où mordre les falaises.
salut à toi frère de trirème, sûr qu'on en a des étendues d'eau
à retourner à coups de rame à s'en décoller nos muscles qui se ramassent sur nos os.

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flippant, tu l'as posté 6 fois, en faisant défiler ça fait phaser.
dans sa bouche de cerises toute les?

les hommes chiens du Vésuve c'est tiré de l'homme pile n'est ce pas?

"Devant moi l'homme chien" ou un truc comme ça, l'ombilic, nan? ah nan, Dieu-le-chien.

flippant, tu l'as posté 6 fois, en faisant défiler ça fait phaser.

thanks

Le réseau aime jouer des tours de manège.
En gros, si ce n'est pas fini c'est que je ne peux pas continuer mon texte sur la version mobile.
Je n'arrive pas à aller à la dernière phrase écrite, même dans l'édit.
Merci mamzelle modette pour avoir effacé les posts en trop.

Et on aura la suite un jour ou on peut se brosser ?

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De biens jolis mots, et ouais très émouvant ton texte sur Thibaut (clair que c'est ouf ses expressions du visage et cette classe naturelle même en guenilles), c'est aussi touchant que ton récit de la rencontre avec Drem.
Des bises chaton.

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J'ai fini par y revenir.
On va la faire, ça te paraîtra sans doute bien inférieur, mais j'y ai vu la lumière, du haut de cette butte!

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Bonjour! Je suis de mèche d'oreiller avec tout ça, haha

Bonjour! Je suis de mèche d'oreiller avec tout ça, haha

"Ce qui est, c'est l'instant." Très très bon Mr j'ai pas de connexion internet

Je l'ai le temps de deux trois minutes, je regarde mes messages, mais j'vais en moyenne une fois sur le net tout les deux-trois jours cette période ci.
Avoir des secrétaires est une belle chose aussi

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"Il y a ces astres sans rocade, ces équinoxes rousses dans nos nuits brunes, ces yeux débris dans l'espace de cette chambre noire, le dos tourné et les pénombres en mouvances.

Dans cet espace-temps, ton monde est romanesque, plein de fresques étranges.
Le mien, des fragments d'arabesques florales, des origines du voyage.
Nos machines sont sans notices, nous allons à l'aveugle, là où la lumière ne passe plus , vers là où les cataractes se rejoignent pour noyer la pupille."

c'est beau. beau et arqué.

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Cher flingue, missive lue et approuvée. faudrait prendre le temps de se servir de miroirs pour pouvoir couper court au trou noir que l'on créée, à force de tourbillons et de tempêtes de sable suscités dans l'introspection. dans la solitude?

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Attention de n'pas briser ton opinel sur un tronc qui t'aurait à l'usure, ou qui t'aurait déjà eu par le passé!

Chers flingues, j'aimerais tant pouvoir vous lire dans des lettres plus colorées. Je vous embrasse

Chers flingues,
Pourquoi essayer d'être heureux quand c'est si jouissif de s'infecter l'existence ?
Pourquoi perdre son temps avec ceux qui nous aiment quand c'est si glorieux de répandre ses blessures en sanguinolences littéraires ?
Pourquoi vivre quand c'est si tentant de noyer le foyer ?
Je crache sur vos criminelles lamentations