour l'individualité. Je cherche partout mon odeur à moi, la plus pure, celle intacte de mon reflet, ah délice. Je comprends mal qu'on veuille renverser le système pour toujours le système, et les gentils fables anarchistes sont de bêtes niaiseries.
Manifester contre quoi ? On peut très bien vivre à la marge, hors de toutes ces choses répugnantes, la Terre est vaste, vaste, vaste comme une solitude. Tu peux t'en aller plutôt que demeurer dans ton Auvergne arriérée.
Révolte toi contre la plus inique des choses : le travail.
Qu'on ne vienne pas à sirènes imbéciles me prouver sa nécessité.
Les chasseurs cueilleurs travaillaient moins de 15heures par semaine et vivaient, aimaient, mouraient.
Aujourd'hui, à ce siècle d'opulence (vous rendez vous compte de tout ce qu'il y a de disponible, des étals plein à craquer, des misérables même qui meurent très difficilement ?) nous n'avons pas à travailler. Plutôt, nous devrions pouvoir faire le choix de ne pas travailler et de vivre, enfin, d'écrire, aimer, pleurer.
Oui, c'est tout à fait envisageable, ce n'est pas une imbécile lubie d'anarchiste.
Pas un caprice de citoyen.
On appelle ça l'allocation universelle, c'est charmant.
[quote="boudi"]
Les chasseurs cueilleurs travaillaient moins de 15heures par semaine et vivaient, aimaient, mouraient.
[/quote]
Se référencer à "RRRrrrr", film documentaire.
Les chasseurs cueilleurs travaillaient moins de 15heures par semaine et vivaient, aimaient, mouraient.
Se référencer à "RRRrrrr", film documentaire.
@Boudi, je suis d'accord avec toi, sur beaucoup de points, mais si on ne travaillait pas, qui te soignerait ? Qui enseignerait certains savoir que les parents ne sont pas aptes à enseigner ? Qui s'occuperait des personnes handicapées ... ?
Evidemment, je suis contre l'aspect lucratif de tout ça, mais enfin, quand même, le travail en soi est nécessaire.
Je pense que @boudi aborde plus le travail comme creation de richesse materielle, pas sociale.
Sinon @Celestine, je suis amoureux de ton pseudo.
Sur les chasseurs cueilleurs :
http://clairetlipide.files.wordpress.com/2011/09/la-pire-erreur-de-lhistoire-de-humanite-par-jared-diamond.pdf
http://www.anth.uconn.edu/faculty/munro/assets/articles/Marlowe2005.pdf
Il ne s'agit pas de revenir à un âge de pierre et de faim, mais de bien mesurer le mal que fit à la liberté ce qu'on crut un progrès. Contrairement aux billevesées de nombreux, la sédentarisation est un poison et il n’y a qu’à voir l’actuelle tragédie Mongole pour bien s’en rendre compte. Soudain, nous passâmes de la liberté, des étendues sauvages, de l’infini, à nos villes puantes, sales, nos esclaves et nos maladies.
Il ne s'agit pas non plus d'une petite fable publiée par je ne sais quel rêveur imbécile, mais des travaux d'anthropologues et de cognitivistes.
Célestine (c'est très joli, c'est vrai, embrasse moi avec ces syllabes là, s'il te plaît, des baisers malsains par pitié sur tout mon corps bienheureux) :
Nous devrions avoir le choix du travail. Parce qu’aujourd’hui, celui-ci n’a plus à être obligatoire, nous en sommes arrivés à un point du développement technique ou les «biens» produits dépassent de tellement les besoins primitifs qu’une fraction, volontaire, de la population pourrait en jouir sans travailler. Parce qu’elle le veut, parce qu’elle vit sur cette Terre, parce qu’on la contraint bien assez déjà, à impérativement être d’un Etat (tu ne peux pas voyager sans passeport, imagines-tu, la prison d’être né!).
L’exemple pris par Locke est très éloquent, tu as le droit, du seul fait de ton existence à une part de la richesse. Si la propriété est fondée par le travail, il ne faut pas oublier que ce travail sans hasard n’existe pas. Parce que tu es le premier à découvrir une source d’eau dans le désert, dus-tu creuser et fournir un travail pour te l’approprier, tu n’en dois pas moins une part au reste des gens sans quoi ou tu en fais tes esclaves ou des rebelles qui t’assassineront. Tu as le droit à une part de ce que tout le monde a, parce qu’il l’a certes par son travail mais aussi par chance. Ton droit, c’est ce morceau de chance, échappé du travail, le minimum matériel que les imbéciles nommeraient minimum vital. Parce qu’ils imaginent la vie ce corps-réduit, et n’entendent pas dedans le coeur battant, l’âme douloureuse et le feu en floraison. Il s’agit de posséder les fameux 40 écus de Voltaire, heureux et pauvre ; tout sauf misérable.
Ce minimum sera toujours le sort de rêveurs, de tremblants du dedans, de poètes et de désespéré, je doute qu’une majorité immense aime cette vie faite de rien, d’eau de mirage et d’un grand bonheur.
Pauvre et libre, libre interminablement, comme le ciel, l’amour ou mes doigts sur tes lèvres.
L’allocation universelle n’aboutit pas à te rejeter, mécaniquement, de la société, tu peux faire le choix d’y demeurer, autrement, poète, bénévole, politique et le choix aussi de t’en retirer si tu ne peux souffrir les hommes (et moi je les souffre mal, j’ai horreur de la foule, du bruit, des sueurs étrangères, d’une femme qui ne serait pas nue et amoureuse). Elle se retrouve à tous les bords politiques, de l’extrême droite à l’extrême gauche, du libéral Hayek, au marxisant Mélenchon.
Encore une fois, et j’insiste sur ce point, elle n’a pas vocation à éliminer le travail salarié, celui-ci continuera à exister pour ceux qui veulent davantage que la liberté, et ils sont nombreux, tous les cinq ans on sent leurs semelles crottées dans les bureaux de vote.
Elle n’a pas de contrepartie obligatoire contrairement au RSA que tu n’acquiers qu’après avoir abandonné ta dignité (les formalités, les statut social alors acquis sont autant d’humiliations et de découragements)
L’allocation universelle n’a pas vocation à effondrer la société, ni même à la changer, seulement l’étendre. Il ne s’agit pas d’un montant suffisant pour tous les plaisirs matériels, les voyages très loin là-bas, les palaces, les vêtements très chers. Mais assez pour soi, pour s’arracher à toutes ces contraintes que le monde a mis dans l’accès à soi. Il y aura encore des médecins, des avocats, des professeurs, certains bénévoles et d’autres pas.
Je développerai plus une autre fois, d’ailleurs, il y a bien plus à en dire que ces quelques lignes, mais j’ai hélas du...Travail.
Le RSA n'est pas gratuit.
Il est tant socialement dévalorisé qu'il a un coût moral pour l'individu qui le réclame.
On le fait passer par une fouille morale minutieuse pour être certain qu'il ne triche pas. Ainsi, tu es presque présumé voleur.
Lorsqu'on sait la durée d'attente avant d'obtenir enfin son allocation on se sent probablement plus proche du mendiant que du citoyen. C'est à dire de celui qui supplie la bonne grâce ; plutôt que de celui qui exige le respect d'un de ses droits.
A l'inverse l'allocation universelle est "aveugle" aux distinctions, elle ne permet pas de présumer qui tu es (débile léger, artiste maudit, bénévole paresseux) parce qu'elle est automatique si tu la réclames. Tu y as droit sans que pèsent sur toi les mille disciplines broyant l'allocataire du RSA
Faut pas aller chercher tres loin pour entendre qq elus qualifier de cancer de la société les pensionnaires du RSA... C'est bon poour la dignité ca :/
C'est la même chose pour l'indemité chomage, combien de contrôle, de pression, de rappel a ta situation... On n'oublie pas de te rappeler que tu es l'exemples a ne pas suivre.
@boudi, tous les hommes naissent égaux..... mais comme tu sais "some are more equal than others"
le principe de l'allocation universelle, ne me semble pas très lointain du principe d'égalité des droits de l'homme, mais si c'est une allocation universelle, il faut que les 7 milliards d'humains y aient accès.
j'imagine qu'une allocation serait monétaire, et que les indiens d'Amazonie (pour ne citer qu'un exemple) n'en verraient pas l'utilité.
il me semble comprendre ton principe d'universalité de l'allocation comme non discriminatoire, i.e. chaque homme y aurait droit, mais les individus qui choisissent pourraient continuer a travailler pour augmenter leur niveau de vie s'ils le souhaitent.
En revanche ceux qui ne veulent pas travailler, n'y serait pas obligés, puisque l'allocation leur suffirait a vivre dignement en temps qu'homme.
Excuse moi d’être un peu terre a terre, mais ce fond qui alimenterait la banque d'allocation Universelle, il viendrait d’où?
Je suis d'accord sur cet idéal d'égalité, mais ou ça me dérange ton idée, c'est quand tu parles du choix de l'individu. Je suis parfaitement d'accord pour aider les gens dans l'incapacité de travailler (pour différentes raisons d'ailleurs), mais ceux qui ne [b]veulent[/b] pas, je suis moins d'accord (je pars du principe que peut être, ce serait mes impots qui alimenteraient le banque d'allocation).
Moi non plus, il y a des jours ou je ne veux pas travailler, moi aussi je voudrais vivre d'amour et d'eau fraiche.
je crois qu'on est hors sujet, et @bibi n'avait surement pas envisager le détournement de topic
Tu te trompes en plusieurs points selon moi et tu appréhendes "mal" ce qu'est cette allocation et dans quel cadre (et avec quels présupposés) elle s'inscrit.
Comme je l'ai dit en reprenant l'exemple de Locke tu dois par ton seul travail une part de son résultat (ton salaire) à ceux qui ne travaillent pas. Tu occupes ce poste par ton talent, certes oui, et tu es rétribué en raison du travail fourni, certes encore, mais dès lors que tu l'occupes, l'individu né après toi ne peut pas y être employé. C'est la raison pour laquelle, cette part de hasard, celle indépendante de ta volonté, de ton effort, tu la lui dois. De la même façon lorsque tu es propriétaire de ton bien si ce bien n'est pas fongible (ta maison) tu m'en dois une fraction. Dès lors que tu l'as, tu le rends indisponible et malgré tout mes efforts, je ne peux la posséder sans violence.
Dans le cadre de l'allocation universelle, plus prosaïquement, dès lors que je refuse de travailler (mais je peux ou non, et ça me regarde, fournir une autre forme de travail bénévole et l'Art par ailleurs compte parmi ces formes là) je rends moins concurrentiel la situation de l'emploi. Je te donne un avantage sur ce marché, c'est cet avantage que l'allocation universelle recouvre.
Encore, cette allocation se substituerait à la myriade d'aides existantes qui sont, in fine bien plus coûteuses, probablement faudrait-il même baisser les impôts pour l'instituer ;).
Tout le monde n'en est pas un attributaire effectif Tu travailles, tu y contribues, tu ne travailles pas tu en bénéficies. Mais tout le monde peut potentiellement y prétendre, c'est à dire que tout le monde a le droit à cette aide, la seule condition à remplir étant de ne pas travailler.
Ce peut paraître injuste mais son montant doit être calculé de façon à maintenir un équilibre entre contributeur et bénéficiaire. C'est le point le plus difficile.
Il permet en outre de renverser le rapport de force salarié/employeur. L'emploi étant nécessaire pour avoir un certain niveau de vie mais pas indispensable pour vivre. Il rééquilibre. Assainit.
"Moi non plus, il y a des jours ou je ne veux pas travailler, moi aussi je voudrais vivre d'amour et d'eau fraiche."
Tu en es sûre ? Je veux vivre, vraiment, de pulsions, de caprices et je me refuse à l'emploi et quelle cruauté est-ce de n'y autoriser que l'artiste, de faire du don la condition (insuffisante, certes, mais nécessaire) à ce délice. L'artiste fournit une autre forme de travail comme fournirait une autre forme de travail l'allocataire, une tout à fait étrangère à nos modèles présents.
Tu es sûre de vouloir vivre de baisers, de caresses, de poèmes et parfois de froid, parce que malgré ton revenu minimum tu ne pourras pas allumer le chauffage tous les jours, tu devras renoncer probablement à la baignoire.
Comprends ce que ça est, c'est vivre comme un étudiant, la tête hors de l'eau et le coeur certes dans le ciel. Mais ce n'est pas la fête si on n'a fait de la liberté son indispensable.
Je ne supporte pas, absolument pas l'emploi. Je porte une cravate, pour la mode, mais lorsque je dois nouer cette laisse mondaine pour autre chose, je suffoque.
J'ai fait des études qui auraient du me conduire à la fortune, la cocaïne et les putes, j'ai préféré seulement les deux derniers segments. J'ai fait une très prestigieuse école de commerce et après avoir forniqué avec la banque, j'ai vomi tout un été, d'angoisse et d'ennui. Je vais être avocat, demain, (nous avons droit d'entrer directement en master2 chanceux, nous) à condition de réussir le concours, et je veux un emploi sans obligation.
Toi tu es fatiguée certains jours, moi je ne peux pas, sans avoir chaque seconde au boulot l'envie de me pendre.
ouverture de parenthèse -je suis encore en décalage horaire, d’après le forum le dernier post sur ce topic a 22 heures, pourtant moi je vois des posts, et même j'ai cru en écrire!- fermeture de parenthèse.
@boudi, les derniers mots de ton poste me mettent dans un profonde tristesse.
certes il y a des jours ou je suis fatiguée, certes il y a des jours ou je fonds en larmes de frustration parce que je n'arrive pas a faire mon boulot comme je veux.
Mais l'envie d'en finir c'est autre chose. Pourquoi rester enchainer a ce boulot la, n'y a t-il vraiment pas d'autre issue?
Avocat je n'en connais pas, mais défendre l'indéfendable, c'est un défi qui en vaut la peine. trouver les mots qu'il faut pour convaincre que cet homme qu'on accuse doit rester libre (au moins de ses mouvements), cela force le respect.
Boudi : J'ai un goût immodéré pour l'individualisme et auvergne arriérrée.... toi tu plaisante pas .Je ne suis pas individualiste désolé.Encore une fois si tu me trouve pathétique pour mon age bien......
@bibi tu voudrais que l'on te suive et qu'on descende dans la rue avec toi, derrière toi, pour protester contre quoi?
@boudi ok dismissed,
mais quand même ça me turlupine ton idée.
une allocation universelle a condition que.....! contradiction des termes a mon sens, et une allocation monétaire donc pour enfermer encore l'individu dans un système de commerce? comment ne pas faire souffrir cet individu a qui on attribue cette allocation en le laissant ici, perdu au beau milieu du modèle capitaliste, comment résistera t-il, lui, si effarouché des foules a ne pas en perdre la tête?
Non pas à condition que...
Elle s'adresse à ceux qui la réclament et ce sont a fortiori ceux qui ne travaillent pas.
C'est une alternative à l'emploi. Temporaire ou durable selon ce qu'on souhaite de sa vie.
L'argent est un bien fongible, ce lui permet de faire ce qu'il veut sans souci de la faim et du froid mortel. Pour en fournir un bref résumé. Je te l'ai dit ce n'est pas être hors de la société ni en marge d'elle mais autrement en elle.
soit être intégré dans la société, ne pas mourir de froid ou de faim, parce que tout homme a droit a sa dignité.
Et comment on explique ça aux gens qui travaillent et qui sont payé avec de cacahuètes, et qui sont malgré leur travail au dessous du seuil de pauvreté?
prônes-tu un système ou l'individu serait en fait plus a l'aise financièrement s'il ne travaillait pas?
c'est pour ça que je dis qu'un système d'allocation universelle devrait aussi englober ceux qui travaillent afin de ne pas ouvrir trop les vannes et voir tout ceux qui gagnent si peu, abandonner leurs postes pour une vie de bohème (ils n'auront sans doute pas tous envie de vivre de leur Art), ou alors il faut restructurer le système des salaires pour garantir au travail un valeur monétaire supérieure (ou égale?) a l'allocation.
j'ai l'impression d’être entrée en politique moi ;)